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Auteur Francesco Negro |
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Titre : Carcinome hépatocellulaire : nouvelles recommandations de prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Goossens ; Thibaud Koessler ; Laurent Spahr ; Francesco Negro Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 1508-1511 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEPATOCARCINOME Résumé : Nous résumons ici des nouvelles recommandations européennes de prise en charge du carcinome hépatocellulaire (CHC), la forme principale de cancer du foie, survenant généralement sur un terrain de maladie hépatique sous-jacente et dont l’incidence globale augmente. Le dépistage du CHC, par une échographie biannuelle, est indiqué chez la plupart des patients cirrhotiques et certains sujets non cirrhotiques. La mise en évidence d’une nouvelle lésion hépatique doit faire suspecter le développement d’un CHC, en particulier sur un terrain de cirrhose. La prise en charge diagnostique et thérapeutique du CHC est complexe et nécessite une approche multidisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59748
in Revue médicale suisse > 616 (Août 2018) . - p. 1508-1511[article] Carcinome hépatocellulaire : nouvelles recommandations de prise en charge [texte imprimé] / Nicolas Goossens ; Thibaud Koessler ; Laurent Spahr ; Francesco Negro . - 2018 . - p. 1508-1511.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 616 (Août 2018) . - p. 1508-1511
Mots-clés : HEPATOCARCINOME Résumé : Nous résumons ici des nouvelles recommandations européennes de prise en charge du carcinome hépatocellulaire (CHC), la forme principale de cancer du foie, survenant généralement sur un terrain de maladie hépatique sous-jacente et dont l’incidence globale augmente. Le dépistage du CHC, par une échographie biannuelle, est indiqué chez la plupart des patients cirrhotiques et certains sujets non cirrhotiques. La mise en évidence d’une nouvelle lésion hépatique doit faire suspecter le développement d’un CHC, en particulier sur un terrain de cirrhose. La prise en charge diagnostique et thérapeutique du CHC est complexe et nécessite une approche multidisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59748 Exemplaires (1)
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Titre : COVID-19 et hépatologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Francesco Negro ; Darius Moradpour Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 1535-1536 Note générale : La maladie à coronavirus 2019, connue sous l’acronyme COVID-19 (de l’anglais Coronavirus disease 2019), est une zoonose de récente transmission à l’homme, causée par un coronavirus, le SARS-CoV-2. Une infection par cet agent pathogène a été rapportée pour la première fois chez un patient de Wuhan, en Chine, le 17 novembre 2019. Transmise essentiellement par contact direct via les gouttelettes respiratoires éjectées lors de la parole, la toux et les éternuements et, moins fréquemment, par le biais d’objets contaminés par ces gouttelettes, le COVID-19 provoque les symptômes typiques des maladies respiratoires aiguës, tels que toux, fièvre, dyspnée et fatigue, souvent accompagnés par une perte de l’odorat ou du goût. Si la résolution de la pneumopathie aiguë est la règle, environ 15 % des patients nécessitent une hospitalisation et 5 % seront admis aux soins intensifs. Le taux de létalité a été estimé – dans la plupart des séries – entre 0,7 et 3 %, avec des valeurs encore plus élevées chez les personnes âgées ou atteintes de plusieurs pathologies. Ces chiffres sont provisoires, car influencés par de multiples biais, et seront certainement revus surtout lorsque des données plus détaillées sur la fraction attribuable aux différentes causes de décès seront disponibles. En tout cas, les chiffres disponibles soulignent bien la gravité de cette maladie, surtout si rapportée aux épidémies de grippe saisonnière. La cause la plus fréquente de mortalité liée au COVID-19 est une détresse respiratoire aiguë, qui peut toucher entre 30 et 50 % des patients admis aux unités de soins intensifs. Chez les survivants, les séquelles somatiques à long terme, même si peu détaillées pour l’instant, semblent redoutables, avec une compromission des fonctions pulmonaires, qui peut demander une période de réhabilitation prolongée. Langues : Français (fre) Mots-clés : COVID-19 SÉQUELLE HÉPATOLOGIE PNEUMOPATHIE POUMON DÉTRESSE RESPIRATOIRE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68258
in Revue médicale suisse > 704 (2 septembre 2020) . - p. 1535-1536[article] COVID-19 et hépatologie [texte imprimé] / Francesco Negro ; Darius Moradpour . - 2020 . - p. 1535-1536.
La maladie à coronavirus 2019, connue sous l’acronyme COVID-19 (de l’anglais Coronavirus disease 2019), est une zoonose de récente transmission à l’homme, causée par un coronavirus, le SARS-CoV-2. Une infection par cet agent pathogène a été rapportée pour la première fois chez un patient de Wuhan, en Chine, le 17 novembre 2019. Transmise essentiellement par contact direct via les gouttelettes respiratoires éjectées lors de la parole, la toux et les éternuements et, moins fréquemment, par le biais d’objets contaminés par ces gouttelettes, le COVID-19 provoque les symptômes typiques des maladies respiratoires aiguës, tels que toux, fièvre, dyspnée et fatigue, souvent accompagnés par une perte de l’odorat ou du goût. Si la résolution de la pneumopathie aiguë est la règle, environ 15 % des patients nécessitent une hospitalisation et 5 % seront admis aux soins intensifs. Le taux de létalité a été estimé – dans la plupart des séries – entre 0,7 et 3 %, avec des valeurs encore plus élevées chez les personnes âgées ou atteintes de plusieurs pathologies. Ces chiffres sont provisoires, car influencés par de multiples biais, et seront certainement revus surtout lorsque des données plus détaillées sur la fraction attribuable aux différentes causes de décès seront disponibles. En tout cas, les chiffres disponibles soulignent bien la gravité de cette maladie, surtout si rapportée aux épidémies de grippe saisonnière. La cause la plus fréquente de mortalité liée au COVID-19 est une détresse respiratoire aiguë, qui peut toucher entre 30 et 50 % des patients admis aux unités de soins intensifs. Chez les survivants, les séquelles somatiques à long terme, même si peu détaillées pour l’instant, semblent redoutables, avec une compromission des fonctions pulmonaires, qui peut demander une période de réhabilitation prolongée.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 704 (2 septembre 2020) . - p. 1535-1536
Mots-clés : COVID-19 SÉQUELLE HÉPATOLOGIE PNEUMOPATHIE POUMON DÉTRESSE RESPIRATOIRE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68258 Exemplaires (1)
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Titre : Défis de la co-infection par le virus de l’hépatite C et le VIH Type de document : texte imprimé Auteurs : Juan Ambrosioni ; Francesco Negro ; Alexandra Calmy Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 905-910 Langues : Français (fre) Résumé : Le nombre de personnes infectées à travers le monde par le VHC s’élève à 170 millions, alors que 33 millions sont infectées par le VIH selon les estimations de l’ONUSIDA (figure 1).1 La séroprévalence de l’infection par le VHC, chez les individus séropositifs pour le VIH, varie grandement en fonction des régions considérées, mais également en fonction des modes de transmission impliqués ; on estime en Europe que le taux de co-infection par le VHC est d’environ 25%, mais ce taux avoisine 70% en Ukraine, ou encore dans les prisons américaines. Par ailleurs, près de 90% des personnes infectées par le VIH, dans le cadre du traitement de l’hémophilie, sont co-infectées par le VHC, et ce taux est de 5-10% dans une population homosexuelle européenne. Alors que le VHC se transmet relativement mal dans le cadre d’une relation sexuelle, on a observé récemment une augmentation de la transmission du VHC chez les homosexuels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49004
in Revue médicale suisse > 338 (Avril 2012) . - p. 905-910[article] Défis de la co-infection par le virus de l’hépatite C et le VIH [texte imprimé] / Juan Ambrosioni ; Francesco Negro ; Alexandra Calmy . - 2012 . - p. 905-910.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 338 (Avril 2012) . - p. 905-910
Résumé : Le nombre de personnes infectées à travers le monde par le VHC s’élève à 170 millions, alors que 33 millions sont infectées par le VIH selon les estimations de l’ONUSIDA (figure 1).1 La séroprévalence de l’infection par le VHC, chez les individus séropositifs pour le VIH, varie grandement en fonction des régions considérées, mais également en fonction des modes de transmission impliqués ; on estime en Europe que le taux de co-infection par le VHC est d’environ 25%, mais ce taux avoisine 70% en Ukraine, ou encore dans les prisons américaines. Par ailleurs, près de 90% des personnes infectées par le VIH, dans le cadre du traitement de l’hémophilie, sont co-infectées par le VHC, et ce taux est de 5-10% dans une population homosexuelle européenne. Alors que le VHC se transmet relativement mal dans le cadre d’une relation sexuelle, on a observé récemment une augmentation de la transmission du VHC chez les homosexuels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49004 Exemplaires (1)
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Titre : Hépatite B : nouvelles recommandations de prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Kostantinos Gkouvatsos ; N. Goossens ; Laurent Spahr ; Francesco Negro Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 1458-1463 Langues : Français (fre) Résumé : L’infection par le virus de l’hépatite B est un problème de santé publique majeur associé à des complications cliniques importantes, en particulier une hépatopathie chronique, pouvant évoluer rapidement jusqu’au stade de cirrhose et au développement d’un carcinome hépatocellulaire (CHC). La prise en charge des patients infectés est complexe et nécessite une collaboration rapprochée entre le praticien généraliste et le spécialiste. Cet article résume les recommandations européennes publiées cette année et vise à donner au médecin généraliste des outils pour la prise en charge initiale des individus infectés avant qu’ils ne soient adressés à une consultation spécialisée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54438
in Revue médicale suisse > 572 (Août 2017) . - p. 1458-1463[article] Hépatite B : nouvelles recommandations de prise en charge [texte imprimé] / Kostantinos Gkouvatsos ; N. Goossens ; Laurent Spahr ; Francesco Negro . - 2017 . - p. 1458-1463.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 572 (Août 2017) . - p. 1458-1463
Résumé : L’infection par le virus de l’hépatite B est un problème de santé publique majeur associé à des complications cliniques importantes, en particulier une hépatopathie chronique, pouvant évoluer rapidement jusqu’au stade de cirrhose et au développement d’un carcinome hépatocellulaire (CHC). La prise en charge des patients infectés est complexe et nécessite une collaboration rapprochée entre le praticien généraliste et le spécialiste. Cet article résume les recommandations européennes publiées cette année et vise à donner au médecin généraliste des outils pour la prise en charge initiale des individus infectés avant qu’ils ne soient adressés à une consultation spécialisée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54438 Exemplaires (1)
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Titre : Hépatite D : efficacité des nouvelles thérapies Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Ongaro ; Laurent Spahr ; Emiliano Giostra ; Francesco Negro Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 1538-1543 Langues : Français (fre) Mots-clés : HÉPATITE D MALADIE CHRONIQUE THÉRAPEUTIQUE Résumé : L’hépatite D chronique est une infection causée par le virus de l’hépatite D, un virus défectueux nécessitant l’infection concomitante des hépatocytes par le virus de l’hépatite B. On estime que 15 à 20 millions d’individus dans le monde pourraient être co-infectés chroniquement par ces deux virus. Le seul traitement disponible est l’interféron alfa pégylé dont l’efficacité est encore insatisfaisante avec des effets indésirables fréquents. Des thérapies ciblant le virus de l’hépatite D sont en développement avec des résultats prometteurs. Parmi eux, les inhibiteurs de l’entrée du virus dans l’hépatocyte, de son assemblage ou encore de sa sécrétion. Cet article fait le point sur les thérapies en développement et leur efficacité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68259
in Revue médicale suisse > 704 (2 septembre 2020) . - p. 1538-1543[article] Hépatite D : efficacité des nouvelles thérapies [texte imprimé] / Marie Ongaro ; Laurent Spahr ; Emiliano Giostra ; Francesco Negro . - 2020 . - p. 1538-1543.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 704 (2 septembre 2020) . - p. 1538-1543
Mots-clés : HÉPATITE D MALADIE CHRONIQUE THÉRAPEUTIQUE Résumé : L’hépatite D chronique est une infection causée par le virus de l’hépatite D, un virus défectueux nécessitant l’infection concomitante des hépatocytes par le virus de l’hépatite B. On estime que 15 à 20 millions d’individus dans le monde pourraient être co-infectés chroniquement par ces deux virus. Le seul traitement disponible est l’interféron alfa pégylé dont l’efficacité est encore insatisfaisante avec des effets indésirables fréquents. Des thérapies ciblant le virus de l’hépatite D sont en développement avec des résultats prometteurs. Parmi eux, les inhibiteurs de l’entrée du virus dans l’hépatocyte, de son assemblage ou encore de sa sécrétion. Cet article fait le point sur les thérapies en développement et leur efficacité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68259 Exemplaires (1)
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