Contraception : que savent les femmes? / S. Figon in La revue du praticien médecine générale, 758 - 759 (fevrier 2007)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien médecine générale > 758 - 759 (fevrier 2007) . - 179 - 181 Titre : Contraception : que savent les femmes? Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Figon ; G. Ferre ; A. Moreau Année de publication : 2007 Article en page(s) : 179 - 181 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONTRACEPTION  ENQUETE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8866 [article] Contraception : que savent les femmes? [texte imprimé] / S. Figon ; G. Ferre ; A. Moreau . - 2007 . - 179 - 181. Langues : Français (fre) in La revue du praticien médecine générale > 758 - 759 (fevrier 2007) . - 179 - 181 Mots-clés : CONTRACEPTION  ENQUETE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=8866

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Controverse : est-il nécessaire de faire des images (lymphoscintigraphies) pour repérer le ganglion sentinelle dans le cancer du sein ? / A. Moreau in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 39, n° 3 (2015)

Public ISBD [article]  inMÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 310-314 Titre : Controverse : est-il nécessaire de faire des images (lymphoscintigraphies) pour repérer le ganglion sentinelle dans le cancer du sein ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Moreau, Auteur ; F. Giammarile, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 310-314 Langues : Français (fre) Mots-clés : ganglion sentinelle  Tumeurs du sein  lymphoscintigraphie Résumé : Depuis près d’un quart de siècle, la recherche du ganglion sentinelle (GS) tend à remplacer le curage axillaire systématique pour le staging ganglionnaire dans le cancer du sein. La quête du GS est indiquée chez les patientes atteintes d’une tumeur de moins de 3 cm sans ganglion cliniquement palpable au niveau axillaire. Suite à l’injection du traceur isotopique, la recherche du GS se fait généralement par le chirurgien grâce à sa sonde en peropératoire. Toutefois, une lymphoscintigraphie complète très fréquemment la méthode afin de guider le chirurgien dans son geste et d’accélérer la procédure chirurgicale. La réalisation d’images planaires suffit le plus souvent pour conclure quant à la localisation du GS. Il existe toutefois un certain nombre de cas complexes pour lesquels une TEMP/TDM peut s’avérer nécessaire. C’est le cas notamment des faux négatifs, des situations de drainage atypique ou difficilement interprétable, des GS extra-axillaires ou situés non loin des sites d’injection. Du fait d’une meilleure résolution spatiale, sensibilité, résolution en contraste et de l’apport d’images anatomiques, l’imagerie hybride constitue un gain non négligeable pour ces différents cas difficiles. Elle permet ainsi une meilleure approche chirurgicale. Comme toute imagerie hybride, elle entraîne une augmentation du coût et du temps d’acquisition ainsi qu’une irradiation supplémentaire, quoique faible. Elle devrait donc être réservée à certaines situations problématiques, situations qui n’ont encore fait l’objet d’aucun consensus, mais qui semblent similaires d’une équipe à une autre. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33729 [article] Controverse : est-il nécessaire de faire des images (lymphoscintigraphies) pour repérer le ganglion sentinelle dans le cancer du sein ? [texte imprimé] / A. Moreau, Auteur ; F. Giammarile, Auteur . - 2015 . - 310-314. Langues : Français (fre) in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 310-314 Mots-clés : ganglion sentinelle  Tumeurs du sein  lymphoscintigraphie Résumé : Depuis près d’un quart de siècle, la recherche du ganglion sentinelle (GS) tend à remplacer le curage axillaire systématique pour le staging ganglionnaire dans le cancer du sein. La quête du GS est indiquée chez les patientes atteintes d’une tumeur de moins de 3 cm sans ganglion cliniquement palpable au niveau axillaire. Suite à l’injection du traceur isotopique, la recherche du GS se fait généralement par le chirurgien grâce à sa sonde en peropératoire. Toutefois, une lymphoscintigraphie complète très fréquemment la méthode afin de guider le chirurgien dans son geste et d’accélérer la procédure chirurgicale. La réalisation d’images planaires suffit le plus souvent pour conclure quant à la localisation du GS. Il existe toutefois un certain nombre de cas complexes pour lesquels une TEMP/TDM peut s’avérer nécessaire. C’est le cas notamment des faux négatifs, des situations de drainage atypique ou difficilement interprétable, des GS extra-axillaires ou situés non loin des sites d’injection. Du fait d’une meilleure résolution spatiale, sensibilité, résolution en contraste et de l’apport d’images anatomiques, l’imagerie hybride constitue un gain non négligeable pour ces différents cas difficiles. Elle permet ainsi une meilleure approche chirurgicale. Comme toute imagerie hybride, elle entraîne une augmentation du coût et du temps d’acquisition ainsi qu’une irradiation supplémentaire, quoique faible. Elle devrait donc être réservée à certaines situations problématiques, situations qui n’ont encore fait l’objet d’aucun consensus, mais qui semblent similaires d’une équipe à une autre. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33729

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The French experience of PSMA PET for the diagnosis of biological recurrence of prostate cancer / Anne-Laure Giraudet in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 3 (Mai/Juin 2019)

Public ISBD [article]  inMÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 3 (Mai/Juin 2019) . - p. 295-297 Titre : The French experience of PSMA PET for the diagnosis of biological recurrence of prostate cancer Titre original : L’expérience Française de la TEP PSMA pour le diagnostic de récidive biologique des cancers de prostate Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Laure Giraudet ; A. Moreau ; D. Kryza Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 295-297 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.04.004 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : PROSTATE CANCER Résumé : La TEP au PSMA ne peut être réalisée en France que dans le contexte d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) accordée par l’ANSM uniquement en cas de récidive biologique des cancers de prostate avec une TEP Choline ou TEP à la Fucyclovine normale ou non contributive car équivoque. Nous présentons l’expérience du centre Léon Bérard et rapportons celle de 3 autres centres Français ayant publié leurs résultats obtenus dans le cadre de cette ATU. Malgré l’absence de confrontation histologique de nos résultats, la mise en évidence de foyers d’allure suspecte beaucoup plus nombreux sur l’examen TEP PSMA peut induire des modifications de prise en charge pour près des 2/3 des patients. Cela est en concordance avec les résultats déjà abondants de la littérature qui montrent une franche supériorité de la TEP PSMA sur la TEP choline pour le diagnostic de récidive biologique des cancers de prostate. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64325 [article] The French experience of PSMA PET for the diagnosis of biological recurrence of prostate cancer = L’expérience Française de la TEP PSMA pour le diagnostic de récidive biologique des cancers de prostate [texte imprimé] / Anne-Laure Giraudet ; A. Moreau ; D. Kryza . - 2019 . - p. 295-297. Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.04.004 Langues : Anglais (eng) in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 3 (Mai/Juin 2019) . - p. 295-297 Mots-clés : PROSTATE CANCER Résumé : La TEP au PSMA ne peut être réalisée en France que dans le contexte d’une autorisation temporaire d’utilisation (ATU) accordée par l’ANSM uniquement en cas de récidive biologique des cancers de prostate avec une TEP Choline ou TEP à la Fucyclovine normale ou non contributive car équivoque. Nous présentons l’expérience du centre Léon Bérard et rapportons celle de 3 autres centres Français ayant publié leurs résultats obtenus dans le cadre de cette ATU. Malgré l’absence de confrontation histologique de nos résultats, la mise en évidence de foyers d’allure suspecte beaucoup plus nombreux sur l’examen TEP PSMA peut induire des modifications de prise en charge pour près des 2/3 des patients. Cela est en concordance avec les résultats déjà abondants de la littérature qui montrent une franche supériorité de la TEP PSMA sur la TEP choline pour le diagnostic de récidive biologique des cancers de prostate. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64325

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