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Alimentation infantile : nouveaux concepts dans la prévention de la transmission verticale du VIH |
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Titre : Mieux comprendre la transmission verticale du VIH : le cas d’une mère kenyane Type de document : texte imprimé Auteurs : EL. Tuthill Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 1-3 Note générale : Article original : Understanding mother-to-child transmission of HIV among mothers engaged in HIV care in Kenya : a case re-
port. Tuthill EL et al. Int Breastfeed J 2024 ; 19 : 14.Langues : Français (fre) Mots-clés : VIH, allaitement Transmission verticale Programmes de suivi Kenya Présentation de cas Résumé : On estimait qu’en 2022, environ 1,2 million de femmes enceintes étaient séropositives pour le VIH. En l’absence de mesures, le taux de transmission verticale du VIH pendant la grossesse, l’accouchement et l’allaitement était de 15 à 30 %. Ce taux est < 2 % chez les femmes traitées par antirétroviraux. Malgré cela, on estime qu’en 2022, environ 130 000 enfants ont été contaminés. Environ 80 % des femmes séropositives pour le VIH dans le monde sont traitées par antirétroviraux. Au Kenya, on estime que 890 000 femmes sont séropositives. Ce pays est l’un de ceux qui se sont engagés à faire de gros efforts pour limiter la transmission verticale du VIH, et 91 % des femmes enceintes séropositives étaient traitées par antirétroviraux en 2021. Malgré cela, le taux de transmission verticale est de 8,9 %, et on estime qu’environ 5 200 enfants ont été contaminés en 2021. L’efficacité du traitement antirétroviral dépend du moment où il est débuté, du niveau maternel de suivi du traitement, des difficultés du suivi de ces femmes, des difficultés à suivre les recommandations en matière d’alimentation infantile… Pour mieux comprendre les raisons des contaminations infantiles dans ce contexte, les auteurs présentent un cas de mère séropositive pour le VIH dont le bébé a été testé positif pour le VIH à 4 semaines post-partum, la dyade étant suivie dans le cadre d’une étude interventionnelle destinée à limiter l’insécurité alimentaire et à optimiser l’alimentation infantile. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88130
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 1-3[article] Mieux comprendre la transmission verticale du VIH : le cas d’une mère kenyane [texte imprimé] / EL. Tuthill . - 2024 . - p. 1-3.
Article original : Understanding mother-to-child transmission of HIV among mothers engaged in HIV care in Kenya : a case re-
port. Tuthill EL et al. Int Breastfeed J 2024 ; 19 : 14.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 1-3
Mots-clés : VIH, allaitement Transmission verticale Programmes de suivi Kenya Présentation de cas Résumé : On estimait qu’en 2022, environ 1,2 million de femmes enceintes étaient séropositives pour le VIH. En l’absence de mesures, le taux de transmission verticale du VIH pendant la grossesse, l’accouchement et l’allaitement était de 15 à 30 %. Ce taux est < 2 % chez les femmes traitées par antirétroviraux. Malgré cela, on estime qu’en 2022, environ 130 000 enfants ont été contaminés. Environ 80 % des femmes séropositives pour le VIH dans le monde sont traitées par antirétroviraux. Au Kenya, on estime que 890 000 femmes sont séropositives. Ce pays est l’un de ceux qui se sont engagés à faire de gros efforts pour limiter la transmission verticale du VIH, et 91 % des femmes enceintes séropositives étaient traitées par antirétroviraux en 2021. Malgré cela, le taux de transmission verticale est de 8,9 %, et on estime qu’environ 5 200 enfants ont été contaminés en 2021. L’efficacité du traitement antirétroviral dépend du moment où il est débuté, du niveau maternel de suivi du traitement, des difficultés du suivi de ces femmes, des difficultés à suivre les recommandations en matière d’alimentation infantile… Pour mieux comprendre les raisons des contaminations infantiles dans ce contexte, les auteurs présentent un cas de mère séropositive pour le VIH dont le bébé a été testé positif pour le VIH à 4 semaines post-partum, la dyade étant suivie dans le cadre d’une étude interventionnelle destinée à limiter l’insécurité alimentaire et à optimiser l’alimentation infantile. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88130 Réservation
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Titre : Acidocétose sévère chez une mère allaitante sous régime cétogène Type de document : texte imprimé Auteurs : MK. Borhan Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 4-5 Note générale : Article original : A case of severe lactation ketoacidosis in a nondiabetic mother on a ketogenic diet. Borhan MK et al. JECM
Case Rep 2023 ; 1(6) : 134.Langues : Français (fre) Mots-clés : Allaitement Acidocétose Régime cétogène Résumé : L’acidocétose lactationnelle est un problème relativement rare induit par la conjonction entre l’augmentation des dépenses métaboliques liées à la lactation et la baisse des apports glucidiques de la mère. Le régime cétogène est devenu populaire chez les femmes en post-partum en raison de la perte de poids rapide qu’il induit. Ce régime se caractérise par des apports glucidiques très bas, ce qui est susceptible de présenter des risques pour certaines personnes, incluant les mères allaitantes. Les auteurs présentent le cas d’une femme qui a présenté une acidocétose sévère suite à la mise en oeuvre par la mère (sans indication médicale spécifique) d’un régime cétogène. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88131
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 4-5[article] Acidocétose sévère chez une mère allaitante sous régime cétogène [texte imprimé] / MK. Borhan . - 2024 . - p. 4-5.
Article original : A case of severe lactation ketoacidosis in a nondiabetic mother on a ketogenic diet. Borhan MK et al. JECM
Case Rep 2023 ; 1(6) : 134.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 4-5
Mots-clés : Allaitement Acidocétose Régime cétogène Résumé : L’acidocétose lactationnelle est un problème relativement rare induit par la conjonction entre l’augmentation des dépenses métaboliques liées à la lactation et la baisse des apports glucidiques de la mère. Le régime cétogène est devenu populaire chez les femmes en post-partum en raison de la perte de poids rapide qu’il induit. Ce régime se caractérise par des apports glucidiques très bas, ce qui est susceptible de présenter des risques pour certaines personnes, incluant les mères allaitantes. Les auteurs présentent le cas d’une femme qui a présenté une acidocétose sévère suite à la mise en oeuvre par la mère (sans indication médicale spécifique) d’un régime cétogène. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88131 Réservation
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Titre : Vécu d’une mère qui a donné son lait après le décès de ses bébés Type de document : texte imprimé Auteurs : HT. Tran Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 5-7 Note générale : Article original : Case report : I feel like a mother to other babies : experiences and perspectives on bereavement and breastmilk
donation from Vietnam. Tran HT et al. Front Glob Womens Health 2023 ; 4.Langues : Français (fre) Mots-clés : Allaitement Deuil maternel Lait humain Don de lait Lactariums Nourrissons vulnérables Résumé : Le taux de mortalité néonatale au Vietnam en 2020 était inférieur à 1 % des naissances vivantes. S’il a significativement baissé au fil des années, il reste nécessaire de soutenir les parents concernés dans leur deuil. Ce soutien est particulièrement important pour la mère dans la mesure où elle devra gérer sa lactation. Le nombre de lactariums dans le monde a augmenté depuis une vingtaine d’années, et le don de lait humain est de plus en plus recommandé chez les prématurés et les nourrissons malades. Actuellement, de plus en plus de mères qui ont perdu leur bébé souhaitent donner leur lait à un lactarium pendant plus ou moins longtemps lorsqu’on leur propose cette possibilité. Toutefois, les mères reçoivent rarement des informations sur la gestion de leur lactation après le décès de leur bébé. Pourtant, des études ont constaté que cela pouvait aider la mère à faire son deuil, et que de nombreuses mères appréciaient de savoir que leur lait pouvait aider d’autres bébés. Les auteurs de cette présentation ont suivi une mère qui, après le décès de ses jumeaux, a décidé de donner son lait au 1er lactarium ouvert au Vietnam. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88132
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 5-7[article] Vécu d’une mère qui a donné son lait après le décès de ses bébés [texte imprimé] / HT. Tran . - 2024 . - p. 5-7.
Article original : Case report : I feel like a mother to other babies : experiences and perspectives on bereavement and breastmilk
donation from Vietnam. Tran HT et al. Front Glob Womens Health 2023 ; 4.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 5-7
Mots-clés : Allaitement Deuil maternel Lait humain Don de lait Lactariums Nourrissons vulnérables Résumé : Le taux de mortalité néonatale au Vietnam en 2020 était inférieur à 1 % des naissances vivantes. S’il a significativement baissé au fil des années, il reste nécessaire de soutenir les parents concernés dans leur deuil. Ce soutien est particulièrement important pour la mère dans la mesure où elle devra gérer sa lactation. Le nombre de lactariums dans le monde a augmenté depuis une vingtaine d’années, et le don de lait humain est de plus en plus recommandé chez les prématurés et les nourrissons malades. Actuellement, de plus en plus de mères qui ont perdu leur bébé souhaitent donner leur lait à un lactarium pendant plus ou moins longtemps lorsqu’on leur propose cette possibilité. Toutefois, les mères reçoivent rarement des informations sur la gestion de leur lactation après le décès de leur bébé. Pourtant, des études ont constaté que cela pouvait aider la mère à faire son deuil, et que de nombreuses mères appréciaient de savoir que leur lait pouvait aider d’autres bébés. Les auteurs de cette présentation ont suivi une mère qui, après le décès de ses jumeaux, a décidé de donner son lait au 1er lactarium ouvert au Vietnam. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88132 Réservation
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Titre : Carence maternelle partielle en N-acétylglutamate synthase ayant induit une hyperammoniémie en post-partum Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Abou Haidar Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 7-9 Note générale : Article original : Partial N-acetyl glutamate synthase deficiency presenting as postpartum hyperammoniemia : diagnosis and
subsequent pregnancy management. Abou Haidar L et al. JIMD Rep 2023 ; 64(6) : 403-9.Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse Lactation Troubles du cycle de l’urée Carence en N-acétylglutamate synthase Hyperammoniémie Résumé : Le cycle de l’urée transforme l’ammoniac en urée qui sera excrétée dans les urines. Les personnes présentant un trouble du cycle de l’urée pourront présenter une augmentation importante de leur ammoniémie, ce qui induira des séquelles neurologiques potentiellement désastreuses. Une des étapes de ce cycle nécessite une enzyme, la carbamyl phosphate synthétase-1 (CPS-1), qui fonctionne avec une co-enzyme, la N-acétylglutamate synthase (NAG). La carence en NAG est l’une des plus rares parmi les carences qui peuvent concerner le cycle de l’urée. Elle induit une hyperammoniémie, avec vomissements, léthargie, désorientation, ataxie et intolérance alimentaire. Sa sévérité est variable en fonction de la variation en cause du gène codant pour la NAG. Les manifestations cliniques débutent tôt dans la vie dans les formes sévères, mais les formes partielles peuvent se manifester plus tardivement. Cette carence est traitée par la prise d’acide carglumique, un analogue de la NAG. Les auteurs présentent le cas d’une femme qui présentait 2 nouvelles variations du gène de la NAG, qui a présenté une hyperammoniémie en post-partum, et qui a été incluse, ainsi que ses parents, dans une étude clinique observationnelle sur ce type de carence avec bilans exhaustifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88133
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 7-9[article] Carence maternelle partielle en N-acétylglutamate synthase ayant induit une hyperammoniémie en post-partum [texte imprimé] / L. Abou Haidar . - 2024 . - p. 7-9.
Article original : Partial N-acetyl glutamate synthase deficiency presenting as postpartum hyperammoniemia : diagnosis and
subsequent pregnancy management. Abou Haidar L et al. JIMD Rep 2023 ; 64(6) : 403-9.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 7-9
Mots-clés : Grossesse Lactation Troubles du cycle de l’urée Carence en N-acétylglutamate synthase Hyperammoniémie Résumé : Le cycle de l’urée transforme l’ammoniac en urée qui sera excrétée dans les urines. Les personnes présentant un trouble du cycle de l’urée pourront présenter une augmentation importante de leur ammoniémie, ce qui induira des séquelles neurologiques potentiellement désastreuses. Une des étapes de ce cycle nécessite une enzyme, la carbamyl phosphate synthétase-1 (CPS-1), qui fonctionne avec une co-enzyme, la N-acétylglutamate synthase (NAG). La carence en NAG est l’une des plus rares parmi les carences qui peuvent concerner le cycle de l’urée. Elle induit une hyperammoniémie, avec vomissements, léthargie, désorientation, ataxie et intolérance alimentaire. Sa sévérité est variable en fonction de la variation en cause du gène codant pour la NAG. Les manifestations cliniques débutent tôt dans la vie dans les formes sévères, mais les formes partielles peuvent se manifester plus tardivement. Cette carence est traitée par la prise d’acide carglumique, un analogue de la NAG. Les auteurs présentent le cas d’une femme qui présentait 2 nouvelles variations du gène de la NAG, qui a présenté une hyperammoniémie en post-partum, et qui a été incluse, ainsi que ses parents, dans une étude clinique observationnelle sur ce type de carence avec bilans exhaustifs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88133 Réservation
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Titre : Alimentation infantile : nouveaux concepts dans la prévention de la transmission verticale du VIH Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Bamford Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 10-15 Note générale : Article original : Infant feeding : emerging concepts to prevent HIV transmission. Bamford A et al. Curr Opin Infect Dis 2024 ;
37(1) : 8-16.Langues : Français (fre) Mots-clés : VIH Transmission verticale Prévention Alimentation infantile Allaitement Antirétroviraux Résumé : L’objectif de l’OMS concernant la transmission verticale du VIH est de l’abaisser à < 2 % chez les enfants non allaités et à < 5 % chez les enfants allaités. Toutefois, son taux est déjà < 0,4 % dans la plupart des pays développés. Dans une étude française, sur plus de 5 000 dyades dont la mère était sous antirétroviraux et avait une charge virale indétectable, aucune contamination infantile n’a été constatée lorsque l’enfant était nourri au lait industriel. Cette suppression du risque de transmission pendant la grossesse amène de plus en plus de mères à souhaiter allaiter. Toutefois, nous ignorons toujours beaucoup de choses concernant les facteurs maternels et infantiles corrélés à la transmission via l’allaitement, y compris lorsque la mère est sous antirétroviraux. Quasiment toutes les études cliniques, sur le risque de transmission via l’allaitement lorsque la mère est traitée, ont été menées dans des pays à revenus bas ou moyens, et elles concluent que ce risque est bas mais pas nul. Il est donc nécessaire de prendre en compte le faible risque potentiel de transmission du VIH lié à l’allaitement versus les bénéfices de l’allaitement. Les recommandations de l’OMS concernant l’allaitement chez les mères séropositives pour le VIH sont les mêmes que celles faites aux mères partout dans le monde, avec un traitement antirétroviral chez ces mères, un suivi régulier de leur charge virale pendant la grossesse et l’allaitement, une prophylaxie de nature et de durée variables chez le nourrisson allaité et un suivi régulier du statut du bébé pour le VIH jusqu’après la fin de l’allaitement. Les recommandations faites par les services de santé publique des divers pays sont hétérogènes, et de plus en plus de pays les réactualisent afin de prendre en compte l’amélioration de nos connaissances, ainsi que le souhait d’allaiter chez un nombre croissant de mères séropositives pour le VIH. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88134
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 10-15[article] Alimentation infantile : nouveaux concepts dans la prévention de la transmission verticale du VIH [texte imprimé] / A. Bamford . - 2024 . - p. 10-15.
Article original : Infant feeding : emerging concepts to prevent HIV transmission. Bamford A et al. Curr Opin Infect Dis 2024 ;
37(1) : 8-16.
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in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 10-15
Mots-clés : VIH Transmission verticale Prévention Alimentation infantile Allaitement Antirétroviraux Résumé : L’objectif de l’OMS concernant la transmission verticale du VIH est de l’abaisser à < 2 % chez les enfants non allaités et à < 5 % chez les enfants allaités. Toutefois, son taux est déjà < 0,4 % dans la plupart des pays développés. Dans une étude française, sur plus de 5 000 dyades dont la mère était sous antirétroviraux et avait une charge virale indétectable, aucune contamination infantile n’a été constatée lorsque l’enfant était nourri au lait industriel. Cette suppression du risque de transmission pendant la grossesse amène de plus en plus de mères à souhaiter allaiter. Toutefois, nous ignorons toujours beaucoup de choses concernant les facteurs maternels et infantiles corrélés à la transmission via l’allaitement, y compris lorsque la mère est sous antirétroviraux. Quasiment toutes les études cliniques, sur le risque de transmission via l’allaitement lorsque la mère est traitée, ont été menées dans des pays à revenus bas ou moyens, et elles concluent que ce risque est bas mais pas nul. Il est donc nécessaire de prendre en compte le faible risque potentiel de transmission du VIH lié à l’allaitement versus les bénéfices de l’allaitement. Les recommandations de l’OMS concernant l’allaitement chez les mères séropositives pour le VIH sont les mêmes que celles faites aux mères partout dans le monde, avec un traitement antirétroviral chez ces mères, un suivi régulier de leur charge virale pendant la grossesse et l’allaitement, une prophylaxie de nature et de durée variables chez le nourrisson allaité et un suivi régulier du statut du bébé pour le VIH jusqu’après la fin de l’allaitement. Les recommandations faites par les services de santé publique des divers pays sont hétérogènes, et de plus en plus de pays les réactualisent afin de prendre en compte l’amélioration de nos connaissances, ainsi que le souhait d’allaiter chez un nombre croissant de mères séropositives pour le VIH. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88134 Réservation
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Titre : Recommandations sur l’allaitement chez les mères séropositives pour le VIH et pratiques de ces mères en Europe Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Keane Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 15-19 Note générale : Article original : Guidelines and practice of breastfeeding in women living with HIV – Results from the European INSURE survey.
Keane A et al. HIV Med 2024 ; 25(3) : 391-7.Langues : Français (fre) Mots-clés : VIH Allaitement Grossesse Mères séropositives pour le VIH Résumé : Les traitements antirétroviraux ont transformé la vie des personnes séropositives pour le VIH. Ces traitements permettent également une prévention efficace de la transmission verticale du VIH. Toutefois, il existe encore des controverses concernant le risque très faible mais non nul de transmission via l’allaitement lorsque la mère séropositive est traitée efficacement dans les pays où les nourrissons peuvent être nourris dans de bonnes conditions avec un substitut du lait maternel. L’OMS recommande aux mères séropositives pour le VIH d’allaiter pendant au moins 12 mois, mais elles peuvent poursuivre l’allaitement jusqu’à 24 mois ou plus (mêmes recommandations que pour l’ensemble de la population) tout en étant soutenues dans le suivi du traitement antirétroviral. L’OMS recommande l’allaitement exclusif, mais précise qu’un allaitement partiel n’oblige pas à arrêter l’allaitement si la mère suit un traitement antirétroviral. Si les consignes sur l’alimentation des enfants nés de mères séropositives pour le VIH dans les pays développés ont longtemps contre-indiqué l’allaitement, de plus en plus de mères séropositives pour le VIH vivant dans ces pays manifestent le désir d’allaiter. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88135
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 15-19[article] Recommandations sur l’allaitement chez les mères séropositives pour le VIH et pratiques de ces mères en Europe [texte imprimé] / A. Keane . - 2024 . - p. 15-19.
Article original : Guidelines and practice of breastfeeding in women living with HIV – Results from the European INSURE survey.
Keane A et al. HIV Med 2024 ; 25(3) : 391-7.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 15-19
Mots-clés : VIH Allaitement Grossesse Mères séropositives pour le VIH Résumé : Les traitements antirétroviraux ont transformé la vie des personnes séropositives pour le VIH. Ces traitements permettent également une prévention efficace de la transmission verticale du VIH. Toutefois, il existe encore des controverses concernant le risque très faible mais non nul de transmission via l’allaitement lorsque la mère séropositive est traitée efficacement dans les pays où les nourrissons peuvent être nourris dans de bonnes conditions avec un substitut du lait maternel. L’OMS recommande aux mères séropositives pour le VIH d’allaiter pendant au moins 12 mois, mais elles peuvent poursuivre l’allaitement jusqu’à 24 mois ou plus (mêmes recommandations que pour l’ensemble de la population) tout en étant soutenues dans le suivi du traitement antirétroviral. L’OMS recommande l’allaitement exclusif, mais précise qu’un allaitement partiel n’oblige pas à arrêter l’allaitement si la mère suit un traitement antirétroviral. Si les consignes sur l’alimentation des enfants nés de mères séropositives pour le VIH dans les pays développés ont longtemps contre-indiqué l’allaitement, de plus en plus de mères séropositives pour le VIH vivant dans ces pays manifestent le désir d’allaiter. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88135 Réservation
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Titre : Mise à jour 2023 des recommandations sur l’alimentation infantile et le VIH aux États-Unis Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Pollokc ; J. Levison Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 19-23 Note générale : Article original : 2023 updated guidelines on infant feeding and HIV in the United States : what are they and why have recom-
mendations changed. Pollokc L, Levison J. Top Antivir Med 2023 ; 31(5) : 576-86.Langues : Français (fre) Mots-clés : Alimentation infantile VIH Transmission verticale Recommandations États-Unis Résumé : L'Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) recommande l’allaitement exclusif pendant les 6 premiers mois en raison de ses nombreux bénéfices pour l’enfant et sa mère. Toutefois, pendant des décennies, on a dit aux femmes séropositives pour le VIH vivant dans les pays développés que le don exclusif d’un lait industriel était la seule option possible pour l’alimentation de leur bébé. Progressivement, des études menées dans ces pays ont constaté que le risque de transmission verticale du VIH via l’allaitement était très bas lorsque la mère avait une charge virale indétectable, et qu’interdire à ces femmes d’allaiter augmentait les inégalités dont souffraient déjà nombre d’entre elles. En janvier 2023, les recommandations officielles aux États-Unis ont été modifiées pour tenir compte de ces faits. Les auteurs font le point sur le sujet. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88136
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 19-23[article] Mise à jour 2023 des recommandations sur l’alimentation infantile et le VIH aux États-Unis [texte imprimé] / L. Pollokc ; J. Levison . - 2024 . - p. 19-23.
Article original : 2023 updated guidelines on infant feeding and HIV in the United States : what are they and why have recom-
mendations changed. Pollokc L, Levison J. Top Antivir Med 2023 ; 31(5) : 576-86.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 19-23
Mots-clés : Alimentation infantile VIH Transmission verticale Recommandations États-Unis Résumé : L'Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) recommande l’allaitement exclusif pendant les 6 premiers mois en raison de ses nombreux bénéfices pour l’enfant et sa mère. Toutefois, pendant des décennies, on a dit aux femmes séropositives pour le VIH vivant dans les pays développés que le don exclusif d’un lait industriel était la seule option possible pour l’alimentation de leur bébé. Progressivement, des études menées dans ces pays ont constaté que le risque de transmission verticale du VIH via l’allaitement était très bas lorsque la mère avait une charge virale indétectable, et qu’interdire à ces femmes d’allaiter augmentait les inégalités dont souffraient déjà nombre d’entre elles. En janvier 2023, les recommandations officielles aux États-Unis ont été modifiées pour tenir compte de ces faits. Les auteurs font le point sur le sujet. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88136 Réservation
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Titre : « Nous avons décidé ensemble » : décisions parentales concernant l’alimentation infantile lorsque la mère est séropositive pour le VIH Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Kasadha Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 24-25 Note générale : Article original : « We decided together » : a qualitative study about women with HIV navigating infant-feeding decisions with
the father of their children. Kasadha B et al. BMC Pregnancy Childbirth 2024 ; 24 : 41.Langues : Français (fre) Mots-clés : Allaitement VIH Transmission verticale Prévention Décisions parentales Résumé : 600 à 1 000 grossesses chez des femmes séropositives pour le VIH surviennent tous les ans en Grande-Bretagne, avec un taux de transmission à l’enfant de 0,22 %. Environ 65 % de ces femmes sont des immigrées originaires d’un pays africain, dans lequel l’allaitement est la norme. Dans ces pays, une mère qui n’allaite pas est perçue soit comme une mauvaise mère, soit comme une mère séropositive pour le VIH qui sera stigmatisée en conséquence. De plus en plus de femmes séropositives pour le VIH vivant dans les pays industrialisés souhaitent allaiter, même si leur nombre reste faible, et elles sont de plus en plus souvent soutenues par les professionnels de santé qui les suivent. De nombreuses études ont évalué le rôle des pères dans les décisions maternelles concernant l’alimentation infantile, mais très peu ont été menées dans le cadre de la séropositivité maternelle pour le VIH. Le but de cette étude était d’explorer le rôle du père dans ces décisions. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88137
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 24-25[article] « Nous avons décidé ensemble » : décisions parentales concernant l’alimentation infantile lorsque la mère est séropositive pour le VIH [texte imprimé] / B. Kasadha . - 2024 . - p. 24-25.
Article original : « We decided together » : a qualitative study about women with HIV navigating infant-feeding decisions with
the father of their children. Kasadha B et al. BMC Pregnancy Childbirth 2024 ; 24 : 41.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 24-25
Mots-clés : Allaitement VIH Transmission verticale Prévention Décisions parentales Résumé : 600 à 1 000 grossesses chez des femmes séropositives pour le VIH surviennent tous les ans en Grande-Bretagne, avec un taux de transmission à l’enfant de 0,22 %. Environ 65 % de ces femmes sont des immigrées originaires d’un pays africain, dans lequel l’allaitement est la norme. Dans ces pays, une mère qui n’allaite pas est perçue soit comme une mauvaise mère, soit comme une mère séropositive pour le VIH qui sera stigmatisée en conséquence. De plus en plus de femmes séropositives pour le VIH vivant dans les pays industrialisés souhaitent allaiter, même si leur nombre reste faible, et elles sont de plus en plus souvent soutenues par les professionnels de santé qui les suivent. De nombreuses études ont évalué le rôle des pères dans les décisions maternelles concernant l’alimentation infantile, mais très peu ont été menées dans le cadre de la séropositivité maternelle pour le VIH. Le but de cette étude était d’explorer le rôle du père dans ces décisions. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88137 Réservation
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Titre : Traiter les troubles anxieux pendant l’allaitement Type de document : texte imprimé Auteurs : Philip O. Anderson Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 26-29 Note générale : Article original : Anxiety disorders and breastfeeding. Anderson PO. Breastfeed Med 2024 ; 19(3) : 152-4.
https://doi.org/10.1089/bfm.2024.0023 (article original)Langues : Français (fre) Mots-clés : Lactation Anxiété maternelle Thérapeutique Résumé : Les méta-analyses sur le sujet constatent que 8,5 à 18 % des mères expérimenteront un ou plusieurs troubles anxieux en post-partum, les variations de ce pourcentage étant en partie fonction des troubles anxieux pris en compte dans les études. L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) a récemment publié de nouvelles recommandations cliniques sur la gestion des troubles mentaux, l’une de ces recommandations étant que les femmes présentant un trouble mental ne devraient pas se voir déconseiller l’allaitement. Les diverses psychothérapies telles que les thérapies cognitives ou comportementales sont à privilégier comme traitement des troubles anxieux et elles peuvent être très efficaces. Un traitement médicamenteux pourra être utilisé en plus de ces thérapies ou en cas de prescription de benzodiazépines, en attendant que la psychothérapie soit efficace. L’ACOG recommande la poursuite des médicaments à visée anxiolytique pendant au moins 6 à 12 mois après l’arrêt des symptômes, et il est donc important de prendre en compte l’impact potentiel d’un traitement maternel au long cours chez l’enfant allaité. L’auteur fait le point sur les produits les plus souvent prescrits dans le traitement des troubles anxieux. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88138
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 26-29[article] Traiter les troubles anxieux pendant l’allaitement [texte imprimé] / Philip O. Anderson . - 2024 . - p. 26-29.
Article original : Anxiety disorders and breastfeeding. Anderson PO. Breastfeed Med 2024 ; 19(3) : 152-4.
https://doi.org/10.1089/bfm.2024.0023 (article original)
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : Lactation Anxiété maternelle Thérapeutique Résumé : Les méta-analyses sur le sujet constatent que 8,5 à 18 % des mères expérimenteront un ou plusieurs troubles anxieux en post-partum, les variations de ce pourcentage étant en partie fonction des troubles anxieux pris en compte dans les études. L’American College of Obstetricians and Gynecologists (ACOG) a récemment publié de nouvelles recommandations cliniques sur la gestion des troubles mentaux, l’une de ces recommandations étant que les femmes présentant un trouble mental ne devraient pas se voir déconseiller l’allaitement. Les diverses psychothérapies telles que les thérapies cognitives ou comportementales sont à privilégier comme traitement des troubles anxieux et elles peuvent être très efficaces. Un traitement médicamenteux pourra être utilisé en plus de ces thérapies ou en cas de prescription de benzodiazépines, en attendant que la psychothérapie soit efficace. L’ACOG recommande la poursuite des médicaments à visée anxiolytique pendant au moins 6 à 12 mois après l’arrêt des symptômes, et il est donc important de prendre en compte l’impact potentiel d’un traitement maternel au long cours chez l’enfant allaité. L’auteur fait le point sur les produits les plus souvent prescrits dans le traitement des troubles anxieux. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88138 Réservation
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Titre : Don de lait maternel frais aux prématurés : obstacles et futures opportunités Type de document : texte imprimé Auteurs : CE. Broere ; J. Gomez Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 30-32 Note générale : Article original : Fresh parent’s own milk for preterm infants : barriers and future opportunities. Broere CE, Gomez J. Nutrients
2024 ; 16 : 362.Langues : Français (fre) Mots-clés : Lait humain Allaitement Prématurés Néonatalogie Cellules Composants bioactifs Résumé : Le premier choix pour l’alimentation des nourrissons est l’allaitement directement au sein. Toutefois, cela sera souvent impossible pour les prématurés admis en néonatalogie, qui sont généralement incapables de se nourrir au sein en raison de leur immaturité et/ou de leur état clinique. Pour ces enfants, le premier choix deviendra le lait maternel exprimé donné frais. De plus en plus de services de néonatalogie ont, dans leurs équipes soignantes, une ou plusieurs personnes spécifiquement chargées de préparer les pools de lait (humain ou industriel) donnés aux nourrissons dans une pièce spéciale. Cela permet de centraliser cet aspect des soins, d’en abaisser le coût, de préparer des pools individualisés pour chaque nourrisson, et de limiter les risques de contaminations ou d’erreurs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88139
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 30-32[article] Don de lait maternel frais aux prématurés : obstacles et futures opportunités [texte imprimé] / CE. Broere ; J. Gomez . - 2024 . - p. 30-32.
Article original : Fresh parent’s own milk for preterm infants : barriers and future opportunities. Broere CE, Gomez J. Nutrients
2024 ; 16 : 362.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : Lait humain Allaitement Prématurés Néonatalogie Cellules Composants bioactifs Résumé : Le premier choix pour l’alimentation des nourrissons est l’allaitement directement au sein. Toutefois, cela sera souvent impossible pour les prématurés admis en néonatalogie, qui sont généralement incapables de se nourrir au sein en raison de leur immaturité et/ou de leur état clinique. Pour ces enfants, le premier choix deviendra le lait maternel exprimé donné frais. De plus en plus de services de néonatalogie ont, dans leurs équipes soignantes, une ou plusieurs personnes spécifiquement chargées de préparer les pools de lait (humain ou industriel) donnés aux nourrissons dans une pièce spéciale. Cela permet de centraliser cet aspect des soins, d’en abaisser le coût, de préparer des pools individualisés pour chaque nourrisson, et de limiter les risques de contaminations ou d’erreurs. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88139 Réservation
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Titre : Allaitement directement au sein, don de lait maternel au biberon, don de lait industriel, et prise de poids infantile : méta-analyse Type de document : texte imprimé Auteurs : CN. Slater Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 33-34 Note générale : Article original : Comparison of the effect of direct breastfeeding, expressed human milk, and infant formula feeding on infant
weight trajectories : a systematic review. Slater CN et al. Breastfeed Med 2024 ; 19(4) : 235-47.Langues : Français (fre) Mots-clés : Allaitement Expression du lait Lait industriel Prise de poids infantile Méta-analyse Résumé : La prise de poids des jeunes enfants suit des courbes spécifiques, et une croissance inadéquate peut être le signe d’une pathologie sous-jacente. Une prise de poids insuffisante est une source importante d’inquiétude pour la mère, qui augmente le risque de sevrage précoce. Une prise de poids trop importante augmente le risque de troubles métaboliques et d’obésité. Des études ont constaté que le risque de surpoids et d’obésité était plus élevé chez les enfants qui n’avaient pas été allaités. Cela peut être en rapport avec les différences de composition du lait maternel et des laits industriels, mais également avec les différences dans les modalités pratiques d’alimentation. Des études suggèrent que le don de lait maternel exprimé au biberon n’a pas le même impact que le don de lait maternel directement au sein. Or, le pourcentage de femmes qui tirent leur lait pour qu’il soit donné au biberon à leur bébé est en augmentation. Des études ont constaté que 85 % des mères allaitantes avaient donné à leur bébé du lait maternel exprimé pendant les 4 premiers mois, et que c’était le cas de 69 % des mères australiennes pendant les 6 premières semaines. L’objectif de cette méta-analyse était de faire le point sur la prise de poids des enfants selon qu’ils étaient nourris au sein, nourris de lait maternel exprimé donné au biberon ou nourris au lait industriel. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88140
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 33-34[article] Allaitement directement au sein, don de lait maternel au biberon, don de lait industriel, et prise de poids infantile : méta-analyse [texte imprimé] / CN. Slater . - 2024 . - p. 33-34.
Article original : Comparison of the effect of direct breastfeeding, expressed human milk, and infant formula feeding on infant
weight trajectories : a systematic review. Slater CN et al. Breastfeed Med 2024 ; 19(4) : 235-47.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : Allaitement Expression du lait Lait industriel Prise de poids infantile Méta-analyse Résumé : La prise de poids des jeunes enfants suit des courbes spécifiques, et une croissance inadéquate peut être le signe d’une pathologie sous-jacente. Une prise de poids insuffisante est une source importante d’inquiétude pour la mère, qui augmente le risque de sevrage précoce. Une prise de poids trop importante augmente le risque de troubles métaboliques et d’obésité. Des études ont constaté que le risque de surpoids et d’obésité était plus élevé chez les enfants qui n’avaient pas été allaités. Cela peut être en rapport avec les différences de composition du lait maternel et des laits industriels, mais également avec les différences dans les modalités pratiques d’alimentation. Des études suggèrent que le don de lait maternel exprimé au biberon n’a pas le même impact que le don de lait maternel directement au sein. Or, le pourcentage de femmes qui tirent leur lait pour qu’il soit donné au biberon à leur bébé est en augmentation. Des études ont constaté que 85 % des mères allaitantes avaient donné à leur bébé du lait maternel exprimé pendant les 4 premiers mois, et que c’était le cas de 69 % des mères australiennes pendant les 6 premières semaines. L’objectif de cette méta-analyse était de faire le point sur la prise de poids des enfants selon qu’ils étaient nourris au sein, nourris de lait maternel exprimé donné au biberon ou nourris au lait industriel. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88140 Réservation
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Titre : Impact de l’allaitement en début de vie sur le risque de cancer colorectal Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Yuan Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 34-35 Note générale : Article original : Being breastfed in infancy and risk of colorectal cancer and precursor lesions. Yuan C et al. Clin Gastroenterol
Hepatol 2024 ; 22(7) : 1508-1517.e11.Langues : Français (fre) Mots-clés : Allaitement Cancer colorectal Résumé : On s’intéresse de plus en plus à l’impact des facteurs précoces sur le risque de survenue d’un cancer colorectal. Il existe très peu de données sur l’impact de l’allaitement en début de vie sur ce risque. Le but de cette étude américaine était d’évaluer cet impact. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88141
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Article original : Being breastfed in infancy and risk of colorectal cancer and precursor lesions. Yuan C et al. Clin Gastroenterol
Hepatol 2024 ; 22(7) : 1508-1517.e11.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : Allaitement Cancer colorectal Résumé : On s’intéresse de plus en plus à l’impact des facteurs précoces sur le risque de survenue d’un cancer colorectal. Il existe très peu de données sur l’impact de l’allaitement en début de vie sur ce risque. Le but de cette étude américaine était d’évaluer cet impact. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88141 Réservation
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Titre : Impact de la durée de l’allaitement sur les capacités cognitives infantiles Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Garon-Carrier Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 35-37 Note générale : Article original : Unraveling the effects of maternal breastfeeding duration and exclusive breast milk on children’s cognitive
abilities in early childhood. Garon-Carrier G et al. Front Public Health 2023 ; 11 : 1225719.Langues : Français (fre) Mots-clés : Allaitement Lait humain Lait industriel Compétences en mathématiques Compétences mémorielles Résumé : Des études ont constaté que les enfants qui n’avaient pas été allaités avaient un moins bon développement cognitif que ceux qui l’avaient été, cet impact restant toutefois variable suivant les études et donc controversé. Divers mécanismes peuvent être à l’origine de l’impact positif de l’allaitement sur le neurodéveloppement : présence dans le lait humain d’acides docosahexaénoïque (DHA) et arachidonique (ARA) importants pour la maturation du système nerveux central, caractéristiques physiologiques spécifiques du lien mère-enfant induit par l’allaitement, plus grande attention portée aux besoins de son enfant par la mère allaitante… Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88142
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Article original : Unraveling the effects of maternal breastfeeding duration and exclusive breast milk on children’s cognitive
abilities in early childhood. Garon-Carrier G et al. Front Public Health 2023 ; 11 : 1225719.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : Allaitement Lait humain Lait industriel Compétences en mathématiques Compétences mémorielles Résumé : Des études ont constaté que les enfants qui n’avaient pas été allaités avaient un moins bon développement cognitif que ceux qui l’avaient été, cet impact restant toutefois variable suivant les études et donc controversé. Divers mécanismes peuvent être à l’origine de l’impact positif de l’allaitement sur le neurodéveloppement : présence dans le lait humain d’acides docosahexaénoïque (DHA) et arachidonique (ARA) importants pour la maturation du système nerveux central, caractéristiques physiologiques spécifiques du lien mère-enfant induit par l’allaitement, plus grande attention portée aux besoins de son enfant par la mère allaitante… Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88142 Réservation
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Titre : Impact du travail maternel en horaires décalés sur le taux lacté de mélatonine Type de document : texte imprimé Auteurs : L.A. Booker Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 37-38 Note générale : Article original : Maternal circadian disruption from shift work and the impact on the concentration of melatonin in breast milk.
Booker LA et al. Breastfeed Med 2024 ; 19(1) : 33-9.Langues : Français (fre) Mots-clés : Lait humain Sommeil Rythme circadien Mélatonine Horaires décalés de travail Résumé : La mélatonine, surnommée « hormone du sommeil », est une hormone sécrétée selon un rythme circadien très net. Sa sécrétion commence à augmenter vers 21 heures, atteint un pic à 2-3 heures, puis redescend à un taux presque indétectable pendant la journée. Ce rythme joue un rôle important dans la régulation de l’homéostasie générale de notre organisme, en particulier le sommeil et l’alimentation, mais aussi la régulation de la température corporelle, la sécrétion de diverses hormones ou la régénération cellulaire. Une perturbation de ce rythme circadien est susceptible d’avoir d’importantes conséquences sur la santé physique et mentale. Ce rythme circadien est imparfaitement mis en place chez les nouveau-nés, et il va se développer après la naissance. Des études ont constaté que le lait maternel contenait de la mélatonine à un taux qui suivait les mêmes variations circadiennes que celles du taux sérique maternel, ce qui permet de penser que le taux lacté de mélatonine participe à la mise en place d’un rythme circadien chez le nourrisson. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88144
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 37-38[article] Impact du travail maternel en horaires décalés sur le taux lacté de mélatonine [texte imprimé] / L.A. Booker . - 2024 . - p. 37-38.
Article original : Maternal circadian disruption from shift work and the impact on the concentration of melatonin in breast milk.
Booker LA et al. Breastfeed Med 2024 ; 19(1) : 33-9.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 37-38
Mots-clés : Lait humain Sommeil Rythme circadien Mélatonine Horaires décalés de travail Résumé : La mélatonine, surnommée « hormone du sommeil », est une hormone sécrétée selon un rythme circadien très net. Sa sécrétion commence à augmenter vers 21 heures, atteint un pic à 2-3 heures, puis redescend à un taux presque indétectable pendant la journée. Ce rythme joue un rôle important dans la régulation de l’homéostasie générale de notre organisme, en particulier le sommeil et l’alimentation, mais aussi la régulation de la température corporelle, la sécrétion de diverses hormones ou la régénération cellulaire. Une perturbation de ce rythme circadien est susceptible d’avoir d’importantes conséquences sur la santé physique et mentale. Ce rythme circadien est imparfaitement mis en place chez les nouveau-nés, et il va se développer après la naissance. Des études ont constaté que le lait maternel contenait de la mélatonine à un taux qui suivait les mêmes variations circadiennes que celles du taux sérique maternel, ce qui permet de penser que le taux lacté de mélatonine participe à la mise en place d’un rythme circadien chez le nourrisson. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88144 Réservation
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Titre : Un allaitement long abaisse le risque de troubles glycémiques pendant la grossesse suivante Type de document : texte imprimé Auteurs : SJ Melov Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 38-40 Note générale : Article original : Previous high-intensity breastfeeding lowers the risk of an abnormal fasting glucose in subsequent pregnancy
oral glucose tolerance test. Melov SJ et al. Nutrients 2024 ; 16 : 28.Langues : Français (fre) Mots-clés : Allaitement Grossesse Diabète gestationnel Diabète de type 2 Maladies cardiovasculaires Résumé : Des études ont constaté les bénéfices de l’allaitement également pour la santé maternelle. Les femmes qui n’ont pas allaité ont un risque plus élevé de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires et de troubles métaboliques. L’allaitement abaisse le risque de survenue d’un diabète de type 2 en particulier chez les femmes qui ont présenté un diabète gestationnel (DG) pendant la grossesse. La prévalence du DG va de 4 à 28 % suivant les populations et les critères de diagnostic, et sa prévalence est en augmentation. Il n’existe guère de données sur l’impact de l’allaitement sur le risque de survenue d’un DG pendant la grossesse suivante, mis à part une étude pilote menée par l’équipe des auteurs auprès d’une population à haut risque de diabète, et qui avait constaté un meilleur contrôle de la glycémie pendant la grossesse suivante chez les femmes qui avaient allaité. Le but de cette nouvelle étude était de confirmer cet impact de l’allaitement dans une population moins ciblée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88145
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 38-40[article] Un allaitement long abaisse le risque de troubles glycémiques pendant la grossesse suivante [texte imprimé] / SJ Melov . - 2024 . - p. 38-40.
Article original : Previous high-intensity breastfeeding lowers the risk of an abnormal fasting glucose in subsequent pregnancy
oral glucose tolerance test. Melov SJ et al. Nutrients 2024 ; 16 : 28.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : Allaitement Grossesse Diabète gestationnel Diabète de type 2 Maladies cardiovasculaires Résumé : Des études ont constaté les bénéfices de l’allaitement également pour la santé maternelle. Les femmes qui n’ont pas allaité ont un risque plus élevé de diabète de type 2, de maladies cardiovasculaires et de troubles métaboliques. L’allaitement abaisse le risque de survenue d’un diabète de type 2 en particulier chez les femmes qui ont présenté un diabète gestationnel (DG) pendant la grossesse. La prévalence du DG va de 4 à 28 % suivant les populations et les critères de diagnostic, et sa prévalence est en augmentation. Il n’existe guère de données sur l’impact de l’allaitement sur le risque de survenue d’un DG pendant la grossesse suivante, mis à part une étude pilote menée par l’équipe des auteurs auprès d’une population à haut risque de diabète, et qui avait constaté un meilleur contrôle de la glycémie pendant la grossesse suivante chez les femmes qui avaient allaité. Le but de cette nouvelle étude était de confirmer cet impact de l’allaitement dans une population moins ciblée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88145 Réservation
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Titre : Problèmes nutritionnels des laits industriels à faible taux de lactose Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Mokhtari Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40-41 Note générale : Article original : Altered nutrient composition of lactose-reduced infant formula. Mokhtari P et al. Nutrients 2024 ; 16 : 276. Langues : Français (fre) Mots-clés : Laits industriels Lactose Macronutriments Micronutriments Alimentation infantile Résumé : L’allaitement exclusif pendant les 6 premiers mois est universellement recommandé. Malgré cela, 74 % des bébés américains reçoivent du lait industriel en plus ou moins grande quantité avant 6 mois. La principale source de glucides dans le lait humain et les laits industriels courants est le lactose. Toutefois, de plus en plus de laits industriels à faible taux de lactose sont commercialisés en raison de la suspicion d’intolérance au lactose devant certaines manifestations (coliques…). Si des produits sans lactose ou à faible taux de lactose sont indispensables dans certaines situations médicales (galactosémie…), la grande majorité des nourrissons peuvent digérer le lactose sans problème. Donner un lait industriel à faible taux de lactose à un nourrisson en bonne santé est susceptible d’avoir un impact sur sa santé à court et à long terme. Les produits utilisés dans ces laits sont le sirop de maïs, le sirop de riz et la maltodextrine, qui ont un index glycémique plus élevé que le lactose et qui ne sont pas métabolisés de la même façon. Une enquête a constaté que les glucides des laits industriels commercialisés aux États-Unis étaient constitués d’en moyenne 52,7 % de lactose, 42,3 % de glucose et 5 % de saccharose. Par ailleurs, 59 % de l’ensemble des laits industriels vendus avaient un taux réduit de lactose et 28,5 % étaient sans lactose, des taux clairement excessifs. Il est donc particulièrement important de s’intéresser à l’adéquation de ces produits aux besoins des nourrissons. C’était l’objectif de cette étude. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88147
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Article original : Altered nutrient composition of lactose-reduced infant formula. Mokhtari P et al. Nutrients 2024 ; 16 : 276.
Langues : Français (fre)
in Les dossiers de l'allaitement > 206 (Septembre 2024) . - p. 40-41
Mots-clés : Laits industriels Lactose Macronutriments Micronutriments Alimentation infantile Résumé : L’allaitement exclusif pendant les 6 premiers mois est universellement recommandé. Malgré cela, 74 % des bébés américains reçoivent du lait industriel en plus ou moins grande quantité avant 6 mois. La principale source de glucides dans le lait humain et les laits industriels courants est le lactose. Toutefois, de plus en plus de laits industriels à faible taux de lactose sont commercialisés en raison de la suspicion d’intolérance au lactose devant certaines manifestations (coliques…). Si des produits sans lactose ou à faible taux de lactose sont indispensables dans certaines situations médicales (galactosémie…), la grande majorité des nourrissons peuvent digérer le lactose sans problème. Donner un lait industriel à faible taux de lactose à un nourrisson en bonne santé est susceptible d’avoir un impact sur sa santé à court et à long terme. Les produits utilisés dans ces laits sont le sirop de maïs, le sirop de riz et la maltodextrine, qui ont un index glycémique plus élevé que le lactose et qui ne sont pas métabolisés de la même façon. Une enquête a constaté que les glucides des laits industriels commercialisés aux États-Unis étaient constitués d’en moyenne 52,7 % de lactose, 42,3 % de glucose et 5 % de saccharose. Par ailleurs, 59 % de l’ensemble des laits industriels vendus avaient un taux réduit de lactose et 28,5 % étaient sans lactose, des taux clairement excessifs. Il est donc particulièrement important de s’intéresser à l’adéquation de ces produits aux besoins des nourrissons. C’était l’objectif de cette étude. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=88147 Réservation
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