Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Laurence Rochat |
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Dyspepsie et Helicobacter pylori : faut-il le traiter ? / Laurence Rochat in Revue médicale suisse, 355 (Septembre 2012)
[article]
Titre : Dyspepsie et Helicobacter pylori : faut-il le traiter ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Rochat ; A. Keta Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 1816-1820 Langues : Français (fre) Résumé : Les épigastralgies constituent, de nos jours, un des motifs les plus fréquents de consultation en médecine ambulatoire, générant ainsi de très importants coûts directs et indirects, estimés à plusieurs millions de francs par année. Elles sont la manifestation d’affections diverses, comprenant le reflux gastro-œsophagien (RGO), la dyspepsie et l’ulcère peptique. Si le rôle d’Helicobacter pylori (H. pylori) est bien établi dans la pathogenèse de l’ulcère gastro-duodénal, son implication dans la dyspepsie semble moins claire. Le consensus de Maastricht IV recommande la recherche et le traitement de H. pylori chez les patients souffrant de dyspepsie sans signe d’alarme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47294
in Revue médicale suisse > 355 (Septembre 2012) . - p. 1816-1820[article] Dyspepsie et Helicobacter pylori : faut-il le traiter ? [texte imprimé] / Laurence Rochat ; A. Keta . - 2012 . - p. 1816-1820.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 355 (Septembre 2012) . - p. 1816-1820
Résumé : Les épigastralgies constituent, de nos jours, un des motifs les plus fréquents de consultation en médecine ambulatoire, générant ainsi de très importants coûts directs et indirects, estimés à plusieurs millions de francs par année. Elles sont la manifestation d’affections diverses, comprenant le reflux gastro-œsophagien (RGO), la dyspepsie et l’ulcère peptique. Si le rôle d’Helicobacter pylori (H. pylori) est bien établi dans la pathogenèse de l’ulcère gastro-duodénal, son implication dans la dyspepsie semble moins claire. Le consensus de Maastricht IV recommande la recherche et le traitement de H. pylori chez les patients souffrant de dyspepsie sans signe d’alarme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47294 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Fièvre jaune : nouvelles recommandations / Laurence Rochat in Revue médicale suisse, 429 (Mai 2014)
[article]
Titre : Fièvre jaune : nouvelles recommandations Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Rochat ; Blaise Genton Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 1014-1019 Langues : Français (fre) Résumé : L’indication à la vaccination contre la fièvre jaune n’est pas toujours facile à poser car elle tient non seulement compte des risques réels sur place, mais également des réglementations sanitaires de chaque pays (visant à éviter respectivement l’émergence d’épidémies dans des régions historiquement à risque et l’introduction du virus dans des zones où les moustiques vecteurs sont présents), ainsi que de facteurs propres au voyageur qui peuvent le rendre plus susceptible aux effets secondaires importants, voire mortels de la vaccination.L’OMS vient de réévaluer les recommandations de vaccination contre la fièvre jaune et de conclure qu’une dose unique de vaccin confère une protection à vie. Cet article cherche à clarifier les stratégies vaccinales en 2013 à la lumière de vignettes cliniques souvent rencontrées dans la pratique de la médecine des voyages. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44124
in Revue médicale suisse > 429 (Mai 2014) . - p. 1014-1019[article] Fièvre jaune : nouvelles recommandations [texte imprimé] / Laurence Rochat ; Blaise Genton . - 2014 . - p. 1014-1019.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 429 (Mai 2014) . - p. 1014-1019
Résumé : L’indication à la vaccination contre la fièvre jaune n’est pas toujours facile à poser car elle tient non seulement compte des risques réels sur place, mais également des réglementations sanitaires de chaque pays (visant à éviter respectivement l’émergence d’épidémies dans des régions historiquement à risque et l’introduction du virus dans des zones où les moustiques vecteurs sont présents), ainsi que de facteurs propres au voyageur qui peuvent le rendre plus susceptible aux effets secondaires importants, voire mortels de la vaccination.L’OMS vient de réévaluer les recommandations de vaccination contre la fièvre jaune et de conclure qu’une dose unique de vaccin confère une protection à vie. Cet article cherche à clarifier les stratégies vaccinales en 2013 à la lumière de vignettes cliniques souvent rencontrées dans la pratique de la médecine des voyages. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44124 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Morsures de serpents suisses et tropicaux : prise en charge / Laurence Rochat in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Morsures de serpents suisses et tropicaux : prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Rochat ; Gabriel Alcoba Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 954-962 Langues : Français (fre) Résumé : Avec l’augmentation des voyages dans les zones tropicales, de même que du nombre de détenteurs de serpents venimeux à domicile, la fréquence des morsures de serpents risque d’augmenter. Même si dans 50 % des cas les morsures ne conduisent pas à une envenimation clinique, une prise en charge rapide et ciblée améliore les chances de succès thérapeutique. Ceci suppose un approvisionnement avec l’antivenin polyvalent ou spécifique et la reconnaissance des signes et des symptômes justifiant son administration. Nous traiterons ici essentiellement des envenimations par des serpents locaux ou tropicaux que le praticien suisse pourrait rencontrer au cabinet ou aux urgences en nous basant sur quelques vignettes et en proposant des scénarios en fonction des syndromes.
IntroductionLes morsures de serpents sont souvent perçues comme des urgences vitales. En réalité, leur gravité varie en fonction de l’espèce, de l’âge de la personne mordue,1 des comorbidités, et surtout de l’accès rapide à un antivenin. En Suisse, les morsures surviennent surtout en été lors de randonnées en montagne dans les Alpes ou dans le Jura, ou lors d’accidents de manipulation par des professionnels de zoos et de vivariums ou par des amateurs de serpents exotiques venimeux, parfois inconscients du danger.Dans le monde, les envenimations par morsure de serpent représentent un problème majeur de santé publique affectant environ 1 million (421 000-1 841 000)2 de victimes dont environ la moitié présenterait des séquelles permanentes, sous forme de handicap physique suite à des lésions ou des amputations3–7 ou de traumatismes psychologiques.8 Les complications immédiates, la mortalité, et les séquelles à long terme représentent également une perte économique importante pour les...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53702
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 954-962[article] Morsures de serpents suisses et tropicaux : prise en charge [texte imprimé] / Laurence Rochat ; Gabriel Alcoba . - 2017 . - p. 954-962.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 954-962
Résumé : Avec l’augmentation des voyages dans les zones tropicales, de même que du nombre de détenteurs de serpents venimeux à domicile, la fréquence des morsures de serpents risque d’augmenter. Même si dans 50 % des cas les morsures ne conduisent pas à une envenimation clinique, une prise en charge rapide et ciblée améliore les chances de succès thérapeutique. Ceci suppose un approvisionnement avec l’antivenin polyvalent ou spécifique et la reconnaissance des signes et des symptômes justifiant son administration. Nous traiterons ici essentiellement des envenimations par des serpents locaux ou tropicaux que le praticien suisse pourrait rencontrer au cabinet ou aux urgences en nous basant sur quelques vignettes et en proposant des scénarios en fonction des syndromes.
IntroductionLes morsures de serpents sont souvent perçues comme des urgences vitales. En réalité, leur gravité varie en fonction de l’espèce, de l’âge de la personne mordue,1 des comorbidités, et surtout de l’accès rapide à un antivenin. En Suisse, les morsures surviennent surtout en été lors de randonnées en montagne dans les Alpes ou dans le Jura, ou lors d’accidents de manipulation par des professionnels de zoos et de vivariums ou par des amateurs de serpents exotiques venimeux, parfois inconscients du danger.Dans le monde, les envenimations par morsure de serpent représentent un problème majeur de santé publique affectant environ 1 million (421 000-1 841 000)2 de victimes dont environ la moitié présenterait des séquelles permanentes, sous forme de handicap physique suite à des lésions ou des amputations3–7 ou de traumatismes psychologiques.8 Les complications immédiates, la mortalité, et les séquelles à long terme représentent également une perte économique importante pour les...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53702 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Nouvelles approches pour la prévention de la malaria chez le voyageur / Rachel Voumard in Revue médicale suisse, 517 (Mai 2016)
[article]
Titre : Nouvelles approches pour la prévention de la malaria chez le voyageur Type de document : texte imprimé Auteurs : Rachel Voumard ; Delphine Berthod ; Laurence Rochat Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 885-888 Langues : Français (fre) Mots-clés : PALUDISME VOYAGE PREVENTION Note de contenu : La malaria est en déclin dans beaucoup de régions tropicales, défiant nos stratégies de prévention. Dans les zones à risque faible ou modéré de malaria, les recommandations suisses proposent un traitement de réserve. Mais les controverses entre experts sont nombreuses. Le Centre de vaccination et médecine des voyages de la PMU s’intéresse au partage de la décision avec le voyageur au travers de trois études. La première a démontré que les voyageurs à destination de zones à risque faible ou modéré de malaria préfèrent un traitement de réserve plutôt que la chimioprophylaxie. La deuxième étude investigue l’utilisation des tests diagnostiques rapides par les voyageurs. La troisième s’intéresse aux perspectives de la télémédecine tropicale. Impliquer le voyageur au sein même du débat est une priorité, en attendant l’arrivée d’un vaccin. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39556
in Revue médicale suisse > 517 (Mai 2016) . - p. 885-888[article] Nouvelles approches pour la prévention de la malaria chez le voyageur [texte imprimé] / Rachel Voumard ; Delphine Berthod ; Laurence Rochat . - 2016 . - p. 885-888.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 517 (Mai 2016) . - p. 885-888
Mots-clés : PALUDISME VOYAGE PREVENTION Note de contenu : La malaria est en déclin dans beaucoup de régions tropicales, défiant nos stratégies de prévention. Dans les zones à risque faible ou modéré de malaria, les recommandations suisses proposent un traitement de réserve. Mais les controverses entre experts sont nombreuses. Le Centre de vaccination et médecine des voyages de la PMU s’intéresse au partage de la décision avec le voyageur au travers de trois études. La première a démontré que les voyageurs à destination de zones à risque faible ou modéré de malaria préfèrent un traitement de réserve plutôt que la chimioprophylaxie. La deuxième étude investigue l’utilisation des tests diagnostiques rapides par les voyageurs. La troisième s’intéresse aux perspectives de la télémédecine tropicale. Impliquer le voyageur au sein même du débat est une priorité, en attendant l’arrivée d’un vaccin. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39556 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Panels gastro-intestinaux par PCR multiplex pour la prise en chargedes diarrhées du voyageur : performants et utiles ? / Laurence Rochat in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Panels gastro-intestinaux par PCR multiplex pour la prise en chargedes diarrhées du voyageur : performants et utiles ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Rochat ; Antony Croxatto ; Serge De Vallière ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 963-967 Langues : Français (fre) Résumé : Jusqu’à présent, la recherche d’entéropathogènes à l’origine de diarrhées au retour de voyage se basait essentiellement sur la culture bactérienne de selles (Campylobacter spp., Salmonella spp. et Shigella spp.), la microscopie directe sans(Giardia lamblia, Entamoeba histolytica) ou avec coloration spéciale (Cryptosporidium spp.) et la recherche d’antigènes spécifiques (Giardia lamblia, Entamoeba histolytica). Désormais, les analyses moléculaires tendent à supplanter les techniques traditionnelles mais l’utilité clinique de la PCR par rapport aux examens conventionnels doit être mieux définie. Cet article cherche à décrire les avantages et les limitations de ces nouvelles méthodes moléculaires et à illustrer des situations dans lesquelles leur utilisation pourrait être indiquée à la lumière de cas cliniques fréquemment rencontrés dans la pratique de la médecine des voyages.
IntroductionLa diarrhée du voyageur représente la maladie infectieuse la plus fréquente lors d’un voyage en pays tropical.1 L’incidence de la diarrhée du voyageur pour un séjour de deux semaines se situe entre 20 et 60 % ;2 elle est en relation avec la saison du voyage et les conditions sanitaires de la région visitée. En règle générale, les symptômes de la diarrhée du voyageur apparaissent pendant les deux premières semaines de voyage et s’estompent après trois à cinq jours sans traitement spécifique. L’étiologie bactérienne est la plus courante, suivie d’une infection virale, puis parasitaire (tableau 1).3 Les diarrhées persistent au-delà d’une dizaine de jours chez 5 % des voyageurs. Les étiologies les plus fréquentes sont alors les protozoaires, suivis des bactéries4 (tableau 2). Les helminthes sont par contre rarement associés à la diarrhée du voyageur. Nouvelles méthodes rapides d’analyses moléculairesActuellement, le diagnostic des diarrhées vit une révolution technologiqu...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53703
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 963-967[article] Panels gastro-intestinaux par PCR multiplex pour la prise en chargedes diarrhées du voyageur : performants et utiles ? [texte imprimé] / Laurence Rochat ; Antony Croxatto ; Serge De Vallière ; et al. . - 2017 . - p. 963-967.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 963-967
Résumé : Jusqu’à présent, la recherche d’entéropathogènes à l’origine de diarrhées au retour de voyage se basait essentiellement sur la culture bactérienne de selles (Campylobacter spp., Salmonella spp. et Shigella spp.), la microscopie directe sans(Giardia lamblia, Entamoeba histolytica) ou avec coloration spéciale (Cryptosporidium spp.) et la recherche d’antigènes spécifiques (Giardia lamblia, Entamoeba histolytica). Désormais, les analyses moléculaires tendent à supplanter les techniques traditionnelles mais l’utilité clinique de la PCR par rapport aux examens conventionnels doit être mieux définie. Cet article cherche à décrire les avantages et les limitations de ces nouvelles méthodes moléculaires et à illustrer des situations dans lesquelles leur utilisation pourrait être indiquée à la lumière de cas cliniques fréquemment rencontrés dans la pratique de la médecine des voyages.
IntroductionLa diarrhée du voyageur représente la maladie infectieuse la plus fréquente lors d’un voyage en pays tropical.1 L’incidence de la diarrhée du voyageur pour un séjour de deux semaines se situe entre 20 et 60 % ;2 elle est en relation avec la saison du voyage et les conditions sanitaires de la région visitée. En règle générale, les symptômes de la diarrhée du voyageur apparaissent pendant les deux premières semaines de voyage et s’estompent après trois à cinq jours sans traitement spécifique. L’étiologie bactérienne est la plus courante, suivie d’une infection virale, puis parasitaire (tableau 1).3 Les diarrhées persistent au-delà d’une dizaine de jours chez 5 % des voyageurs. Les étiologies les plus fréquentes sont alors les protozoaires, suivis des bactéries4 (tableau 2). Les helminthes sont par contre rarement associés à la diarrhée du voyageur. Nouvelles méthodes rapides d’analyses moléculairesActuellement, le diagnostic des diarrhées vit une révolution technologiqu...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53703 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Schistosomiase aiguë au retour de voyage : Enseignements tirés d’une cohorte de 42 voyageurs exposés / Laurence Rochat in Revue médicale suisse, 473 (Mai 2015)
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