Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur D. Huglo |
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Évaluation de méthodes automatiques de segmentation des volumes tumoraux en tomographie par émission de positons par comparaison avec des contours manuels réalisés par un groupe d’experts / N. Yeni in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 35, n° 3 (Mars 2011)
[article]
Titre : Évaluation de méthodes automatiques de segmentation des volumes tumoraux en tomographie par émission de positons par comparaison avec des contours manuels réalisés par un groupe d’experts Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Yeni, Auteur ; et al., Auteur ; D. Huglo, Auteur ; M. Vermandel, Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 146-155 Langues : Français (fre) Mots-clés : tep segmentation Résumé : Objectif
Mettre en place un cadre d’évaluation de méthodes automatiques de segmentation des volumes tumoraux en TEP.
Patient et méthodes
Les examens TEP de 18 patients présentant un lymphome non hodgkinien ont servi de base de données. Une lésion cible a été désignée par patient. Chaque lésion a ensuite été contourée manuellement trois fois par un groupe de cinq experts. Quatre méthodes automatiques (application d’un seuillage fixe égal à 42 % de la SUV maximale, méthode MIP-based, méthode proposée par Daisne et al., méthode proposée par Nestle et al.) ont alors pu être évaluées par comparaison avec l’ensemble des segmentations manuelles.
Résultats
Les contours réalisés par les experts ont permis de conclure à une variabilité intra-opérateur modérée et à une reproductibilité interopérateurs assez faible. Par ailleurs, les tests statistiques réalisés sur divers critères quantitatifs n’ont mis en évidence aucune différence significative entre la méthode MIP-based, la méthode de Daisne et al. et celle de Nestle et al. La méthode de seuillage fixe à 42 % de la SUV maximale apparaît moins performante.
Conclusion
Ce travail a permis de proposer un protocole d’évaluation et de comparaison de méthodes de segmentation. La base de données générée pour cette étude pourra être diffusée en ligne pour la communauté afin de simplifier l’évaluation de toute nouvelle méthode de segmentation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29528
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 35, n° 3 (Mars 2011) . - 146-155[article] Évaluation de méthodes automatiques de segmentation des volumes tumoraux en tomographie par émission de positons par comparaison avec des contours manuels réalisés par un groupe d’experts [texte imprimé] / N. Yeni, Auteur ; et al., Auteur ; D. Huglo, Auteur ; M. Vermandel, Auteur . - 2011 . - 146-155.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 35, n° 3 (Mars 2011) . - 146-155
Mots-clés : tep segmentation Résumé : Objectif
Mettre en place un cadre d’évaluation de méthodes automatiques de segmentation des volumes tumoraux en TEP.
Patient et méthodes
Les examens TEP de 18 patients présentant un lymphome non hodgkinien ont servi de base de données. Une lésion cible a été désignée par patient. Chaque lésion a ensuite été contourée manuellement trois fois par un groupe de cinq experts. Quatre méthodes automatiques (application d’un seuillage fixe égal à 42 % de la SUV maximale, méthode MIP-based, méthode proposée par Daisne et al., méthode proposée par Nestle et al.) ont alors pu être évaluées par comparaison avec l’ensemble des segmentations manuelles.
Résultats
Les contours réalisés par les experts ont permis de conclure à une variabilité intra-opérateur modérée et à une reproductibilité interopérateurs assez faible. Par ailleurs, les tests statistiques réalisés sur divers critères quantitatifs n’ont mis en évidence aucune différence significative entre la méthode MIP-based, la méthode de Daisne et al. et celle de Nestle et al. La méthode de seuillage fixe à 42 % de la SUV maximale apparaît moins performante.
Conclusion
Ce travail a permis de proposer un protocole d’évaluation et de comparaison de méthodes de segmentation. La base de données générée pour cette étude pourra être diffusée en ligne pour la communauté afin de simplifier l’évaluation de toute nouvelle méthode de segmentation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29528 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires / Frédéric Courbon in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Courbon ; D. Huglo ; F. Akriche ; A. Chakroun Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 194 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.063 Langues : Français (fre) Mots-clés : 99mTc-nanocolloïdes SEIN CANCER MÉLANOME OREILLE CANCER GORGE CANCER NEZ CANCER Résumé : La pratique du ganglion sentinelle (GS), largement diffusée en France, varie entre les établissements. Lors d’un atelier de travail parrainé (JFMN 2018), la pratique actuelle a été évaluée via un questionnaire. Au total, 74 participants ont répondu par vote électronique. Un total de 51 % exerçaient en CHU/CHG et 16 % dans un CLCC. Le nombre d’actes de GS par semaine était entre 1 et 10 pour 49 %, plus de 11 pour 21 % et moins d’un pour 22 %. Le cancer du sein était l’indication la plus fréquente (85 %), suivi du mélanome (62 %) et des cancers des organes génitaux externes (58 %), alors que le GS dans le cancer du col utérin n’était réalisé que par 36 % des participants et le cancer des VADS par 27 %. Pour 67 % des médecins, la méthode colorimétrique était associée à la méthode isotopique au moins dans certaines indications. Dans le cancer du sein, selon 65 % des médecins, la réalisation d’une image scintigraphique pour attester du drainage sentinelle était nécessaire, cependant, 41 % ont déclaré qu’elle n’était pas toujours utilisée par le chirurgien. L’observation d’un drainage tardif en l’absence d’un drainage précoce était possible pour 65 % des participants. Les éléments altérant la détection du GS étaient principalement l’antécédent de chirurgie mammaire (72 %), l’IMC de la patiente (59 %) et le site d’injection (54 %). La présence d’un repère radiologique était considérée comme une limite au GS uniquement par 19 % du panel. De façon globale, les principales difficultés rencontrées dans la pratique du GS étaient l’échec de la technique chez certains patients (51 % des médecins), le drainage complexe et les localisations atypiques (43 %), ainsi que la non-spécificité du radiotraceur avec multiplicité des GS tardifs (34 %). L’effet phare dans certaines localisations tumorales et la formation insuffisante à la technique étaient rapportés par 26 % des médecins. En termes de pratique ambulatoire, 58 % des participants ont déclaré réaliser le GS sur 1 jour et 65 % sur 2jours Les ressources humaines et matérielles (57 %) et les aspects logistiques (54 %) étaient rapportés comme les limites majeures à la pratique de l’ambulatoire. En conclusion, le panel évalué reflète l’avis d’une petite proportion de médecins nucléaires. Cependant, leur participation à cet atelier témoigne de leur implication pour cette technique. Selon ces résultats, des difficultés sont parfois rencontrées, suggérant que des améliorations dans le parcours du patient bénéficiant d’un GS restent souhaitables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63311
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 194[article] Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires [texte imprimé] / Frédéric Courbon ; D. Huglo ; F. Akriche ; A. Chakroun . - 2019 . - p. 194.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.063
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 194
Mots-clés : 99mTc-nanocolloïdes SEIN CANCER MÉLANOME OREILLE CANCER GORGE CANCER NEZ CANCER Résumé : La pratique du ganglion sentinelle (GS), largement diffusée en France, varie entre les établissements. Lors d’un atelier de travail parrainé (JFMN 2018), la pratique actuelle a été évaluée via un questionnaire. Au total, 74 participants ont répondu par vote électronique. Un total de 51 % exerçaient en CHU/CHG et 16 % dans un CLCC. Le nombre d’actes de GS par semaine était entre 1 et 10 pour 49 %, plus de 11 pour 21 % et moins d’un pour 22 %. Le cancer du sein était l’indication la plus fréquente (85 %), suivi du mélanome (62 %) et des cancers des organes génitaux externes (58 %), alors que le GS dans le cancer du col utérin n’était réalisé que par 36 % des participants et le cancer des VADS par 27 %. Pour 67 % des médecins, la méthode colorimétrique était associée à la méthode isotopique au moins dans certaines indications. Dans le cancer du sein, selon 65 % des médecins, la réalisation d’une image scintigraphique pour attester du drainage sentinelle était nécessaire, cependant, 41 % ont déclaré qu’elle n’était pas toujours utilisée par le chirurgien. L’observation d’un drainage tardif en l’absence d’un drainage précoce était possible pour 65 % des participants. Les éléments altérant la détection du GS étaient principalement l’antécédent de chirurgie mammaire (72 %), l’IMC de la patiente (59 %) et le site d’injection (54 %). La présence d’un repère radiologique était considérée comme une limite au GS uniquement par 19 % du panel. De façon globale, les principales difficultés rencontrées dans la pratique du GS étaient l’échec de la technique chez certains patients (51 % des médecins), le drainage complexe et les localisations atypiques (43 %), ainsi que la non-spécificité du radiotraceur avec multiplicité des GS tardifs (34 %). L’effet phare dans certaines localisations tumorales et la formation insuffisante à la technique étaient rapportés par 26 % des médecins. En termes de pratique ambulatoire, 58 % des participants ont déclaré réaliser le GS sur 1 jour et 65 % sur 2jours Les ressources humaines et matérielles (57 %) et les aspects logistiques (54 %) étaient rapportés comme les limites majeures à la pratique de l’ambulatoire. En conclusion, le panel évalué reflète l’avis d’une petite proportion de médecins nucléaires. Cependant, leur participation à cet atelier témoigne de leur implication pour cette technique. Selon ces résultats, des difficultés sont parfois rencontrées, suggérant que des améliorations dans le parcours du patient bénéficiant d’un GS restent souhaitables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63311 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Quantification de la fixation tumorale du fluoro-deoxyglucose / D. Huglo in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 26, n° 4 (Avril 2002)
[article]
Titre : Quantification de la fixation tumorale du fluoro-deoxyglucose Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Huglo Année de publication : 2002 Article en page(s) : pp. 175-188 Mots-clés : Fluorodésoxyglucose F18 fuv Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51646
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 26, n° 4 (Avril 2002) . - pp. 175-188[article] Quantification de la fixation tumorale du fluoro-deoxyglucose [texte imprimé] / D. Huglo . - 2002 . - pp. 175-188.
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 26, n° 4 (Avril 2002) . - pp. 175-188
Mots-clés : Fluorodésoxyglucose F18 fuv Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51646 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt