Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Alexander So |
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L’arthrose érosive des doigts / D. Van Linthoudt in Revue médicale suisse, 377 (Mars 2013)
[article]
Titre : L’arthrose érosive des doigts Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Van Linthoudt ; Cem Gabay ; Alexander So Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 569-575 Langues : Français (fre) Résumé : L’arthrose érosive des doigts est une affection fréquente et handicapante. Son diagnostic se base sur la présence d’érosions, parfois tardives. L’ultrasonographie permet un diagnostic plus précoce. La présence de cristaux d’apatite serait de mauvais pronostic. Le traitement non médicamenteux consiste en l’explication des phénomènes inflammatoires impliqués ainsi que l’utilisation d’attelles et de physiothérapie. Le traitement médicamenteux comprend les antalgiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et l’infiltration d’un stéroïde. Les chondroïtines sulfates ont un effet antalgique et fonctionnel prouvé. Des traitements de fond, comme l’hydroxychloroquine et le méthotrexate, ont été utilisés avec succès. Certains patients ont aussi bénéficié de synoviorthèses isotopiques. De nouvelles voies thérapeutiques, basées sur la physiopathologie, sont en évaluation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45497
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 569-575[article] L’arthrose érosive des doigts [texte imprimé] / D. Van Linthoudt ; Cem Gabay ; Alexander So . - 2013 . - p. 569-575.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 569-575
Résumé : L’arthrose érosive des doigts est une affection fréquente et handicapante. Son diagnostic se base sur la présence d’érosions, parfois tardives. L’ultrasonographie permet un diagnostic plus précoce. La présence de cristaux d’apatite serait de mauvais pronostic. Le traitement non médicamenteux consiste en l’explication des phénomènes inflammatoires impliqués ainsi que l’utilisation d’attelles et de physiothérapie. Le traitement médicamenteux comprend les antalgiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et l’infiltration d’un stéroïde. Les chondroïtines sulfates ont un effet antalgique et fonctionnel prouvé. Des traitements de fond, comme l’hydroxychloroquine et le méthotrexate, ont été utilisés avec succès. Certains patients ont aussi bénéficié de synoviorthèses isotopiques. De nouvelles voies thérapeutiques, basées sur la physiopathologie, sont en évaluation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45497 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Arthrose – où allons-nous en 2012 ? / Alexander So in Revue médicale suisse, 332 (Mars 2012)
[article]
Titre : Arthrose – où allons-nous en 2012 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexander So ; Cem Gabay Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 555-556 Langues : Français (fre) Résumé : La Journée romande de rhumatologie en 2011 était consacrée au sujet de l’arthrose, qui est certainement l’atteinte articulaire de l’appareil locomoteur la plus fréquente au plan mondial. Il nous a semblé opportun de faire le point sur la prise en charge de ce grand sujet, car il y a eu des progrès dans ce domaine ces dernières années. Dans les différents articles, l’intérêt s’est porté surtout sur l’aspect clinique de cette maladie. Les articles traitent de sujets comme le rôle du sport dans l’arthrose, les examens diagnostiques et les approches thérapeutiques. Même si nous n’avons pas de moyens puissants actuellement pour lutter contre la maladie, la recherche sur la pathogenèse de l’arthrose nous a donné des informations importantes qui ouvrent la voie aux thérapies futures. Les études longitudinales des cohortes de patients, suivis sur dix, ou même vingt ans, est une approche qui a fait beaucoup avancer nos connaissances sur l’arthrose et a permis d’identifier des facteurs de risque environnementaux. La valeur de cette forme de recherche clinique est irremplaçable car la recherche sur l’animal n’est pas capable de nous fournir les mêmes informations. L’arthrose touche différentes régions du squelette, où les influences ne sont pas identiques au plan épidémiologique. Dans l’arthrose digitale, l’influence génétique est importante et bien démontrée. Par contre, dans l’arthrose du genou, les aspects biomécaniques (axe articulaire, surpoids) et physiques (traumatisme) jouent des rôles prédominants. Ces observations nous amènent à la conclusion que l’arthrose n’est pas une entité homogène mais plutôt une manifestation pathologique commune de l’os et de l’articulation secondaire à des facteurs génétiques et environnementaux (mécaniques, biochimiques, et inflammatoires). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49538
in Revue médicale suisse > 332 (Mars 2012) . - p. 555-556[article] Arthrose – où allons-nous en 2012 ? [texte imprimé] / Alexander So ; Cem Gabay . - 2012 . - p. 555-556.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 332 (Mars 2012) . - p. 555-556
Résumé : La Journée romande de rhumatologie en 2011 était consacrée au sujet de l’arthrose, qui est certainement l’atteinte articulaire de l’appareil locomoteur la plus fréquente au plan mondial. Il nous a semblé opportun de faire le point sur la prise en charge de ce grand sujet, car il y a eu des progrès dans ce domaine ces dernières années. Dans les différents articles, l’intérêt s’est porté surtout sur l’aspect clinique de cette maladie. Les articles traitent de sujets comme le rôle du sport dans l’arthrose, les examens diagnostiques et les approches thérapeutiques. Même si nous n’avons pas de moyens puissants actuellement pour lutter contre la maladie, la recherche sur la pathogenèse de l’arthrose nous a donné des informations importantes qui ouvrent la voie aux thérapies futures. Les études longitudinales des cohortes de patients, suivis sur dix, ou même vingt ans, est une approche qui a fait beaucoup avancer nos connaissances sur l’arthrose et a permis d’identifier des facteurs de risque environnementaux. La valeur de cette forme de recherche clinique est irremplaçable car la recherche sur l’animal n’est pas capable de nous fournir les mêmes informations. L’arthrose touche différentes régions du squelette, où les influences ne sont pas identiques au plan épidémiologique. Dans l’arthrose digitale, l’influence génétique est importante et bien démontrée. Par contre, dans l’arthrose du genou, les aspects biomécaniques (axe articulaire, surpoids) et physiques (traumatisme) jouent des rôles prédominants. Ces observations nous amènent à la conclusion que l’arthrose n’est pas une entité homogène mais plutôt une manifestation pathologique commune de l’os et de l’articulation secondaire à des facteurs génétiques et environnementaux (mécaniques, biochimiques, et inflammatoires). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49538 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Complications iatrogènes : ce que tout médecin doit connaître / Cem Gabay in Revue médicale suisse, 553 (Mars 2017)
[article]
Titre : Complications iatrogènes : ce que tout médecin doit connaître Type de document : texte imprimé Auteurs : Cem Gabay ; Alexander So Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 539-540 Langues : Français (fre) Mots-clés : MALADIE IATROGÈNE RHUMATOLOGIE Résumé : Les connaissances concernant l’efficacité, les bénéfices attendus de même que les indications spécifiques des traitements sont généralement du ressort des spécialistes. Par contre, il est important que tout médecin sache reconnaître les effets secondaires et les complications des différentes approches thérapeutiques prescrites par les médecins spécialistes (plus spécifiquement dans le cadre de cet éditorial, par les rhumatologues). En effet, il est courant que les manifestations cliniques associées à des effets secondaires motivent des consultations en urgence et que les patients soient alors pris en charge par des médecins non spécialistes. Réciproquement, des traitements prescrits par d’autres spécialistes peuvent se manifester par des atteintes articulaires, tendineuses et musculaires qui doivent être reconnues par les rhumatologues.
Les signes infectieux classiques peuvent être absents, de même que l’élévation de la CRP
Les articles publiés dans ce numéro de la Revue Médicale Suisse reprennent le contenu des conférences présentées lors de la Journée Romande de Rhumatologie du 24 novembre 2016, qui était dédiée aux complications iatrogènes des traitements antirhumatismaux ainsi qu’aux complications rhumatismales d’autres traitements.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52989
in Revue médicale suisse > 553 (Mars 2017) . - p. 539-540[article] Complications iatrogènes : ce que tout médecin doit connaître [texte imprimé] / Cem Gabay ; Alexander So . - 2017 . - p. 539-540.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 553 (Mars 2017) . - p. 539-540
Mots-clés : MALADIE IATROGÈNE RHUMATOLOGIE Résumé : Les connaissances concernant l’efficacité, les bénéfices attendus de même que les indications spécifiques des traitements sont généralement du ressort des spécialistes. Par contre, il est important que tout médecin sache reconnaître les effets secondaires et les complications des différentes approches thérapeutiques prescrites par les médecins spécialistes (plus spécifiquement dans le cadre de cet éditorial, par les rhumatologues). En effet, il est courant que les manifestations cliniques associées à des effets secondaires motivent des consultations en urgence et que les patients soient alors pris en charge par des médecins non spécialistes. Réciproquement, des traitements prescrits par d’autres spécialistes peuvent se manifester par des atteintes articulaires, tendineuses et musculaires qui doivent être reconnues par les rhumatologues.
