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[article]
Titre : |
Étude de l’impact d’une correction d’atténuation par tomodensitométrie en scintigraphie myocardique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
M. Benkiran, Auteur ; et al., Auteur ; A. Bourdon, Auteur ; Louis Sibille, Auteur |
Année de publication : |
2012 |
Article en page(s) : |
243-256 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
scintigraphie myocardique artefact correction atténuation |
Résumé : |
La tomoscintigraphie myocardique de perfusion est un examen de routine pour l’évaluation de patients atteints de cardiopathie ischémique. Cependant, des artefacts d’atténuation peuvent entraîner une diminution de la spécificité. Ils peuvent être corrigés avec une correction d’atténuation. Nous avons inclus de manière prospective 70 patients ayant bénéficié d’une tomoscintigraphie myocardique de perfusion avec et sans correction d’atténuation à l’aide d’une imagerie de transmission tomodensitométrique intégrée dans le système d’acquisition d’émission chez des patients à faible prévalence de cardiopathie ischémique. Une analyse quantitative automatique constituant des scores sommés de stress (SSS) et de repos (SRS) et un score sommé de différences (SDS) a été utilisée comme critères d’interprétation. Les résultats ont montré une spécificité de 80 % pour les images avec correction d’atténuation (IRAC) et 56 % pour les images sans correction d’atténuation (IRNC), une valeur prédictive positive de 40 % pour les IRAC et 23 % pour les IRNC, sans modification significative de la sensibilité. Un test de Student non apparié n’a pas mis en évidence de différence significative entre la population globale et celle où un artefact a été corrigé pour la fréquence cardiaque et respiratoire, l’index de masse corporelle (IMC), le périmètre abdominal, thoracique et le rapport de ces deux derniers. La correction d’atténuation améliore nettement la spécificité de la scintigraphie myocardique sans différence significative de la sensibilité. La majorité des corrections ont concerné des artefacts de la paroi inférieure chez des hommes. Il n’y a pas de corrélation entre les paramètres anthropomorphiques et physiologiques et la survenue d’un artefact d’atténuation corrigé par les données de tomodensitométrie. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29525 |
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 36, n° 5 (Mai 2012) . - 243-256
[article] Étude de l’impact d’une correction d’atténuation par tomodensitométrie en scintigraphie myocardique [texte imprimé] / M. Benkiran, Auteur ; et al., Auteur ; A. Bourdon, Auteur ; Louis Sibille, Auteur . - 2012 . - 243-256. Langues : Français ( fre) in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 36, n° 5 (Mai 2012) . - 243-256
Mots-clés : |
scintigraphie myocardique artefact correction atténuation |
Résumé : |
La tomoscintigraphie myocardique de perfusion est un examen de routine pour l’évaluation de patients atteints de cardiopathie ischémique. Cependant, des artefacts d’atténuation peuvent entraîner une diminution de la spécificité. Ils peuvent être corrigés avec une correction d’atténuation. Nous avons inclus de manière prospective 70 patients ayant bénéficié d’une tomoscintigraphie myocardique de perfusion avec et sans correction d’atténuation à l’aide d’une imagerie de transmission tomodensitométrique intégrée dans le système d’acquisition d’émission chez des patients à faible prévalence de cardiopathie ischémique. Une analyse quantitative automatique constituant des scores sommés de stress (SSS) et de repos (SRS) et un score sommé de différences (SDS) a été utilisée comme critères d’interprétation. Les résultats ont montré une spécificité de 80 % pour les images avec correction d’atténuation (IRAC) et 56 % pour les images sans correction d’atténuation (IRNC), une valeur prédictive positive de 40 % pour les IRAC et 23 % pour les IRNC, sans modification significative de la sensibilité. Un test de Student non apparié n’a pas mis en évidence de différence significative entre la population globale et celle où un artefact a été corrigé pour la fréquence cardiaque et respiratoire, l’index de masse corporelle (IMC), le périmètre abdominal, thoracique et le rapport de ces deux derniers. La correction d’atténuation améliore nettement la spécificité de la scintigraphie myocardique sans différence significative de la sensibilité. La majorité des corrections ont concerné des artefacts de la paroi inférieure chez des hommes. Il n’y a pas de corrélation entre les paramètres anthropomorphiques et physiologiques et la survenue d’un artefact d’atténuation corrigé par les données de tomodensitométrie. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29525 |
| ![Étude de l’impact d’une correction d’atténuation par tomodensitométrie en scintigraphie myocardique vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Étude observationnelle CAPITAL et prescription de l’hormonotherapie par les urologues français dans la pratique quotidienne |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexandre De la Taille ; S.J. Drouin ; Morgan Rouprêt ; et al. |
Année de publication : |
2009 |
Article en page(s) : |
S.20-25 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Cancer de prostate PSA Hormonothérapie Agonistes de la LH-RH Effets secondaires Effets cardiovasculaires |
Résumé : |
Le cancer de la prostate est une maladie hétérogène composée de plusieurs stades évolutifs nécessitant des traitements différents adaptés au patient et à la maladie. La déprivation androgénique par l’hormonothérapie, développée pour le traitement des cancers métastatiques ou dans un cadre palliatif, est utilisée à tous les stades de la maladie. Pourtant la toxicité de l’hormonothérapie n’est pas négligeable, avec des effets secondaires cardiovasculaire, métabolique et osseux responsable d’une réduction des bénéfices du traitement. L’étude observationnelle CAPITAL a permis de définir les pratiques de 208 spécialistes (urologues et radiothérapeutes) et a concerné plus de mille patients. L’hormonothérapie a été principalement prescrite pour une récidive biologique après traitement de première ligne (32,2 %) ou des métastases (32,9 %). Au total, 83 % des patients sous traitement hormonal étaient satisfaits de leur traitement. La prescription de l’hormonothérapie doit donc être réfléchie chez l’homme jeune dont elle grèverait la qualité de vie. Elle doit s’accompagner d’une prise en charge globale qui vise à prévenir et réduire sa toxicité. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44715 |
in Progrès en urologie > Vol. 19 Supplément 1 (Avril 2009) . - S.20-25
[article] Étude observationnelle CAPITAL et prescription de l’hormonotherapie par les urologues français dans la pratique quotidienne [texte imprimé] / Alexandre De la Taille ; S.J. Drouin ; Morgan Rouprêt ; et al. . - 2009 . - S.20-25. Langues : Français ( fre) in Progrès en urologie > Vol. 19 Supplément 1 (Avril 2009) . - S.20-25
Mots-clés : |
Cancer de prostate PSA Hormonothérapie Agonistes de la LH-RH Effets secondaires Effets cardiovasculaires |
Résumé : |
Le cancer de la prostate est une maladie hétérogène composée de plusieurs stades évolutifs nécessitant des traitements différents adaptés au patient et à la maladie. La déprivation androgénique par l’hormonothérapie, développée pour le traitement des cancers métastatiques ou dans un cadre palliatif, est utilisée à tous les stades de la maladie. Pourtant la toxicité de l’hormonothérapie n’est pas négligeable, avec des effets secondaires cardiovasculaire, métabolique et osseux responsable d’une réduction des bénéfices du traitement. L’étude observationnelle CAPITAL a permis de définir les pratiques de 208 spécialistes (urologues et radiothérapeutes) et a concerné plus de mille patients. L’hormonothérapie a été principalement prescrite pour une récidive biologique après traitement de première ligne (32,2 %) ou des métastases (32,9 %). Au total, 83 % des patients sous traitement hormonal étaient satisfaits de leur traitement. La prescription de l’hormonothérapie doit donc être réfléchie chez l’homme jeune dont elle grèverait la qualité de vie. Elle doit s’accompagner d’une prise en charge globale qui vise à prévenir et réduire sa toxicité. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44715 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
![détail](./getgif.php?nomgif=plus)
Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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: Des repères (sans cesse) bouleversés
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