Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur François P. Pralong |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Avancées récentes dans le traitement des carcinomes corticosurrénaliens / Julien Ducry in Revue médicale suisse, 362 (Novembre 2012)
[article]
Titre : Avancées récentes dans le traitement des carcinomes corticosurrénaliens Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Ducry ; Dominik Berthold ; François P. Pralong Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 2181-2186 Langues : Français (fre) Résumé : Les carcinomes corticosurrénaliens sont des tumeurs rares et agressives, dont l’incidence est estimée entre un et deux cas par million d’habitants. Leur diagnostic se fait dans trois situations cliniques : lors du bilan d’un syndrome d’hypersécrétion hormonale, lors d’investigations de symptômes locorégionaux ou, de manière fortuite, à l’occasion d’un bilan radiologique. Leur traitement est généralement chirurgical sauf dans les situations métastatiques d’emblée dépassées. La chimiothérapie adjuvante par mitotane est associée à une amélioration de la durée de survie sans récidive, pour autant que le médicament soit administré à la dose thérapeutique adéquate. De nouvelles thérapies anticancéreuses ont récemment fait leur apparition pour le traitement des récidives, mais leur efficacité reste malheureusement encore insatisfaisante. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46619
in Revue médicale suisse > 362 (Novembre 2012) . - p. 2181-2186[article] Avancées récentes dans le traitement des carcinomes corticosurrénaliens [texte imprimé] / Julien Ducry ; Dominik Berthold ; François P. Pralong . - 2012 . - p. 2181-2186.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 362 (Novembre 2012) . - p. 2181-2186
Résumé : Les carcinomes corticosurrénaliens sont des tumeurs rares et agressives, dont l’incidence est estimée entre un et deux cas par million d’habitants. Leur diagnostic se fait dans trois situations cliniques : lors du bilan d’un syndrome d’hypersécrétion hormonale, lors d’investigations de symptômes locorégionaux ou, de manière fortuite, à l’occasion d’un bilan radiologique. Leur traitement est généralement chirurgical sauf dans les situations métastatiques d’emblée dépassées. La chimiothérapie adjuvante par mitotane est associée à une amélioration de la durée de survie sans récidive, pour autant que le médicament soit administré à la dose thérapeutique adéquate. De nouvelles thérapies anticancéreuses ont récemment fait leur apparition pour le traitement des récidives, mais leur efficacité reste malheureusement encore insatisfaisante. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46619 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Chirurgie bariatrique et risque accru de dépendance à l’alcool / Chiara Ferrario in Revue médicale suisse, 511 (Mars 2016)
[article]
Titre : Chirurgie bariatrique et risque accru de dépendance à l’alcool Type de document : texte imprimé Auteurs : Chiara Ferrario ; François P. Pralong ; Jean-Bernard Daeppen Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.602-605 Langues : Français (fre) Mots-clés : OBESITE CHIRURGIE ALCOOLISME Résumé : Un risque augmenté de dépendance à l’alcool est observé après une chirurgie bariatrique et il est plus important après une intervention de type bypass gastrique en Y selon Roux (RYGB) qu’après une gastrectomie en manchon ou un cerclage gastrique. Ceci peut être expliqué par les changements observés dans l’absorption de l’éthanol après un RYGB qui occasionne un pic de concentration plasmatique d’alcool plus précoce et plus important. D’autres facteurs peuvent contribuer à l’augmentation de ce risque tels que le transfert d’une dépendance à une autre ou des changements neuro-hormonaux. Une collaboration étroite avec une équipe spécialisée en alcoologie est nécessaire pour la prise en charge adéquate de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37101
in Revue médicale suisse > 511 (Mars 2016) . - p.602-605[article] Chirurgie bariatrique et risque accru de dépendance à l’alcool [texte imprimé] / Chiara Ferrario ; François P. Pralong ; Jean-Bernard Daeppen . - 2016 . - p.602-605.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 511 (Mars 2016) . - p.602-605
Mots-clés : OBESITE CHIRURGIE ALCOOLISME Résumé : Un risque augmenté de dépendance à l’alcool est observé après une chirurgie bariatrique et il est plus important après une intervention de type bypass gastrique en Y selon Roux (RYGB) qu’après une gastrectomie en manchon ou un cerclage gastrique. Ceci peut être expliqué par les changements observés dans l’absorption de l’éthanol après un RYGB qui occasionne un pic de concentration plasmatique d’alcool plus précoce et plus important. D’autres facteurs peuvent contribuer à l’augmentation de ce risque tels que le transfert d’une dépendance à une autre ou des changements neuro-hormonaux. Une collaboration étroite avec une équipe spécialisée en alcoologie est nécessaire pour la prise en charge adéquate de ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37101 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La chirurgie de l’obésité : une prise en charge inter-disciplinaire pour répondre à de multiples défis / François P. Pralong in Revue médicale suisse, 511 (Mars 2016)
[article]
Titre : La chirurgie de l’obésité : une prise en charge inter-disciplinaire pour répondre à de multiples défis Type de document : texte imprimé Auteurs : François P. Pralong ; Alain Golay Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.579 Langues : Français (fre) Mots-clés : OBESITE CHIRURGIE Résumé :
La chirurgie de l’obésité a réellement connu son essor après la première conférence de consensus organisée par le NIH (National Institutes of Health) américain en 1991,1 conférence qui avait conclu à la sécurité des approches modernes telles que le court-circuit gastrique sur anse en Y selon Roux, ou l’anneau gastrique. L’augmentation très importante de l’utilisation de cette approche dans le traitement de l’obésité au cours des 25 années qui ont suivi fait que nous disposons aujourd’hui de données d’efficacité à court et moyen termes qui devraient nous permettent de réévaluer aussi bien les indications que les modalités de prise en charge des patients éligibles pour une chirurgie bariatrique.
Le risque de reprise pondérale excessive reste aujourd’hui encore essentiellement imprévisible
Certains des enjeux de ce type d’approche sont abordés dans quatre des six articles de ce numéro, et notamment la question de l’évolution pondérale à moyen et long termes. En effet, si la plupart des patients reprennent un peu de poids après l’intervention, cette reprise sera très importante pour un petit groupe d’entre eux (entre 10 et 25 % selon les études et la durée du suivi). Or, le risque de reprise pondérale excessive reste aujourd’hui encore essentiellement imprévisible. Dans ce contexte, l’article de Pataky et coll. rappelle qu’une prise en charge multidisciplinaire des patients permet probablement de minimiser ce risque. Toutefois, la recherche de facteurs prédictifs du succès à long terme de la chirurgie bariatrique reste une question primordiale qui est abordée par Vionnet et coll. dans leur description des buts de la Cohorte obésité de Lausanne. Parmi les facteurs incriminés dans une reprise de poids, les troubles du comportement alimentaire sont souvent mentionnés. Carrard et coll. nous proposent un outil pratique pour évaluer les comportements alimentaires. Dans la même direction, Locatelli et coll. revoient quels sont les meilleurs moyens pour accompagner un patient obèse dans un changement de comportement alimentaire à long terme.
L’un des bénéfices les plus importants de la chirurgie bariatrique est l’amélioration, souvent spectaculaire, des comorbidités métaboliques.2 Cet effet est particulièrement bien documenté après court-circuit gastrique sur anse en Y selon Roux, mais malgré un très bon niveau d’évidence, la présence de comorbidités métaboliques ne fait pas formellement partie des critères d’indication à une telle chirurgie. Le profil exact des patients diabétiques ou présentant un syndrome métabolique et qui pourraient bénéficier le plus d’une approche chirurgicale reste à déterminer. Si on tend intuitivement à proposer l’intervention à des patients obèses dont le diabète est difficile à contrôler, ne devrait-on pas plutôt l’offrir en priorité aux patients avec une maladie moins avancée qui ont une plus grande probabilité de rémission de leur diabète après intervention ? De fait, ces patients auraient ainsi le plus grand gain potentiel du traitement.
Finalement, Ferrario et coll. attirent notre attention sur le risque de dépendance des patients après chirurgie bariatrique, et notamment de dépendance à l’alcool. Ce risque est de mieux en mieux reconnu, et devrait être formellement évalué lors de la procédure de préparation à la chirurgie. Là encore, une prise en charge multidisciplinaire intégrant des professionnels bien formés à la problématique de l’addiction est indispensable afin de gérer au mieux ce risque, aussi bien durant la période de préparation que pendant le suivi après chirurgie.
En conclusion, on rappellera que la chirurgie bariatrique présente un excellent rapport entre coût et efficacité.3 Malgré les incertitudes relevées ci-dessus, il semble justifié de repenser les critères d’éligibilité de la chirurgie bariatrique, et impératif de conduire des études sur le long terme et rapportant scrupuleusement les effets indésirables ainsi que l’évolution des comorbidités métaboliques et vasculaires.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37096
in Revue médicale suisse > 511 (Mars 2016) . - p.579[article] La chirurgie de l’obésité : une prise en charge inter-disciplinaire pour répondre à de multiples défis [texte imprimé] / François P. Pralong ; Alain Golay . - 2016 . - p.579.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 511 (Mars 2016) . - p.579
Mots-clés : OBESITE CHIRURGIE Résumé :
La chirurgie de l’obésité a réellement connu son essor après la première conférence de consensus organisée par le NIH (National Institutes of Health) américain en 1991,1 conférence qui avait conclu à la sécurité des approches modernes telles que le court-circuit gastrique sur anse en Y selon Roux, ou l’anneau gastrique. L’augmentation très importante de l’utilisation de cette approche dans le traitement de l’obésité au cours des 25 années qui ont suivi fait que nous disposons aujourd’hui de données d’efficacité à court et moyen termes qui devraient nous permettent de réévaluer aussi bien les indications que les modalités de prise en charge des patients éligibles pour une chirurgie bariatrique.
Le risque de reprise pondérale excessive reste aujourd’hui encore essentiellement imprévisible
Certains des enjeux de ce type d’approche sont abordés dans quatre des six articles de ce numéro, et notamment la question de l’évolution pondérale à moyen et long termes. En effet, si la plupart des patients reprennent un peu de poids après l’intervention, cette reprise sera très importante pour un petit groupe d’entre eux (entre 10 et 25 % selon les études et la durée du suivi). Or, le risque de reprise pondérale excessive reste aujourd’hui encore essentiellement imprévisible. Dans ce contexte, l’article de Pataky et coll. rappelle qu’une prise en charge multidisciplinaire des patients permet probablement de minimiser ce risque. Toutefois, la recherche de facteurs prédictifs du succès à long terme de la chirurgie bariatrique reste une question primordiale qui est abordée par Vionnet et coll. dans leur description des buts de la Cohorte obésité de Lausanne. Parmi les facteurs incriminés dans une reprise de poids, les troubles du comportement alimentaire sont souvent mentionnés. Carrard et coll. nous proposent un outil pratique pour évaluer les comportements alimentaires. Dans la même direction, Locatelli et coll. revoient quels sont les meilleurs moyens pour accompagner un patient obèse dans un changement de comportement alimentaire à long terme.
L’un des bénéfices les plus importants de la chirurgie bariatrique est l’amélioration, souvent spectaculaire, des comorbidités métaboliques.2 Cet effet est particulièrement bien documenté après court-circuit gastrique sur anse en Y selon Roux, mais malgré un très bon niveau d’évidence, la présence de comorbidités métaboliques ne fait pas formellement partie des critères d’indication à une telle chirurgie. Le profil exact des patients diabétiques ou présentant un syndrome métabolique et qui pourraient bénéficier le plus d’une approche chirurgicale reste à déterminer. Si on tend intuitivement à proposer l’intervention à des patients obèses dont le diabète est difficile à contrôler, ne devrait-on pas plutôt l’offrir en priorité aux patients avec une maladie moins avancée qui ont une plus grande probabilité de rémission de leur diabète après intervention ? De fait, ces patients auraient ainsi le plus grand gain potentiel du traitement.
Finalement, Ferrario et coll. attirent notre attention sur le risque de dépendance des patients après chirurgie bariatrique, et notamment de dépendance à l’alcool. Ce risque est de mieux en mieux reconnu, et devrait être formellement évalué lors de la procédure de préparation à la chirurgie. Là encore, une prise en charge multidisciplinaire intégrant des professionnels bien formés à la problématique de l’addiction est indispensable afin de gérer au mieux ce risque, aussi bien durant la période de préparation que pendant le suivi après chirurgie.
En conclusion, on rappellera que la chirurgie bariatrique présente un excellent rapport entre coût et efficacité.3 Malgré les incertitudes relevées ci-dessus, il semble justifié de repenser les critères d’éligibilité de la chirurgie bariatrique, et impératif de conduire des études sur le long terme et rapportant scrupuleusement les effets indésirables ainsi que l’évolution des comorbidités métaboliques et vasculaires.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37096 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le couple infernal de l'obésité et des troubles mentaux / Alain Golay in Revue médicale suisse, 555 (Mars 2017)
[article]
Titre : Le couple infernal de l'obésité et des troubles mentaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Golay ; François P. Pralong Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 635 Langues : Français (fre) Mots-clés : OBESITE Résumé : La prévalence de l’obésité est telle que le terme d’« épidémie » a même été utilisé par l’OMS. Si la prévalence en Suisse est moindre qu’aux Etats-Unis, elle a quand même doublé en 20 ans (de 5 à 10 %). L’article de P. Fournier et coll. qui applique les données démographiques de la dernière enquête de santé suisse au canton de Vaud identifie clairement l’enjeu majeur que constitue l’augmentation prévisible du nombre de personnes en surpoids et obèses pour les systèmes de santé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53015
in Revue médicale suisse > 555 (Mars 2017) . - p. 635[article] Le couple infernal de l'obésité et des troubles mentaux [texte imprimé] / Alain Golay ; François P. Pralong . - 2017 . - p. 635.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 555 (Mars 2017) . - p. 635
Mots-clés : OBESITE Résumé : La prévalence de l’obésité est telle que le terme d’« épidémie » a même été utilisé par l’OMS. Si la prévalence en Suisse est moindre qu’aux Etats-Unis, elle a quand même doublé en 20 ans (de 5 à 10 %). L’article de P. Fournier et coll. qui applique les données démographiques de la dernière enquête de santé suisse au canton de Vaud identifie clairement l’enjeu majeur que constitue l’augmentation prévisible du nombre de personnes en surpoids et obèses pour les systèmes de santé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53015 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt L’endocrinologie, une science de la communication / François P. Pralong in Revue médicale suisse, 362 (Novembre 2012)
[article]
Titre : L’endocrinologie, une science de la communication Type de document : texte imprimé Auteurs : François P. Pralong ; Patrick Meyer Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 2155-2156 Langues : Français (fre) Résumé : Les hormones, dans la vision classique de l’endocrinologie, sont des messagers : les taux d’hormones circulantes véhiculent des informations cruciales sur l’activité des glandes endocrines qui les ont synthétisées et sécrétées. Ces informations sont indispensables à la modulation de la fonction de leurs organes cibles, et les hormones participent ainsi de manière prépondérante au maintien de l’homéostasie de notre milieu interne. Lorsqu’on prend ceci en considération, il apparaît soudain que l’endocrinologie est une science de la communication : entre différents organes pour ce qui concerne l’endocrinologie classique, mais également entre différentes cellules au sein d’un même organe lors d’interactions paracrines. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46614
in Revue médicale suisse > 362 (Novembre 2012) . - p. 2155-2156[article] L’endocrinologie, une science de la communication [texte imprimé] / François P. Pralong ; Patrick Meyer . - 2012 . - p. 2155-2156.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 362 (Novembre 2012) . - p. 2155-2156
Résumé : Les hormones, dans la vision classique de l’endocrinologie, sont des messagers : les taux d’hormones circulantes véhiculent des informations cruciales sur l’activité des glandes endocrines qui les ont synthétisées et sécrétées. Ces informations sont indispensables à la modulation de la fonction de leurs organes cibles, et les hormones participent ainsi de manière prépondérante au maintien de l’homéostasie de notre milieu interne. Lorsqu’on prend ceci en considération, il apparaît soudain que l’endocrinologie est une science de la communication : entre différents organes pour ce qui concerne l’endocrinologie classique, mais également entre différentes cellules au sein d’un même organe lors d’interactions paracrines. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46614 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Grossesse après chirurgie bariatrique / Lucie Favre in Revue médicale suisse, 511 (Mars 2016)
PermalinkPrise en charge pluridisciplinaire des syndromes de dumping après chirurgie bariatrique / Véronique Di Vietta in Revue médicale suisse, 555 (Mars 2017)
Permalink