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Auteur S. Rivera |
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Démographie des internes en oncologie-radiothérapie en France en 2008 : état et perspectives pour les trois prochaines années / S. Dewas in Cancer Radiothérapie, 13/3 (Juin 2009)
[article]
Titre : Démographie des internes en oncologie-radiothérapie en France en 2008 : état et perspectives pour les trois prochaines années Titre original : Demography of radiation oncology residents in France in 2008 : Current situation and perspectives for the next three years Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Dewas ; Y. Pointreau ; S. Rivera ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 153-160 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENSEIGNEMENT ONCOLOGIE RADIOTHERAPIE DEMOGRAPHIE:MEDECIN FRANCE Résumé : Objectif de l’étude :
Malgré une augmentation récente du nombre des internes en oncologie–radiothérapie ces dix dernières années, l’évolution globale de la démographie des oncologues radiothérapeutes reste très inférieure aux besoins liés aux départs à la retraite et à l’évolution de la discipline.
Matériel et méthodes :
Lors des cours nationaux annuels organisés par la Société française des jeunes radiothérapeutes oncologues (SFJRO), la Société française de radiothérapie oncologique (SFRO) et le Collège national des enseignants de cancérologie (Cnec) et soutenus par l’Institut national du cancer (Inca), différentes enquêtes ont été réalisées.
Résultats :
Depuis 2002, le nombre total des internes en formation dans l’option oncologie–radiothérapie a augmenté régulièrement (50, 75, 103 et 109 internes respectivement en 2000, 2005, 2007 et 2008). Il y a légèrement plus de femmes que d’hommes (51,5 % contre 48,5 %). L’enseignement a été évalué à l’aide d’une échelle visuelle analogique et le score était de 56 pour la formation pratique et 61 pour la formation théorique. Les internes ont pu bénéficier d’autres types de formation (analyse de cas cliniques, séances de bibliographie) dans certaines universités. L’analyse des motivations du choix de la spécialité oncologie–radiothérapie, a montré un intérêt commun à la fois pour la pratique médicale et les aspects techniques. Les notions d’innovation, de technologie, d’imagerie et de recherche apparaissaient aussi clairement. Seize internes finissent leur formation fin 2008, 42 en 2009 et 27 en 2010. Presque tous les internes pensent qu’un « post-internat » est nécessaire pour compléter la formation en tant que chef de clinique – assistant (CCA). Cependant, seuls 36 postes de CCA sont disponibles en France, soit la moitié des besoins. Seulement 21 internes sur 104 sont assurés d’avoir un poste de CCA et la disponibilité de ce type de poste reste incertaine pour les autres.
Conclusions :
Malgré des créations récentes de postes de CCA dans le cadre du plan cancer, de dix à 20 postes supplémentaires sont nécessaires pour que tous les internes puissent y accéder et qu’ils bénéficient d’une formation de qualité dans cette discipline transversale, médicale et technique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40985
in Cancer Radiothérapie > 13/3 (Juin 2009) . - p. 153-160[article] Démographie des internes en oncologie-radiothérapie en France en 2008 : état et perspectives pour les trois prochaines années = Demography of radiation oncology residents in France in 2008 : Current situation and perspectives for the next three years [texte imprimé] / S. Dewas ; Y. Pointreau ; S. Rivera ; et al. . - 2009 . - p. 153-160.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/3 (Juin 2009) . - p. 153-160
Mots-clés : ENSEIGNEMENT ONCOLOGIE RADIOTHERAPIE DEMOGRAPHIE:MEDECIN FRANCE Résumé : Objectif de l’étude :
Malgré une augmentation récente du nombre des internes en oncologie–radiothérapie ces dix dernières années, l’évolution globale de la démographie des oncologues radiothérapeutes reste très inférieure aux besoins liés aux départs à la retraite et à l’évolution de la discipline.
Matériel et méthodes :
Lors des cours nationaux annuels organisés par la Société française des jeunes radiothérapeutes oncologues (SFJRO), la Société française de radiothérapie oncologique (SFRO) et le Collège national des enseignants de cancérologie (Cnec) et soutenus par l’Institut national du cancer (Inca), différentes enquêtes ont été réalisées.
