Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
La bibliothèque sera ouverte le lundi 2 juin de 10.30 à 17.45
La bibliothèque sera fermée les mardi 10 et lundi 23 juin. Les locaux 140 et 240 seront, comme habituellement, ouverts pour vous y accueillir pour étudier.
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
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Tendinopathie calcanéenne |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Dépouillements


"Chers confrères, prendre soin de soi n'est pas un luxe!" / Maxime Challiot ; Christelle Angély in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : "Chers confrères, prendre soin de soi n'est pas un luxe!" Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Challiot, Personne interviewée ; Christelle Angély, Intervieweur Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 110-112 Note générale : Jusqu’à un quart des généralistes disent vouloir quitter la médecine pour une profession non soignante. En cause : un épuisement professionnel croissant. Améliorer les conditions de travail et la santé mentale des médecins est donc une priorité, non seulement pour eux-mêmes mais aussi pour les patients, alors que les pénuries médicales s’aggravent. Comment lutter contre ce mal-être ? Les conseils pratiques du Dr Maxim Challiot. Langues : Français (fre) Mots-clés : Epuisement professionnel Condition de travail Santé mentale Médecin Pénurie médicale Bien-être Médecin généraliste Burn out Solution Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91878
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 110-112[article] "Chers confrères, prendre soin de soi n'est pas un luxe!" [texte imprimé] / Maxime Challiot, Personne interviewée ; Christelle Angély, Intervieweur . - 2025 . - p. 110-112.
Jusqu’à un quart des généralistes disent vouloir quitter la médecine pour une profession non soignante. En cause : un épuisement professionnel croissant. Améliorer les conditions de travail et la santé mentale des médecins est donc une priorité, non seulement pour eux-mêmes mais aussi pour les patients, alors que les pénuries médicales s’aggravent. Comment lutter contre ce mal-être ? Les conseils pratiques du Dr Maxim Challiot.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 110-112Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Toxine botulinique : quelles indications antalgiques ? / Annachiara Spagna ; Nadine Attal in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : Toxine botulinique : quelles indications antalgiques ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Annachiara Spagna ; Nadine Attal Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 113-114 Note générale : La toxine botulinique de type A est une neurotoxine puissante largement utilisée pour le traitement de l’hyperactivité musculaire, comme la dystonie1 et la spasticité. Dès les premières observations cliniques sur son efficacité dans la dystonie, certains auteurs avaient remarqué que le soulagement de la douleur précédait généralement les effets sur la contraction musculaire et était supérieur à ce qui était attendu d’un simple effet relaxant musculaire.2 Ces données ont suggéré que la toxine botulinique pourrait posséder des propriétés analgésiques indépendantes de son effet relaxant musculaire. Langues : Français (fre) Mots-clés : Toxine botulique Douleur neuropathique Migraine chronique Névralgie du trijumeau Hyperactivité musculaire Effet indésirable Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91890
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 113-114[article] Toxine botulinique : quelles indications antalgiques ? [texte imprimé] / Annachiara Spagna ; Nadine Attal . - 2025 . - p. 113-114.
La toxine botulinique de type A est une neurotoxine puissante largement utilisée pour le traitement de l’hyperactivité musculaire, comme la dystonie1 et la spasticité. Dès les premières observations cliniques sur son efficacité dans la dystonie, certains auteurs avaient remarqué que le soulagement de la douleur précédait généralement les effets sur la contraction musculaire et était supérieur à ce qui était attendu d’un simple effet relaxant musculaire.2 Ces données ont suggéré que la toxine botulinique pourrait posséder des propriétés analgésiques indépendantes de son effet relaxant musculaire.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 113-114Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Pyélonéphrite aiguë. Sept jours de traitement, le plus souvent / Violaine Esnault ; Matthieu Lafaurie in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : Pyélonéphrite aiguë. Sept jours de traitement, le plus souvent Type de document : texte imprimé Auteurs : Violaine Esnault ; Matthieu Lafaurie Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 115-121 Note générale : Infection bactérienne fréquente dont l’incidence annuelle atteint 134 cas pour 100 000 personnes, la pyélonéphrite aiguë affecte les reins, essentiellement par un mécanisme ascendant depuis la vessie. En 2019, elle était le troisième motif urologique de consultation aux urgences, avec une fréquence environ 5 fois plus élevée chez la femme que chez l’homme.3 Comment poser le diagnostic ? Quel traitement initier d’emblée ? Un suivi est-il nécessaire ?
Langues : Français (fre) Mots-clés : Pyélonéphrite aiguë Thérapeutique Diagnostic Prise en charge Examen complémentaire Résumé : La pyélonéphrite aiguë (PNA) est une infection fréquente dont le diagnostic est aisé en cas de douleur lombaire aiguë unilatérale plus ou moins fébrile, de signes urinaires d’infection et d’ECBU positif. La recherche de signes de gravité doit être systématique.
En l’absence de signes de gravité, l’antibiothérapie probabiliste repose classiquement sur une C3G ou une fluoroquinolone. Toute antibiothérapie doit être réévaluée cliniquement à 48 - 72 heures avec les résultats de l’ECBU pour envisager un relais per os.
La durée de traitement d’une PNA est de 7 jours dans la majorité des cas, sauf dans certaines populations à risque de complications (grossesse, anomalie des voies urinaires…) chez qui le traitement est prolongé à 10 jours (voire 14 jours dans de rares cas).
Le contrôle de l’ECBU n’est pas recommandé si l’évolution est favorable, sauf chez la femme enceinte.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91910
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 115-121[article] Pyélonéphrite aiguë. Sept jours de traitement, le plus souvent [texte imprimé] / Violaine Esnault ; Matthieu Lafaurie . - 2025 . - p. 115-121.
Infection bactérienne fréquente dont l’incidence annuelle atteint 134 cas pour 100 000 personnes, la pyélonéphrite aiguë affecte les reins, essentiellement par un mécanisme ascendant depuis la vessie. En 2019, elle était le troisième motif urologique de consultation aux urgences, avec une fréquence environ 5 fois plus élevée chez la femme que chez l’homme.3 Comment poser le diagnostic ? Quel traitement initier d’emblée ? Un suivi est-il nécessaire ?
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 115-121
Mots-clés : Pyélonéphrite aiguë Thérapeutique Diagnostic Prise en charge Examen complémentaire Résumé : La pyélonéphrite aiguë (PNA) est une infection fréquente dont le diagnostic est aisé en cas de douleur lombaire aiguë unilatérale plus ou moins fébrile, de signes urinaires d’infection et d’ECBU positif. La recherche de signes de gravité doit être systématique.
En l’absence de signes de gravité, l’antibiothérapie probabiliste repose classiquement sur une C3G ou une fluoroquinolone. Toute antibiothérapie doit être réévaluée cliniquement à 48 - 72 heures avec les résultats de l’ECBU pour envisager un relais per os.
La durée de traitement d’une PNA est de 7 jours dans la majorité des cas, sauf dans certaines populations à risque de complications (grossesse, anomalie des voies urinaires…) chez qui le traitement est prolongé à 10 jours (voire 14 jours dans de rares cas).
Le contrôle de l’ECBU n’est pas recommandé si l’évolution est favorable, sauf chez la femme enceinte.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91910 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Tendinopathie calcanéenne. Un diagnostic d'abord clinique, l'échographie en cas de doute / Selma Bouden ; Meriem Maaoui ; Aicha Ben Tekaya ; Ines Mahmoud ; Rawdha Tekaya ; Olfa Saidane ; Leila Abdelmoula in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : Tendinopathie calcanéenne. Un diagnostic d'abord clinique, l'échographie en cas de doute Type de document : texte imprimé Auteurs : Selma Bouden ; Meriem Maaoui ; Aicha Ben Tekaya ; Ines Mahmoud ; Rawdha Tekaya ; Olfa Saidane ; Leila Abdelmoula Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 123-126 Note générale : Les tendinopathies du pied et de la cheville sont des pathologies d’hypersollicitation.
La tendinopathie calcanéenne est la tendinopathie du pied et de la cheville la plus fréquente. Son incidence est de 1,85 pour 1 000 dans la population générale et de 2,35 pour 1 000 chez les adultes âgés de 21 à 60 ans.
Elle est l’apanage du sujet sportif et représente 30 à 50 % de l’ensemble des lésions liées au sport. Plus rarement, elle peut être liée à une pathologie inflammatoire ou métabolique.
Son diagnostic est essentiellement clinique, mais l’imagerie, notamment l’échographie, est souvent utile afin d’exclure d’autres troubles musculo-squelettiques et pour orienter les cliniciens dans leur choix thérapeutique.
L’ensemble des mécanismes physiopathologiques de ces lésions n’a pas encore été parfaitement élucidé. Certains auteurs plaident en faveur d’une vascularisation particulière du tendon calcanéen.
Le signe fonctionnel le plus fréquent est la talalgie postérieure. La douleur peut siéger dans la partie corporéale ou au niveau de l’enthèse – c’est-à-dire à l’insertion du tendon calcanéen sur l’os. Elle siège plus rarement à la jonction myotendineuse.
L’examen peut mettre en évidence la présence d’une tuméfaction ou d’un épaississement douloureux lors de la palpation. Les tests tendineux sont également positifs.Langues : Français (fre) Mots-clés : Tendinopathie Tendinopathie calcanéenne Tendon calcanéen Triceps sural Cause Examen Diagnostic Echographie Résumé : La tendinopathie calcanéenne est la tendinopathie du pied et de la cheville la plus fréquente.
Elle peut être responsable d’une incapacité fonctionnelle importante.
En cas de doute, après un examen clinique bien conduit, l’imagerie par échographie peut être contributive.
Une connaissance parfaite des bases anatomiques, des signes cliniques et des aspects échographiques est requise chez tout praticien pour une prise en charge optimale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91911
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 123-126[article] Tendinopathie calcanéenne. Un diagnostic d'abord clinique, l'échographie en cas de doute [texte imprimé] / Selma Bouden ; Meriem Maaoui ; Aicha Ben Tekaya ; Ines Mahmoud ; Rawdha Tekaya ; Olfa Saidane ; Leila Abdelmoula . - 2025 . - p. 123-126.
Les tendinopathies du pied et de la cheville sont des pathologies d’hypersollicitation.
La tendinopathie calcanéenne est la tendinopathie du pied et de la cheville la plus fréquente. Son incidence est de 1,85 pour 1 000 dans la population générale et de 2,35 pour 1 000 chez les adultes âgés de 21 à 60 ans.
Elle est l’apanage du sujet sportif et représente 30 à 50 % de l’ensemble des lésions liées au sport. Plus rarement, elle peut être liée à une pathologie inflammatoire ou métabolique.
Son diagnostic est essentiellement clinique, mais l’imagerie, notamment l’échographie, est souvent utile afin d’exclure d’autres troubles musculo-squelettiques et pour orienter les cliniciens dans leur choix thérapeutique.
L’ensemble des mécanismes physiopathologiques de ces lésions n’a pas encore été parfaitement élucidé. Certains auteurs plaident en faveur d’une vascularisation particulière du tendon calcanéen.
Le signe fonctionnel le plus fréquent est la talalgie postérieure. La douleur peut siéger dans la partie corporéale ou au niveau de l’enthèse – c’est-à-dire à l’insertion du tendon calcanéen sur l’os. Elle siège plus rarement à la jonction myotendineuse.
L’examen peut mettre en évidence la présence d’une tuméfaction ou d’un épaississement douloureux lors de la palpation. Les tests tendineux sont également positifs.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 123-126
Mots-clés : Tendinopathie Tendinopathie calcanéenne Tendon calcanéen Triceps sural Cause Examen Diagnostic Echographie Résumé : La tendinopathie calcanéenne est la tendinopathie du pied et de la cheville la plus fréquente.
Elle peut être responsable d’une incapacité fonctionnelle importante.
En cas de doute, après un examen clinique bien conduit, l’imagerie par échographie peut être contributive.
Une connaissance parfaite des bases anatomiques, des signes cliniques et des aspects échographiques est requise chez tout praticien pour une prise en charge optimale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91911 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Epanchement pleural liquidien. La radio pour confirmer une suspicion clinique, la ponction pour étiqueter / Pierre Le Guen ; Camille Taillé in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : Epanchement pleural liquidien. La radio pour confirmer une suspicion clinique, la ponction pour étiqueter Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Le Guen ; Camille Taillé Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 127-130 Note générale : La découverte d’un épanchement pleural liquidien est une situation clinique fréquente. Suspecté par la symptomatologie (dyspnée et/ou douleur thoracique) et l’examen clinique (diminution ou disparition du murmure vésiculaire et matité), le diagnostic est confirmé par la radiographie de thorax.
Lorsque l’épanchement est bilatéral, il doit faire évoquer avant tout une surcharge volémique et, en premier lieu, une insuffisance cardiaque gauche.
La prise en charge d’un épanchement pleural unilatéral est guidée par la tolérance clinique et par sa cause. Un épanchement mal toléré et/ou fébrile est une urgence thérapeutique et doit être évacué rapidement. La démarche diagnostique initiale repose sur un recueil précis des données cliniques, de la chronologie et sur l’analyse de la ponction pleurale exploratrice (aspect macroscopique, biochimie, cytologie et bactériologie). Il est nécessaire, dans bon nombre de cas, de prendre l’avis d’un pneumologue. En l’absence de diagnostic, une biopsie pleurale, éventuellement par voie chirurgicale, peut être requise.Langues : Français (fre) Mots-clés : Epanchement pleural liquidien Radio Ponction Epanchement pleural Examen Résumé : La découverte d’un épanchement pleural liquidien est une situation clinique fréquente dont le principal diagnostic différentiel est l’insuffisance cardiaque gauche.
La symptomatologie (dyspnée et/ou douleur thoracique) et l’examen clinique (diminution, ou disparition, du murmure vésiculaire et matité) orientent vers un épanchement pleural liquidien.
Le diagnostic est posé par la radiographie du thorax et la cause est recherchée par la ponction pleurale.
Les causes principales d’un épanchement pleural sont infectieuses et tumorales.
En l’absence de cause retrouvée, une surveillance s’impose car environ 10 % des patients avec épanchement pleural idiopathique développeront un cancer dans les deux ans.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91912
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 127-130[article] Epanchement pleural liquidien. La radio pour confirmer une suspicion clinique, la ponction pour étiqueter [texte imprimé] / Pierre Le Guen ; Camille Taillé . - 2025 . - p. 127-130.
La découverte d’un épanchement pleural liquidien est une situation clinique fréquente. Suspecté par la symptomatologie (dyspnée et/ou douleur thoracique) et l’examen clinique (diminution ou disparition du murmure vésiculaire et matité), le diagnostic est confirmé par la radiographie de thorax.
Lorsque l’épanchement est bilatéral, il doit faire évoquer avant tout une surcharge volémique et, en premier lieu, une insuffisance cardiaque gauche.
La prise en charge d’un épanchement pleural unilatéral est guidée par la tolérance clinique et par sa cause. Un épanchement mal toléré et/ou fébrile est une urgence thérapeutique et doit être évacué rapidement. La démarche diagnostique initiale repose sur un recueil précis des données cliniques, de la chronologie et sur l’analyse de la ponction pleurale exploratrice (aspect macroscopique, biochimie, cytologie et bactériologie). Il est nécessaire, dans bon nombre de cas, de prendre l’avis d’un pneumologue. En l’absence de diagnostic, une biopsie pleurale, éventuellement par voie chirurgicale, peut être requise.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 127-130
Mots-clés : Epanchement pleural liquidien Radio Ponction Epanchement pleural Examen Résumé : La découverte d’un épanchement pleural liquidien est une situation clinique fréquente dont le principal diagnostic différentiel est l’insuffisance cardiaque gauche.
La symptomatologie (dyspnée et/ou douleur thoracique) et l’examen clinique (diminution, ou disparition, du murmure vésiculaire et matité) orientent vers un épanchement pleural liquidien.
Le diagnostic est posé par la radiographie du thorax et la cause est recherchée par la ponction pleurale.
Les causes principales d’un épanchement pleural sont infectieuses et tumorales.
En l’absence de cause retrouvée, une surveillance s’impose car environ 10 % des patients avec épanchement pleural idiopathique développeront un cancer dans les deux ans.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91912 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Dermatoses professionnelles. Première cause de maladies liées au travail / Clémentine Dubois ; Marie-Thérèse Le Cam in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : Dermatoses professionnelles. Première cause de maladies liées au travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Clémentine Dubois ; Marie-Thérèse Le Cam Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 131-134 Note générale : Le terme de dermatoses professionnelles regroupe les dermatoses provoquées par l’activité professionnelle et celles aggravées par le travail.
Les dermatoses professionnelles sont la première cause de maladies liées au travail, au premier rang desquelles les dermites de contact.1 Ces dernières se manifestent le plus souvent sous la forme d’un eczéma2,3 et sont très fréquemment d’origine irritative (dermite irritative de contact dans 70 à 80 % des cas).1,4 Elles peuvent également être d’origine allergique : dermite allergique de contact dans 30 à 40 % des cas, ou plus rarement urticaire de contact (5 %) et dermatite de contact aux protéines. Les dermatoses de contact professionnelles concernent dans 80 à 90 % des cas les mains ou parfois les parties découvertes (visage, décolleté…).
Il existe d’autres dermatoses professionnelles plus rares, qui ne sont pas évoquées ici : cancers cutanés (deuxième cause de dermatose professionnelle), éruptions acnéiformes, infections cutanées…Langues : Français (fre) Mots-clés : Dermatose professionnelle Cause Travail Dermite Facteur de risque Prise en charge Diagnostic Résumé : Une dermatose chronique des mains doit faire rechercher une origine professionnelle.
Les dermatoses professionnelles les plus fréquentes sont les dermatoses de contact. Il peut être difficile de différencier cliniquement une dermite irritative d’une dermite allergique de contact.
Les dermites irritatives favorisent l’apparition des dermites allergiques.
Les professionnels les plus exposés sont ceux de la coiffure, de l’onglerie, de la santé, de l’alimentation, du BTP et du nettoyage.
Le travail en milieu humide et l’atopie sont des facteurs de risque de dermatose professionnelle.
Le diagnostic de dermatose de contact doit être précoce afin de permettre une prise en charge médicale et sociale rapide.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91913
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 131-134[article] Dermatoses professionnelles. Première cause de maladies liées au travail [texte imprimé] / Clémentine Dubois ; Marie-Thérèse Le Cam . - 2025 . - p. 131-134.
Le terme de dermatoses professionnelles regroupe les dermatoses provoquées par l’activité professionnelle et celles aggravées par le travail.
Les dermatoses professionnelles sont la première cause de maladies liées au travail, au premier rang desquelles les dermites de contact.1 Ces dernières se manifestent le plus souvent sous la forme d’un eczéma2,3 et sont très fréquemment d’origine irritative (dermite irritative de contact dans 70 à 80 % des cas).1,4 Elles peuvent également être d’origine allergique : dermite allergique de contact dans 30 à 40 % des cas, ou plus rarement urticaire de contact (5 %) et dermatite de contact aux protéines. Les dermatoses de contact professionnelles concernent dans 80 à 90 % des cas les mains ou parfois les parties découvertes (visage, décolleté…).
Il existe d’autres dermatoses professionnelles plus rares, qui ne sont pas évoquées ici : cancers cutanés (deuxième cause de dermatose professionnelle), éruptions acnéiformes, infections cutanées…
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 131-134
Mots-clés : Dermatose professionnelle Cause Travail Dermite Facteur de risque Prise en charge Diagnostic Résumé : Une dermatose chronique des mains doit faire rechercher une origine professionnelle.
Les dermatoses professionnelles les plus fréquentes sont les dermatoses de contact. Il peut être difficile de différencier cliniquement une dermite irritative d’une dermite allergique de contact.
Les dermites irritatives favorisent l’apparition des dermites allergiques.
Les professionnels les plus exposés sont ceux de la coiffure, de l’onglerie, de la santé, de l’alimentation, du BTP et du nettoyage.
Le travail en milieu humide et l’atopie sont des facteurs de risque de dermatose professionnelle.
Le diagnostic de dermatose de contact doit être précoce afin de permettre une prise en charge médicale et sociale rapide.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91913 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Mpox : quels enjeux en médecine générale ? Une infection émergente appelant à la vigilance sanitaire ! / Antoine Potart ; Morgane Mailhe ; Mayda Rahi ; François-Xavier Lescure ; Jade Ghosn ; Nathan Peiffer-Smadja in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : Mpox : quels enjeux en médecine générale ? Une infection émergente appelant à la vigilance sanitaire ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Potart ; Morgane Mailhe ; Mayda Rahi ; François-Xavier Lescure ; Jade Ghosn ; Nathan Peiffer-Smadja Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 135-138 Note générale : Le Mpox est un orthopoxvirus, famille de virus comprenant notamment la variole humaine. Sa découverte, remontant aux années 1960 chez des singes en captivité importés de Singapour dans un laboratoire danois, a donné naissance au terme anglais Monkeypox, abandonné depuis novembre 2022 par la communauté médicale et scientifique du fait d’une connotation stigmatisante. Les données scientifiques actuelles suggèrent que le singe n’est qu’un hôte accidentel du virus, le réservoir semblant être constitué de petits rongeurs d’Afrique centrale et de l’Ouest. Le virus Mpox est historiquement endémique dans les régions d’Afrique centrale, telles que la République démocratique du Congo, la Centrafrique et le Soudan du Sud, où la majeure partie des cas est liée à son clade 1. En Afrique de l’Ouest (Nigeria, Libéria, Sierra Leone et Côte d’Ivoire), le clade 2 du virus domine. Langues : Français (fre) Mots-clés : Histoire Variole du singe Orthopoxvirus Vigilance sanitaire Enjeu Prévention Mpox Résumé : Mpox, autrefois appelée Monkeypox, est une orthopoxvirose dont la transmission est désormais majoritairement interhumaine et en particulier sexuelle, avec une forte prévalence parmi les hommes multipartenaires au sein de la communauté LGBTQIA+.
Des lésions cutanéomuqueuses vésiculeuses, ulcérées ou croûteuses, survenant en une seule floraison, sont évocatrices.
En 2024, malgré une baisse générale des cas en France, une reprise modérée des infections a été observée, touchant parfois des des personnes immunocompétentes et vaccinées.
La vaccination, fondée sur un vaccin antivariolique de 3e génération, est préconisée en préexposition pour les groupes à risque et en post-exposition dans les quatorze jours maximum après un contact à risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91916
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 135-138[article] Mpox : quels enjeux en médecine générale ? Une infection émergente appelant à la vigilance sanitaire ! [texte imprimé] / Antoine Potart ; Morgane Mailhe ; Mayda Rahi ; François-Xavier Lescure ; Jade Ghosn ; Nathan Peiffer-Smadja . - 2025 . - p. 135-138.
Le Mpox est un orthopoxvirus, famille de virus comprenant notamment la variole humaine. Sa découverte, remontant aux années 1960 chez des singes en captivité importés de Singapour dans un laboratoire danois, a donné naissance au terme anglais Monkeypox, abandonné depuis novembre 2022 par la communauté médicale et scientifique du fait d’une connotation stigmatisante. Les données scientifiques actuelles suggèrent que le singe n’est qu’un hôte accidentel du virus, le réservoir semblant être constitué de petits rongeurs d’Afrique centrale et de l’Ouest. Le virus Mpox est historiquement endémique dans les régions d’Afrique centrale, telles que la République démocratique du Congo, la Centrafrique et le Soudan du Sud, où la majeure partie des cas est liée à son clade 1. En Afrique de l’Ouest (Nigeria, Libéria, Sierra Leone et Côte d’Ivoire), le clade 2 du virus domine.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 135-138
Mots-clés : Histoire Variole du singe Orthopoxvirus Vigilance sanitaire Enjeu Prévention Mpox Résumé : Mpox, autrefois appelée Monkeypox, est une orthopoxvirose dont la transmission est désormais majoritairement interhumaine et en particulier sexuelle, avec une forte prévalence parmi les hommes multipartenaires au sein de la communauté LGBTQIA+.
Des lésions cutanéomuqueuses vésiculeuses, ulcérées ou croûteuses, survenant en une seule floraison, sont évocatrices.
En 2024, malgré une baisse générale des cas en France, une reprise modérée des infections a été observée, touchant parfois des des personnes immunocompétentes et vaccinées.
La vaccination, fondée sur un vaccin antivariolique de 3e génération, est préconisée en préexposition pour les groupes à risque et en post-exposition dans les quatorze jours maximum après un contact à risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91916 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Psychose puerpérale. Une urgence psychiatrique de la période périnatale / Marie Arnal ; Sarah Tebeka in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : Psychose puerpérale. Une urgence psychiatrique de la période périnatale Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Arnal ; Sarah Tebeka Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 139-142 Note générale : La période périnatale est une période de vulnérabilité dans la vie des femmes. Elle engendre de profonds remaniements physiques, psychiques et sociologiques. Une attention particulière au cours de cette période de la part des professionnels de santé est cruciale, tant pour la santé des femmes que pour celle du nouveau-né, voire de la famille tout entière.
La psychose puerpérale désigne classiquement des symptômes psychotiques survenant isolément ou dans le cadre d’un épisode thymique – qu’il s’agisse d’un épisode maniaque, mixte ou dépressif – pendant la grossesse ou au cours des premières semaines qui suivent l’accouchement.1
Bien que peu fréquente, elle entraîne des conséquences notables sur la santé de la femme et de l’enfant, sur le lien mère-bébé et sur l’équilibre familial. Elle est une véritable urgence psychiatrique.
L’objectif de cet article est, d’une part, de préciser les facteurs de vulnérabilité qui peuvent permettre de dépister les patientes à risque de psychose puerpérale avant ou pendant une grossesse ; d’autre part, d’apporter les outils pour rechercher les prodromes et/ou symptômes d’une psychose puerpérale.Langues : Français (fre) Mots-clés : Psychose puerpérale Période périnatale Symptôme Diagnostic Urgence psychiatrique Prise en charge Prévention Résumé : La psychose puerpérale concerne 1 à 2 femmes sur 1 000.
C’est une urgence psychiatrique : la patiente doit être adressée sans délai à un service de psychiatrie devant toute suspicion.
La recherche de facteurs de risque doit être systématique pendant la grossesse.
La prise en charge consiste en une hospitalisation en psychiatrie, en l’instauration d’un traitement antipsychotique atypique ou thymorégulateur, voire l’électroconvulsivothérapie. Dans un second temps, des soins conjoints mère-enfant sont nécessaires.
Après une psychose puerpérale, un suivi au long cours psychiatrique et pédopsychiatrique est essentiel.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91917
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 139-142[article] Psychose puerpérale. Une urgence psychiatrique de la période périnatale [texte imprimé] / Marie Arnal ; Sarah Tebeka . - 2025 . - p. 139-142.
La période périnatale est une période de vulnérabilité dans la vie des femmes. Elle engendre de profonds remaniements physiques, psychiques et sociologiques. Une attention particulière au cours de cette période de la part des professionnels de santé est cruciale, tant pour la santé des femmes que pour celle du nouveau-né, voire de la famille tout entière.
La psychose puerpérale désigne classiquement des symptômes psychotiques survenant isolément ou dans le cadre d’un épisode thymique – qu’il s’agisse d’un épisode maniaque, mixte ou dépressif – pendant la grossesse ou au cours des premières semaines qui suivent l’accouchement.1
Bien que peu fréquente, elle entraîne des conséquences notables sur la santé de la femme et de l’enfant, sur le lien mère-bébé et sur l’équilibre familial. Elle est une véritable urgence psychiatrique.
L’objectif de cet article est, d’une part, de préciser les facteurs de vulnérabilité qui peuvent permettre de dépister les patientes à risque de psychose puerpérale avant ou pendant une grossesse ; d’autre part, d’apporter les outils pour rechercher les prodromes et/ou symptômes d’une psychose puerpérale.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 139-142
Mots-clés : Psychose puerpérale Période périnatale Symptôme Diagnostic Urgence psychiatrique Prise en charge Prévention Résumé : La psychose puerpérale concerne 1 à 2 femmes sur 1 000.
C’est une urgence psychiatrique : la patiente doit être adressée sans délai à un service de psychiatrie devant toute suspicion.
La recherche de facteurs de risque doit être systématique pendant la grossesse.
La prise en charge consiste en une hospitalisation en psychiatrie, en l’instauration d’un traitement antipsychotique atypique ou thymorégulateur, voire l’électroconvulsivothérapie. Dans un second temps, des soins conjoints mère-enfant sont nécessaires.
Après une psychose puerpérale, un suivi au long cours psychiatrique et pédopsychiatrique est essentiel.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91917 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt "Docteur, j'ai des varices sur le ventre". Syndrome cave supérieur / Didier Théry ; Diane Pommier ; Arthur Valentin in La revue du praticien médecine générale, 1095 (Mars 2025)
[article]
Titre : "Docteur, j'ai des varices sur le ventre". Syndrome cave supérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier Théry ; Diane Pommier ; Arthur Valentin Année de publication : 2025 Article en page(s) : p. 144-145 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cas clinique Syndrome cave supérieur Thérapeutique Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91925
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 144-145[article] "Docteur, j'ai des varices sur le ventre". Syndrome cave supérieur [texte imprimé] / Didier Théry ; Diane Pommier ; Arthur Valentin . - 2025 . - p. 144-145.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1095 (Mars 2025) . - p. 144-145
Mots-clés : Cas clinique Syndrome cave supérieur Thérapeutique Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=91925 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt