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Auteur S. Guillemard |
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La scintigraphie de perfusion hépatique dans la prise en charge des patients traités par chimiothérapie intra-artérielle hépatique / A. Bourdon in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 35, n° 4 (Avril 2011)
[article]
Titre : La scintigraphie de perfusion hépatique dans la prise en charge des patients traités par chimiothérapie intra-artérielle hépatique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Bourdon, Auteur ; S. Guillemard, Auteur ; M.C. Eberle Pouzeratte, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 232-238 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeurs colorectales Revue de la littérature Metastase Chimiotherapie Scintigraphie Résumé : Près de 50 % des patients atteints de cancers colorectaux (CCR) développeront des métastases hépatiques (MH) au cours de leur maladie. Seuls 10 % des patients sont candidats à une résection chirurgicale d’emblée. Comparativement à la chimiothérapie systémique seule, la chimiothérapie par voie intra-artérielle hépatique a montré un bénéfice en termes de survie globale chez ces patients non résécables. Ce traitement nécessite la mise en place d’un cathéter intra-artériel hépatique (CIAH), par voie chirurgicale ou endovasculaire, après avoir réalisé un bilan vasculaire précis compte tenu de la fréquence des variantes anatomiques de la vascularisation artérielle hépatique. Les complications de ce traitement sont liées à la fois au CIAH et à la chimiothérapie elle-même. La scintigraphie de perfusion hépatique aux macroagrégats d’albumine technétiés (99mTc-MAA) joue un rôle clé avant de débuter le traitement et au cours du suivi. En effet, elle permet d’analyser la répartition intra-hépatique du traceur et d’objectiver une éventuelle diffusion extra-hépatique qui risque alors d’entraîner une toxicité accrue et/ou une moindre efficacité du traitement. Les différents protocoles scintigraphiques, la place de cet examen par rapport aux autres techniques d’imagerie, ou encore la fréquence des contrôles à réaliser, font encore l’objet de débat. Nous présentons dans cet article, une revue de la littérature, illustrée de quelques cas de scintigraphies de perfusion hépatique normale et pathologiques issus du service de médecine nucléaire du CRLC Val d’Aurelle, Montpellier. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29553
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 35, n° 4 (Avril 2011) . - 232-238[article] La scintigraphie de perfusion hépatique dans la prise en charge des patients traités par chimiothérapie intra-artérielle hépatique [texte imprimé] / A. Bourdon, Auteur ; S. Guillemard, Auteur ; M.C. Eberle Pouzeratte, Auteur . - 2011 . - 232-238.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 35, n° 4 (Avril 2011) . - 232-238
Mots-clés : Tumeurs colorectales Revue de la littérature Metastase Chimiotherapie Scintigraphie Résumé : Près de 50 % des patients atteints de cancers colorectaux (CCR) développeront des métastases hépatiques (MH) au cours de leur maladie. Seuls 10 % des patients sont candidats à une résection chirurgicale d’emblée. Comparativement à la chimiothérapie systémique seule, la chimiothérapie par voie intra-artérielle hépatique a montré un bénéfice en termes de survie globale chez ces patients non résécables. Ce traitement nécessite la mise en place d’un cathéter intra-artériel hépatique (CIAH), par voie chirurgicale ou endovasculaire, après avoir réalisé un bilan vasculaire précis compte tenu de la fréquence des variantes anatomiques de la vascularisation artérielle hépatique. Les complications de ce traitement sont liées à la fois au CIAH et à la chimiothérapie elle-même. La scintigraphie de perfusion hépatique aux macroagrégats d’albumine technétiés (99mTc-MAA) joue un rôle clé avant de débuter le traitement et au cours du suivi. En effet, elle permet d’analyser la répartition intra-hépatique du traceur et d’objectiver une éventuelle diffusion extra-hépatique qui risque alors d’entraîner une toxicité accrue et/ou une moindre efficacité du traitement. Les différents protocoles scintigraphiques, la place de cet examen par rapport aux autres techniques d’imagerie, ou encore la fréquence des contrôles à réaliser, font encore l’objet de débat. Nous présentons dans cet article, une revue de la littérature, illustrée de quelques cas de scintigraphies de perfusion hépatique normale et pathologiques issus du service de médecine nucléaire du CRLC Val d’Aurelle, Montpellier. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29553 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La thyroglobuline post-opératoire est-elle prédictive du statut scintigraphique post-irathérapie ? / M.C. Eberle in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : La thyroglobuline post-opératoire est-elle prédictive du statut scintigraphique post-irathérapie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : M.C. Eberle ; S. Guillemard ; P. Gelibert ; C. Espitalier Rivière ; D. Ilonca ; I. Raingeard ; C. Cartier ; E. Deshayes Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 197 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.071 Langues : Français (fre) Mots-clés : GLANDE THYROÏDE CANCER SCINTIGRAPHIE Irathérapie Anticorps antithyroglobuline Résumé :
But
Notre étude a eu pour but d’évaluer la valeur prédictive de la thyroglobuline (Tg) post-opératoire sur le statut scintigraphique post-irathérapie.
Patients et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique. Entre juillet 2017 et avril 2018, 73 patients ont bénéficié d’un dosage de TSH, Tg et Ac anti-Tg en post-opératoire avant irathérapie pour cancer thyroïdien. Le niveau de risque selon la nouvelle classification SFMN 2017 a été déterminé pour chaque patient. Les résultats de la scintigraphie corps entier et SPECT-CT cervico-thoracique réalisée à J3 de l’administration d’iode 131 ont été analysés : reliquat seul/ganglions (N+)/métastases à distance (M+). Les résultats de Tg-Ac antiTg ont été corrélés au statut scintigraphique.
Résultats
Au total, 73 patients ont été inclus (47 F et 26 H), d’âge moyen 55 ans (19–86). Parmi eux, 30 (41 %) présentaient un cancer à faible risque, 28 (38 %) un risque intermédiaire et 15 (21 %) un risque élevé. La médiane de TSH était de 2,5μU/mL (0,03–105). La médiane de Tg post-op était de 0,4ng/mL (0–47) dans l’ensemble de la population ; elle était de 0,35ng/mL (0–3,5) dans le groupe faible risque, 0,27ng/mL (0–47) dans le groupe risque intermédiaire et 0,61ng/mL (0–32) dans le groupe risque élevé. Vingt pour cent des patients présentaient des Ac anti-Tg positifs. Dans le groupe faible risque (n=30), la scintigraphie montrait un reliquat seul dans 27 cas, un statut N+ dans 3 cas. Dans le groupe risque intermédiaire (n=28), la scintigraphie montrait un reliquat seul dans 25 cas, un statut N+ dans 3 cas. Dans le groupe risque élevé (n=15), la scintigraphie montrait un reliquat seul dans 9 cas, un statut N+ seul dans 4 cas, un statut N+ et M+ dans 1 cas (poumon), un statut M+ seul dans un cas (poumon+foie). Parmi les 73 patients, 19 avaient une Tg post-op d’emblée indosable, dont 13 sans Ac antiTg (18 % soit près de 1 patient sur 5) : 6 dans le groupe faible risque (dont 0 N+ ou M+), 6 dans le groupe risque intermédiaire (dont 1 avait un N+ intense en loge IIA) et 1 dans le groupe élevé (qui avait 1 N+ en loge IV). La médiane de Tg en présence d’un reliquat seul était de 0,4ng/mL (0–47) et la médiane de Tg en présence d’un foyer N+ et/ou M+ était de 1ng/mL (0–32).
Conclusion
Dans notre étude, une Tg post-opératoire indosable sans Ac anti-Tg était associée à l’absence de foyer iodofixant pathologique en dehors du reliquat cervical uniquement chez les patients porteurs de cancers thyroïdiens à faible risque de rechute.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63319
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 197[article] La thyroglobuline post-opératoire est-elle prédictive du statut scintigraphique post-irathérapie ? [texte imprimé] / M.C. Eberle ; S. Guillemard ; P. Gelibert ; C. Espitalier Rivière ; D. Ilonca ; I. Raingeard ; C. Cartier ; E. Deshayes . - 2019 . - p. 197.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.071
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 197
Mots-clés : GLANDE THYROÏDE CANCER SCINTIGRAPHIE Irathérapie Anticorps antithyroglobuline Résumé :
But
Notre étude a eu pour but d’évaluer la valeur prédictive de la thyroglobuline (Tg) post-opératoire sur le statut scintigraphique post-irathérapie.
Patients et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective monocentrique. Entre juillet 2017 et avril 2018, 73 patients ont bénéficié d’un dosage de TSH, Tg et Ac anti-Tg en post-opératoire avant irathérapie pour cancer thyroïdien. Le niveau de risque selon la nouvelle classification SFMN 2017 a été déterminé pour chaque patient. Les résultats de la scintigraphie corps entier et SPECT-CT cervico-thoracique réalisée à J3 de l’administration d’iode 131 ont été analysés : reliquat seul/ganglions (N+)/métastases à distance (M+). Les résultats de Tg-Ac antiTg ont été corrélés au statut scintigraphique.
Résultats
Au total, 73 patients ont été inclus (47 F et 26 H), d’âge moyen 55 ans (19–86). Parmi eux, 30 (41 %) présentaient un cancer à faible risque, 28 (38 %) un risque intermédiaire et 15 (21 %) un risque élevé. La médiane de TSH était de 2,5μU/mL (0,03–105). La médiane de Tg post-op était de 0,4ng/mL (0–47) dans l’ensemble de la population ; elle était de 0,35ng/mL (0–3,5) dans le groupe faible risque, 0,27ng/mL (0–47) dans le groupe risque intermédiaire et 0,61ng/mL (0–32) dans le groupe risque élevé. Vingt pour cent des patients présentaient des Ac anti-Tg positifs. Dans le groupe faible risque (n=30), la scintigraphie montrait un reliquat seul dans 27 cas, un statut N+ dans 3 cas. Dans le groupe risque intermédiaire (n=28), la scintigraphie montrait un reliquat seul dans 25 cas, un statut N+ dans 3 cas. Dans le groupe risque élevé (n=15), la scintigraphie montrait un reliquat seul dans 9 cas, un statut N+ seul dans 4 cas, un statut N+ et M+ dans 1 cas (poumon), un statut M+ seul dans un cas (poumon+foie). Parmi les 73 patients, 19 avaient une Tg post-op d’emblée indosable, dont 13 sans Ac antiTg (18 % soit près de 1 patient sur 5) : 6 dans le groupe faible risque (dont 0 N+ ou M+), 6 dans le groupe risque intermédiaire (dont 1 avait un N+ intense en loge IIA) et 1 dans le groupe élevé (qui avait 1 N+ en loge IV). La médiane de Tg en présence d’un reliquat seul était de 0,4ng/mL (0–47) et la médiane de Tg en présence d’un foyer N+ et/ou M+ était de 1ng/mL (0–32).
Conclusion
Dans notre étude, une Tg post-opératoire indosable sans Ac anti-Tg était associée à l’absence de foyer iodofixant pathologique en dehors du reliquat cervical uniquement chez les patients porteurs de cancers thyroïdiens à faible risque de rechute.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63319 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt