Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur G. Bonardel |
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Information et communication en médecine nucléaire : vers une nécessaire harmonisation / G. Bonardel in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 39, n° 3 (2015)
[article]
Titre : Information et communication en médecine nucléaire : vers une nécessaire harmonisation Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Bonardel, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 300-307 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radioprotection Communication Rayonnement ionisant Médecine nucléaire Risque Résumé : Du fait de dérives excessives dans le discours vis-à-vis des rayonnements ionisants, des comportements parfois totalement irrationnels et contre-productifs qui en découlent et, parce que pour certains, précaution rime avec déraison, scintigraphie avec phobie, microsievert avec cancer ou que la moindre exposition d’une grossesse rime avec stress, d’un jeune enfant avec tourment ou d’une professionnelle enceinte avec crainte, l’ensemble de la communauté de médecine nucléaire se doit de réagir. Il est urgent de prendre conscience des effets néfastes de telles dérives pour l’avenir de la spécialité, et de plutôt faire rimer désormais rayon avec communication, radioactivité avec objectivité et médecine nucléaire avec discours unitaire. Le but de cet article est de donner quelques éléments de réflexion, d’analyse et de langage concernant la radioprotection en médecine nucléaire afin de prévenir les effets délétères d’une communication qui serait basée exclusivement sur le principe de précaution, en rappelant les aspects positifs et objectifs de la spécialité dans le cadre de la balance bénéfice/risque. Parmi les différents éléments de langage proposés, le plus emblématique consiste à ne plus recommander de mesure d’éviction particulière pour l’entourage, quel qu’il soit, des patients venant de bénéficier d’un examen d’imagerie nucléaire diagnostique, les doses cumulées par les sujets contacts, y compris les enfants en bas âge et les femmes enceintes, étant toujours très inférieures à 1 mSv et très souvent équivalentes à celles délivrées par l’irradiation naturelle de certaines régions sur quelques jours.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33735
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 300-307[article] Information et communication en médecine nucléaire : vers une nécessaire harmonisation [texte imprimé] / G. Bonardel, Auteur . - 2015 . - 300-307.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 300-307
Mots-clés : Radioprotection Communication Rayonnement ionisant Médecine nucléaire Risque Résumé : Du fait de dérives excessives dans le discours vis-à-vis des rayonnements ionisants, des comportements parfois totalement irrationnels et contre-productifs qui en découlent et, parce que pour certains, précaution rime avec déraison, scintigraphie avec phobie, microsievert avec cancer ou que la moindre exposition d’une grossesse rime avec stress, d’un jeune enfant avec tourment ou d’une professionnelle enceinte avec crainte, l’ensemble de la communauté de médecine nucléaire se doit de réagir. Il est urgent de prendre conscience des effets néfastes de telles dérives pour l’avenir de la spécialité, et de plutôt faire rimer désormais rayon avec communication, radioactivité avec objectivité et médecine nucléaire avec discours unitaire. Le but de cet article est de donner quelques éléments de réflexion, d’analyse et de langage concernant la radioprotection en médecine nucléaire afin de prévenir les effets délétères d’une communication qui serait basée exclusivement sur le principe de précaution, en rappelant les aspects positifs et objectifs de la spécialité dans le cadre de la balance bénéfice/risque. Parmi les différents éléments de langage proposés, le plus emblématique consiste à ne plus recommander de mesure d’éviction particulière pour l’entourage, quel qu’il soit, des patients venant de bénéficier d’un examen d’imagerie nucléaire diagnostique, les doses cumulées par les sujets contacts, y compris les enfants en bas âge et les femmes enceintes, étant toujours très inférieures à 1 mSv et très souvent équivalentes à celles délivrées par l’irradiation naturelle de certaines régions sur quelques jours.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33735 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radioprotection en médecine nucléaire : pourquoi et comment faire mieux ? / G. Bonardel in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 38, n° 3 (2014)
[article]
Titre : Radioprotection en médecine nucléaire : pourquoi et comment faire mieux ? Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Bonardel, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : 188-199 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radioprotection Médecine nucléaire Résumé : La radioprotection occupe une place importante, voire croissante, dans la pratique de la médecine nucléaire. Initialement conçue pour la défense des travailleurs exposés, elle se décline de plus en plus pour les expositions des patients, de leur entourage et de l’environnement. Bien que l’essentiel de l’activité de médecine nucléaire expose les uns et les autres à des faibles ou des très faibles doses de rayonnements ionisants, niveaux de doses pour lesquels aucun détriment pour la santé n’a jamais pu être observé, par précaution, du fait d’une pression sociétale et administrative importante, on renforce encore et toujours l’encadrement de leur mise en œuvre. En marge de la radioprotection, on ne peut qu’encourager les démarches qui concourent à l’amélioration de la qualité en santé telles que préconisées par la HAS (Haute Autorité de santé), notamment pour ce qui concerne l’identitovigilance, mais sans excès ni catastrophisme. Pour ce qui est du risque radiologique proprement dit, plutôt que d’axer l’essentiel de la radioprotection en médecine nucléaire sur des mesures d’optimisation de dose, avec pour but principal de délivrer encore et toujours moins de rayons de manière dogmatique, il apparaît préférable de privilégier la justification des examens, économisant en même temps rayons et finances publiques, mais surtout la communication de l’ensemble de la communauté de médecine nucléaire sur le sujet centré sur la balance bénéfices/risques en relativisant considérablement ces derniers de manière objective, harmonisée et réfléchie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31607
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 188-199[article] Radioprotection en médecine nucléaire : pourquoi et comment faire mieux ? [texte imprimé] / G. Bonardel, Auteur . - 2014 . - 188-199.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 38, n° 3 (2014) . - 188-199
Mots-clés : Radioprotection Médecine nucléaire Résumé : La radioprotection occupe une place importante, voire croissante, dans la pratique de la médecine nucléaire. Initialement conçue pour la défense des travailleurs exposés, elle se décline de plus en plus pour les expositions des patients, de leur entourage et de l’environnement. Bien que l’essentiel de l’activité de médecine nucléaire expose les uns et les autres à des faibles ou des très faibles doses de rayonnements ionisants, niveaux de doses pour lesquels aucun détriment pour la santé n’a jamais pu être observé, par précaution, du fait d’une pression sociétale et administrative importante, on renforce encore et toujours l’encadrement de leur mise en œuvre. En marge de la radioprotection, on ne peut qu’encourager les démarches qui concourent à l’amélioration de la qualité en santé telles que préconisées par la HAS (Haute Autorité de santé), notamment pour ce qui concerne l’identitovigilance, mais sans excès ni catastrophisme. Pour ce qui est du risque radiologique proprement dit, plutôt que d’axer l’essentiel de la radioprotection en médecine nucléaire sur des mesures d’optimisation de dose, avec pour but principal de délivrer encore et toujours moins de rayons de manière dogmatique, il apparaît préférable de privilégier la justification des examens, économisant en même temps rayons et finances publiques, mais surtout la communication de l’ensemble de la communauté de médecine nucléaire sur le sujet centré sur la balance bénéfices/risques en relativisant considérablement ces derniers de manière objective, harmonisée et réfléchie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31607 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Tomographie par émission de positons dans la prise en charge des cancers du col de l'utérus / G. Bonardel in Cancer Radiothérapie, 13/6-7 (Octobre 2009)
[article]
Titre : Tomographie par émission de positons dans la prise en charge des cancers du col de l'utérus Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Bonardel ; C. Chargari ; E. Gontier ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 490-498 Langues : Français (fre) Mots-clés : TOMOSCINTIGRAPHIE COL UTERIN CANCER Résumé : Depuis son introduction dans la pratique clinique dans les années 1990, la tomographie par émission de positons (TEP) au fluorodésoxyglucose (18F-FDG) est devenue un examen incontournable pour la prise en charge d’un grand nombre d’affections néoplasiques. En raison de ses performances supérieures à la tomodensitométrie seule (TDM) et de son impact majeur sur la prise en charge thérapeutique en carcinologie gynécologique, son emploi est devenu un standard du bilan d’extension des cancers évolués du col de l’utérus lors de leur prise en charge initiale ou de leurs récidives. La dimension métabolique de la technique lui permet de fournir des informations pronostiques complémentaires. Le développement d’appareillages hybrides, forme aboutie de la technique désormais disponible partout en France, associant TEP et tomodensitométrie de dernière génération permet d’envisager un bilan complet, métabolique et anatomique de la maladie en une seule procédure d’imagerie médicale. Au-delà de ces indications désormais admises, ces nouveaux équipements dynamisent d’autres applications telles que l’optimisation des techniques de radiothérapie ou l’évaluation de l’efficacité thérapeutique. D’un point de vue métabolique, afin de dépasser les limites du 18F-FDG, de nouveaux traceurs sont appelés à étendre la palette du médecin nucléaire pour améliorer encore les performances de la TEP et ainsi optimiser la prise en charge diagnostique et thérapeutique des patientes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41107
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 490-498[article] Tomographie par émission de positons dans la prise en charge des cancers du col de l'utérus [texte imprimé] / G. Bonardel ; C. Chargari ; E. Gontier ; et al. . - 2009 . - p. 490-498.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 490-498
Mots-clés : TOMOSCINTIGRAPHIE COL UTERIN CANCER Résumé : Depuis son introduction dans la pratique clinique dans les années 1990, la tomographie par émission de positons (TEP) au fluorodésoxyglucose (18F-FDG) est devenue un examen incontournable pour la prise en charge d’un grand nombre d’affections néoplasiques. En raison de ses performances supérieures à la tomodensitométrie seule (TDM) et de son impact majeur sur la prise en charge thérapeutique en carcinologie gynécologique, son emploi est devenu un standard du bilan d’extension des cancers évolués du col de l’utérus lors de leur prise en charge initiale ou de leurs récidives. La dimension métabolique de la technique lui permet de fournir des informations pronostiques complémentaires. Le développement d’appareillages hybrides, forme aboutie de la technique désormais disponible partout en France, associant TEP et tomodensitométrie de dernière génération permet d’envisager un bilan complet, métabolique et anatomique de la maladie en une seule procédure d’imagerie médicale. Au-delà de ces indications désormais admises, ces nouveaux équipements dynamisent d’autres applications telles que l’optimisation des techniques de radiothérapie ou l’évaluation de l’efficacité thérapeutique. D’un point de vue métabolique, afin de dépasser les limites du 18F-FDG, de nouveaux traceurs sont appelés à étendre la palette du médecin nucléaire pour améliorer encore les performances de la TEP et ainsi optimiser la prise en charge diagnostique et thérapeutique des patientes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41107 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt