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Hernies géantes avec perte de droit de cité : comment préparer au mieux les patients ? / A. Balaphas in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Hernies géantes avec perte de droit de cité : comment préparer au mieux les patients ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Balaphas ; Philippe Morel ; Romain Breguet ; Michela Assalino Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1170-1173 Langues : Français (fre) Mots-clés : HERNIE ABDOMINALE CHIRURGIE Résumé : Les hernies géantes avec perte de droit de cité induisent des modifications physiologiques qui diminuent la qualité de vie des patients et complexifient leur prise en charge chirurgicale. Une préparation préopératoire du patient adéquate est garante d’une bonne évolution postopératoire. Le pneumopéritoine préopératoire progressif (PPP) est une des techniques d’augmentation abdominale décrites qui permet au patient de s’habituer à la réintégration du contenu herniaire et d’éviter d’avoir recours à une technique de séparation des compartiments lors de la cure de hernie. Cet article décrit la prise en charge de ces patients difficiles. Nous rapportons également le cas d’un patient qui a pu bénéficier avec succès d’un protocole PPP.
Généralités et définitionsChaque praticien a sans doute déjà été confronté à un patient présentant une hernie géante avec perte de droit de cité. Rarement, ces hernies sont issues de l’évolution naturelle d’une hernie inguinale, ombilicale ou d’une autre localisation. Le plus souvent, il s’agit d’éventrations, aussi appelées hernies incisionnelles. L’éventration est une complication à long terme de toute laparotomie, dont la fréquence est souvent ignorée au vu de sa nature tardive. Ainsi, après laparotomie médiane, le taux d’éventrations serait de 22,4 % à trois ans.1 Par ailleurs, après une cure d’éventration par filet, le taux de récidive se situerait à 24% à trois ans et monterait à 80 % en cas d’infection postopératoire.2Une hernie géante est définie par une largeur de collet supérieure à 10 cm.3 Cette caractéristique ne suffit pas pour définir une perte de droit de cité, qui est cependant volontiers associée aux hernies de grande taille. Une perte de droit de cité correspond...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42160
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1170-1173[article] Hernies géantes avec perte de droit de cité : comment préparer au mieux les patients ? [texte imprimé] / A. Balaphas ; Philippe Morel ; Romain Breguet ; Michela Assalino . - 2016 . - p. 1170-1173.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1170-1173
Mots-clés : HERNIE ABDOMINALE CHIRURGIE Résumé : Les hernies géantes avec perte de droit de cité induisent des modifications physiologiques qui diminuent la qualité de vie des patients et complexifient leur prise en charge chirurgicale. Une préparation préopératoire du patient adéquate est garante d’une bonne évolution postopératoire. Le pneumopéritoine préopératoire progressif (PPP) est une des techniques d’augmentation abdominale décrites qui permet au patient de s’habituer à la réintégration du contenu herniaire et d’éviter d’avoir recours à une technique de séparation des compartiments lors de la cure de hernie. Cet article décrit la prise en charge de ces patients difficiles. Nous rapportons également le cas d’un patient qui a pu bénéficier avec succès d’un protocole PPP.
Généralités et définitionsChaque praticien a sans doute déjà été confronté à un patient présentant une hernie géante avec perte de droit de cité. Rarement, ces hernies sont issues de l’évolution naturelle d’une hernie inguinale, ombilicale ou d’une autre localisation. Le plus souvent, il s’agit d’éventrations, aussi appelées hernies incisionnelles. L’éventration est une complication à long terme de toute laparotomie, dont la fréquence est souvent ignorée au vu de sa nature tardive. Ainsi, après laparotomie médiane, le taux d’éventrations serait de 22,4 % à trois ans.1 Par ailleurs, après une cure d’éventration par filet, le taux de récidive se situerait à 24% à trois ans et monterait à 80 % en cas d’infection postopératoire.2Une hernie géante est définie par une largeur de collet supérieure à 10 cm.3 Cette caractéristique ne suffit pas pour définir une perte de droit de cité, qui est cependant volontiers associée aux hernies de grande taille. Une perte de droit de cité correspond...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42160 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours / Toni Raffoul in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours Type de document : texte imprimé Auteurs : Toni Raffoul ; A. Balaphas ; Raphaël P.H. Meier ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1174-1179 Langues : Français (fre) Mots-clés : PANCREAS KYSTE Résumé : Le taux de détections des lésions kystiques du pancréas a augmenté depuis l’utilisation courante de l’imagerie à haute résolution. Le CT-scan, l’IRM et l’écho-endoscopie sont des modalités diagnostiques. Le pseudokyste est la lésion la plus fréquente. Il est bénin et peut être pris en charge par un traitement endoscopique. Les tumeurs kystiques mucineuses et les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP) sont à risque de transformation maligne. Le traitement chirurgical de ces lésions doit être discuté au sein d’une équipe multidisciplinaire. Les tumeurs kystiques séreuses et les tumeurs pseudopapillaires et solides représentent deux types rares de lésion. Le but de cet article est de présenter la démarche diagnostique et la prise en charge de ces lésions du point de vue du médecin de premier recours.
IntroductionL’incidence des lésions kystiques du pancréas, longtemps sous-estimée, a augmenté depuis l’évolution et l’utilisation courante de l’imagerie. Il est de plus en plus fréquent, en médecine de premier recours, de découvrir de tels « incidentalomes ». Le risque de trouver une lésion kystique du pancréas se situe entre 13,5 et 19,9 % sur une IRM abdominale et entre 1,2 et 2,6 % sur un examen tomodensitométrique.1 Du plus au moins fréquent, on rencontre : les pseudokystes, les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP), les tumeurs kystiques mucineuses (cystadénomes mucineux) du pancréas, les tumeurs kystiques séreuses (cystadénomes séreux) du pancréas et les tumeurs pseudopapillaires et solides du pancréas.2Etant donné le risque de dégénérescence de certaines lésions, une meilleure caractérisation radiologique et/ou endoscopique, avec ou sans ponction, permet d’éviter une chirurgie à but diagnostique et/ou de surveiller une lésion ayant dégénéré.L...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42161
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1174-1179[article] Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours [texte imprimé] / Toni Raffoul ; A. Balaphas ; Raphaël P.H. Meier ; et al. . - 2016 . - p.1174-1179.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1174-1179
Mots-clés : PANCREAS KYSTE Résumé : Le taux de détections des lésions kystiques du pancréas a augmenté depuis l’utilisation courante de l’imagerie à haute résolution. Le CT-scan, l’IRM et l’écho-endoscopie sont des modalités diagnostiques. Le pseudokyste est la lésion la plus fréquente. Il est bénin et peut être pris en charge par un traitement endoscopique. Les tumeurs kystiques mucineuses et les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP) sont à risque de transformation maligne. Le traitement chirurgical de ces lésions doit être discuté au sein d’une équipe multidisciplinaire. Les tumeurs kystiques séreuses et les tumeurs pseudopapillaires et solides représentent deux types rares de lésion. Le but de cet article est de présenter la démarche diagnostique et la prise en charge de ces lésions du point de vue du médecin de premier recours.
IntroductionL’incidence des lésions kystiques du pancréas, longtemps sous-estimée, a augmenté depuis l’évolution et l’utilisation courante de l’imagerie. Il est de plus en plus fréquent, en médecine de premier recours, de découvrir de tels « incidentalomes ». Le risque de trouver une lésion kystique du pancréas se situe entre 13,5 et 19,9 % sur une IRM abdominale et entre 1,2 et 2,6 % sur un examen tomodensitométrique.1 Du plus au moins fréquent, on rencontre : les pseudokystes, les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP), les tumeurs kystiques mucineuses (cystadénomes mucineux) du pancréas, les tumeurs kystiques séreuses (cystadénomes séreux) du pancréas et les tumeurs pseudopapillaires et solides du pancréas.2Etant donné le risque de dégénérescence de certaines lésions, une meilleure caractérisation radiologique et/ou endoscopique, avec ou sans ponction, permet d’éviter une chirurgie à but diagnostique et/ou de surveiller une lésion ayant dégénéré.L...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42161 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge de la carcinose péritonéale par chirurgie cytoréductive et chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale / A. Balaphas in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Prise en charge de la carcinose péritonéale par chirurgie cytoréductive et chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Balaphas ; Valentina Belfontali ; Frédéric Ris ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1190-1194 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER PERITOINE CHIRURGIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : En 2016, la carcinose péritonéale peut être considérée comme une maladie chronique qui peut être traitée et parfois guérie. La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une procédure développée dans les années 80. Combinée à une chirurgie cytoréductive (CCR), ce protocole a connu par la suite un essor important au Washington Cancer Institute. La CCR, combinée à une CHIP, a été démontrée comme seul traitement curatif du syndrome de pseudomyxome péritonéal (PMP). Elle est actuellement validée dans la prise en charge de la carcinose péritonéale d’origines ovarienne, colorectale, ou péritonéale primitive (mésothéliome) mais reste à l’étude pour le cancer gastrique. La CCR/CHIP est associée à une mortalité et une morbidité conséquentes. Cet article fait le point sur les indications à la CCR/CHIP.
IntroductionGénéralitésLa carcinose péritonéale (CP) est définie par une diffusion métastatique de la maladie primaire au péritoine. Sans intervention, le pronostic d’une CP, toutes étiologies confondues, est sombre avec une survie de seulement quelques mois.1 La CP a été longtemps synonyme de sentence de mort et abordée par une prise en charge palliative. A l’heure actuelle, l’objectif est de prolonger la survie, voire de guérir le patient lorsque la maladie n’est pas trop avancée. Malheureusement, cette attitude n’est pas encore rentrée dans les mœurs. Souvent, des patients avec des maladies limitées et initialement résécables sont finalement référés au chirurgien en raison d’une progression après de multiples lignes de chimiothérapie.2 Seul un petit pourcentage de cas avec une CP sont finalement présentés à un chirurgien et peuvent bénéficier d’une prise en charge adaptée.La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une technique développée initialement comme tr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42164
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1190-1194[article] Prise en charge de la carcinose péritonéale par chirurgie cytoréductive et chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale [texte imprimé] / A. Balaphas ; Valentina Belfontali ; Frédéric Ris ; et al. . - 2016 . - p. 1190-1194.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1190-1194
Mots-clés : CANCER PERITOINE CHIRURGIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : En 2016, la carcinose péritonéale peut être considérée comme une maladie chronique qui peut être traitée et parfois guérie. La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une procédure développée dans les années 80. Combinée à une chirurgie cytoréductive (CCR), ce protocole a connu par la suite un essor important au Washington Cancer Institute. La CCR, combinée à une CHIP, a été démontrée comme seul traitement curatif du syndrome de pseudomyxome péritonéal (PMP). Elle est actuellement validée dans la prise en charge de la carcinose péritonéale d’origines ovarienne, colorectale, ou péritonéale primitive (mésothéliome) mais reste à l’étude pour le cancer gastrique. La CCR/CHIP est associée à une mortalité et une morbidité conséquentes. Cet article fait le point sur les indications à la CCR/CHIP.
IntroductionGénéralitésLa carcinose péritonéale (CP) est définie par une diffusion métastatique de la maladie primaire au péritoine. Sans intervention, le pronostic d’une CP, toutes étiologies confondues, est sombre avec une survie de seulement quelques mois.1 La CP a été longtemps synonyme de sentence de mort et abordée par une prise en charge palliative. A l’heure actuelle, l’objectif est de prolonger la survie, voire de guérir le patient lorsque la maladie n’est pas trop avancée. Malheureusement, cette attitude n’est pas encore rentrée dans les mœurs. Souvent, des patients avec des maladies limitées et initialement résécables sont finalement référés au chirurgien en raison d’une progression après de multiples lignes de chimiothérapie.2 Seul un petit pourcentage de cas avec une CP sont finalement présentés à un chirurgien et peuvent bénéficier d’une prise en charge adaptée.La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une technique développée initialement comme tr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42164 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge du patient splénectomisé en 2015: recommandations et mise au point / A. Balaphas in Revue médicale suisse, 479 (Juin 2015)
[article]
Titre : Prise en charge du patient splénectomisé en 2015: recommandations et mise au point Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Balaphas ; J. Meyer ; Stephan Harbarth Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.1345-1350 Langues : Français (fre) Mots-clés : RATE SPLENECTOMIE IMMUNITE VACCINATION Résumé : La rate cumule de nombreuses fonctions et joue un rôle critique dans l’immunité face aux bactéries encapsulées. Différentes atteintes à son intégrité, anatomiques ou physiologiques, peuvent conduire à un déficit fonctionnel qu’il soit complet (asplénisme) ou partiel (hyposplénisme), et exposent le patient à un risque de sepsis fulminant ainsi qu’à des complications thromboemboliques. L’objectif de cet article est de fournir au médecin de premier recours les outils nécessaires à l’identification des troubles fonctionnels de la rate et à la prévention de leurs complications. Les dernières recommandations en matière d’antibiothérapie et de prophylaxie vaccinale sont en outre abordées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40902
in Revue médicale suisse > 479 (Juin 2015) . - p.1345-1350[article] Prise en charge du patient splénectomisé en 2015: recommandations et mise au point [texte imprimé] / A. Balaphas ; J. Meyer ; Stephan Harbarth . - 2015 . - p.1345-1350.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 479 (Juin 2015) . - p.1345-1350
Mots-clés : RATE SPLENECTOMIE IMMUNITE VACCINATION Résumé : La rate cumule de nombreuses fonctions et joue un rôle critique dans l’immunité face aux bactéries encapsulées. Différentes atteintes à son intégrité, anatomiques ou physiologiques, peuvent conduire à un déficit fonctionnel qu’il soit complet (asplénisme) ou partiel (hyposplénisme), et exposent le patient à un risque de sepsis fulminant ainsi qu’à des complications thromboemboliques. L’objectif de cet article est de fournir au médecin de premier recours les outils nécessaires à l’identification des troubles fonctionnels de la rate et à la prévention de leurs complications. Les dernières recommandations en matière d’antibiothérapie et de prophylaxie vaccinale sont en outre abordées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40902 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt