Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Mention de date : Février 2025
Paru le : 01/02/2025
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[article]
Titre : |
Comment s’y retrouver dans les différentes modalités de lavage nasal en pédiatrie ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
C. Batard ; L. Coffinet ; A. Daguet ; A. Verdaguer ; F. Simon |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 1-6 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.jpp.2024.07.003 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Lavage nasal Désobstruction rhinopharyngée Pédiatrie Rhinosinusite Rhinite allergique |
Résumé : |
Les effets bénéfiques du lavage nasal chez l’enfant et le nourrisson sont bien décrits et justifient sa place en prévention et comme traitement adjuvant des infections aiguës des voies aériennes supérieures et des rhinites allergiques. Chez les tout-petits, inférieurs à 6 mois, l’hygiène nasale permet d’assurer la perméabilité nasale. L’efficacité du lavage nasal est liée à la combinaison de plusieurs facteurs : la nature de la solution diffusée, le volume et la pression de diffusion, le type de dispositif, les gestes et la position de l’enfant, le mouchage. Parmi les nombreux dispositifs disponibles, les dispositifs médicaux disposant du marquage CE sont à privilégier. L’utilisation d’une solution stérile, isotonique équivalent à 9g/L en NaCl, est recommandée dans la plupart des situations. Le volume préconisé est d’environ trois fois la capacité de la fosse nasale, de plus grands volumes peuvent être utilisés en post-chirurgical. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88944 |
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 1-6
[article] Comment s’y retrouver dans les différentes modalités de lavage nasal en pédiatrie ? [texte imprimé] / C. Batard ; L. Coffinet ; A. Daguet ; A. Verdaguer ; F. Simon . - 2025 . - p. 1-6. Doi : 10.1016/j.jpp.2024.07.003 Langues : Français ( fre) in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 1-6
Mots-clés : |
Lavage nasal Désobstruction rhinopharyngée Pédiatrie Rhinosinusite Rhinite allergique |
Résumé : |
Les effets bénéfiques du lavage nasal chez l’enfant et le nourrisson sont bien décrits et justifient sa place en prévention et comme traitement adjuvant des infections aiguës des voies aériennes supérieures et des rhinites allergiques. Chez les tout-petits, inférieurs à 6 mois, l’hygiène nasale permet d’assurer la perméabilité nasale. L’efficacité du lavage nasal est liée à la combinaison de plusieurs facteurs : la nature de la solution diffusée, le volume et la pression de diffusion, le type de dispositif, les gestes et la position de l’enfant, le mouchage. Parmi les nombreux dispositifs disponibles, les dispositifs médicaux disposant du marquage CE sont à privilégier. L’utilisation d’une solution stérile, isotonique équivalent à 9g/L en NaCl, est recommandée dans la plupart des situations. Le volume préconisé est d’environ trois fois la capacité de la fosse nasale, de plus grands volumes peuvent être utilisés en post-chirurgical. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88944 |
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[article]
Titre : |
Troubles respiratoires obstructifs du sommeil chez l’enfant |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
L. Coutier ; G. Aubertin ; C. Schweitzer ; I. Ioan ; P. Franco |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 7-16 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.jpp.2024.07.004 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Enfant Sommeil Apnées du sommeil Polygraphie Polysomnographie |
Résumé : |
Chez l’enfant, le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) constitue un trouble fréquent entre 3 et 8 ans (∼3 %). Les symptômes et les signes cliniques diurnes et nocturnes à rechercher sont le résultat de l’obstruction des voies aériennes supérieures et de la mauvaise qualité de sommeil. Ils permettent de juger de la probabilité du diagnostic de SAOS et d’évaluer sa sévérité. Après une évaluation anamnestique et clinique complète, le spécialiste ORL s’orientera soit vers une adéno-amygdalectomie (AA), soit vers un suivi rapproché, soit vers un enregistrement nocturne par polygraphie ou polysomnographie pour confirmer le diagnostic. La prise en charge de ces enfants est multidisciplinaire (ORL, orthodontiste, kinésithérapie maxillo-faciale, pneumologue, spécialiste du sommeil) et doit être précoce afin d’éviter les complications neurocognitives, comportementales, cardiovasculaires, et métaboliques. Une évaluation des règles d’hygiène de vie et de sommeil ainsi que du surpoids ou de l’obésité est indispensable. Chez l’enfant avec SAOS de type 1 ou l’enfant avec SAOS de type 3, des spécificités sont à retenir et sont détaillées ici. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88945 |
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 7-16
[article] Troubles respiratoires obstructifs du sommeil chez l’enfant [texte imprimé] / L. Coutier ; G. Aubertin ; C. Schweitzer ; I. Ioan ; P. Franco . - 2025 . - p. 7-16. Doi : 10.1016/j.jpp.2024.07.004 Langues : Français ( fre) in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 7-16
Mots-clés : |
Enfant Sommeil Apnées du sommeil Polygraphie Polysomnographie |
Résumé : |
Chez l’enfant, le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) constitue un trouble fréquent entre 3 et 8 ans (∼3 %). Les symptômes et les signes cliniques diurnes et nocturnes à rechercher sont le résultat de l’obstruction des voies aériennes supérieures et de la mauvaise qualité de sommeil. Ils permettent de juger de la probabilité du diagnostic de SAOS et d’évaluer sa sévérité. Après une évaluation anamnestique et clinique complète, le spécialiste ORL s’orientera soit vers une adéno-amygdalectomie (AA), soit vers un suivi rapproché, soit vers un enregistrement nocturne par polygraphie ou polysomnographie pour confirmer le diagnostic. La prise en charge de ces enfants est multidisciplinaire (ORL, orthodontiste, kinésithérapie maxillo-faciale, pneumologue, spécialiste du sommeil) et doit être précoce afin d’éviter les complications neurocognitives, comportementales, cardiovasculaires, et métaboliques. Une évaluation des règles d’hygiène de vie et de sommeil ainsi que du surpoids ou de l’obésité est indispensable. Chez l’enfant avec SAOS de type 1 ou l’enfant avec SAOS de type 3, des spécificités sont à retenir et sont détaillées ici. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88945 |
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[article]
Titre : |
MEOPA (mélange équimolaire oxygène protoxyde d’azote), un médicament antalgique de référence chez l’enfant |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
D. Annequin |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 25-31 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.jpp.2024.10.004 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Protoxyde d’azote Mélange protoxyde d’azote–oxygène Anxiolyse La douleur provoquée par les soins Actes invasifs Inhalation Idée fausse Gaz hilarant |
Résumé : |
Le MEOPA possède un excellent rapport bénéfice-risque : l’efficacité, la simplicité, la rapidité et la sécurité de son utilisation représentent un des premiers choix pour traiter la douleur aiguë des soins et l’anxiété qu’elle entraîne chez l’enfant. Des professionnels de santé formés peuvent utiliser le MEOPA sans présence médicale. Le jeûne n’est pas nécessaire. Le N2O est un médicament dont l’utilisation doit faire l’objet d’une prescription. La préparation, l’information des enfants et des familles sont essentielles à la réussite de cette méthode. Il faut distinguer clairement l’usage récréatif des cartouches de N2O pur de l’usage médical antalgique du MEOPA. L’utilisation régulière et quotidienne (plus de 10jours) de MEOPA nécessite une surveillance de la vitamine B12 du patient. L’hypnoanalgésie renforce l’action du MEOPA. Il faut savoir anticiper l’échec du MEOPA en protocolisant des prescriptions complémentaires (midazolam, kétamine…). L’utilisation du MEOPA nécessite des locaux non confinés et bénéficiant d’une ventilation suffisante. Aucune étude récente n’a pu montrer de risques spécifiques pour les soignants lors d’expositions prolongées. Les femmes enceintes y compris les soignantes peuvent utiliser dans ces conditions le MEOPA. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88947 |
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 25-31
[article] MEOPA (mélange équimolaire oxygène protoxyde d’azote), un médicament antalgique de référence chez l’enfant [texte imprimé] / D. Annequin . - 2025 . - p. 25-31. Doi : 10.1016/j.jpp.2024.10.004 Langues : Français ( fre) in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 25-31
Mots-clés : |
Protoxyde d’azote Mélange protoxyde d’azote–oxygène Anxiolyse La douleur provoquée par les soins Actes invasifs Inhalation Idée fausse Gaz hilarant |
Résumé : |
Le MEOPA possède un excellent rapport bénéfice-risque : l’efficacité, la simplicité, la rapidité et la sécurité de son utilisation représentent un des premiers choix pour traiter la douleur aiguë des soins et l’anxiété qu’elle entraîne chez l’enfant. Des professionnels de santé formés peuvent utiliser le MEOPA sans présence médicale. Le jeûne n’est pas nécessaire. Le N2O est un médicament dont l’utilisation doit faire l’objet d’une prescription. La préparation, l’information des enfants et des familles sont essentielles à la réussite de cette méthode. Il faut distinguer clairement l’usage récréatif des cartouches de N2O pur de l’usage médical antalgique du MEOPA. L’utilisation régulière et quotidienne (plus de 10jours) de MEOPA nécessite une surveillance de la vitamine B12 du patient. L’hypnoanalgésie renforce l’action du MEOPA. Il faut savoir anticiper l’échec du MEOPA en protocolisant des prescriptions complémentaires (midazolam, kétamine…). L’utilisation du MEOPA nécessite des locaux non confinés et bénéficiant d’une ventilation suffisante. Aucune étude récente n’a pu montrer de risques spécifiques pour les soignants lors d’expositions prolongées. Les femmes enceintes y compris les soignantes peuvent utiliser dans ces conditions le MEOPA. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88947 |
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[article]
Titre : |
Diagnostic d’une anémie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Ducassou |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 32-40 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.jpp.2024.10.002 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Anémie Enfant Volume globulaire moyen Carence martiale Anémie hémolytique |
Résumé : |
L’anémie, qui se définit par une diminution du taux d’hémoglobine (Hb) en dessous de deux déviations standards par rapport à la moyenne pour l’âge, est un motif fréquent de consultation en pédiatrie. Sa mise en évidence peut être fortuite dans le cadre d’un bilan systématique ou associée à un tableau clinique plus « bruyant » ayant conduit à la réalisation d’un bilan biologique étiologique. De nombreuses causes, plus ou moins fréquentes, conduisant à la production et/ou la destruction des globules rouges, existent. Leurs présentations cliniques et leurs approches diagnostiques et thérapeutiques nécessitent une démarche rigoureuse s’appuyant sur quelques éléments clés afin d’avancer sur l’étiologie. Cette démarche n’est valable qu’en y intégrant le contexte, la rapidité d’évolution et quelques éléments cliniques d’orientation. Nous nous limitons ici aux diagnostics pédiatriques les plus fréquents sans aborder leur prise en charge. La carence martiale est la cause la plus fréquente d’anémie chez l’enfant mais il existe d’autres causes justifiant d’une prise en charge spécifique. Dans le cadre de la démarche diagnostique il est également important d’évaluer d’emblée la tolérance de l’anémie et de rechercher des signes de gravités nécessitant une prise en charge en urgence en milieu hospitalier, avant toute démarche diagnostique à proprement parler. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88948 |
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 32-40
[article] Diagnostic d’une anémie [texte imprimé] / S. Ducassou . - 2025 . - p. 32-40. Doi : 10.1016/j.jpp.2024.10.002 Langues : Français ( fre) in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 32-40
Mots-clés : |
Anémie Enfant Volume globulaire moyen Carence martiale Anémie hémolytique |
Résumé : |
L’anémie, qui se définit par une diminution du taux d’hémoglobine (Hb) en dessous de deux déviations standards par rapport à la moyenne pour l’âge, est un motif fréquent de consultation en pédiatrie. Sa mise en évidence peut être fortuite dans le cadre d’un bilan systématique ou associée à un tableau clinique plus « bruyant » ayant conduit à la réalisation d’un bilan biologique étiologique. De nombreuses causes, plus ou moins fréquentes, conduisant à la production et/ou la destruction des globules rouges, existent. Leurs présentations cliniques et leurs approches diagnostiques et thérapeutiques nécessitent une démarche rigoureuse s’appuyant sur quelques éléments clés afin d’avancer sur l’étiologie. Cette démarche n’est valable qu’en y intégrant le contexte, la rapidité d’évolution et quelques éléments cliniques d’orientation. Nous nous limitons ici aux diagnostics pédiatriques les plus fréquents sans aborder leur prise en charge. La carence martiale est la cause la plus fréquente d’anémie chez l’enfant mais il existe d’autres causes justifiant d’une prise en charge spécifique. Dans le cadre de la démarche diagnostique il est également important d’évaluer d’emblée la tolérance de l’anémie et de rechercher des signes de gravités nécessitant une prise en charge en urgence en milieu hospitalier, avant toute démarche diagnostique à proprement parler. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88948 |
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Disponible |

[article]
Titre : |
Apports hydriques et évolution pondérale chez le prématuré de moins de 32 semaines d’aménorrhée |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
A.I. Djoman ; A. Bsila ; A. Nasri ; S. Khemiri ; T.S. Ahmed ; D. Mellah ; M. Sdiri ; C. Tagny ; M. Dakpo-Karimou |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 41-48 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.jpp.2024.04.010 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Fluides Prématurité Poids |
Résumé : |
Objectif
Évaluer les stratégies d’apports hydriques chez les prématurés de moins de 32 semaines en comparaison aux recommandations d’ESPGHAN de 2018.
Matériel et méthode
Étude rétrospective, descriptive allant du 1er juin 2022 au 31 juin 2023, portant sur 77 prématurés de moins de 32 semaines d’aménorrhées hospitalisés pendant au moins 15jours.
Résultats
Les apports hydriques par voie entérale et parentérale étaient conformes aux recommandations d’ESPGHAN chez les moins de 1500g et supérieurs chez les plus de 1500g. Cependant, 52 (67 %) prématurés avaient une perte de poids non optimale dont 39 (51 %) avaient perdu plus de 10 % entre J2–J3 et 13 (17 %) ont perdu moins de 7 %. L’étude de la perte de poids en excluant l’alimentation entérale des apports hydriques avait noté que 30/52 prématurés avaient des apports hydriques inférieurs aux recommandations. Parmi eux, 23 prématurés qui avaient perdu plus de 10 % étaient caractérisés par une diurèse abondante, 7 cas de dysnatrémies et 7 prématurés ayant perdu moins de 7 % avaient une diurèse normale. En outre, 22/52 prématurés avaient des apports hydriques conformes aux recommandations d’ESPGHAN dont 16 avaient perdu plus de 10 % présentaient une diurèse abondante, 9 cas de dysnatrémies, 5 cas de macrosomies et 6 prématurés avec une perte de poids insuffisante présentaient une diurèse abondante, 2 cas RCIU.
Conclusion
Les apports hydriques étaient inférieurs aux recommandations d’ESPGHAN chez plus de 50 % des prématurés avec une perte de poids non optimale en excluant l’alimentation entérale. Ces apports hydriques doivent être individualisés à chaque prématuré en fonction de la diurèse et de l’immaturité digestive. Cette perte de poids associait la macrosomie et le RCIU d’où l’étude de la composition corporelle de ses prématurés s’avère importante. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88950 |
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 41-48
[article] Apports hydriques et évolution pondérale chez le prématuré de moins de 32 semaines d’aménorrhée [texte imprimé] / A.I. Djoman ; A. Bsila ; A. Nasri ; S. Khemiri ; T.S. Ahmed ; D. Mellah ; M. Sdiri ; C. Tagny ; M. Dakpo-Karimou . - 2025 . - p. 41-48. Doi : 10.1016/j.jpp.2024.04.010 Langues : Français ( fre) in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 41-48
Mots-clés : |
Fluides Prématurité Poids |
Résumé : |
Objectif
Évaluer les stratégies d’apports hydriques chez les prématurés de moins de 32 semaines en comparaison aux recommandations d’ESPGHAN de 2018.
Matériel et méthode
Étude rétrospective, descriptive allant du 1er juin 2022 au 31 juin 2023, portant sur 77 prématurés de moins de 32 semaines d’aménorrhées hospitalisés pendant au moins 15jours.
Résultats
Les apports hydriques par voie entérale et parentérale étaient conformes aux recommandations d’ESPGHAN chez les moins de 1500g et supérieurs chez les plus de 1500g. Cependant, 52 (67 %) prématurés avaient une perte de poids non optimale dont 39 (51 %) avaient perdu plus de 10 % entre J2–J3 et 13 (17 %) ont perdu moins de 7 %. L’étude de la perte de poids en excluant l’alimentation entérale des apports hydriques avait noté que 30/52 prématurés avaient des apports hydriques inférieurs aux recommandations. Parmi eux, 23 prématurés qui avaient perdu plus de 10 % étaient caractérisés par une diurèse abondante, 7 cas de dysnatrémies et 7 prématurés ayant perdu moins de 7 % avaient une diurèse normale. En outre, 22/52 prématurés avaient des apports hydriques conformes aux recommandations d’ESPGHAN dont 16 avaient perdu plus de 10 % présentaient une diurèse abondante, 9 cas de dysnatrémies, 5 cas de macrosomies et 6 prématurés avec une perte de poids insuffisante présentaient une diurèse abondante, 2 cas RCIU.
Conclusion
Les apports hydriques étaient inférieurs aux recommandations d’ESPGHAN chez plus de 50 % des prématurés avec une perte de poids non optimale en excluant l’alimentation entérale. Ces apports hydriques doivent être individualisés à chaque prématuré en fonction de la diurèse et de l’immaturité digestive. Cette perte de poids associait la macrosomie et le RCIU d’où l’étude de la composition corporelle de ses prématurés s’avère importante. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88950 |
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Disponible |

[article]
Titre : |
La prééclampsie et le nouveau-né |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
M. Erradi |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 49-52 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.jpp.2024.05.006 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Prééclampsie Prématurité Mortalité Détresse respiratoire |
Résumé : |
Introduction
La prééclampsie constitue un énorme problème de santé public au Maroc et aux pays africains, par l’absence du suivi des grossesses et l’ignorance. Notre objectif est de déterminer le profil épidémiologique et clinique sur les deux versants maternel et fœtal dans notre population marocaine.
Patients et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective, réalisée dans le CHU HASSAN II de Fès sur une période de 6 mois. Étaient inclus, les nouveau-nés de mère prééclamptique hospitalisés dans l’unité de néonatologie.
Résultats
Sur 688 nouveau-nés hospitalisés, 43 bébés étaient de mères prééclamptiques. L’âge moyen des mères était de 31 ans. La pression artérielle diastolique (PAD) moyenne était de 100mmHg et la systolique (PAS) de 160mmHg. La nicardipine était utilisée chez 38 patientes. L’âge gestationnel moyen au diagnostic était de 32 semaines d’aménorrhées (SA). Il y avait 41 bébés prématurés.
Conclusion
La prééclampsie est une complication grave qui conduit à des complications aussi graves chez le nouveau-né qui peuvent être prévenues. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88951 |
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 49-52
[article] La prééclampsie et le nouveau-né [texte imprimé] / M. Erradi . - 2025 . - p. 49-52. Doi : 10.1016/j.jpp.2024.05.006 Langues : Français ( fre) in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 38, n° 1 (Février 2025) . - p. 49-52
Mots-clés : |
Prééclampsie Prématurité Mortalité Détresse respiratoire |
Résumé : |
Introduction
La prééclampsie constitue un énorme problème de santé public au Maroc et aux pays africains, par l’absence du suivi des grossesses et l’ignorance. Notre objectif est de déterminer le profil épidémiologique et clinique sur les deux versants maternel et fœtal dans notre population marocaine.
Patients et méthodes
Il s’agit d’une étude rétrospective, réalisée dans le CHU HASSAN II de Fès sur une période de 6 mois. Étaient inclus, les nouveau-nés de mère prééclamptique hospitalisés dans l’unité de néonatologie.
Résultats
Sur 688 nouveau-nés hospitalisés, 43 bébés étaient de mères prééclamptiques. L’âge moyen des mères était de 31 ans. La pression artérielle diastolique (PAD) moyenne était de 100mmHg et la systolique (PAS) de 160mmHg. La nicardipine était utilisée chez 38 patientes. L’âge gestationnel moyen au diagnostic était de 32 semaines d’aménorrhées (SA). Il y avait 41 bébés prématurés.
Conclusion
La prééclampsie est une complication grave qui conduit à des complications aussi graves chez le nouveau-né qui peuvent être prévenues. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88951 |
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Disponible |