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Auteur Jean-Michel Aubry |
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Titre : Caractéristiques et traitements de la dépression bipolaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Aubry Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 242 Langues : Français (fre) Résumé : ÉpidémiologieLe trouble bipolaire (TB) est une affection récidivante avec une prévalence d’environ 2 % si l’on considère les troubles bipolaires I (phases maniaques et dépressives) et II (phases hypomaniaques et dépressives) réunis.1 Le premier épisode survient généralement vers la fin de l’adolescence ou l’âge adulte jeune. Dans la moitié des cas environ, le trouble bipolaire commence par un épisode dépressif. Il sera alors considéré comme unipolaire jusqu’à l’apparition d’un épisode hypomane ou maniaque, parfois plusieurs années après l’épisode dépressif inaugural. Les comorbidités psychiatriques et somatiques sont fréquentes. On retrouve très souvent un trouble anxieux, une problématique d’abus de substances et / ou un trouble de personnalité associé au trouble bipolaire. Les comorbidités somatiques augmentent avec l’âge et compliquent le diagnostic et le traitement. Elles ont un impact négatif sur l’évolution à long terme et la qualité de vie. Les plus fréquentes sont les mala... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53635
in Revue médicale suisse > 547 (Janvier 2017) . - p. 242[article] Caractéristiques et traitements de la dépression bipolaire [texte imprimé] / Jean-Michel Aubry . - 2017 . - p. 242.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 547 (Janvier 2017) . - p. 242
Résumé : ÉpidémiologieLe trouble bipolaire (TB) est une affection récidivante avec une prévalence d’environ 2 % si l’on considère les troubles bipolaires I (phases maniaques et dépressives) et II (phases hypomaniaques et dépressives) réunis.1 Le premier épisode survient généralement vers la fin de l’adolescence ou l’âge adulte jeune. Dans la moitié des cas environ, le trouble bipolaire commence par un épisode dépressif. Il sera alors considéré comme unipolaire jusqu’à l’apparition d’un épisode hypomane ou maniaque, parfois plusieurs années après l’épisode dépressif inaugural. Les comorbidités psychiatriques et somatiques sont fréquentes. On retrouve très souvent un trouble anxieux, une problématique d’abus de substances et / ou un trouble de personnalité associé au trouble bipolaire. Les comorbidités somatiques augmentent avec l’âge et compliquent le diagnostic et le traitement. Elles ont un impact négatif sur l’évolution à long terme et la qualité de vie. Les plus fréquentes sont les mala... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53635 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt
Titre : Consultation spécialisée pour les troubles bipolaires au Rwanda Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrice Croquette ; Blandine Dukuzemariya ; Agnès Manirafasha ; Emmanuel Musoni ; Simon Kanyandekwe ; Jean-Michel Aubry Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1675-1677 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte historiqueIl y a 25 ans, en avril 1994, le Rwanda connaît un drame humanitaire sans précédent. Ce petit pays niché au milieu de l’Afrique centrale a vécu une période apocalyptique. En trois mois, environ 850 000 personnes vont être victimes d’un génocide et laisser le pays avec une multitude d’orphelins et de familles décimées. Le pays est alors complètement dévasté, y compris l’hôpital psychiatrique de Kigali.Depuis la fin du génocide, la santé mentale est devenue un axe prioritaire en matière de santé publique au Rwanda. Début 1996, le Département de psychiatrie (DP) des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG), sous l’impulsion du Pr François Ferrero, s’est mobilisé pour aider et soutenir la reconstruction de structures de soins en santé mentale. A l’époque, un médecin rwandais : le Dr Naasson Mundyanamutsa (†) termine sa formation de psychiatre psychothérapeute aux HUG et rentre au pays accompagné d’un infirmier genevois, Raymond Porchet, formé en psychiatrie, pour rep... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65115
in Revue médicale suisse > 663 (18 septembre 2019) . - p. 1675-1677[article] Consultation spécialisée pour les troubles bipolaires au Rwanda [texte imprimé] / Patrice Croquette ; Blandine Dukuzemariya ; Agnès Manirafasha ; Emmanuel Musoni ; Simon Kanyandekwe ; Jean-Michel Aubry . - 2019 . - p. 1675-1677.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 663 (18 septembre 2019) . - p. 1675-1677
Résumé : Contexte historiqueIl y a 25 ans, en avril 1994, le Rwanda connaît un drame humanitaire sans précédent. Ce petit pays niché au milieu de l’Afrique centrale a vécu une période apocalyptique. En trois mois, environ 850 000 personnes vont être victimes d’un génocide et laisser le pays avec une multitude d’orphelins et de familles décimées. Le pays est alors complètement dévasté, y compris l’hôpital psychiatrique de Kigali.Depuis la fin du génocide, la santé mentale est devenue un axe prioritaire en matière de santé publique au Rwanda. Début 1996, le Département de psychiatrie (DP) des Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG), sous l’impulsion du Pr François Ferrero, s’est mobilisé pour aider et soutenir la reconstruction de structures de soins en santé mentale. A l’époque, un médecin rwandais : le Dr Naasson Mundyanamutsa (†) termine sa formation de psychiatre psychothérapeute aux HUG et rentre au pays accompagné d’un infirmier genevois, Raymond Porchet, formé en psychiatrie, pour rep... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65115 Exemplaires (1)
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Titre : Pleine conscience et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise Jermann ; Béatrice Weber ; Guido Bondolfi ; Jean-Michel Aubry Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 58-63 Langues : Français (fre) Mots-clés : méditation de pleine conscience THERAPIE COGNITIVE BIPOLAIRE TROUBLE THERAPEUTIQUE mindfulness Résumé : La thérapie cognitive basée sur la pleine conscience (MBCT) a été développée pour prévenir les rechutes dépressives chez les patients unipolaires. Elle a été aménagée pour les patients bipolaires en phase de stabilité de l'humeur, symptomatiques, voire en phase dépressive aiguë. Illustration avec le parcours de Sophie.
En ligne : http://www.santementale.fr/boutique/acheter-article/pleine-conscience-et-trouble [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40244
in Santé mentale > 208 (mai 2016) . - p. 58-63[article] Pleine conscience et troubles bipolaires [texte imprimé] / Françoise Jermann ; Béatrice Weber ; Guido Bondolfi ; Jean-Michel Aubry . - 2016 . - p. 58-63.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 208 (mai 2016) . - p. 58-63
Mots-clés : méditation de pleine conscience THERAPIE COGNITIVE BIPOLAIRE TROUBLE THERAPEUTIQUE mindfulness Résumé : La thérapie cognitive basée sur la pleine conscience (MBCT) a été développée pour prévenir les rechutes dépressives chez les patients unipolaires. Elle a été aménagée pour les patients bipolaires en phase de stabilité de l'humeur, symptomatiques, voire en phase dépressive aiguë. Illustration avec le parcours de Sophie.
En ligne : http://www.santementale.fr/boutique/acheter-article/pleine-conscience-et-trouble [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40244 Exemplaires (1)
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Titre : Quid de la prévention pour la santé mentale ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Aubry Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 1635 Langues : Français (fre) Mots-clés : SANTE MENTALE PSYCHIATRIE THERAPEUTIQUE PREVENTION Résumé : Chaque jour dans le monde, environ 500 millions de personnes doivent faire face à des troubles psychiques. L’impact majeur et la souffrance délétère de ces maladies pour les individus concernés, pour leurs familles et leurs proches, s’accompagnent en plus d’un poids économique et sociétal considérable. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60188
in Revue médicale suisse > 619 (Septembre 2018) . - p. 1635[article] Quid de la prévention pour la santé mentale ? [texte imprimé] / Jean-Michel Aubry . - 2018 . - p. 1635.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 619 (Septembre 2018) . - p. 1635
Mots-clés : SANTE MENTALE PSYCHIATRIE THERAPEUTIQUE PREVENTION Résumé : Chaque jour dans le monde, environ 500 millions de personnes doivent faire face à des troubles psychiques. L’impact majeur et la souffrance délétère de ces maladies pour les individus concernés, pour leurs familles et leurs proches, s’accompagnent en plus d’un poids économique et sociétal considérable. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60188 Exemplaires (1)
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Titre : Réseau de soins pour patients souffrant de dysphorie de genre Type de document : texte imprimé Auteurs : Lorenzo Soldati ; Marion Hischier ; Jean-Michel Aubry Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1557-1560 Langues : Français (fre) Mots-clés : dysphorie de genre identité sexuelle PSYCHIATRIE Résumé : Par dysphorie de genre, on désigne la détresse due à la discordance entre l’identité de genre d’une personne et son sexe d’assignation à la naissance. La dysphorie de genre peut être atténuée par une prise en charge spécialisée et pluridisciplinaire, qui est résumée dans cet article.Malheureusement, ce trouble est encore peu connu du monde médical, ce qui amène parfois une attitude discriminante de la part des soignants et un effet plus nocif que positif de certaines prises en charge sur les patients.Face à cette constatation et aux plaintes de certains patients, nous avons décidé de créer un réseau de soins comprenant des soignants des diverses disciplines concernées. Les buts de ce réseau seront d’améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de dysphorie de genre et de devenir une référence pour la Suisse romande.
IntroductionL’identité de genre est définie comme le sentiment intrinsèque d’être un homme, une femme ou d’un genre alternatif (« garçon-fille » ou « fille-garçon », par exemple).1 En ce sens, elle ne reflète pas un concept dichotomique (soit homme, soit femme), mais plutôt un continuum qui va de complètement homme à complètement femme.2,3Certaines personnes se définissent « transgenre » ou « de genre non conforme » (TGNC), puisque leur identité de genre et leur expression de genre diffèrent de ce qui est considéré normatif dans la culture donnée par rapport au sexe d’assignation à la naissance.1Notre perception culturelle d’un caractère naturel, incontestable de la dichotomie homme-femme amène à considérer les variances d’identité et d’expression de genre comme des phénomènes pathologiques,2 et cela engendre une stigmatisation et une discrimination des personnes TGNC, pouvant provoquer un « stress de minorité ».4 Ce stress les rend plus vulnérables et peut induire chez eux des sy...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42729
in Revue médicale suisse > 531 (Septembre 2016) . - p. 1557-1560[article] Réseau de soins pour patients souffrant de dysphorie de genre [texte imprimé] / Lorenzo Soldati ; Marion Hischier ; Jean-Michel Aubry . - 2016 . - p. 1557-1560.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 531 (Septembre 2016) . - p. 1557-1560
Mots-clés : dysphorie de genre identité sexuelle PSYCHIATRIE Résumé : Par dysphorie de genre, on désigne la détresse due à la discordance entre l’identité de genre d’une personne et son sexe d’assignation à la naissance. La dysphorie de genre peut être atténuée par une prise en charge spécialisée et pluridisciplinaire, qui est résumée dans cet article.Malheureusement, ce trouble est encore peu connu du monde médical, ce qui amène parfois une attitude discriminante de la part des soignants et un effet plus nocif que positif de certaines prises en charge sur les patients.Face à cette constatation et aux plaintes de certains patients, nous avons décidé de créer un réseau de soins comprenant des soignants des diverses disciplines concernées. Les buts de ce réseau seront d’améliorer la qualité des soins offerts aux patients souffrant de dysphorie de genre et de devenir une référence pour la Suisse romande.
IntroductionL’identité de genre est définie comme le sentiment intrinsèque d’être un homme, une femme ou d’un genre alternatif (« garçon-fille » ou « fille-garçon », par exemple).1 En ce sens, elle ne reflète pas un concept dichotomique (soit homme, soit femme), mais plutôt un continuum qui va de complètement homme à complètement femme.2,3Certaines personnes se définissent « transgenre » ou « de genre non conforme » (TGNC), puisque leur identité de genre et leur expression de genre diffèrent de ce qui est considéré normatif dans la culture donnée par rapport au sexe d’assignation à la naissance.1Notre perception culturelle d’un caractère naturel, incontestable de la dichotomie homme-femme amène à considérer les variances d’identité et d’expression de genre comme des phénomènes pathologiques,2 et cela engendre une stigmatisation et une discrimination des personnes TGNC, pouvant provoquer un « stress de minorité ».4 Ce stress les rend plus vulnérables et peut induire chez eux des sy...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42729 Exemplaires (1)
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