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Auteur Solène Gardic |
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Rétention urinaire aiguë : Drainer en urgence pour soulager la douleur et éviter une altération du rein / Solène Gardic in La revue du praticien médecine générale, 953 (Janvier 2016)
[article]
Titre : Rétention urinaire aiguë : Drainer en urgence pour soulager la douleur et éviter une altération du rein Type de document : texte imprimé Auteurs : Solène Gardic ; Aurélien Descazeaud Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 11-13 Langues : Français (fre) Mots-clés : RETENTION URINAIRE Résumé : En France, près de 2 millions d'hommes souffrent de troubles du bas appareil urinaire, et la moitié d'entre eux sont traités médicalement pour une hypertrophie bénigne de la prostate. On estime qu'à l'âge de 70 ans le risque de faire une rétention aiguë d'urines dans les 5 ans est de 10 %.
C'est une impossibilité soudaine et douloureuse à vider volontairement sa vessie. Elle est dite provoquée lorsqu'une cause déclenchante est identifiée (morphiniques, interventions chirurgicales, fécalome, prostatite, traumatisme, etc.) ; elle est spontanée lorsqu'aucun facteur n'est mis en évidence.
D'après l'étude RETEN-WORLD (plus de 6 000 hommes dans 15 pays), la première des étiologies est l'HBP (70 % des cas). Pour 71 % d'entre eux, la rétention était spontanée ; 14 % des hommes étaient en situation de récidive.
Un âge avancé, des symptômes sévères, un volume prostatique élevé, un résidu post-mictionnel significatif, un début urinaire faible ou encore une mauvaise réponse à un alphabloquant sont de facteurs de risque connus de rétention aiguë en cas d'hypertrophie bénigne de la prostate.
La rétention chronique est définie par la présence d'un résidu dans la vessie après miction de volume supérieur à 100 ou 150 ml, selon les auteurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36834
in La revue du praticien médecine générale > 953 (Janvier 2016) . - p. 11-13[article] Rétention urinaire aiguë : Drainer en urgence pour soulager la douleur et éviter une altération du rein [texte imprimé] / Solène Gardic ; Aurélien Descazeaud . - 2016 . - p. 11-13.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 953 (Janvier 2016) . - p. 11-13
Mots-clés : RETENTION URINAIRE Résumé : En France, près de 2 millions d'hommes souffrent de troubles du bas appareil urinaire, et la moitié d'entre eux sont traités médicalement pour une hypertrophie bénigne de la prostate. On estime qu'à l'âge de 70 ans le risque de faire une rétention aiguë d'urines dans les 5 ans est de 10 %.
C'est une impossibilité soudaine et douloureuse à vider volontairement sa vessie. Elle est dite provoquée lorsqu'une cause déclenchante est identifiée (morphiniques, interventions chirurgicales, fécalome, prostatite, traumatisme, etc.) ; elle est spontanée lorsqu'aucun facteur n'est mis en évidence.
D'après l'étude RETEN-WORLD (plus de 6 000 hommes dans 15 pays), la première des étiologies est l'HBP (70 % des cas). Pour 71 % d'entre eux, la rétention était spontanée ; 14 % des hommes étaient en situation de récidive.
Un âge avancé, des symptômes sévères, un volume prostatique élevé, un résidu post-mictionnel significatif, un début urinaire faible ou encore une mauvaise réponse à un alphabloquant sont de facteurs de risque connus de rétention aiguë en cas d'hypertrophie bénigne de la prostate.
La rétention chronique est définie par la présence d'un résidu dans la vessie après miction de volume supérieur à 100 ou 150 ml, selon les auteurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36834 Exemplaires (1)
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