Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Louis Hector |
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'Je ne sais plus à qui me fier' / Louis Hector in Santé mentale, 201 (Octobre 2015)
[article]
Titre : 'Je ne sais plus à qui me fier' Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Hector Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.60-65 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONFIANCE SCHIZOPHRENIE DISTANCE THERAPEUTIQUE RELATION SOIGNANT-SOIGNE SOINS PSYCHIATRIQUES Résumé : Lors d'une formation dans le centre hospitalier où il a travaillé, l'auteur, Infirmier de Secteur Psychiatrique (ISP), entend un patient schizophrène qu'il a suivi pendant douze ans se plaindre de ne plus avoir de personne de confiance. Il déplie tout au long de ce texte, en se référant à l'histoire de leur relation, les significations imaginaires associées à cette expression. On y voit un soignant, un soigné, une équipe en travail. S'il faut, au fond, peu de chose pour qu'un patient puisse lutter contre le vide, il en faut également peu pour balayer ses suppléances (résumé de l'auteur). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=34962
in Santé mentale > 201 (Octobre 2015) . - p.60-65[article] 'Je ne sais plus à qui me fier' [texte imprimé] / Louis Hector . - 2015 . - p.60-65.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 201 (Octobre 2015) . - p.60-65
Mots-clés : CONFIANCE SCHIZOPHRENIE DISTANCE THERAPEUTIQUE RELATION SOIGNANT-SOIGNE SOINS PSYCHIATRIQUES Résumé : Lors d'une formation dans le centre hospitalier où il a travaillé, l'auteur, Infirmier de Secteur Psychiatrique (ISP), entend un patient schizophrène qu'il a suivi pendant douze ans se plaindre de ne plus avoir de personne de confiance. Il déplie tout au long de ce texte, en se référant à l'histoire de leur relation, les significations imaginaires associées à cette expression. On y voit un soignant, un soigné, une équipe en travail. S'il faut, au fond, peu de chose pour qu'un patient puisse lutter contre le vide, il en faut également peu pour balayer ses suppléances (résumé de l'auteur). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=34962 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? / Louis Hector in Santé mentale, 284 (Janvier 2024)
[article]
Titre : « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Hector Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 24-28 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Résumé : Rien de plus simple, en apparence, que d’inviter une personne à s’exprimer mais dès que l’on déplie ce « Je vous écoute… », on est saisi par sa complexité, le nombre de mécanismes en jeu et ce que cela engage pour ce « je » qui écoute…
Trois mots tout simples, suivis de trois points de suspension. Une phrase sans chichi destinée à apaiser. « Je », une première personne, traduit l’engagement, la présence, l’écoutant ; « vous », la deuxième personne, tout aussi singulière que la première, nomme le destinataire qui est aussi l’émetteur potentiel, l’écouté ; puis le verbe, l’action, « écoute » signifie tout autant « je vous vois, je suis là, vous pouvez parler en confiance, je ne vous jugerai pas ». Les points de suspension ne sont pas moins importants. Ils disent l’ouverture à ce qui se dit, à ce qui vient, à ce qui se noue, là, ici et maintenant. Ils disent le possible. L’écouté peut s’en saisir et dire ce qu’il a à dire, ce qui lui pèse, ce qu’il ne supporte pas d’avoir en tête, aux tripes, au coeur en tâtonnant ou, au contraire, en s’en débarrassant le plus vite possible. Il peut aussi tout aussi bien se taire, rester silencieux, en attente, en refus. La présence, l’engagement sont de mise chez l’un et chez l’autre [...]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81610
in Santé mentale > 284 (Janvier 2024) . - p. 24-28[article] « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? [texte imprimé] / Louis Hector . - 2024 . - p. 24-28.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (Janvier 2024) . - p. 24-28
Résumé : Rien de plus simple, en apparence, que d’inviter une personne à s’exprimer mais dès que l’on déplie ce « Je vous écoute… », on est saisi par sa complexité, le nombre de mécanismes en jeu et ce que cela engage pour ce « je » qui écoute…
Trois mots tout simples, suivis de trois points de suspension. Une phrase sans chichi destinée à apaiser. « Je », une première personne, traduit l’engagement, la présence, l’écoutant ; « vous », la deuxième personne, tout aussi singulière que la première, nomme le destinataire qui est aussi l’émetteur potentiel, l’écouté ; puis le verbe, l’action, « écoute » signifie tout autant « je vous vois, je suis là, vous pouvez parler en confiance, je ne vous jugerai pas ». Les points de suspension ne sont pas moins importants. Ils disent l’ouverture à ce qui se dit, à ce qui vient, à ce qui se noue, là, ici et maintenant. Ils disent le possible. L’écouté peut s’en saisir et dire ce qu’il a à dire, ce qui lui pèse, ce qu’il ne supporte pas d’avoir en tête, aux tripes, au coeur en tâtonnant ou, au contraire, en s’en débarrassant le plus vite possible. Il peut aussi tout aussi bien se taire, rester silencieux, en attente, en refus. La présence, l’engagement sont de mise chez l’un et chez l’autre [...]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81610 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt