Les apports alimentaires indispensables au développement du nourrisson : les carences sont plus dangereuses que les excès / Patrick Tounian in La revue du praticien, Vol. 71, n° 10 (décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien > Vol. 71, n° 10 (décembre 2021) . - p. 1084-1087 Titre : Les apports alimentaires indispensables au développement du nourrisson : les carences sont plus dangereuses que les excès Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Tounian Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1084-1087 Note générale : Fait partie du dossier : "Alimentation du nourrisson et du jeune enfant" Langues : Français (fre) Résumé : Les principaux nutriments indispensables au bon développement, notamment neurologique, des nourrissons sont certains lipides (acides gras essentiels, acides arachidonique et docosahexaénoïque), le fer, le calcium et la vitamine D. Des apports énergétiques suffisants sont aussi nécessaires pour assurer une croissance staturo-pondérale satisfaisante. Au cours des six premiers mois, ces besoins sont bien couverts par l’allaitement maternel ou une préparation infantile. Après la diversification, l’allaitement avec une supplémentation martiale ou la consommation d’au moins 700 mL par jour de lait infantile, l’ajout de graisses dans chacun des plats salés et la supplémentation en vitamine D permettent d’assurer la totalité de ces besoins essentiels. Contrairement à une idée répandue, ni l’ajout raisonnable de sel et de sucre dans les plats du nourrisson ni l’excès d’apports protéiques n’exposent à un quelconque risque. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71850 [article] Les apports alimentaires indispensables au développement du nourrisson : les carences sont plus dangereuses que les excès [texte imprimé] / Patrick Tounian . - 2021 . - p. 1084-1087. Fait partie du dossier : "Alimentation du nourrisson et du jeune enfant" Langues : Français (fre) in La revue du praticien > Vol. 71, n° 10 (décembre 2021) . - p. 1084-1087 Résumé : Les principaux nutriments indispensables au bon développement, notamment neurologique, des nourrissons sont certains lipides (acides gras essentiels, acides arachidonique et docosahexaénoïque), le fer, le calcium et la vitamine D. Des apports énergétiques suffisants sont aussi nécessaires pour assurer une croissance staturo-pondérale satisfaisante. Au cours des six premiers mois, ces besoins sont bien couverts par l’allaitement maternel ou une préparation infantile. Après la diversification, l’allaitement avec une supplémentation martiale ou la consommation d’au moins 700 mL par jour de lait infantile, l’ajout de graisses dans chacun des plats salés et la supplémentation en vitamine D permettent d’assurer la totalité de ces besoins essentiels. Contrairement à une idée répandue, ni l’ajout raisonnable de sel et de sucre dans les plats du nourrisson ni l’excès d’apports protéiques n’exposent à un quelconque risque. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71850

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Hypercholestérolémie familiale chez l'enfant et l'adolescent / Julie Lemale in La revue du praticien, Vol. 69, n° 9 (Novembre 2019)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien > Vol. 69, n° 9 (Novembre 2019) . - p. 1001-1004 Titre : Hypercholestérolémie familiale chez l'enfant et l'adolescent Type de document : texte imprimé Auteurs : Julie Lemale ; Patrick Tounian Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1001-1004 Langues : Français (fre) Mots-clés : Enfant  Adolescent  Hypercholestérolémie  Génétique  Cardiologie Résumé : L'hypercholestérolémie familiale est une maladie génétique fréquente. La forme hétérozygote autosomique dominante est la plus courante en rapport avec la mutation pathogène d'un seul gène responsable d'une élévation importante des taux du LDL-cholestérol dès l'enfance. Cette anomalie, en l'absence de prise en charge, expose à un risque d'accidents cardiovasculaires précoces chez l'homme et la femme. Cette pathologie est totalement asymptomatique dans l'enfance. Un dépistage par un bilan lipidique doit donc être proposé en cas d?antécédents familiaux d'hypercholestérolémie importante, de pathologies cardiovasculaires précoces, d?une mutation responsable d'une hypercholestérolémie familiale connue chez un des parents ou en cas d'antécédents familiaux inconnus. Le diagnostic est suspecté si le LDL-cholestérol est supérieur à 1,6 g/L. Une étude génétique est alors proposée selon l'histoire familiale et l'évolution. La prise en charge initiale se fait dès l'enfance avec la mise en place de mesures diététiques spécifiques. Celles-ci sont cependant souvent insuffisantes, nécessitant l'instauration d'un traitement par statines à partir de l'âge de 8 ans. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66274 [article] Hypercholestérolémie familiale chez l'enfant et l'adolescent [texte imprimé] / Julie Lemale ; Patrick Tounian . - 2019 . - p. 1001-1004. Langues : Français (fre) in La revue du praticien > Vol. 69, n° 9 (Novembre 2019) . - p. 1001-1004 Mots-clés : Enfant  Adolescent  Hypercholestérolémie  Génétique  Cardiologie Résumé : L'hypercholestérolémie familiale est une maladie génétique fréquente. La forme hétérozygote autosomique dominante est la plus courante en rapport avec la mutation pathogène d'un seul gène responsable d'une élévation importante des taux du LDL-cholestérol dès l'enfance. Cette anomalie, en l'absence de prise en charge, expose à un risque d'accidents cardiovasculaires précoces chez l'homme et la femme. Cette pathologie est totalement asymptomatique dans l'enfance. Un dépistage par un bilan lipidique doit donc être proposé en cas d?antécédents familiaux d'hypercholestérolémie importante, de pathologies cardiovasculaires précoces, d?une mutation responsable d'une hypercholestérolémie familiale connue chez un des parents ou en cas d'antécédents familiaux inconnus. Le diagnostic est suspecté si le LDL-cholestérol est supérieur à 1,6 g/L. Une étude génétique est alors proposée selon l'histoire familiale et l'évolution. La prise en charge initiale se fait dès l'enfance avec la mise en place de mesures diététiques spécifiques. Celles-ci sont cependant souvent insuffisantes, nécessitant l'instauration d'un traitement par statines à partir de l'âge de 8 ans. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66274

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Laits de croissance : quel contenu et quel intérêt ? / Patrick Tounian in La revue du praticien, Vol. 71, n° 10 (décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien > Vol. 71, n° 10 (décembre 2021) . - p. 1088 Titre : Laits de croissance : quel contenu et quel intérêt ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Tounian Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1088 Note générale : Fait partie du dossier : "Alimentation du nourrisson et du jeune enfant" Langues : Français (fre) Résumé : Les laits de croissance sont destinés aux enfants à partir de l’âge de 1 an. Ils existent depuis plus de trente ans mais suscitent encore de nombreux débats. D’aucuns prétendent qu’il s’agit de purs produits commerciaux destinés à enrichir les industriels, alors que d’autres soulignent leur intérêt en prévention de certaines carences, notamment martiales. L’objectif de cet article est de développer des arguments scientifiques pour répondre à cette controverse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71851 [article] Laits de croissance : quel contenu et quel intérêt ? [texte imprimé] / Patrick Tounian . - 2021 . - p. 1088. Fait partie du dossier : "Alimentation du nourrisson et du jeune enfant" Langues : Français (fre) in La revue du praticien > Vol. 71, n° 10 (décembre 2021) . - p. 1088 Résumé : Les laits de croissance sont destinés aux enfants à partir de l’âge de 1 an. Ils existent depuis plus de trente ans mais suscitent encore de nombreux débats. D’aucuns prétendent qu’il s’agit de purs produits commerciaux destinés à enrichir les industriels, alors que d’autres soulignent leur intérêt en prévention de certaines carences, notamment martiales. L’objectif de cet article est de développer des arguments scientifiques pour répondre à cette controverse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71851

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Obésité infantile. Ce que les généralistes doivent savoir / Patrick Tounian in La revue du praticien médecine générale, 867 (Octobre 2011)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien médecine générale > 867 (Octobre 2011) . - p. 636-637 Titre : Obésité infantile. Ce que les généralistes doivent savoir Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Tounian Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 636-637 Note générale : L’obésité de l’enfant est consécutive à une pathologie des centres hypothalamiques de la régulation du poids. L’origine de ce dysfonctionnement est avant tout génétique, et peut-être épigénétique. Cependant, nos connaissances actuelles en matière de génétique sont loin de pouvoir expliquer les mécanismes exacts qui régissent la transmission héréditaire de l’obésité. La maladie de l’hypothalamus menant à l’obésité peut également être acquise. Un choc émotionnel grave, un traumatisme crânien sévère, une irradiation cérébrale, les tumeurs de la région hypothalamique, certains médicaments à tropisme central et le manque de sommeil ont ainsi été accusés d’induire une obésité chez l’enfant. Ce concept incite à envisager différemment les raisons qui conduisent un enfant à devenir obèse. Ni de mauvaises habitudes alimentaires, ni une sédentarité excessive ne peuvent rendre un enfant obèse si la nature ne l’a pas doté de cette propension constitutionnelle à grossir. Seuls ceux ayant cette prédisposition sont susceptibles de devenir obèses. Le comportement des enfants obèses n’est donc pas la cause de leur surcharge pondérale mais la conséquence de leur dysfonctionnement hypothalamique. Notre environnement obésogène (nourriture abondante et riche, réduction de l’activité physique) leur donne les moyens d’exprimer leur susceptibilité et explique ainsi l’accroissement de la prévalence de l’obésité infantile dans les pays industrialisés. Cette nouvelle vision entraîne de toute évidence la remise en question de la prise en charge des enfants obèses et de leurs familles en consultation. Langues : Français (fre) Mots-clés : ENFANT  OBESITE  RELATION FAMILLE SOIGNANT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39732 [article] Obésité infantile. Ce que les généralistes doivent savoir [texte imprimé] / Patrick Tounian . - 2011 . - p. 636-637. L’obésité de l’enfant est consécutive à une pathologie des centres hypothalamiques de la régulation du poids. L’origine de ce dysfonctionnement est avant tout génétique, et peut-être épigénétique. Cependant, nos connaissances actuelles en matière de génétique sont loin de pouvoir expliquer les mécanismes exacts qui régissent la transmission héréditaire de l’obésité. La maladie de l’hypothalamus menant à l’obésité peut également être acquise. Un choc émotionnel grave, un traumatisme crânien sévère, une irradiation cérébrale, les tumeurs de la région hypothalamique, certains médicaments à tropisme central et le manque de sommeil ont ainsi été accusés d’induire une obésité chez l’enfant. Ce concept incite à envisager différemment les raisons qui conduisent un enfant à devenir obèse. Ni de mauvaises habitudes alimentaires, ni une sédentarité excessive ne peuvent rendre un enfant obèse si la nature ne l’a pas doté de cette propension constitutionnelle à grossir. Seuls ceux ayant cette prédisposition sont susceptibles de devenir obèses. Le comportement des enfants obèses n’est donc pas la cause de leur surcharge pondérale mais la conséquence de leur dysfonctionnement hypothalamique. Notre environnement obésogène (nourriture abondante et riche, réduction de l’activité physique) leur donne les moyens d’exprimer leur susceptibilité et explique ainsi l’accroissement de la prévalence de l’obésité infantile dans les pays industrialisés. Cette nouvelle vision entraîne de toute évidence la remise en question de la prise en charge des enfants obèses et de leurs familles en consultation. Langues : Français (fre) in La revue du praticien médecine générale > 867 (Octobre 2011) . - p. 636-637 Mots-clés : ENFANT  OBESITE  RELATION FAMILLE SOIGNANT Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39732

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La phobie des lipides : quels risques pour le nourrisson ? / Patrick Tounian in La revue du praticien, Vol. 71, n° 10 (décembre 2021)

Public ISBD [article]  inLa revue du praticien > Vol. 71, n° 10 (décembre 2021) . - p. 1090 Titre : La phobie des lipides : quels risques pour le nourrisson ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrick Tounian Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1090 Note générale : Fait partie du dossier : "Alimentation du nourrisson et du jeune enfant" Langues : Français (fre) Mots-clés : acides gras essentiels Résumé : Les graisses ont mauvaise presse. Leur lien potentiel avec les maladies cardiovasculaires, majoré par l’avis défavorable que leur accordent le Nutri-Score et certaines applications à la mode, ont entraîné une véritable phobie des lipides. Si une réduction des apports lipidiques est justifiée dans certaines situations chez l’adulte, elle ne l’est qu’exceptionnellement chez le nourrisson. Cette crainte infondée conduit de plus en plus de parents à restreindre les graisses pour leur enfant, qu’ils exposent ainsi au risque d’altération du développement neurologique et de la maturation du système immunitaire. Il est donc essentiel, pour toute l’existence, d’assurer un apport quantitatif et qualitatif optimal en lipides au cours de la première année de vie. Comment y parvenir en pratique ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71852 [article] La phobie des lipides : quels risques pour le nourrisson ? [texte imprimé] / Patrick Tounian . - 2021 . - p. 1090. Fait partie du dossier : "Alimentation du nourrisson et du jeune enfant" Langues : Français (fre) in La revue du praticien > Vol. 71, n° 10 (décembre 2021) . - p. 1090 Mots-clés : acides gras essentiels Résumé : Les graisses ont mauvaise presse. Leur lien potentiel avec les maladies cardiovasculaires, majoré par l’avis défavorable que leur accordent le Nutri-Score et certaines applications à la mode, ont entraîné une véritable phobie des lipides. Si une réduction des apports lipidiques est justifiée dans certaines situations chez l’adulte, elle ne l’est qu’exceptionnellement chez le nourrisson. Cette crainte infondée conduit de plus en plus de parents à restreindre les graisses pour leur enfant, qu’ils exposent ainsi au risque d’altération du développement neurologique et de la maturation du système immunitaire. Il est donc essentiel, pour toute l’existence, d’assurer un apport quantitatif et qualitatif optimal en lipides au cours de la première année de vie. Comment y parvenir en pratique ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71852

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Pourquoi les nouveau-nés de mères obèses deviennent-ils plus souvent obèses / Patrick Tounian in La revue Sage-femme, 4 (Septembre 2013)

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