Résultats :
Depuis 2002, le nombre total des internes en formation dans l’option oncologie–radiothérapie a augmenté régulièrement (50, 75, 103 et 109 internes respectivement en 2000, 2005, 2007 et 2008). Il y a légèrement plus de femmes que d’hommes (51,5 % contre 48,5 %). L’enseignement a été évalué à l’aide d’une échelle visuelle analogique et le score était de 56 pour la formation pratique et 61 pour la formation théorique. Les internes ont pu bénéficier d’autres types de formation (analyse de cas cliniques, séances de bibliographie) dans certaines universités. L’analyse des motivations du choix de la spécialité oncologie–radiothérapie, a montré un intérêt commun à la fois pour la pratique médicale et les aspects techniques. Les notions d’innovation, de technologie, d’imagerie et de recherche apparaissaient aussi clairement. Seize internes finissent leur formation fin 2008, 42 en 2009 et 27 en 2010. Presque tous les internes pensent qu’un « post-internat » est nécessaire pour compléter la formation en tant que chef de clinique – assistant (CCA). Cependant, seuls 36 postes de CCA sont disponibles en France, soit la moitié des besoins. Seulement 21 internes sur 104 sont assurés d’avoir un poste de CCA et la disponibilité de ce type de poste reste incertaine pour les autres.
Conclusions :
Malgré des créations récentes de postes de CCA dans le cadre du plan cancer, de dix à 20 postes supplémentaires sont nécessaires pour que tous les internes puissent y accéder et qu’ils bénéficient d’une formation de qualité dans cette discipline transversale, médicale et technique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40985 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols / S. Rivera in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols Titre original : Radiothérapie hypofractionnée des cancers invasifs du sein : du modéré à l'extrême Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Rivera ; J.-M. Hannoun-Lévi Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 874-882 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.002 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SEIN CANCER Radiothérapie hypofractionnée IRRADIATION Résumé : La radiothérapie est le traitement standard après chirurgie conservatrice pour un cancer du sein. L’irradiation normofractionnée est considérée comme un facteur limitant d’adhésion au traitement du fait de son étalement sur cinq à six semaines. Pour réduire cette contrainte des protocoles d’irradiation hypofractionnée modérée, voir extrêmes ont été développés. Cet article a pour objectif d’en faire la synthèse. Après avoir défini l’irradiation hypofractionnée modérée et l’irradiation hypofractionnée extrême sur la base du temps total de traitement (étalement), les critères de sélection des essais ont été listés. Les résultats ont été analysés selon leur niveau de preuve. L’irradiation hypofractionnée modérée s’étale sur trois à quatre semaines alors que l’irradiation hypofractionnée extrême s’étale sur une semaine ou moins. Les volumes traités dans les essais d’irradiation hypofractionnée modérée comportent le sein ou la paroi et/ou les aires ganglionnaires. Il est démontré (niveau de preuve IA) que l’irradiation hypofractionnée modérée est aussi efficace et peu toxique que l’irradiation normofractionnée pour le sein seul. Une étude de phase III randomisée a confirmé que l’irradiation partielle accélérée (par curiethérapie multicathéters) n’est pas inférieure à l’irradiation normofractionnée (par radiothérapie externe) pour le contrôle local avec des effets secondaires aigus et tardifs similaires. L’irradiation partielle accélérée peropératoire reste débattue, mais l’irradiation partielle accélérée sur deux jours ou moins a été évaluée avec des résultats préliminaires prometteurs. L’irradiation partielle accélérée se justifie pour les schémas d’irradiation hypofractionnée extrême et est indiquée chez des patientes sélectionnées atteintes de cancer à faible risque. Les techniques d’irradiation hypofractionnée modérée et extrême sont validées dans les cancers du sein et doivent être proposées aux patientes correspondant aux critères de sélection. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66728
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 874-882[article] Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols = Radiothérapie hypofractionnée des cancers invasifs du sein : du modéré à l'extrême [texte imprimé] / S. Rivera ; J.-M. Hannoun-Lévi . - 2019 . - p. 874-882.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.002
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 874-882
Mots-clés : SEIN CANCER Radiothérapie hypofractionnée IRRADIATION Résumé : La radiothérapie est le traitement standard après chirurgie conservatrice pour un cancer du sein. L’irradiation normofractionnée est considérée comme un facteur limitant d’adhésion au traitement du fait de son étalement sur cinq à six semaines. Pour réduire cette contrainte des protocoles d’irradiation hypofractionnée modérée, voir extrêmes ont été développés. Cet article a pour objectif d’en faire la synthèse. Après avoir défini l’irradiation hypofractionnée modérée et l’irradiation hypofractionnée extrême sur la base du temps total de traitement (étalement), les critères de sélection des essais ont été listés. Les résultats ont été analysés selon leur niveau de preuve. L’irradiation hypofractionnée modérée s’étale sur trois à quatre semaines alors que l’irradiation hypofractionnée extrême s’étale sur une semaine ou moins. Les volumes traités dans les essais d’irradiation hypofractionnée modérée comportent le sein ou la paroi et/ou les aires ganglionnaires. Il est démontré (niveau de preuve IA) que l’irradiation hypofractionnée modérée est aussi efficace et peu toxique que l’irradiation normofractionnée pour le sein seul. Une étude de phase III randomisée a confirmé que l’irradiation partielle accélérée (par curiethérapie multicathéters) n’est pas inférieure à l’irradiation normofractionnée (par radiothérapie externe) pour le contrôle local avec des effets secondaires aigus et tardifs similaires. L’irradiation partielle accélérée peropératoire reste débattue, mais l’irradiation partielle accélérée sur deux jours ou moins a été évaluée avec des résultats préliminaires prometteurs. L’irradiation partielle accélérée se justifie pour les schémas d’irradiation hypofractionnée extrême et est indiquée chez des patientes sélectionnées atteintes de cancer à faible risque. Les techniques d’irradiation hypofractionnée modérée et extrême sont validées dans les cancers du sein et doivent être proposées aux patientes correspondant aux critères de sélection. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66728 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Irradiation des aires ganglionnaires prophylactiques pour le cancer du sein / Maximilien Rogé in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Irradiation des aires ganglionnaires prophylactiques pour le cancer du sein Type de document : texte imprimé Auteurs : Maximilien Rogé ; S. Thureau ; J. Dampierre ; B. Dubray ; S. Rivera Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 904-912 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.006 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE PROPHYLAXIE GANGLION SEIN CANCER Résumé : La radiothérapie adjuvante est un élément central de la prise en charge des cancers du sein localisés. Les méta-analyses de l’Early Breast Cancer Trialist's Collaborative Group (EBCTCG) ont démontré une diminution du risque de rechute locorégionale et de décès après une radiothérapie mammaire. Le traitement des aires ganglionnaires en prophylactique dans le cancer du sein a également montré un bénéfice dans plusieurs grands essais randomisés. À l’heure de la radiothérapie tridimensionnelle et avec modulation d’intensité, la question des volumes est essentielle et il est nécessaire d’harmoniser les pratiques pour pouvoir évaluer et comparer les résultats de la radiothérapie tant en termes d’efficacité que de toxicité. Par ailleurs, le choix de l’irradiation des aires ganglionnaires reste difficile et nécessite d’évaluer la balance bénéfice/risque pour chaque patient car, en augmentant le volume irradié, le risque de toxicité radio-induite augmente. La sélection des patientes qui relèvent de ce traitement est primordiale. L’objectif de cet article est de présenter la définition des volumes des aires ganglionnaires, les indications de leur irradiation, les bénéfices attendus et les effets secondaires potentiels au décours de celle-ci. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66732
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 904-912[article] Irradiation des aires ganglionnaires prophylactiques pour le cancer du sein [texte imprimé] / Maximilien Rogé ; S. Thureau ; J. Dampierre ; B. Dubray ; S. Rivera . - 2019 . - p. 904-912.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.006
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 904-912
Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE PROPHYLAXIE GANGLION SEIN CANCER Résumé : La radiothérapie adjuvante est un élément central de la prise en charge des cancers du sein localisés. Les méta-analyses de l’Early Breast Cancer Trialist's Collaborative Group (EBCTCG) ont démontré une diminution du risque de rechute locorégionale et de décès après une radiothérapie mammaire. Le traitement des aires ganglionnaires en prophylactique dans le cancer du sein a également montré un bénéfice dans plusieurs grands essais randomisés. À l’heure de la radiothérapie tridimensionnelle et avec modulation d’intensité, la question des volumes est essentielle et il est nécessaire d’harmoniser les pratiques pour pouvoir évaluer et comparer les résultats de la radiothérapie tant en termes d’efficacité que de toxicité. Par ailleurs, le choix de l’irradiation des aires ganglionnaires reste difficile et nécessite d’évaluer la balance bénéfice/risque pour chaque patient car, en augmentant le volume irradié, le risque de toxicité radio-induite augmente. La sélection des patientes qui relèvent de ce traitement est primordiale. L’objectif de cet article est de présenter la définition des volumes des aires ganglionnaires, les indications de leur irradiation, les bénéfices attendus et les effets secondaires potentiels au décours de celle-ci. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66732 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Partial versus whole breast irradiation : side effects, patient satisfaction and costs / T. Bathily in Cancer Radiothérapie, 23/2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Partial versus whole breast irradiation : side effects, patient satisfaction and costs Titre original : Irradiation partielle ou totale du sein : effets secondaires, satisfaction des patientes et coût Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Bathily ; I. Borget ; E. Rivin del Campo ; S. Rivera ; C. Bourgier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 83-91 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.canrad.2018.06.020
Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SEIN CANCER IRRADIATION EFFET SECONDAIRE Résumé :
Objectif de l’étude
Étant donné que l’irradiation partielle accélérée du sein a démontré une non-infériorité à l’irradiation de la totalité du sein concernant le taux de récidive chez les patientes atteintes d’un petit cancer du sein, notre objectif était de comparer son impact sur les événements indésirables à court terme, la satisfaction des patientes et les coûts.
Matériel et méthodes
Les patientes atteintes d’un petit cancer du sein traité par chirurgie conservatrice entre 2007 et 2012 ont été incluses dans cette étude : 48 femmes qui ont reçu une irradiation partielle accélérée du sein conformationnelle en trois dimensions (dans un essai multicentrique de phase II) ont été appariées à 48 femmes traitées prospectivement par irradiation de la totalité du sein. Les effets secondaires et l’opinion des patientes concernant les résultats esthétiques, la satisfaction et la douleur ont été recueillis un mois après l’irradiation. Les coûts directs et indirects ont été calculés sur la base tarifaire de l’Assurance maladie française jusqu’à la fin de l’irradiation.
Résultats
En comparant les résultats, des réactions cutanées ont été observées chez 37 % des patientes traitées par irradiation partielle accélérée du sein conformationnelle en trois dimensions et 60 % de celles traitées par irradiation de la totalité du sein (p = 0,07) ; 98 et 46 % étaient respectivement très satisfaites (p < 0,001); les coûts moyens étaient respectivement de 2510 € et 5479 € par patiente, en raison de moins de séances d’irradiation.
Conclusion
Chez les patientes atteintes d’un petit cancer du sein, l’irradiation partielle accélérée du sein conformationnelle en trois dimensions offre une bonne alternative, car elle était moins coûteuse et satisfaisante. Ces résultats, et la tolérance, doivent être confirmés par des résultats à long terme dans les essais de phase III en cours.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63868
in Cancer Radiothérapie > 23/2 (Avril 2019) . - p. 83-91[article] Partial versus whole breast irradiation : side effects, patient satisfaction and costs = Irradiation partielle ou totale du sein : effets secondaires, satisfaction des patientes et coût [texte imprimé] / T. Bathily ; I. Borget ; E. Rivin del Campo ; S. Rivera ; C. Bourgier . - 2019 . - p. 83-91.
https://doi.org/10.1016/j.canrad.2018.06.020
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/2 (Avril 2019) . - p. 83-91
Mots-clés : SEIN CANCER IRRADIATION EFFET SECONDAIRE Résumé :
Objectif de l’étude
Étant donné que l’irradiation partielle accélérée du sein a démontré une non-infériorité à l’irradiation de la totalité du sein concernant le taux de récidive chez les patientes atteintes d’un petit cancer du sein, notre objectif était de comparer son impact sur les événements indésirables à court terme, la satisfaction des patientes et les coûts.
Matériel et méthodes
Les patientes atteintes d’un petit cancer du sein traité par chirurgie conservatrice entre 2007 et 2012 ont été incluses dans cette étude : 48 femmes qui ont reçu une irradiation partielle accélérée du sein conformationnelle en trois dimensions (dans un essai multicentrique de phase II) ont été appariées à 48 femmes traitées prospectivement par irradiation de la totalité du sein. Les effets secondaires et l’opinion des patientes concernant les résultats esthétiques, la satisfaction et la douleur ont été recueillis un mois après l’irradiation. Les coûts directs et indirects ont été calculés sur la base tarifaire de l’Assurance maladie française jusqu’à la fin de l’irradiation.
Résultats
En comparant les résultats, des réactions cutanées ont été observées chez 37 % des patientes traitées par irradiation partielle accélérée du sein conformationnelle en trois dimensions et 60 % de celles traitées par irradiation de la totalité du sein (p = 0,07) ; 98 et 46 % étaient respectivement très satisfaites (p < 0,001); les coûts moyens étaient respectivement de 2510 € et 5479 € par patiente, en raison de moins de séances d’irradiation.
Conclusion
Chez les patientes atteintes d’un petit cancer du sein, l’irradiation partielle accélérée du sein conformationnelle en trois dimensions offre une bonne alternative, car elle était moins coûteuse et satisfaisante. Ces résultats, et la tolérance, doivent être confirmés par des résultats à long terme dans les essais de phase III en cours.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63868 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt