Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Vaccination. Immunosénescence et réponse vaccinale Mention de date : Avril 2025
Paru le : 01/04/2025
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[article] Immunosénescence et réponse vaccinale [texte imprimé] / Thibaut Fraisse . - 2025 . - p. 74-77. Le vieillissement du système immunitaire (immunosénescence) est un processus complexe altérant à la fois l’immunité innée et acquise. Il est intriqué avec le phénomène d’inflamm’aging qui apparaît aussi lors du vieillissement. La réponse vaccinale se modifie avec l’âge et nécessite une adaptation spécifique de la vaccination dans la population âgée. Langues : Français ( fre) in Repères en gériatrie > Vol. 27, n° 233 (Avril 2025) . - p. 74-77 |
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[article]
Titre : |
Une fragilité ou des fragilités ? Savoir aller au-delà des préceptes pour agir ! |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Bastien Genet |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 79-86 |
Note générale : |
La fragilité : voilà un sujet qui semble être clairement défini, presque inhérent à la gériatrie et la gérontologique depuis des années ! En effet, dès la fondation de notre spécialité, le grand et regretté Pr Bouchon avait déjà donné une place centrale à ce concept au sein de sa fameuse séquence du “1+2+3”, dans la Revue du Praticien en 1984. Cependant depuis toutes ces années, beaucoup de choses ont changé concernant la place de la personne âgée dans la société et dans notre système de soins, la rendant, dans certains cas, encore plus vulnérable. On peut ainsi légitimement se poser la question : « la fragilité “d’hier” est-elle la même que celle “d’aujourd’hui” ? » C’est à cette interrogation que nous allons tenter de répondre dans cet article, en adoptant une vision à mi-chemin entre la santé publique et la gériatrie et, de ce fait, il est possible que certains concepts ne soient pas abordés. Notre proposition étant de “dépoussiérer un peu” le concept uniciste de fragilité, en adoptant une vision plus holistique de celle-ci. Bonne lecture ! |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Fragilité Personne âgée Vieillissement Gériatrie Vulnérabilité Précarité Qualité de vie Isolement |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93358 |
in Repères en gériatrie > Vol. 27, n° 233 (Avril 2025) . - p. 79-86
[article] Une fragilité ou des fragilités ? Savoir aller au-delà des préceptes pour agir ! [texte imprimé] / Bastien Genet . - 2025 . - p. 79-86. La fragilité : voilà un sujet qui semble être clairement défini, presque inhérent à la gériatrie et la gérontologique depuis des années ! En effet, dès la fondation de notre spécialité, le grand et regretté Pr Bouchon avait déjà donné une place centrale à ce concept au sein de sa fameuse séquence du “1+2+3”, dans la Revue du Praticien en 1984. Cependant depuis toutes ces années, beaucoup de choses ont changé concernant la place de la personne âgée dans la société et dans notre système de soins, la rendant, dans certains cas, encore plus vulnérable. On peut ainsi légitimement se poser la question : « la fragilité “d’hier” est-elle la même que celle “d’aujourd’hui” ? » C’est à cette interrogation que nous allons tenter de répondre dans cet article, en adoptant une vision à mi-chemin entre la santé publique et la gériatrie et, de ce fait, il est possible que certains concepts ne soient pas abordés. Notre proposition étant de “dépoussiérer un peu” le concept uniciste de fragilité, en adoptant une vision plus holistique de celle-ci. Bonne lecture ! Langues : Français ( fre) in Repères en gériatrie > Vol. 27, n° 233 (Avril 2025) . - p. 79-86 |
Exemplaires (1)
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[article]
Titre : |
Les carcinomes cutanés non mélanocytaires. Des tumeurs de la peau qui doivent être prises en charge et doivent être dépistées chez les patients âgés ! |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Frances ; Neil Metcalfe ; Tara Chalaye ; Julie Aguilar ; Victor Chenal |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 88-93 |
Note générale : |
Deux types de carcinomes sont classiquement représentés dans le chapitre des carcinomes cutanés non mélanocytaires : le carcinome basocellulaire et le carcinome épidermoïde ou spinocellulaire. Le premier est le plus fréquent, avec une incidence qui est quatre à sept fois plus importante que le deuxième. Ces tumeurs malignes cutanées représentent entre 85 et 90 % de l’ensemble des cancers cutanés en Europe et sont à l’origine de près de 17 000 décès par an dans le monde, dont 80 % sont attribuables au type épidermoïde. Les coûts engendrés par la prise en charge des carcinomes cutanés sont deux fois plus importants que ceux dus aux mélanomes malins. Il est aussi important de souligner que ces tumeurs concernent préférentiellement les patients ayant un phototype clair (surtout chez les caucasiens), que les hommes sont plus touchés que les femmes, et qu’elles sont plus observées chez des patients âgés. En qui concerne les carcinomes basocellulaires, ils ne sont rencontrés que chez 13 % des patients ayant moins de 50 ans, et les carcinomes épidermoïdes sont mis en évidence dans près de 97 % des cas chez les plus de 50 ans. Il est reconnu que les âges médians pour effectuer les diagnostics sont 70 ans pour le carcinome basocellulaire et de 75 ans pour le carcinome épidermoïde. L’importance de la prise en charge de ces tumeurs par les professionnels de santé doit tenir compte du fait que l’incidence des carcinomes a augmenté au fil des années (par exemple, 238 % en Angleterre entre 1970 et 1994 pour les carcinomes basocellulaires et un doublement des carcinomes épidermoïdes entre 1983 et 2002). |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Carcinome cutané Tumeur Affection Carcinome Prise en charge |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93359 |
in Repères en gériatrie > Vol. 27, n° 233 (Avril 2025) . - p. 88-93
[article] Les carcinomes cutanés non mélanocytaires. Des tumeurs de la peau qui doivent être prises en charge et doivent être dépistées chez les patients âgés ! [texte imprimé] / Pierre Frances ; Neil Metcalfe ; Tara Chalaye ; Julie Aguilar ; Victor Chenal . - 2025 . - p. 88-93. Deux types de carcinomes sont classiquement représentés dans le chapitre des carcinomes cutanés non mélanocytaires : le carcinome basocellulaire et le carcinome épidermoïde ou spinocellulaire. Le premier est le plus fréquent, avec une incidence qui est quatre à sept fois plus importante que le deuxième. Ces tumeurs malignes cutanées représentent entre 85 et 90 % de l’ensemble des cancers cutanés en Europe et sont à l’origine de près de 17 000 décès par an dans le monde, dont 80 % sont attribuables au type épidermoïde. Les coûts engendrés par la prise en charge des carcinomes cutanés sont deux fois plus importants que ceux dus aux mélanomes malins. Il est aussi important de souligner que ces tumeurs concernent préférentiellement les patients ayant un phototype clair (surtout chez les caucasiens), que les hommes sont plus touchés que les femmes, et qu’elles sont plus observées chez des patients âgés. En qui concerne les carcinomes basocellulaires, ils ne sont rencontrés que chez 13 % des patients ayant moins de 50 ans, et les carcinomes épidermoïdes sont mis en évidence dans près de 97 % des cas chez les plus de 50 ans. Il est reconnu que les âges médians pour effectuer les diagnostics sont 70 ans pour le carcinome basocellulaire et de 75 ans pour le carcinome épidermoïde. L’importance de la prise en charge de ces tumeurs par les professionnels de santé doit tenir compte du fait que l’incidence des carcinomes a augmenté au fil des années (par exemple, 238 % en Angleterre entre 1970 et 1994 pour les carcinomes basocellulaires et un doublement des carcinomes épidermoïdes entre 1983 et 2002). Langues : Français ( fre) in Repères en gériatrie > Vol. 27, n° 233 (Avril 2025) . - p. 88-93 |
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