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Auteur F. Giammarile |
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L'apport de la tomographie par émission de positons au FDG pour la radiothérapie : résultats de l'évaluation économique du Stic "TEP et radiothérapie" / R. Remonnay in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : L'apport de la tomographie par émission de positons au FDG pour la radiothérapie : résultats de l'évaluation économique du Stic "TEP et radiothérapie" Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Remonnay ; M. Morelle ; F. Giammarile ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 313-317 Langues : Français (fre) Mots-clés : HODGKIN MALADIE THERAPEUTIQUE POUMON CANCER ECONOMIE SANITAIRE Résumé : Cette étude avait pour objectif l’évaluation des coûts induits ou évités par l’utilisation de la tomographie par émission de positons (TEP) en complément de la scanographie de planification pour le choix de la stratégie thérapeutique et l’optimisation de la balistique de radiothérapie dans les cancers pulmonaires et la maladie de Hodgkin. Une étude prospective, multicentrique, non randomisée a été conduite dans neuf centres. L’oncologue radiothérapeute prenait successivement deux décisions de traitement sur la base de la seule scanographie, puis des informations supplémentaires apportées par la TEP. Ces deux décisions étaient ensuite comparées. Les coûts directs liés à l’utilisation de la TEP et à ses conséquences sur le traitement de radiothérapie ont été évalués selon la technique du microcosting, les examens supplémentaires et les modifications du traitement ont été valorisés sur la base tarifaire. Les données économiques étaient disponibles pour 209 patients (97 maladies de Hodgkin et 112 carcinomes bronchiques non à petites cellules). Le coût moyen d’une TEP atteignait 800 euros (dont la moitié pour le FDG). Les modifications du traitement ont concerné 10 % des traitements des maladies de Hodgkin avec un impact faible sur le coût du traitement et 40 % des traitements des carcinomes bronchiques non à petites cellules, avec une réduction du coût moyen de traitement de plus de 500 euros. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41014
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 313-317[article] L'apport de la tomographie par émission de positons au FDG pour la radiothérapie : résultats de l'évaluation économique du Stic "TEP et radiothérapie" [texte imprimé] / R. Remonnay ; M. Morelle ; F. Giammarile ; et al. . - 2009 . - p. 313-317.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 313-317
Mots-clés : HODGKIN MALADIE THERAPEUTIQUE POUMON CANCER ECONOMIE SANITAIRE Résumé : Cette étude avait pour objectif l’évaluation des coûts induits ou évités par l’utilisation de la tomographie par émission de positons (TEP) en complément de la scanographie de planification pour le choix de la stratégie thérapeutique et l’optimisation de la balistique de radiothérapie dans les cancers pulmonaires et la maladie de Hodgkin. Une étude prospective, multicentrique, non randomisée a été conduite dans neuf centres. L’oncologue radiothérapeute prenait successivement deux décisions de traitement sur la base de la seule scanographie, puis des informations supplémentaires apportées par la TEP. Ces deux décisions étaient ensuite comparées. Les coûts directs liés à l’utilisation de la TEP et à ses conséquences sur le traitement de radiothérapie ont été évalués selon la technique du microcosting, les examens supplémentaires et les modifications du traitement ont été valorisés sur la base tarifaire. Les données économiques étaient disponibles pour 209 patients (97 maladies de Hodgkin et 112 carcinomes bronchiques non à petites cellules). Le coût moyen d’une TEP atteignait 800 euros (dont la moitié pour le FDG). Les modifications du traitement ont concerné 10 % des traitements des maladies de Hodgkin avec un impact faible sur le coût du traitement et 40 % des traitements des carcinomes bronchiques non à petites cellules, avec une réduction du coût moyen de traitement de plus de 500 euros. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41014 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Controverse : est-il nécessaire de faire des images (lymphoscintigraphies) pour repérer le ganglion sentinelle dans le cancer du sein ? / A. Moreau in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 39, n° 3 (2015)
[article]
Titre : Controverse : est-il nécessaire de faire des images (lymphoscintigraphies) pour repérer le ganglion sentinelle dans le cancer du sein ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Moreau, Auteur ; F. Giammarile, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 310-314 Langues : Français (fre) Mots-clés : ganglion sentinelle Tumeurs du sein lymphoscintigraphie Résumé : Depuis près d’un quart de siècle, la recherche du ganglion sentinelle (GS) tend à remplacer le curage axillaire systématique pour le staging ganglionnaire dans le cancer du sein. La quête du GS est indiquée chez les patientes atteintes d’une tumeur de moins de 3 cm sans ganglion cliniquement palpable au niveau axillaire. Suite à l’injection du traceur isotopique, la recherche du GS se fait généralement par le chirurgien grâce à sa sonde en peropératoire. Toutefois, une lymphoscintigraphie complète très fréquemment la méthode afin de guider le chirurgien dans son geste et d’accélérer la procédure chirurgicale. La réalisation d’images planaires suffit le plus souvent pour conclure quant à la localisation du GS. Il existe toutefois un certain nombre de cas complexes pour lesquels une TEMP/TDM peut s’avérer nécessaire. C’est le cas notamment des faux négatifs, des situations de drainage atypique ou difficilement interprétable, des GS extra-axillaires ou situés non loin des sites d’injection. Du fait d’une meilleure résolution spatiale, sensibilité, résolution en contraste et de l’apport d’images anatomiques, l’imagerie hybride constitue un gain non négligeable pour ces différents cas difficiles. Elle permet ainsi une meilleure approche chirurgicale. Comme toute imagerie hybride, elle entraîne une augmentation du coût et du temps d’acquisition ainsi qu’une irradiation supplémentaire, quoique faible. Elle devrait donc être réservée à certaines situations problématiques, situations qui n’ont encore fait l’objet d’aucun consensus, mais qui semblent similaires d’une équipe à une autre. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33729
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 310-314[article] Controverse : est-il nécessaire de faire des images (lymphoscintigraphies) pour repérer le ganglion sentinelle dans le cancer du sein ? [texte imprimé] / A. Moreau, Auteur ; F. Giammarile, Auteur . - 2015 . - 310-314.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 310-314
Mots-clés : ganglion sentinelle Tumeurs du sein lymphoscintigraphie Résumé : Depuis près d’un quart de siècle, la recherche du ganglion sentinelle (GS) tend à remplacer le curage axillaire systématique pour le staging ganglionnaire dans le cancer du sein. La quête du GS est indiquée chez les patientes atteintes d’une tumeur de moins de 3 cm sans ganglion cliniquement palpable au niveau axillaire. Suite à l’injection du traceur isotopique, la recherche du GS se fait généralement par le chirurgien grâce à sa sonde en peropératoire. Toutefois, une lymphoscintigraphie complète très fréquemment la méthode afin de guider le chirurgien dans son geste et d’accélérer la procédure chirurgicale. La réalisation d’images planaires suffit le plus souvent pour conclure quant à la localisation du GS. Il existe toutefois un certain nombre de cas complexes pour lesquels une TEMP/TDM peut s’avérer nécessaire. C’est le cas notamment des faux négatifs, des situations de drainage atypique ou difficilement interprétable, des GS extra-axillaires ou situés non loin des sites d’injection. Du fait d’une meilleure résolution spatiale, sensibilité, résolution en contraste et de l’apport d’images anatomiques, l’imagerie hybride constitue un gain non négligeable pour ces différents cas difficiles. Elle permet ainsi une meilleure approche chirurgicale. Comme toute imagerie hybride, elle entraîne une augmentation du coût et du temps d’acquisition ainsi qu’une irradiation supplémentaire, quoique faible. Elle devrait donc être réservée à certaines situations problématiques, situations qui n’ont encore fait l’objet d’aucun consensus, mais qui semblent similaires d’une équipe à une autre. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33729 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La délimitation des volumes cibles en radiothérapie : application des techniques d'imagerie / P.-J. Valette in Cancer Radiothérapie, 13/6-7 (Octobre 2009)
[article]
Titre : La délimitation des volumes cibles en radiothérapie : application des techniques d'imagerie Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-J. Valette ; F. Cotton ; F. Giammarile Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 581-587 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE TOMOSCINTIGRAPHIE TUMEUR TOMODENSITOMETRIE Résumé : Le traitement des tumeurs par irradiation externe connaît depuis quelques années des évolutions majeures : d’une part, la diffusion de machines délivrant des rayonnements de haute énergie permet d’irradier correctement les tumeurs profondes ; d’autre part, l’émergence de nouvelles techniques d’irradiation conformationnelle tridimensionnelle avec modulation d’intensité (RCMI) permettent de délivrer des doses importantes, cela toutefois sous réserve d’une parfaite délimitation du volume tumoral et des structures anatomiques à épargner. Parallèlement, les progrès de l’imagerie améliorent la localisation et la visualisation précises de l’extension des tumeurs, ainsi que leur représentation dans l’espace tridimensionnel. Le repérage des volumes cibles et la prédiction de la dose absorbée en tout point du volume imagé deviennent donc une étape essentielle de la planification du traitement. Cette planification est le plus souvent pratiquée avec un scanographe. La technique la plus couramment utilisée est une scanographie de dosimétrie sans injection de produit de contraste permettant un repérage de la tumeur par son effet de masse ou par sa différence spontanée de densité d’avec les structures de voisinage. Toutefois, la visualisation du volume tumoral reste parfois difficile pour des lésions de petite taille ou manquant de contraste par rapport aux tissus environnants. Ce manque de contraste représente une source de variabilité importante pour la délimitation du volume cible qui a été documentée dans de nombreuses études. Les tumeurs doivent alors être localisées par corrélation avec les images faites lors du bilan diagnostique par d’autres techniques d’imagerie, essentiellement l’imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomographie par émission de positons (TEP). Cette approche répond au concept de multimodalité diagnostique qui reprend le principe maintenant bien établi de complémentarité des différentes techniques d’imagerie. Chaque technique apporte en effet, selon son principe physique, une ou plusieurs informations spécifiques. Il convient dès lors de bien appréhender la contribution de chaque examen d’imagerie utilisé, cela selon les maladies et leurs localisations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41124
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 581-587[article] La délimitation des volumes cibles en radiothérapie : application des techniques d'imagerie [texte imprimé] / P.-J. Valette ; F. Cotton ; F. Giammarile . - 2009 . - p. 581-587.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 581-587
Mots-clés : RADIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE TOMOSCINTIGRAPHIE TUMEUR TOMODENSITOMETRIE Résumé : Le traitement des tumeurs par irradiation externe connaît depuis quelques années des évolutions majeures : d’une part, la diffusion de machines délivrant des rayonnements de haute énergie permet d’irradier correctement les tumeurs profondes ; d’autre part, l’émergence de nouvelles techniques d’irradiation conformationnelle tridimensionnelle avec modulation d’intensité (RCMI) permettent de délivrer des doses importantes, cela toutefois sous réserve d’une parfaite délimitation du volume tumoral et des structures anatomiques à épargner. Parallèlement, les progrès de l’imagerie améliorent la localisation et la visualisation précises de l’extension des tumeurs, ainsi que leur représentation dans l’espace tridimensionnel. Le repérage des volumes cibles et la prédiction de la dose absorbée en tout point du volume imagé deviennent donc une étape essentielle de la planification du traitement. Cette planification est le plus souvent pratiquée avec un scanographe. La technique la plus couramment utilisée est une scanographie de dosimétrie sans injection de produit de contraste permettant un repérage de la tumeur par son effet de masse ou par sa différence spontanée de densité d’avec les structures de voisinage. Toutefois, la visualisation du volume tumoral reste parfois difficile pour des lésions de petite taille ou manquant de contraste par rapport aux tissus environnants. Ce manque de contraste représente une source de variabilité importante pour la délimitation du volume cible qui a été documentée dans de nombreuses études. Les tumeurs doivent alors être localisées par corrélation avec les images faites lors du bilan diagnostique par d’autres techniques d’imagerie, essentiellement l’imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomographie par émission de positons (TEP). Cette approche répond au concept de multimodalité diagnostique qui reprend le principe maintenant bien établi de complémentarité des différentes techniques d’imagerie. Chaque technique apporte en effet, selon son principe physique, une ou plusieurs informations spécifiques. Il convient dès lors de bien appréhender la contribution de chaque examen d’imagerie utilisé, cela selon les maladies et leurs localisations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41124 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Intégration des critères métaboliques de la TEP au 18FDG pour le choix des lésions cibles en imagerie onco-hématologiqu / F Ricard in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 37, n° 6 (Juin 2013)
[article]
Titre : Intégration des critères métaboliques de la TEP au 18FDG pour le choix des lésions cibles en imagerie onco-hématologiqu Type de document : texte imprimé Auteurs : F Ricard, Auteur ; et al., Auteur ; F. Giammarile, Auteur ; C. Tychyj-Pinel, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 244-250 Langues : Français (fre) Mots-clés : Lymphome tep 18fdg Scanner lésion cible Résumé : Introduction
Le lymphome est une maladie diffuse et hétérogène. L’évaluation de la réponse morphologique au traitement est basée sur le choix initial de lésions cibles, sélectionnées par critère de taille sur le scanner. La TEP/TDM au 18FDG étant utilisée en routine pour le bilan d’extension, notre but dans cette étude est d’évaluer l’intérêt d’utiliser des critères métaboliques pour sélectionner des lésions cibles représentatives du patient.
Patients et méthodes
Cinquante-neuf patients atteints de lymphomes agressifs ont été inclus rétrospectivement. Des lésions cibles ont été définies par deux radiologues sur le scanner diagnostique et deux médecins nucléaires sur la TEP/TDM. Le taux de réponse morphologique, basé sur le calcul de la variation de taille des lésions cibles sélectionnées soit par critères morphologiques, soit par critères métaboliques, a été calculé et comparé pour chaque patient au gold standard hématologique. L’accord inter-observateur et la comparaison au gold standard ont été calculés par statistiques Kappa (κ) et corrélation intra-classe (CIC).
Résultats
La distribution spatiale des lésions cibles sélectionnées sur le scanner diagnostique ou la TEP/TDM est équivalente, prédominant dans les aires ganglionnaires cervicales et médiastinales. Le choix des cibles par critères métaboliques conduit à plus d’hétérogénéité dans la taille des cibles que par critères morphologiques (p = 0,03). L’accord inter-observateur pour quantifier le taux de réponse est globalement équivalent pour les deux méthodes. Toutefois, il existe une meilleure corrélation à la réponse du gold standard pour la sélection métabolique (κ = 0,64 vs 0,47) et un taux plus élevé de réponses complètes.
Conclusions
Les critères métaboliques de la TEP au FDG sont une alternative aux critères morphologiques du scanner diagnostique pour sélectionner au bilan initial les lésions cibles qui permettront d’évaluer le taux de réponse au traitement lors du suivi. Le taux de réponse morphologique calculé sur les cibles ainsi sélectionnées est correct, avec une majoration du taux de réponses complètes et une meilleure corrélation au gold standard hématologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29546
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 37, n° 6 (Juin 2013) . - 244-250[article] Intégration des critères métaboliques de la TEP au 18FDG pour le choix des lésions cibles en imagerie onco-hématologiqu [texte imprimé] / F Ricard, Auteur ; et al., Auteur ; F. Giammarile, Auteur ; C. Tychyj-Pinel, Auteur . - 2013 . - 244-250.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 37, n° 6 (Juin 2013) . - 244-250
Mots-clés : Lymphome tep 18fdg Scanner lésion cible Résumé : Introduction
Le lymphome est une maladie diffuse et hétérogène. L’évaluation de la réponse morphologique au traitement est basée sur le choix initial de lésions cibles, sélectionnées par critère de taille sur le scanner. La TEP/TDM au 18FDG étant utilisée en routine pour le bilan d’extension, notre but dans cette étude est d’évaluer l’intérêt d’utiliser des critères métaboliques pour sélectionner des lésions cibles représentatives du patient.
Patients et méthodes
Cinquante-neuf patients atteints de lymphomes agressifs ont été inclus rétrospectivement. Des lésions cibles ont été définies par deux radiologues sur le scanner diagnostique et deux médecins nucléaires sur la TEP/TDM. Le taux de réponse morphologique, basé sur le calcul de la variation de taille des lésions cibles sélectionnées soit par critères morphologiques, soit par critères métaboliques, a été calculé et comparé pour chaque patient au gold standard hématologique. L’accord inter-observateur et la comparaison au gold standard ont été calculés par statistiques Kappa (κ) et corrélation intra-classe (CIC).
Résultats
La distribution spatiale des lésions cibles sélectionnées sur le scanner diagnostique ou la TEP/TDM est équivalente, prédominant dans les aires ganglionnaires cervicales et médiastinales. Le choix des cibles par critères métaboliques conduit à plus d’hétérogénéité dans la taille des cibles que par critères morphologiques (p = 0,03). L’accord inter-observateur pour quantifier le taux de réponse est globalement équivalent pour les deux méthodes. Toutefois, il existe une meilleure corrélation à la réponse du gold standard pour la sélection métabolique (κ = 0,64 vs 0,47) et un taux plus élevé de réponses complètes.
Conclusions
Les critères métaboliques de la TEP au FDG sont une alternative aux critères morphologiques du scanner diagnostique pour sélectionner au bilan initial les lésions cibles qui permettront d’évaluer le taux de réponse au traitement lors du suivi. Le taux de réponse morphologique calculé sur les cibles ainsi sélectionnées est correct, avec une majoration du taux de réponses complètes et une meilleure corrélation au gold standard hématologique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29546 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Intérêt comparé de la scintigraphie au 18FDG et de la scintigraphie Ostréoscan pour localiser les récidives des cancers thyroïdiens différenciés ne fixant pas l'iode 131 / F. Giammarile in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 27, n° 4 (Avril 2003)
[article]
Titre : Intérêt comparé de la scintigraphie au 18FDG et de la scintigraphie Ostréoscan pour localiser les récidives des cancers thyroïdiens différenciés ne fixant pas l'iode 131 Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Giammarile ; Françoise Borson-Chazot Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 195-199 Mots-clés : Tumeurs de la thyroïde Scintigraphie Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51592
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 27, n° 4 (Avril 2003) . - pp. 195-199[article] Intérêt comparé de la scintigraphie au 18FDG et de la scintigraphie Ostréoscan pour localiser les récidives des cancers thyroïdiens différenciés ne fixant pas l'iode 131 [texte imprimé] / F. Giammarile ; Françoise Borson-Chazot . - 2003 . - pp. 195-199.
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 27, n° 4 (Avril 2003) . - pp. 195-199
Mots-clés : Tumeurs de la thyroïde Scintigraphie Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51592 Exemplaires (2)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Lymphomes malins : que reste-t-il du Gallium 67? / F. Giammarile in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 25, n° 9 (Septembre 2001)
PermalinkNotions générales sur la tomographie par émission de positons en cancérologie et particularités pédiatriques / F. Giammarile in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 26, n° 8 (Août 2002)
PermalinkPédiatrie nucléaire : applications en oncologie / F. Giammarile in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 36, n° 3 (Mars 2012)
PermalinkPlace de la scintigraphie osseuse dans les tumeurs osseuses primitives de l'enfant / F. Giammarile in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 25, n° 4 (Avril 2001)
PermalinkScintigraphie des neuroblastomes à la méta-iodobenzylguanidine (MIBG) / J.-P. Caravel in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 25, n° 4 (Avril 2001)
PermalinkLe traitement du neuroblastome par radiothérapie métabolique / F. Giammarile in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 25, n° 4 (Avril 2001)
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