La psychomotricité en institution psychiatrique, quand le soin prend corps / Agnès Helias-Pean in Soins psychiatrie, 354 (Septembre-octobre 2024)

Public ISBD [article]  inSoins psychiatrie > 354 (Septembre-octobre 2024) . - p. 26-29 Titre : La psychomotricité en institution psychiatrique, quand le soin prend corps Type de document : texte imprimé Auteurs : Agnès Helias-Pean ; Sarah Bacrie ; Mélisande Le Corre Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : Relations interprofessionnelles  Corps  patient  psychiatrie  psychomotricité Résumé : En psychiatrie, les psychomotriciens peuvent occuper une place essentielle au sein des équipes pluridisciplinaires. La spécificité de leur regard et analyse clinique, ainsi que leurs outils de soins en font les spécialistes de la compréhension des symptômes exprimés par le corps et de la thérapie à médiation corporelle. Capables de proposer une intervention auprès des patients en crise et de penser des prises en charge sur le long terme pour les malades chroniques stabilisés, ils s’adaptent à la temporalité de la pathologie. Engagés dans le travail d’équipe, ils participent au tissage pluridisciplinaire contenant et structurant que confère l’institution psychiatrique aux patients les plus fragiles. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.spsy.2024.06.009 Cet article fait partie du dossier " De l'importance de l'équipe" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86139 [article] La psychomotricité en institution psychiatrique, quand le soin prend corps [texte imprimé] / Agnès Helias-Pean ; Sarah Bacrie ; Mélisande Le Corre . - 2024 . - p. 26-29. Langues : Français (fre) in Soins psychiatrie > 354 (Septembre-octobre 2024) . - p. 26-29 Mots-clés : Relations interprofessionnelles  Corps  patient  psychiatrie  psychomotricité Résumé : En psychiatrie, les psychomotriciens peuvent occuper une place essentielle au sein des équipes pluridisciplinaires. La spécificité de leur regard et analyse clinique, ainsi que leurs outils de soins en font les spécialistes de la compréhension des symptômes exprimés par le corps et de la thérapie à médiation corporelle. Capables de proposer une intervention auprès des patients en crise et de penser des prises en charge sur le long terme pour les malades chroniques stabilisés, ils s’adaptent à la temporalité de la pathologie. Engagés dans le travail d’équipe, ils participent au tissage pluridisciplinaire contenant et structurant que confère l’institution psychiatrique aux patients les plus fragiles. Note de contenu : Doi : 10.1016/j.spsy.2024.06.009 Cet article fait partie du dossier " De l'importance de l'équipe" Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86139

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Thérapie psychomotrice à l'adolescence / Mélisande Le Corre in Santé mentale, 206 (mars 2016)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > 206 (mars 2016) . - p. 18-24 Titre : Thérapie psychomotrice à l'adolescence Type de document : texte imprimé Auteurs : Mélisande Le Corre Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 18-24 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescent  Agressivité  Développement sexuel  Études de cas  Infractions sexuelles  Psychomotricité  Psychothérapie  Thérapeutique  Troubles psychotiques Résumé : L'adolescence est une phase de bouleversements psychocorporels significatifs, que le jeune ayant vécu un développement carencé traverse avec d'autant plus de difficultés. La thérapie psychomotrice, par sa spécificité à aborder l'Etre dans sa globalité, se propose de penser/panser le corps de l'adolescent par l'utilisation, entre autres, de médiations à dynamique régressive et structurante, tel que l'enveloppement. Cet article vise à présenter le suivi en psychomotricité d'un adolescent hospitalisé dans un service de psychiatrie accueillant des patients-détenus, à travers le récit de son évolution clinique et la présentation de dessins réalisés en séances. Note de contenu : Bibliographie Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36881 [article] Thérapie psychomotrice à l'adolescence [texte imprimé] / Mélisande Le Corre . - 2016 . - p. 18-24. Langues : Français (fre) in Santé mentale > 206 (mars 2016) . - p. 18-24 Mots-clés : Adolescent  Agressivité  Développement sexuel  Études de cas  Infractions sexuelles  Psychomotricité  Psychothérapie  Thérapeutique  Troubles psychotiques Résumé : L'adolescence est une phase de bouleversements psychocorporels significatifs, que le jeune ayant vécu un développement carencé traverse avec d'autant plus de difficultés. La thérapie psychomotrice, par sa spécificité à aborder l'Etre dans sa globalité, se propose de penser/panser le corps de l'adolescent par l'utilisation, entre autres, de médiations à dynamique régressive et structurante, tel que l'enveloppement. Cet article vise à présenter le suivi en psychomotricité d'un adolescent hospitalisé dans un service de psychiatrie accueillant des patients-détenus, à travers le récit de son évolution clinique et la présentation de dessins réalisés en séances. Note de contenu : Bibliographie Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36881

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Violences conjugales et maricide / Mélisande Le Corre in Santé mentale, Hors-Série (Août 2021)

Public ISBD [article]  inSanté mentale > Hors-Série (Août 2021) . - p. 47-52 Titre : Violences conjugales et maricide Auteurs : Mélisande Le Corre Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 47-52 Langues : Français (fre) Résumé : La quarantaine, Célina, qui souffre d’un vécu psychocorporel mortifère, purge une longue peine de prison pour le meurtre de son mari. Pas à pas, en psychomotricité, elle réalise un immense travail qui l’aide à réinvestir son corps, longtemps attaqué et meurtri. En France, environ 10 % des femmes subissent des violences conjugales, qui peuvent être verbales (dépréciation, insultes), psychologiques (dévalorisation, mépris, lavage de cerveau), financières (privations), physiques (coups, blessures, 25 %), sexuelles (viols, prostitution, 10 %) (1). Ces violences répétées rendent la victime vulnérable, visent sa négation, son asservissement, la dépossession de soi jusqu’à sa disparition éventuelle par meurtre ou suicide. En 2019, 146 femmes sont ainsi décédées, les 2/3 ayant antérieurement été violentées. L’enjeu de vie ou de mort et la nécessité de se protéger conduisent certaines de ces femmes à tuer leur conjoint : en 2019, on dénombre 27 victimes masculines. 81 % des femmes meurtrières étaient en couple avec le défunt, 50 % avaient subi des violences de sa part (19 % avaient déjà porté plainte), la majorité n’avait pas prémédité l’acte, qui se produit principalement au domicile conjugal, par arme blanche (2). Quand il est la conséquence de violences conjugales, le maricide s’agit sur le conjoint mais résulte bien d’une nécessité de sortir d’une impasse mortifère, dont la femme ne sait comment s’extraire tant l’emprise immobilise ses ressources psychosociales. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70413 [article] Violences conjugales et maricide [] / Mélisande Le Corre . - 2021 . - p. 47-52. Langues : Français (fre) in Santé mentale > Hors-Série (Août 2021) . - p. 47-52 Résumé : La quarantaine, Célina, qui souffre d’un vécu psychocorporel mortifère, purge une longue peine de prison pour le meurtre de son mari. Pas à pas, en psychomotricité, elle réalise un immense travail qui l’aide à réinvestir son corps, longtemps attaqué et meurtri. En France, environ 10 % des femmes subissent des violences conjugales, qui peuvent être verbales (dépréciation, insultes), psychologiques (dévalorisation, mépris, lavage de cerveau), financières (privations), physiques (coups, blessures, 25 %), sexuelles (viols, prostitution, 10 %) (1). Ces violences répétées rendent la victime vulnérable, visent sa négation, son asservissement, la dépossession de soi jusqu’à sa disparition éventuelle par meurtre ou suicide. En 2019, 146 femmes sont ainsi décédées, les 2/3 ayant antérieurement été violentées. L’enjeu de vie ou de mort et la nécessité de se protéger conduisent certaines de ces femmes à tuer leur conjoint : en 2019, on dénombre 27 victimes masculines. 81 % des femmes meurtrières étaient en couple avec le défunt, 50 % avaient subi des violences de sa part (19 % avaient déjà porté plainte), la majorité n’avait pas prémédité l’acte, qui se produit principalement au domicile conjugal, par arme blanche (2). Quand il est la conséquence de violences conjugales, le maricide s’agit sur le conjoint mais résulte bien d’une nécessité de sortir d’une impasse mortifère, dont la femme ne sait comment s’extraire tant l’emprise immobilise ses ressources psychosociales. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70413

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