Centre de Documentation Gilly
HORAIRE
Lu : 8h30 à 12h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h30 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h30 à 12h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Fermé du mercredi 10 juillet à midi au jeudi 15 août
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation de Gilly
HELHa - Paramédical.
Détail de l'auteur
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
[article]
Titre : |
La canneberge : un remède «naturel» pour prévenir les infections urinaires ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Aline Flatz ; Olivier Clerc ; Isabelle Peytremann-Bridevaux ; et al. |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 1280 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’infection urinaire est un diagnostic très fréquent en pratique ambulatoire, qui implique le plus souvent un traitement. En plus des femmes jeunes, sexuellement actives, elle affecte également fréquemment les enfants en bas âge, les femmes enceintes et les personnes âgées.
La canneberge est utilisée depuis plusieurs dizaines d’années pour prévenir et traiter les IU. Bien que des études suggèrent que certaines substances contenues dans la canneberge empêchent l’adhésion des bactéries à la paroi vésicale, son mécanisme d’action reste peu clair. Le but de cette mise à jour de revue systématique était de déterminer l’efficacité de la canneberge dans la prévention des IU chez les populations à risque. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45093 |
in Revue médicale suisse > 390 (Juin 2013) . - p. 1280
[article] La canneberge : un remède «naturel» pour prévenir les infections urinaires ? [texte imprimé] / Aline Flatz ; Olivier Clerc ; Isabelle Peytremann-Bridevaux ; et al. . - 2013 . - p. 1280. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 390 (Juin 2013) . - p. 1280
Résumé : |
L’infection urinaire est un diagnostic très fréquent en pratique ambulatoire, qui implique le plus souvent un traitement. En plus des femmes jeunes, sexuellement actives, elle affecte également fréquemment les enfants en bas âge, les femmes enceintes et les personnes âgées.
La canneberge est utilisée depuis plusieurs dizaines d’années pour prévenir et traiter les IU. Bien que des études suggèrent que certaines substances contenues dans la canneberge empêchent l’adhésion des bactéries à la paroi vésicale, son mécanisme d’action reste peu clair. Le but de cette mise à jour de revue systématique était de déterminer l’efficacité de la canneberge dans la prévention des IU chez les populations à risque. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45093 |
| ![La canneberge : un remède «naturel» pour prévenir les infections urinaires ? vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
[article]
Titre : |
Contrôle glycémique chez le diabétique de type 1 : quels objectifs ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
R. Kruithof ; Aline Flatz ; Marc Egli ; Isabelle Peytremann-Bridevaux |
Année de publication : |
2014 |
Article en page(s) : |
p. 1473 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Le traitement recommandé du diabète de type 1 repose sur le contrôle glycémique strict, qui permet une diminution du risque de complications microvasculaires comparativement à un contrôle glycémique moins strict (conventionnel). L’effet du contrôle glycémique strict sur les complications macrovasculaires est moins clair. La question des objectifs glycémiques est ainsi sujette à débat. Alors qu’il n’y a pas eu de nouvelles études d’intervention concernant le diabète de type 1 chez les adultes depuis les années 1990, des études récentes concernant le diabète de type 2 ont montré l’absence de bénéfices sur le risque de complications, voire une augmentation de la mortalité en cas de contrôle glycémique très strict, comparativement à un contrôle moins strict. L’objectif de cette revue était de déterminer les avantages et inconvénients du contrôle glycémique strict dans le diabète de type I. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43335 |
in Revue médicale suisse > 437 (Juillet 2014) . - p. 1473
[article] Contrôle glycémique chez le diabétique de type 1 : quels objectifs ? [texte imprimé] / R. Kruithof ; Aline Flatz ; Marc Egli ; Isabelle Peytremann-Bridevaux . - 2014 . - p. 1473. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 437 (Juillet 2014) . - p. 1473
Résumé : |
Le traitement recommandé du diabète de type 1 repose sur le contrôle glycémique strict, qui permet une diminution du risque de complications microvasculaires comparativement à un contrôle glycémique moins strict (conventionnel). L’effet du contrôle glycémique strict sur les complications macrovasculaires est moins clair. La question des objectifs glycémiques est ainsi sujette à débat. Alors qu’il n’y a pas eu de nouvelles études d’intervention concernant le diabète de type 1 chez les adultes depuis les années 1990, des études récentes concernant le diabète de type 2 ont montré l’absence de bénéfices sur le risque de complications, voire une augmentation de la mortalité en cas de contrôle glycémique très strict, comparativement à un contrôle moins strict. L’objectif de cette revue était de déterminer les avantages et inconvénients du contrôle glycémique strict dans le diabète de type I. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=43335 |
| ![Contrôle glycémique chez le diabétique de type 1 : quels objectifs ? vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
[article]
Titre : |
Phimosis et corticostéroïdes topiques : une alternative au traitement chirurgical ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Aline Flatz ; C. Rey-Bellet Gasser ; Isabelle Peytremann-Bridevaux |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p.837 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
PHIMOSIS CHIRURGIE CORTICOSTEROIDE |
Résumé : |
Présent dès la naissance, le phimosis physiologique se résout spontanément dans la majorité des cas. Alors que 10% des garçons présentent un phimosis à l’âge de 3 ans, cette prévalence diminue à 6-8% à l’âge de 7 ans, pour atteindre 1% à l’âge de 16 ans. On parle de phimosis pathologique lorsque le prépuce présente des cicatrices fibreuses suite à des inflammations répétées ou des décalottages forcés. Cependant, la distinction clinique entre un phimosis pathologique et physiologique est difficile et le traitement chirurgical reste fréquent. Un traitement par corticostéroïdes topiques est utilisé depuis de nombreuses années pour son action anti-inflammatoire et immunosuppressive (diminution de la production de collagène). Pourtant, il n’existe pas de preuve quant à l’efficacité et la sécurité de ce traitement. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41222 |
in Revue médicale suisse > 469 (Avril 2015) . - p.837
[article] Phimosis et corticostéroïdes topiques : une alternative au traitement chirurgical ? [texte imprimé] / Aline Flatz ; C. Rey-Bellet Gasser ; Isabelle Peytremann-Bridevaux . - 2015 . - p.837. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 469 (Avril 2015) . - p.837
Mots-clés : |
PHIMOSIS CHIRURGIE CORTICOSTEROIDE |
Résumé : |
Présent dès la naissance, le phimosis physiologique se résout spontanément dans la majorité des cas. Alors que 10% des garçons présentent un phimosis à l’âge de 3 ans, cette prévalence diminue à 6-8% à l’âge de 7 ans, pour atteindre 1% à l’âge de 16 ans. On parle de phimosis pathologique lorsque le prépuce présente des cicatrices fibreuses suite à des inflammations répétées ou des décalottages forcés. Cependant, la distinction clinique entre un phimosis pathologique et physiologique est difficile et le traitement chirurgical reste fréquent. Un traitement par corticostéroïdes topiques est utilisé depuis de nombreuses années pour son action anti-inflammatoire et immunosuppressive (diminution de la production de collagène). Pourtant, il n’existe pas de preuve quant à l’efficacité et la sécurité de ce traitement. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41222 |
| ![Phimosis et corticostéroïdes topiques : une alternative au traitement chirurgical ? vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
Permalink
Permalink
Permalink