Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Jean-Michel Gaspoz |
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Le certificat médical : au carrefour de la médecine, des demandes du patient, du droit et de la société / N. Junod Perron in Revue médicale suisse, 443 (septembre 2014)
[article]
Titre : Le certificat médical : au carrefour de la médecine, des demandes du patient, du droit et de la société Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Junod Perron ; Jean-Michel Gaspoz Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1739-1740 Langues : Français (fre) Résumé : «Docteur, j’ai besoin d’un certificat médical»… Qui peut prétendre ne pas entendre cette phrase quotidiennement, ou au moins hebdomadairement, dans ses activités de cabinet ?
Un certificat médical est un document attestant de l’état de santé du patient qui le demande, rédigé par le médecin traitant, à l’attention du patient, afin d’être remis par celui-ci à une tierce personne.1 Il doit tenir compte à la fois des obligations techniques (diagnostic, traitement, suivi) et de celles qui touchent au devoir d’information, aux principes éthiques et au respect du secret médical.1 Quel que soit le destinataire, le médecin engage sa responsabilité dans la rédaction de ce document et doit être au clair sur ses indications, modalités de rédaction et implications légales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43161
in Revue médicale suisse > 443 (septembre 2014) . - p. 1739-1740[article] Le certificat médical : au carrefour de la médecine, des demandes du patient, du droit et de la société [texte imprimé] / N. Junod Perron ; Jean-Michel Gaspoz . - 2014 . - p. 1739-1740.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 443 (septembre 2014) . - p. 1739-1740
Résumé : «Docteur, j’ai besoin d’un certificat médical»… Qui peut prétendre ne pas entendre cette phrase quotidiennement, ou au moins hebdomadairement, dans ses activités de cabinet ?
Un certificat médical est un document attestant de l’état de santé du patient qui le demande, rédigé par le médecin traitant, à l’attention du patient, afin d’être remis par celui-ci à une tierce personne.1 Il doit tenir compte à la fois des obligations techniques (diagnostic, traitement, suivi) et de celles qui touchent au devoir d’information, aux principes éthiques et au respect du secret médical.1 Quel que soit le destinataire, le médecin engage sa responsabilité dans la rédaction de ce document et doit être au clair sur ses indications, modalités de rédaction et implications légales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43161 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Dialoguer au sujet de la vaccination à l’ère de la post-vérité / Olivia Braillard in Revue médicale suisse, 576 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Dialoguer au sujet de la vaccination à l’ère de la post-vérité Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivia Braillard ; Idris Guessous ; Jean-Michel Gaspoz Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 1635 Langues : Français (fre) Résumé : En 2016, le dictionnaire Oxford élit le terme «post-vérité» (post-truth en anglais) terme de l’année, le définissant ainsi : « qui fait référence à des circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d’influences pour modeler l’opinion publique que les appels à l’émotion et aux opinions personnelles ».1
L’ère post-vérité a été d’abord énoncée en 2004 par Ralph Keyes dans son livre The post-thruth era : dishonesty and deception in contemporary life. Ce terme s’est généralisé dans le milieu politique avec le vote du Brexit et l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. En effet, dans ces deux campagnes politiques, Boris Johnson et Donald Trump se sont passés de faits réels, axant leurs discours sur l’émotionnel. « Les faits, cela ne fonctionne pas. Il faut se connecter émotionnellement à l’électorat. C’est le succès de Trump. » déclare Arron Banks, un des leaders pro-Brexit, après le vote.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54520
in Revue médicale suisse > 576 (Septembre 2017) . - p. 1635[article] Dialoguer au sujet de la vaccination à l’ère de la post-vérité [texte imprimé] / Olivia Braillard ; Idris Guessous ; Jean-Michel Gaspoz . - 2017 . - p. 1635.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 576 (Septembre 2017) . - p. 1635
Résumé : En 2016, le dictionnaire Oxford élit le terme «post-vérité» (post-truth en anglais) terme de l’année, le définissant ainsi : « qui fait référence à des circonstances dans lesquelles les faits objectifs ont moins d’influences pour modeler l’opinion publique que les appels à l’émotion et aux opinions personnelles ».1
L’ère post-vérité a été d’abord énoncée en 2004 par Ralph Keyes dans son livre The post-thruth era : dishonesty and deception in contemporary life. Ce terme s’est généralisé dans le milieu politique avec le vote du Brexit et l’élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis. En effet, dans ces deux campagnes politiques, Boris Johnson et Donald Trump se sont passés de faits réels, axant leurs discours sur l’émotionnel. « Les faits, cela ne fonctionne pas. Il faut se connecter émotionnellement à l’électorat. C’est le succès de Trump. » déclare Arron Banks, un des leaders pro-Brexit, après le vote.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54520 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Des femmes et de la santé / Sophie Durieux-Paillard in Revue médicale suisse, 487 (Septembre-octobre 2015)
[article]
Titre : Des femmes et de la santé Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Durieux-Paillard ; Jean-Michel Gaspoz Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.1731 Langues : Français (fre) Mots-clés : SANTE FEMME Résumé :
A peu de chose près, les femmes constituent la moitié des 7,3 milliards d’individus qui peuplent le globe. Cette égalité numérique globale masque pourtant des inégalités. La Chine et l’Inde manquent de femmes, qui constituent 48,2% de leur population. Les démographes expliquent ce déficit par une pratique d’avortements sélectifs des fœtus féminins visant à contrecarrer la politique de l’enfant unique (Chine), ou à limiter le fardeau de la dot (Inde).1 En Europe, elles sont plus nombreuses (50,7 en Suisse, 51,6 en France et 53,7% en Russie), car leur espérance de vie est plus longue que celle des hommes. Partout cependant, de-puis 150 ans leurs droits individuels, sociaux et politiques ont progressé, ce qui leur permet dans de nombreux pays de tendre à l’égalité vis-à-vis des hommes. De fait, même s’il reste encore à faire et que certains Etats ont des velléités d’enclencher la marche arrière, en 2015 la tendance à l’équité des droits hommes/femmes semble inéluctable.
«… la santé des femmes est-elle définitivement entrée à la faculté ? …»
Pour ceux que cette introduction féministe agacerait, rappelons qu’en France l’abrogation de l’incapacité civile des épouses date de 1938 : ce n’est qu’alors qu’elles ont pu se passer de l’accord de leur mari pour travailler, toucher personnellement leur salaire ou s’inscrire à l’université. En Suisse, l’égalité hommes/femmes dans l’instruction n’a été inscrite dans la Constitution qu’en 1981. Pourtant, c’est à Zurich qu’en 1867 une Russe, Nadejda Souslova, est devenue la première docteure en médecine formée dans une université européenne, suivie trois ans plus tard par Elizabeth Garett et Mary Putnam à Paris, puis par Marie Heim-Vögtlin à Zurich – première femme médecin suisse – et par Madeleine Brès à Paris, première française.2 L’ambition de ces pionnières de la médecine était de consacrer leur art à la santé des femmes et des enfants, délaissés par les médecins hommes, selon elles. La première phrase de la thèse de Madeleine Brès (De la mamelle et de l’allaitement, Paris 1875) est explicite : Mon intention ayant toujours été de m’occuper d’une manière exclusive des maladies des femmes et des enfants…
Cent cinquante ans plus tard, alors que 36,6% des médecins pratiquant en Suisse sont des femmes (42,6% en France), la santé des femmes est-elle définitivement entrée à la faculté ? Certains en doutent, évoquant une médecine trop «unisexe», ne tenant pas compte des spécificités génétiques, biologiques, physiologiques et des variables psychosociales propres aux femmes. Au point qu’en juin dernier, les National Institutes of Health américains (NIH) ont publié une note à l’attention de leurs chercheurs, les enjoignant à considérer le sexe comme une variable biologique (sic) dans les projets qu’ils soumettent à financement et à sérieusement argumenter leur copie si leurs données ne concernent qu’un seul sexe.3
Consacrer ce numéro à la santé des femmes était donc incontournable, mais, humanisme oblige, nous prenons l’engagement de dédier le prochain aux hommes !
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40830
in Revue médicale suisse > 487 (Septembre-octobre 2015) . - p.1731[article] Des femmes et de la santé [texte imprimé] / Sophie Durieux-Paillard ; Jean-Michel Gaspoz . - 2015 . - p.1731.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 487 (Septembre-octobre 2015) . - p.1731
Mots-clés : SANTE FEMME Résumé :
A peu de chose près, les femmes constituent la moitié des 7,3 milliards d’individus qui peuplent le globe. Cette égalité numérique globale masque pourtant des inégalités. La Chine et l’Inde manquent de femmes, qui constituent 48,2% de leur population. Les démographes expliquent ce déficit par une pratique d’avortements sélectifs des fœtus féminins visant à contrecarrer la politique de l’enfant unique (Chine), ou à limiter le fardeau de la dot (Inde).1 En Europe, elles sont plus nombreuses (50,7 en Suisse, 51,6 en France et 53,7% en Russie), car leur espérance de vie est plus longue que celle des hommes. Partout cependant, de-puis 150 ans leurs droits individuels, sociaux et politiques ont progressé, ce qui leur permet dans de nombreux pays de tendre à l’égalité vis-à-vis des hommes. De fait, même s’il reste encore à faire et que certains Etats ont des velléités d’enclencher la marche arrière, en 2015 la tendance à l’équité des droits hommes/femmes semble inéluctable.
«… la santé des femmes est-elle définitivement entrée à la faculté ? …»
Pour ceux que cette introduction féministe agacerait, rappelons qu’en France l’abrogation de l’incapacité civile des épouses date de 1938 : ce n’est qu’alors qu’elles ont pu se passer de l’accord de leur mari pour travailler, toucher personnellement leur salaire ou s’inscrire à l’université. En Suisse, l’égalité hommes/femmes dans l’instruction n’a été inscrite dans la Constitution qu’en 1981. Pourtant, c’est à Zurich qu’en 1867 une Russe, Nadejda Souslova, est devenue la première docteure en médecine formée dans une université européenne, suivie trois ans plus tard par Elizabeth Garett et Mary Putnam à Paris, puis par Marie Heim-Vögtlin à Zurich – première femme médecin suisse – et par Madeleine Brès à Paris, première française.2 L’ambition de ces pionnières de la médecine était de consacrer leur art à la santé des femmes et des enfants, délaissés par les médecins hommes, selon elles. La première phrase de la thèse de Madeleine Brès (De la mamelle et de l’allaitement, Paris 1875) est explicite : Mon intention ayant toujours été de m’occuper d’une manière exclusive des maladies des femmes et des enfants…
Cent cinquante ans plus tard, alors que 36,6% des médecins pratiquant en Suisse sont des femmes (42,6% en France), la santé des femmes est-elle définitivement entrée à la faculté ? Certains en doutent, évoquant une médecine trop «unisexe», ne tenant pas compte des spécificités génétiques, biologiques, physiologiques et des variables psychosociales propres aux femmes. Au point qu’en juin dernier, les National Institutes of Health américains (NIH) ont publié une note à l’attention de leurs chercheurs, les enjoignant à considérer le sexe comme une variable biologique (sic) dans les projets qu’ils soumettent à financement et à sérieusement argumenter leur copie si leurs données ne concernent qu’un seul sexe.3
Consacrer ce numéro à la santé des femmes était donc incontournable, mais, humanisme oblige, nous prenons l’engagement de dédier le prochain aux hommes !
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40830 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le futur de la médecine interne générale en Suisse : un peu de recul ! / Sophie Durieux-Paillard in Revue médicale suisse, 620 (Septembre 2018)
[article]
Titre : Le futur de la médecine interne générale en Suisse : un peu de recul ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Durieux-Paillard ; Barbara Broers ; Yves-Laurent Jackson ; Jean-Michel Gaspoz Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 1683-1684 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECINE INTERNE MEDECINE GENERALE Résumé : « …pour que les choses paraissent nouvelles, si elles sont anciennes, et même si elles sont nouvelles, il faut, en art, comme en médecine, comme en mondanité, des noms nouveaux… »
Marcel Proust, Le temps retrouvé. A la recherche du temps perdu, Gallimard, 1927
Quel est le futur de la médecine interne générale en Suisse et qui seront les internistes généralistes de demain ? La médecine de premier recours (MPR), nouvelle dénomination d’une science – d’un art ? – aussi ancienne que l’humanité, est-elle en crise, comme le laisse sous-entendre la campagne de promotion pour la relève, de la Société suisse de médecine interne générale (SSMIG) ? L’enjeu à relever est en effet de taille : il s’agit de prendre en charge une population non seulement vieillissante (entre 1981 et 2016, en Suisse, l’espérance de vie à la naissance est passée de 72,4 à 81,5 ans pour les hommes et de 79,2 à 85,3 ans pour les femmes), mais aussi de tenir compte de la diversité des besoins de santé d’une patientèle plus hétérogène (15 % d’étrangers en 1980, 25 % en 2017). Tout cela, bien sûr, en tentant de contenir les coûts, car le système de santé suisse, s’il est reconnu comme l’un des meilleurs au monde, est aussi l’un des plus onéreux des pays de l’OCDE : 80,7 milliards de francs de dépenses en 2016, soit 803 francs par mois et par habitant. L’un des plus inégalitaires aussi : les ménages financent directement 29,2 % du coût total de la santé et 11 % des Romands déclarent avoir dû renoncer aux soins pour des raisons financières.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60198
in Revue médicale suisse > 620 (Septembre 2018) . - p. 1683-1684[article] Le futur de la médecine interne générale en Suisse : un peu de recul ! [texte imprimé] / Sophie Durieux-Paillard ; Barbara Broers ; Yves-Laurent Jackson ; Jean-Michel Gaspoz . - 2018 . - p. 1683-1684.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 620 (Septembre 2018) . - p. 1683-1684
Mots-clés : MEDECINE INTERNE MEDECINE GENERALE Résumé : « …pour que les choses paraissent nouvelles, si elles sont anciennes, et même si elles sont nouvelles, il faut, en art, comme en médecine, comme en mondanité, des noms nouveaux… »
Marcel Proust, Le temps retrouvé. A la recherche du temps perdu, Gallimard, 1927
Quel est le futur de la médecine interne générale en Suisse et qui seront les internistes généralistes de demain ? La médecine de premier recours (MPR), nouvelle dénomination d’une science – d’un art ? – aussi ancienne que l’humanité, est-elle en crise, comme le laisse sous-entendre la campagne de promotion pour la relève, de la Société suisse de médecine interne générale (SSMIG) ? L’enjeu à relever est en effet de taille : il s’agit de prendre en charge une population non seulement vieillissante (entre 1981 et 2016, en Suisse, l’espérance de vie à la naissance est passée de 72,4 à 81,5 ans pour les hommes et de 79,2 à 85,3 ans pour les femmes), mais aussi de tenir compte de la diversité des besoins de santé d’une patientèle plus hétérogène (15 % d’étrangers en 1980, 25 % en 2017). Tout cela, bien sûr, en tentant de contenir les coûts, car le système de santé suisse, s’il est reconnu comme l’un des meilleurs au monde, est aussi l’un des plus onéreux des pays de l’OCDE : 80,7 milliards de francs de dépenses en 2016, soit 803 francs par mois et par habitant. L’un des plus inégalitaires aussi : les ménages financent directement 29,2 % du coût total de la santé et 11 % des Romands déclarent avoir dû renoncer aux soins pour des raisons financières.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60198 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Le généralisme : un besoin, un défi... l'avenir / François Héritier in Revue médicale suisse, 414 (Janvier 2014)
[article]
Titre : Le généralisme : un besoin, un défi... l'avenir Type de document : texte imprimé Auteurs : François Héritier ; Jean-Michel Gaspoz Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 147 Langues : Français (fre) Mots-clés : PREVENTION MEDECINE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44750
in Revue médicale suisse > 414 (Janvier 2014) . - p. 147[article] Le généralisme : un besoin, un défi... l'avenir [texte imprimé] / François Héritier ; Jean-Michel Gaspoz . - 2014 . - p. 147.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 414 (Janvier 2014) . - p. 147
Mots-clés : PREVENTION MEDECINE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44750 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt L’homme, le nouveau sexe faible ? / Thierry Favrod-Coune in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
PermalinkLess is more / S. Regard in Revue médicale suisse, 381 (Avril 2013)
PermalinkLost in transition... la perspective de l'interniste généraliste / Jacques Cornuz in Revue médicale suisse, 590 (Janvier 2018)
PermalinkEn médecine, en faire moins peut rimer avec efficience et élégance / Jean-Michel Gaspoz in Revue médicale suisse, 363 (Novembre 2012)
PermalinkMédecine de précision : un rendez-vous à ne pas manquer pour l'interniste généraliste / Gérard Waeber in Revue médicale suisse, 546 (Janvier 2017)
PermalinkQuelle organisation des soins pour le patient polymorbide ? / Arnaud Perrier in Revue médicale suisse, 370 (Janvier2013)
Permalink« Smarter medicine » Et après ! / Jean-Michel Gaspoz in Revue médicale suisse, 547 (Janvier 2017)
Permalink"Smarter Medicine " : quo vadis? / Jean-Michel Gaspoz in Revue médicale suisse, 547 (Janvier 2017)
PermalinkLa transition entre la prise en charge en pédiatrie et celle chez le médecin de l’adulte, ou l’importance de bien «faire le pont» / Andrea Superti-Furga in Revue médicale suisse, 462 (Février 2015)
PermalinkVivre avec l'incertitude / Jacques Cornuz in Revue médicale suisse, 546 (Janvier 2017)
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