Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur J. Thariat |
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État des lieux de la protonthérapie en France en 2019 / R. Dendale in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : État des lieux de la protonthérapie en France en 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Dendale ; J. Thariat ; J. Doyen ; J. Balosso ; D. Stefan ; S. Bolle ; L. Feuvret ; M.-A. Mahé Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 617-624 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.129 Langues : Français (fre) Résumé : Il existe plus de 100 centres de proton thérapie dans le monde, et trois en France. La protonthérapie française est en phase de structuration et de montée en charge, avec l’ouverture récente des centres de Nice (2016) et Caen (2018) en plus du centre d’Orsay (2010) pour les indications corps entier. La prise en charge des enfants et adolescents-jeunes adultes est une priorité nationale partagée par les trois centres. L’action des trois centres français est coordonnée en termes d’adressage via le portail Protonshare sous l’égide de la Société Française de radiothérapie oncologique (SFRO). Les trois centres ont aussi une dynamique coordonnée d’offre de soin à des patients étrangers dans le cadre du réseau French Health Care du ministère des Affaires étrangères. Ils sont inscrits dans une démarche nationale et internationale (en particulier, en Europe, via l’European Proton Therapy Network) de participation à des essais thérapeutiques et des bases de données. Des actions concertées sont désormais favorisées en recherche préclinique via le réseau Radiotransnet. Dans ses développements, la protonthérapie française est bien représentée dans les congrès internationaux d’hadronthérapie. L’enseignement de la protonthérapie en France est proposé à plusieurs niveaux et ouvert aux centres photons, potentiellement adresseurs. La participation de l’ensemble des acteurs de la radiothérapie française est ainsi encouragée pour favoriser la participation de tous à la construction du niveau de preuve médicoscientifique requis pour une éventuelle extension future du parc de protonthérapie français. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66132
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 617-624[article] État des lieux de la protonthérapie en France en 2019 [texte imprimé] / R. Dendale ; J. Thariat ; J. Doyen ; J. Balosso ; D. Stefan ; S. Bolle ; L. Feuvret ; M.-A. Mahé . - 2019 . - p. 617-624.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.129
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 617-624
Résumé : Il existe plus de 100 centres de proton thérapie dans le monde, et trois en France. La protonthérapie française est en phase de structuration et de montée en charge, avec l’ouverture récente des centres de Nice (2016) et Caen (2018) en plus du centre d’Orsay (2010) pour les indications corps entier. La prise en charge des enfants et adolescents-jeunes adultes est une priorité nationale partagée par les trois centres. L’action des trois centres français est coordonnée en termes d’adressage via le portail Protonshare sous l’égide de la Société Française de radiothérapie oncologique (SFRO). Les trois centres ont aussi une dynamique coordonnée d’offre de soin à des patients étrangers dans le cadre du réseau French Health Care du ministère des Affaires étrangères. Ils sont inscrits dans une démarche nationale et internationale (en particulier, en Europe, via l’European Proton Therapy Network) de participation à des essais thérapeutiques et des bases de données. Des actions concertées sont désormais favorisées en recherche préclinique via le réseau Radiotransnet. Dans ses développements, la protonthérapie française est bien représentée dans les congrès internationaux d’hadronthérapie. L’enseignement de la protonthérapie en France est proposé à plusieurs niveaux et ouvert aux centres photons, potentiellement adresseurs. La participation de l’ensemble des acteurs de la radiothérapie française est ainsi encouragée pour favoriser la participation de tous à la construction du niveau de preuve médicoscientifique requis pour une éventuelle extension future du parc de protonthérapie français. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66132 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Place du curage ganglionnaire après chimioradiothérapie dans les carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures avec atteinte ganglionnaire initiale (nasopharynx exclu) / J. Thariat in Cancer Radiothérapie, 13/8 (Décembre 2009)
[article]
Titre : Place du curage ganglionnaire après chimioradiothérapie dans les carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures avec atteinte ganglionnaire initiale (nasopharynx exclu) Titre original : Neck dissection following chemoradiation for node positive head and neck carcinomas Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Thariat ; M. Hamoir ; F. Janot ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 758-770 Langues : Français (fre) Mots-clés : CURAGE GANGLIONNAIRE CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : La place du curage ganglionnaire en cas de chimioradiothérapie pour les carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures est controversée. En dehors des discussions de curage avant la chimioradiothérapie pour des adénopathies kystiques et/ou de stade N2a, il est validé de ne faire un curage pour adénopathie de stade N1 qu’en cas de réponse incomplète. La question est débattue pour les adénopathies de stade N2 et plus encore pour les quelques de stade N3 en réponse complète, car la corrélation entre réponse clinicoradiologique et histologie est imparfaite. Les taux de réponse sont supérieurs ou égaux à 60 % et il y a moins de ou égal à 10 % d’échecs ganglionnaires isolés après chimioradiothérapie avec les protocoles optimisés actuels. Baser la décision de curage sur la réponse permettrait d’éviter plus de ou égal à 50 % de curages inutiles pour les adénopathies de stades N2-N3, mais il reste à identifier le sous-groupe de patients en situation de mauvaise réponse pour lesquels différer le curage serait délétère. La tomographie à émission de positons au 18-fluoro-déoxy-glucose (TEP) à quatre mois avec une SUV seuil de 3 a une valeur prédictive négative supérieure à 95 %, permettant d’éviter un curage inutile devant un ganglion douteux sur scanner injecté. Cependant, le niveau de preuve pour valider la place de la TEP reste à confirmer. Un curage sélectif basé sur les constats radiologiques et peropératoires et non sur le stade initial permet de limiter la morbidité et préserver la qualité de vie sans augmenter le risque d’échec. Les traitements adjuvants régionaux comme la curiethérapie péri-opératoire ou une nouvelle radiothérapie externe en cas de tumeur viable sur pièce de curage doivent être discutés au cas par cas. Les traitements systémiques visant à diminuer le risque métastatique en cas d’adénopathie de stade N3 restent à évaluer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40970
in Cancer Radiothérapie > 13/8 (Décembre 2009) . - p. 758-770[article] Place du curage ganglionnaire après chimioradiothérapie dans les carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures avec atteinte ganglionnaire initiale (nasopharynx exclu) = Neck dissection following chemoradiation for node positive head and neck carcinomas [texte imprimé] / J. Thariat ; M. Hamoir ; F. Janot ; et al. . - 2009 . - p. 758-770.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/8 (Décembre 2009) . - p. 758-770
Mots-clés : CURAGE GANGLIONNAIRE CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : La place du curage ganglionnaire en cas de chimioradiothérapie pour les carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures est controversée. En dehors des discussions de curage avant la chimioradiothérapie pour des adénopathies kystiques et/ou de stade N2a, il est validé de ne faire un curage pour adénopathie de stade N1 qu’en cas de réponse incomplète. La question est débattue pour les adénopathies de stade N2 et plus encore pour les quelques de stade N3 en réponse complète, car la corrélation entre réponse clinicoradiologique et histologie est imparfaite. Les taux de réponse sont supérieurs ou égaux à 60 % et il y a moins de ou égal à 10 % d’échecs ganglionnaires isolés après chimioradiothérapie avec les protocoles optimisés actuels. Baser la décision de curage sur la réponse permettrait d’éviter plus de ou égal à 50 % de curages inutiles pour les adénopathies de stades N2-N3, mais il reste à identifier le sous-groupe de patients en situation de mauvaise réponse pour lesquels différer le curage serait délétère. La tomographie à émission de positons au 18-fluoro-déoxy-glucose (TEP) à quatre mois avec une SUV seuil de 3 a une valeur prédictive négative supérieure à 95 %, permettant d’éviter un curage inutile devant un ganglion douteux sur scanner injecté. Cependant, le niveau de preuve pour valider la place de la TEP reste à confirmer. Un curage sélectif basé sur les constats radiologiques et peropératoires et non sur le stade initial permet de limiter la morbidité et préserver la qualité de vie sans augmenter le risque d’échec. Les traitements adjuvants régionaux comme la curiethérapie péri-opératoire ou une nouvelle radiothérapie externe en cas de tumeur viable sur pièce de curage doivent être discutés au cas par cas. Les traitements systémiques visant à diminuer le risque métastatique en cas d’adénopathie de stade N3 restent à évaluer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40970 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Protonthérapie des carcinomes épidermiques des voies aérodigestives supérieures : de la physique à la clinique / A. Beddok in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Protonthérapie des carcinomes épidermiques des voies aérodigestives supérieures : de la physique à la clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Beddok ; A. Vela ; V. Calugaru ; T. Tessonnier ; J. Kubes ; P. Dutheil ; A. Gérard ; J. Thariat Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 439-448 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.015 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROTONTHÉRAPIE TÊTE CANCER COU CANCER RADIOTHÉRAPIE IMAGERIE MÉDICALE Résumé : La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité est la technique recommandée pour le traitement des cancers des voies aérodigestives supérieures. La protonthérapie permettrait de diminuer le volume de tissu normal irradié et ainsi de réduire le risque de dysphagie et de dysgueusie. Une recherche bibliographique exhaustive a été réalisée à l’aide du moteur de recherche PubMed en se focalisant sur les articles traitant des difficultés physiques de la protonthérapie pour les cancers des voies aérodigestives supérieures. Le contrôle des incertitudes liées à la pénombre distale est important en ORL, notamment en présence de matériel implanté ayant une composition stœchiométrique incertaine (tels que les implants dentaires métalliques) et en présence de milieux hétérogènes (succession de tissu et d’air dans les cavités sinusiennes). La mise en état buccodentaire est donc particulière en protonthérapie. Certaines incertitudes peuvent être minimisées au moment de la planification du traitement (optimisation robuste pour les variations inter et intra fractions de la composition du milieu et pour la calibration entre unités de Hounsfield et pouvoir d’arrêt des protons). En revanche, comme en RCMI, les variations morphologiques du patient nécessitent, une adaptation du plan de traitement sur un nouveau scanographe. Les études dosimétriques et les quelques études cliniques comparant photon- et protonthérapie ont bien montré l’intérêt des protons dans cette localisation. La protonthérapie dans les cancers des voies aérodigestives supérieures est donc prometteuse mais nécessite la mise au point de procédures permettant un contrôle robuste des incertitudes, pour rendre le traitement optimal et utilisable en pratique clinique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65140
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 439-448[article] Protonthérapie des carcinomes épidermiques des voies aérodigestives supérieures : de la physique à la clinique [texte imprimé] / A. Beddok ; A. Vela ; V. Calugaru ; T. Tessonnier ; J. Kubes ; P. Dutheil ; A. Gérard ; J. Thariat . - 2019 . - p. 439-448.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.015
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 439-448
Mots-clés : PROTONTHÉRAPIE TÊTE CANCER COU CANCER RADIOTHÉRAPIE IMAGERIE MÉDICALE Résumé : La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité est la technique recommandée pour le traitement des cancers des voies aérodigestives supérieures. La protonthérapie permettrait de diminuer le volume de tissu normal irradié et ainsi de réduire le risque de dysphagie et de dysgueusie. Une recherche bibliographique exhaustive a été réalisée à l’aide du moteur de recherche PubMed en se focalisant sur les articles traitant des difficultés physiques de la protonthérapie pour les cancers des voies aérodigestives supérieures. Le contrôle des incertitudes liées à la pénombre distale est important en ORL, notamment en présence de matériel implanté ayant une composition stœchiométrique incertaine (tels que les implants dentaires métalliques) et en présence de milieux hétérogènes (succession de tissu et d’air dans les cavités sinusiennes). La mise en état buccodentaire est donc particulière en protonthérapie. Certaines incertitudes peuvent être minimisées au moment de la planification du traitement (optimisation robuste pour les variations inter et intra fractions de la composition du milieu et pour la calibration entre unités de Hounsfield et pouvoir d’arrêt des protons). En revanche, comme en RCMI, les variations morphologiques du patient nécessitent, une adaptation du plan de traitement sur un nouveau scanographe. Les études dosimétriques et les quelques études cliniques comparant photon- et protonthérapie ont bien montré l’intérêt des protons dans cette localisation. La protonthérapie dans les cancers des voies aérodigestives supérieures est donc prometteuse mais nécessite la mise au point de procédures permettant un contrôle robuste des incertitudes, pour rendre le traitement optimal et utilisable en pratique clinique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65140 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiosurgery and stereotactic irradiation of multiple and contiguous brain metastases: A practical proposal of dose prescription methods and a literature review / A. Di Rito in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Radiosurgery and stereotactic irradiation of multiple and contiguous brain metastases: A practical proposal of dose prescription methods and a literature review Titre original : Radiochirurgie et radiothérapie stéréotaxique des métastases multiples et contiguës : une proposition pratique de méthodes de prescription de la dose et une revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Di Rito ; A. Chaikh ; I. Troussier ; I. Darmon ; J. Thariat Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 92-102 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.031 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Prescription de dose Multiple brain metastases Adjacent Radiochirurgie Radiothérapie stereotaxique Résumé : Objectif de l’étude
En l’absence de consensus spécifique dans la littérature sur la prescription de la dose en radiochirurgie ou radiothérapie stéréotaxique en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes, l’objectif de ce travail eétait d’évaluer l’impact des plusieurs méthodes de prescription identifiées sur les paramètres dosimétriques de couverture des volumes cibles et l’irradiation du cerveau sain.
Matériel et méthodes
Une proposition théorique d’approches dosimétriques de prescription de la dose dans le cas de métastases cérébrales multiples adjacentes (moins de 2cm les unes des autres) a été réalisée. Une revue de la littérature de 2010 à 2020 a été effectuée sur MEDLINE et Cochrane selon la méthodologie PRISMA, avec les mots clés suivants: dose prescription/radiosurgery/multiple brain metastases. Les articles qui ne rapportaient pas de solution dosimétrique pour l’irradiation de métastases cérébrales multiples ont été exclus.
Résultats
Quatorze articles ont décrit les solutions dosimétriques adoptées pour irradier des métastases cérébrales multiples et l’impact sur les indice dosimétriques et les doses dans l’encéphale sain, mais les études comparatives manquent (une seule étude). Nous avons identifié six solutions pratiques possibles pour prescrire la dose dans le cas de deux ou plus métastases cérébrales proches, et en avons décrit les avantages et inconvénients en termes de paramètres et indices dosimétriques.
Conclusions
La prescription de dose en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes peut varier. L’impact clinique pourrait être significatif. Les méthodes identifiées pourraient être testées dans des études cliniques pour mieux évaluer leur utilité dans la pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69294
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 92-102[article] Radiosurgery and stereotactic irradiation of multiple and contiguous brain metastases: A practical proposal of dose prescription methods and a literature review = Radiochirurgie et radiothérapie stéréotaxique des métastases multiples et contiguës : une proposition pratique de méthodes de prescription de la dose et une revue de la littérature [texte imprimé] / A. Di Rito ; A. Chaikh ; I. Troussier ; I. Darmon ; J. Thariat . - 2021 . - p. 92-102.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.031
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 92-102
Mots-clés : Prescription de dose Multiple brain metastases Adjacent Radiochirurgie Radiothérapie stereotaxique Résumé : Objectif de l’étude
En l’absence de consensus spécifique dans la littérature sur la prescription de la dose en radiochirurgie ou radiothérapie stéréotaxique en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes, l’objectif de ce travail eétait d’évaluer l’impact des plusieurs méthodes de prescription identifiées sur les paramètres dosimétriques de couverture des volumes cibles et l’irradiation du cerveau sain.
Matériel et méthodes
Une proposition théorique d’approches dosimétriques de prescription de la dose dans le cas de métastases cérébrales multiples adjacentes (moins de 2cm les unes des autres) a été réalisée. Une revue de la littérature de 2010 à 2020 a été effectuée sur MEDLINE et Cochrane selon la méthodologie PRISMA, avec les mots clés suivants: dose prescription/radiosurgery/multiple brain metastases. Les articles qui ne rapportaient pas de solution dosimétrique pour l’irradiation de métastases cérébrales multiples ont été exclus.
Résultats
Quatorze articles ont décrit les solutions dosimétriques adoptées pour irradier des métastases cérébrales multiples et l’impact sur les indice dosimétriques et les doses dans l’encéphale sain, mais les études comparatives manquent (une seule étude). Nous avons identifié six solutions pratiques possibles pour prescrire la dose dans le cas de deux ou plus métastases cérébrales proches, et en avons décrit les avantages et inconvénients en termes de paramètres et indices dosimétriques.
Conclusions
La prescription de dose en situation de métastases cérébrales multiples adjacentes peut varier. L’impact clinique pourrait être significatif. Les méthodes identifiées pourraient être testées dans des études cliniques pour mieux évaluer leur utilité dans la pratique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69294 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Réirradiations des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures : indications et résultats / J. Biau in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Réirradiations des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures : indications et résultats Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Biau ; J. Moreau ; P. Blanchard ; J. Thariat ; J. Miroir ; M. Lapeyre Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 559-564 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.147 Langues : Français (fre) Résumé : Malgré les progrès dans la prise en charge des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures (VADS), de nombreux patients vont développer une récidive en territoire irradié ou un second primitif. Devant la très grande hétérogénéité de ces patients, des facteurs liés à la maladie (localisation, volume, récidive ou second primitif, intervalle depuis la première irradiation, etc.), des facteurs liés au patient (comorbidités, séquelles de la première irradiation…), les indications sont posées au cas par cas. Les données historiques de réirradiation, bien que rapportant des données d’efficacité parfois encourageantes, font état de taux de toxicité de grades 4 et 5 importants. Avec la généralisation récente des techniques de radiothérapie plus précises et mieux conformées comme la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité (RCMI) ou la radiothérapie stéréotaxique (SBRT), le rapport bénéfice/risque de la réirradiation a évolué ces dernières années. L’objectif de cette revue est de faire le point sur les réirradiations des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures en termes de sélection de patients, et de techniques modernes de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66125
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 559-564[article] Réirradiations des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures : indications et résultats [texte imprimé] / J. Biau ; J. Moreau ; P. Blanchard ; J. Thariat ; J. Miroir ; M. Lapeyre . - 2019 . - p. 559-564.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.147
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 559-564
Résumé : Malgré les progrès dans la prise en charge des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures (VADS), de nombreux patients vont développer une récidive en territoire irradié ou un second primitif. Devant la très grande hétérogénéité de ces patients, des facteurs liés à la maladie (localisation, volume, récidive ou second primitif, intervalle depuis la première irradiation, etc.), des facteurs liés au patient (comorbidités, séquelles de la première irradiation…), les indications sont posées au cas par cas. Les données historiques de réirradiation, bien que rapportant des données d’efficacité parfois encourageantes, font état de taux de toxicité de grades 4 et 5 importants. Avec la généralisation récente des techniques de radiothérapie plus précises et mieux conformées comme la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité (RCMI) ou la radiothérapie stéréotaxique (SBRT), le rapport bénéfice/risque de la réirradiation a évolué ces dernières années. L’objectif de cette revue est de faire le point sur les réirradiations des carcinomes épidermoïdes des voies aérodigestives supérieures en termes de sélection de patients, et de techniques modernes de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66125 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Surveillance après un cancer d'un cancer cervicofacial / P. Graff in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
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