Les signes infectieux classiques peuvent être absents, de même que l’élévation de la CRP
Les articles publiés dans ce numéro de la Revue Médicale Suisse reprennent le contenu des conférences présentées lors de la Journée Romande de Rhumatologie du 24 novembre 2016, qui était dédiée aux complications iatrogènes des traitements antirhumatismaux ainsi qu’aux complications rhumatismales d’autres traitements.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52989 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Complicationset atteintes systémiques de la polyarthrite rhumatoïde / Alexandre Dumusc in Revue médicale suisse, 421 (Mars 2014)
[article]
Titre : Complicationset atteintes systémiques de la polyarthrite rhumatoïde Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre Dumusc ; Alexander So Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 590-594 Langues : Français (fre) Résumé : La polyarthrite rhumatoïde (PR), en plus de l’atteinte articulaire traditionnelle, peut toucher tous les organes car il s’agit d’une maladie systémique. L’atteinte extra-articulaire de la PR est très variable, allant des nodules rhumatoïdes (les plus fréquents) jusqu’à la vascularite rhumatoïde, grevée d’une morbidité et d’une mortalité importantes (49% à cinq ans). Avec les nouveaux algorithmes de traitement qui est de plus en plus précoce et l’utilisation des biothérapies, l’incidence des atteintes extra-articulaires graves diminue. Concernant le traitement de la vascularite rhumatoïde, l’utilisation du rituximab semble prometteuse.La PR augmente aussi les risques cardiovasculaire et d’ostéoporose. Il est donc important de les dépister et, le cas échéant, de les traiter. La collaboration avec le médecin de famille est ici essentielle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44237
in Revue médicale suisse > 421 (Mars 2014) . - p. 590-594[article] Complicationset atteintes systémiques de la polyarthrite rhumatoïde [texte imprimé] / Alexandre Dumusc ; Alexander So . - 2014 . - p. 590-594.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 421 (Mars 2014) . - p. 590-594
Résumé : La polyarthrite rhumatoïde (PR), en plus de l’atteinte articulaire traditionnelle, peut toucher tous les organes car il s’agit d’une maladie systémique. L’atteinte extra-articulaire de la PR est très variable, allant des nodules rhumatoïdes (les plus fréquents) jusqu’à la vascularite rhumatoïde, grevée d’une morbidité et d’une mortalité importantes (49% à cinq ans). Avec les nouveaux algorithmes de traitement qui est de plus en plus précoce et l’utilisation des biothérapies, l’incidence des atteintes extra-articulaires graves diminue. Concernant le traitement de la vascularite rhumatoïde, l’utilisation du rituximab semble prometteuse.La PR augmente aussi les risques cardiovasculaire et d’ostéoporose. Il est donc important de les dépister et, le cas échéant, de les traiter. La collaboration avec le médecin de famille est ici essentielle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44237 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les connectivites, une affaire de spécialistes ? / Cem Gabay in Revue médicale suisse, 377 (Mars 2013)
[article]
Titre : Les connectivites, une affaire de spécialistes ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Cem Gabay ; Alexander So Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 539-540 Langues : Français (fre) Résumé : Les connectivites sont un ensemble de maladies auto-immunes, avec manifestations systémiques, pouvant toucher par définition plusieurs organes. Ces maladies étaient auparavant connues sous le terme de collagénose. Actuellement, le terme de connectivite est plus généralement employé et dérive de la terminologie anglaise connective tissue diseases. Le lupus érythémateux systémique est la maladie la plus représentative des connectivites, toutefois d’autres affections telles que le syndrome de Sjögren, les myopathies inflammatoires idiopathiques, la sclérodermie et les connectivites mixtes font également partie de cet ensemble. La polyarthrite rhumatoïde est généralement classée un peu à part en raison de la prédominance des atteintes articulaires. Toutefois, les manifestations systémiques de cette maladie, de même que sa pathogénie auto-immune, la rapproche des connectivites. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45492
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 539-540[article] Les connectivites, une affaire de spécialistes ? [texte imprimé] / Cem Gabay ; Alexander So . - 2013 . - p. 539-540.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 539-540
Résumé : Les connectivites sont un ensemble de maladies auto-immunes, avec manifestations systémiques, pouvant toucher par définition plusieurs organes. Ces maladies étaient auparavant connues sous le terme de collagénose. Actuellement, le terme de connectivite est plus généralement employé et dérive de la terminologie anglaise connective tissue diseases. Le lupus érythémateux systémique est la maladie la plus représentative des connectivites, toutefois d’autres affections telles que le syndrome de Sjögren, les myopathies inflammatoires idiopathiques, la sclérodermie et les connectivites mixtes font également partie de cet ensemble. La polyarthrite rhumatoïde est généralement classée un peu à part en raison de la prédominance des atteintes articulaires. Toutefois, les manifestations systémiques de cette maladie, de même que sa pathogénie auto-immune, la rapproche des connectivites. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45492 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La polyarthrite rhumatoïde - état des lieux 2014 / Alexander So in Revue médicale suisse, 421 (Mars 2014)
PermalinkLes rhumatismes abarticulaires : importance pour la pratique en médecine générale / Cem Gabay in Revue médicale suisse, 465 (Mars 2015)
PermalinkRhumatologie : Canakinumab : Un traitement prometteur / Isabelle Fabreguet in Revue médicale suisse, 323 (Janvier 2012)
PermalinkRhumatologie. Une nouvelle option thérapeutique dans la prise en charge de l'inflammation chronique en rhumatologie : les inhibiteurs des Janus kinases / Pierre-Alain Varisco in Revue médicale suisse, 414 (Janvier 2014)
PermalinkSpondyloarthropathies : traitements conventionnels et anti-TNF / Alexandre Dumusc in Revue médicale suisse, 509 (Mars 2016)
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