Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur V. Lebon |
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Caractérisation de la fixation de 18F-FDOPA du tronc cérébral dans les syndromes parkinsoniens par TEP/IRM / G. Demonceau in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : Caractérisation de la fixation de 18F-FDOPA du tronc cérébral dans les syndromes parkinsoniens par TEP/IRM Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Demonceau ; Q. Demonceau ; V. Lebon Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 183 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.025 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENDOCRINOLOGIE NEUROLOGIE MALADIE PARKINSON 18F-FDOPA Résumé : Nous avons, à l’aide des valeurs automatiquement générées par un atlas TEP/IRM de la base du cerveau, recherché les altérations de fixation de la FDOPA au sein de régions prédéfinies du tronc cérébral. Ont été rétrospectivement sélectionnés 35 patients ayant subi un examen PET/IRM en F-DOPA, 15 porteurs d’une maladie de Parkinson (le groupe parkinsonien), 20 autres étant considérés comme très peu probable de posséder cette pathologie (le groupe contrôle). Les images T1 de chaque patient ont été recalées sur les images T1 d’un modèle où 28 régions anatomiques avaient été préalablement identifiées. Les paramètres du recalage ont ensuite été appliqués sur les images F-DOPA réalisées 90min après injection. Dans chaque région ont ensuite été générés des VOIS de différentes tailles : 1 voxel (1mm3), 27 voxels ou un volume adapté à la taille de la région à étudier. L’activité du voxel moyen, seule ou rapportée à celle des autres régions, a été utilisée pour distinguer les 2 groupes, en utilisant un test de Student. Globalement, l’utilisation uniforme de VOIs cubiques de 27 mm3 s’est avérée la plus discriminante. Une réduction significative de l’activité est ainsi observée chez le groupe parkinsonien au sein de la substance noire (p=0,03) et du pulvinar (p=0,04). Soustraire des valeurs mesurées la valeur moyenne du raphé médian augmente le nombre des régions significatives et leur capacité de discrimination : hypothalamus (p=0,003), noyaux réticulaires (p=0,006), substance noire (p=0,008) et pulvinar (p=0,01). Nous n’observons, par contre, pas de différence significative au sein du mésencéphale antérieur, de la zone A8, du raphé médian ou de l’épiphyse. En extra-tronculaire, la région occipitale n’était pas non plus affectée, au contraire du striatum et de l’amygdale (p=0,002). Les meilleures discriminations entre parkinsonien et contrôle, obtenues en combinant entre elles les activités des régions tronculaires et corticales, étaient fournies par la différence entre les activités moyennes entre, d’une part, le putamen, d’autre part, la substance noire (p=2 10-11), le pulvinar (p=1,0 10-10) ou l’amygale (p=2 10-9). Le côté gauche était significativement plus affecté que le droit. Nous pensons avoir pu montrer dans cette étude in vivo chez le parkinsonien l’atteinte des noyaux du tronc cérébral. Ceci ouvre des perspectives en termes de détection précoce, stadification et diagnostic différentiel de cette maladie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63057
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 183[article] Caractérisation de la fixation de 18F-FDOPA du tronc cérébral dans les syndromes parkinsoniens par TEP/IRM [texte imprimé] / G. Demonceau ; Q. Demonceau ; V. Lebon . - 2019 . - p. 183.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.025
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 183
Mots-clés : ENDOCRINOLOGIE NEUROLOGIE MALADIE PARKINSON 18F-FDOPA Résumé : Nous avons, à l’aide des valeurs automatiquement générées par un atlas TEP/IRM de la base du cerveau, recherché les altérations de fixation de la FDOPA au sein de régions prédéfinies du tronc cérébral. Ont été rétrospectivement sélectionnés 35 patients ayant subi un examen PET/IRM en F-DOPA, 15 porteurs d’une maladie de Parkinson (le groupe parkinsonien), 20 autres étant considérés comme très peu probable de posséder cette pathologie (le groupe contrôle). Les images T1 de chaque patient ont été recalées sur les images T1 d’un modèle où 28 régions anatomiques avaient été préalablement identifiées. Les paramètres du recalage ont ensuite été appliqués sur les images F-DOPA réalisées 90min après injection. Dans chaque région ont ensuite été générés des VOIS de différentes tailles : 1 voxel (1mm3), 27 voxels ou un volume adapté à la taille de la région à étudier. L’activité du voxel moyen, seule ou rapportée à celle des autres régions, a été utilisée pour distinguer les 2 groupes, en utilisant un test de Student. Globalement, l’utilisation uniforme de VOIs cubiques de 27 mm3 s’est avérée la plus discriminante. Une réduction significative de l’activité est ainsi observée chez le groupe parkinsonien au sein de la substance noire (p=0,03) et du pulvinar (p=0,04). Soustraire des valeurs mesurées la valeur moyenne du raphé médian augmente le nombre des régions significatives et leur capacité de discrimination : hypothalamus (p=0,003), noyaux réticulaires (p=0,006), substance noire (p=0,008) et pulvinar (p=0,01). Nous n’observons, par contre, pas de différence significative au sein du mésencéphale antérieur, de la zone A8, du raphé médian ou de l’épiphyse. En extra-tronculaire, la région occipitale n’était pas non plus affectée, au contraire du striatum et de l’amygdale (p=0,002). Les meilleures discriminations entre parkinsonien et contrôle, obtenues en combinant entre elles les activités des régions tronculaires et corticales, étaient fournies par la différence entre les activités moyennes entre, d’une part, le putamen, d’autre part, la substance noire (p=2 10-11), le pulvinar (p=1,0 10-10) ou l’amygale (p=2 10-9). Le côté gauche était significativement plus affecté que le droit. Nous pensons avoir pu montrer dans cette étude in vivo chez le parkinsonien l’atteinte des noyaux du tronc cérébral. Ceci ouvre des perspectives en termes de détection précoce, stadification et diagnostic différentiel de cette maladie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63057 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Imagerie fonctionnelle et métabolique du neuroblastome en 2016 / M. Breton in MÉDECINE NUCLÉAIRE, vol. 40, n° 5 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Imagerie fonctionnelle et métabolique du neuroblastome en 2016 Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Breton ; N. Jehanno ; V. Lebon ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 349-363 Langues : Français (fre) Mots-clés : NEUROBLASTOME ONCOLOGIE PEDIATRIE IMAGERIE MEDICALE Résumé : Le neuroblastome est le cancer le plus fréquemment rencontré chez le nourrisson et le jeune enfant et présente une très grande hétérogénéité clinique, génétique et histologique. La scintigraphie utilisant la 123I-MIBG reste actuellement l’examen clé pour le diagnostic, la stadification, le pronostic et le suivi du neuroblastome. La scintigraphie à la 131I-MIBG ne doit plus être utilisée actuellement en imagerie diagnostique. La tomoscintigraphie à la 123I-MIBG couplée au scanner apparaît indispensable pour le bilan d’extension initial et le suivi, notamment pour l’étude des masses résiduelles en situation post-chirurgicale. Elle permet d’améliorer la résolution spatiale, de mieux localiser les lésions et de réduire le nombre de faux positifs et faux négatifs par rapport à l’imagerie planaire. Dans le bilan d’extension, la scintigraphie osseuse n’est plus indiquée et remplacée par la tomographie par émission de positons (TEP) au 18F-FDG. Bien que cette dernière n’ait pas montré une meilleure sensibilité que la scintigraphie 123I-MIBG pour la détection des lésions ostéomédullaires lors du bilan d’extension initial et du suivi des neuroblastomes de stade 3 et 4, elle est recommandée dans le cas des neuroblastomes ne captant pas la 123I-MIBG. La TEP à la 18F-DOPA représente, aujourd’hui, une alternative réaliste à la scintigraphie 123I-MIBG, avec une spécificité de ce traceur pour le neuroblastome et l’absence d’interaction médicamenteuse. D’autres traceurs TEP (124I-MIBG, 18F-MFBG) et surtout les peptides marqués au 68Ga représentent en tant qu’agent théranostique une perspective pour des débouchés thérapeutiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44370
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 40, n° 5 (Octobre 2016) . - p. 349-363[article] Imagerie fonctionnelle et métabolique du neuroblastome en 2016 [texte imprimé] / M. Breton ; N. Jehanno ; V. Lebon ; et al. . - 2016 . - p. 349-363.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 40, n° 5 (Octobre 2016) . - p. 349-363
Mots-clés : NEUROBLASTOME ONCOLOGIE PEDIATRIE IMAGERIE MEDICALE Résumé : Le neuroblastome est le cancer le plus fréquemment rencontré chez le nourrisson et le jeune enfant et présente une très grande hétérogénéité clinique, génétique et histologique. La scintigraphie utilisant la 123I-MIBG reste actuellement l’examen clé pour le diagnostic, la stadification, le pronostic et le suivi du neuroblastome. La scintigraphie à la 131I-MIBG ne doit plus être utilisée actuellement en imagerie diagnostique. La tomoscintigraphie à la 123I-MIBG couplée au scanner apparaît indispensable pour le bilan d’extension initial et le suivi, notamment pour l’étude des masses résiduelles en situation post-chirurgicale. Elle permet d’améliorer la résolution spatiale, de mieux localiser les lésions et de réduire le nombre de faux positifs et faux négatifs par rapport à l’imagerie planaire. Dans le bilan d’extension, la scintigraphie osseuse n’est plus indiquée et remplacée par la tomographie par émission de positons (TEP) au 18F-FDG. Bien que cette dernière n’ait pas montré une meilleure sensibilité que la scintigraphie 123I-MIBG pour la détection des lésions ostéomédullaires lors du bilan d’extension initial et du suivi des neuroblastomes de stade 3 et 4, elle est recommandée dans le cas des neuroblastomes ne captant pas la 123I-MIBG. La TEP à la 18F-DOPA représente, aujourd’hui, une alternative réaliste à la scintigraphie 123I-MIBG, avec une spécificité de ce traceur pour le neuroblastome et l’absence d’interaction médicamenteuse. D’autres traceurs TEP (124I-MIBG, 18F-MFBG) et surtout les peptides marqués au 68Ga représentent en tant qu’agent théranostique une perspective pour des débouchés thérapeutiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44370 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt NEUROSPIN, L'INTERET DE L'IMAGERIE CEREBRALE A TRES HAUT CHAMP / L. Allirol in Le Manipulateur d'imagerie médicale et de radiothérapie, 183 (janvier 2010)
[article]
Titre : NEUROSPIN, L'INTERET DE L'IMAGERIE CEREBRALE A TRES HAUT CHAMP Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Allirol, Auteur ; V. Lebon, Auteur ; L. Hertz-Pannier, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : p. 08-11 Langues : Français (fre) Mots-clés : IMAGERIE MEDICALE IMAGERIE PAR RESONANCE MAGNETIQUE CERVEAU NEUROLOGIE NEUROPATHOLOGIE Résumé : Aujourd'hui, l'IRM se heurte à des contraintes techniques qui limitent les potentialités pour comprendre le fonctionnement cérébral et certaines pathologies neurologiques. Pour dépasser ces contraintes, NeuroSpin, plateforme de neuro-imagerie située dans le centre du CEA-SACLAY, s'est dotée d'imageurs IRM à très heut champ. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40645
in Le Manipulateur d'imagerie médicale et de radiothérapie > 183 (janvier 2010) . - p. 08-11[article] NEUROSPIN, L'INTERET DE L'IMAGERIE CEREBRALE A TRES HAUT CHAMP [texte imprimé] / L. Allirol, Auteur ; V. Lebon, Auteur ; L. Hertz-Pannier, Auteur ; et al., Auteur . - 2010 . - p. 08-11.
Langues : Français (fre)
in Le Manipulateur d'imagerie médicale et de radiothérapie > 183 (janvier 2010) . - p. 08-11
Mots-clés : IMAGERIE MEDICALE IMAGERIE PAR RESONANCE MAGNETIQUE CERVEAU NEUROLOGIE NEUROPATHOLOGIE Résumé : Aujourd'hui, l'IRM se heurte à des contraintes techniques qui limitent les potentialités pour comprendre le fonctionnement cérébral et certaines pathologies neurologiques. Pour dépasser ces contraintes, NeuroSpin, plateforme de neuro-imagerie située dans le centre du CEA-SACLAY, s'est dotée d'imageurs IRM à très heut champ. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40645 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt What are we expecting from PET/MRI? / F.L. Besson in MÉDECINE NUCLÉAIRE, vol. 40, n° 1 (Février 2016)
[article]
Titre : What are we expecting from PET/MRI? Titre original : Qu’attendons-nous de la TEP/IRM ? Type de document : texte imprimé Auteurs : F.L. Besson ; V. Lebon ; E. Durand Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.31-40 Langues : Français (fre) Mots-clés : RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE Résumé : L’imagerie hybride TEP/IRM est devenue accessible il y cinq ans. Contrairement à la modalité TEP/TDM qui s’est rapidement imposée en imagerie clinique, l’intérêt clinique de la TEP/IRM reste toujours à définir. De multiples défis, notamment la correction d’atténuation et l’optimisation des protocoles d’acquisition, restent à surmonter pour que la TEP/IRM puisse se positionner durablement en imagerie clinique. Les propriétés de l’IRM, appliquées à l’imagerie TEP, pourraient changer radicalement l’imagerie quantitative et la caractérisation tissulaire en TEP, mais cette future révolution dépend nécessairement du niveau de pertinence que nous attendons de telles machines hybrides. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36551
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 40, n° 1 (Février 2016) . - p.31-40[article] What are we expecting from PET/MRI? = Qu’attendons-nous de la TEP/IRM ? [texte imprimé] / F.L. Besson ; V. Lebon ; E. Durand . - 2016 . - p.31-40.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 40, n° 1 (Février 2016) . - p.31-40
Mots-clés : RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE Résumé : L’imagerie hybride TEP/IRM est devenue accessible il y cinq ans. Contrairement à la modalité TEP/TDM qui s’est rapidement imposée en imagerie clinique, l’intérêt clinique de la TEP/IRM reste toujours à définir. De multiples défis, notamment la correction d’atténuation et l’optimisation des protocoles d’acquisition, restent à surmonter pour que la TEP/IRM puisse se positionner durablement en imagerie clinique. Les propriétés de l’IRM, appliquées à l’imagerie TEP, pourraient changer radicalement l’imagerie quantitative et la caractérisation tissulaire en TEP, mais cette future révolution dépend nécessairement du niveau de pertinence que nous attendons de telles machines hybrides. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36551 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt