Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
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Auteur J. Lepage |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Mode de déclenchement du travail et conduite du travail en cas d’utérus cicatriciel / P. Deruelle in La revue Sage-femme, 1 (Février 2013)
[article]
Titre : Mode de déclenchement du travail et conduite du travail en cas d’utérus cicatriciel Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Deruelle, Auteur ; J. Lepage, Auteur ; S. Depret, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 25-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : DECLENCHEMENT ACCOUCHEMENT UTERUS CICATRICE GESTION DES RISQUES CESARIENNE SURVEILLANCE AVORTEMENT THERAPEUTIQUE DECES FOETUS PRONOSTIC HORMONE ANESTHESIE LOCO-REGIONALE Résumé : But
Évaluer les bénéfices et risques de l’induction du travail en cas d’utérus cicatriciel. Définir les modalités de conduite et de surveillance du travail en cas de tentative de voie basse sur utérus cicatriciel.
Matériel et méthodes
Recherche bibliographique à partie de la base de données Medline® et de la Cochrane Database Library®. Consultation des recommandations des sociétés savantes de gynécologie obstétrique internationales.
Résultats
Le déclenchement du travail augmente le risque de rupture utérine qui peut être estimé à 1 % en cas d’utilisation de l’ocytocine et 2 % en cas d’utilisation des prostaglandines vaginales (NP2). Les méthodes mécaniques ont été insuffisamment étudiées. Le misoprostol semble augmenter de façon importante le risque de rupture (NP3). La mise en place systématique d’une tocométrie interne ne permet pas de prévenir la rupture utérine (Avis d’expert). La direction du travail augmente modérément le risque de rupture (NP3). Le risque de rupture augmente également au-delà de trois heures de dilatation stationnaire après avoir obtenu une bonne dynamique utérine (Avis d’expert). L’analgésie péridurale doit être encouragée (Grade C). La réalisation systématique d’une révision utérine n’a pas d’intérêt (Grade C).
Conclusion
Les patientes doivent être informées des modalités de surveillance du travail en cas d’utérus cicatriciel. En cas de décision de déclenchement, la patiente devra être informée de l’indication du déclenchement et du risque augmenté de rupture utérine. Les modalités du déclenchement devront tenir compte des caractéristiques maternelles et obstétricales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28247
in La revue Sage-femme > 1 (Février 2013) . - p. 25-39[article] Mode de déclenchement du travail et conduite du travail en cas d’utérus cicatriciel [texte imprimé] / P. Deruelle, Auteur ; J. Lepage, Auteur ; S. Depret, Auteur ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 25-39.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > 1 (Février 2013) . - p. 25-39
Mots-clés : DECLENCHEMENT ACCOUCHEMENT UTERUS CICATRICE GESTION DES RISQUES CESARIENNE SURVEILLANCE AVORTEMENT THERAPEUTIQUE DECES FOETUS PRONOSTIC HORMONE ANESTHESIE LOCO-REGIONALE Résumé : But
Évaluer les bénéfices et risques de l’induction du travail en cas d’utérus cicatriciel. Définir les modalités de conduite et de surveillance du travail en cas de tentative de voie basse sur utérus cicatriciel.
Matériel et méthodes
Recherche bibliographique à partie de la base de données Medline® et de la Cochrane Database Library®. Consultation des recommandations des sociétés savantes de gynécologie obstétrique internationales.
Résultats
Le déclenchement du travail augmente le risque de rupture utérine qui peut être estimé à 1 % en cas d’utilisation de l’ocytocine et 2 % en cas d’utilisation des prostaglandines vaginales (NP2). Les méthodes mécaniques ont été insuffisamment étudiées. Le misoprostol semble augmenter de façon importante le risque de rupture (NP3). La mise en place systématique d’une tocométrie interne ne permet pas de prévenir la rupture utérine (Avis d’expert). La direction du travail augmente modérément le risque de rupture (NP3). Le risque de rupture augmente également au-delà de trois heures de dilatation stationnaire après avoir obtenu une bonne dynamique utérine (Avis d’expert). L’analgésie péridurale doit être encouragée (Grade C). La réalisation systématique d’une révision utérine n’a pas d’intérêt (Grade C).
Conclusion
Les patientes doivent être informées des modalités de surveillance du travail en cas d’utérus cicatriciel. En cas de décision de déclenchement, la patiente devra être informée de l’indication du déclenchement et du risque augmenté de rupture utérine. Les modalités du déclenchement devront tenir compte des caractéristiques maternelles et obstétricales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28247 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : Prise en charge des couples porteurs du VIH en assistance médicale à la procréation : quels résultats et quelle stratégie en France en 2019 ? / C. Ninive in La revue Sage-femme, Vol. 18, n° 3 (Juin 2019)
[article]
Titre : Republication de : Prise en charge des couples porteurs du VIH en assistance médicale à la procréation : quels résultats et quelle stratégie en France en 2019 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Ninive ; X. Ferraretto ; S. Gricourt ; M.A. Llabador ; J. Lepage ; C. Gauché-Cazalis ; S. Epelboin ; M. Peigné Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 166-175 Langues : Français (fre) Résumé : Avec l’utilisation des traitements antirétroviraux, la transmission du VIH entre partenaires sexuels et de la mère au fœtus s’est considérablement réduite, autorisant successivement la grossesse, puis l’assistance médicale à la procréation, puis les rapports sexuels non protégés ciblés chez les couples vivant avec le VIH. Depuis le premier rapport Morlat en France en 2013, la procréation naturelle est désormais envisageable sous certaines conditions pour ces couples vivant avec le VIH et le recours à l’AMP se limite de plus en plus au traitement d’une infertilité. Si les résultats en IIU semblent satisfaisants pour les couples sérodiscordants pour le VIH, les résultats en FIV sont plus défavorables lorsque la femme est infectée par le VIH. Par contre, ils semblent comparables à ceux de la population générale lorsque l’homme uniquement est infecté par le VIH. On peut supposer une altération ovarienne chez les femmes infectées, liée au traitement et/ou au virus. Le désir de grossesse doit être abordé précocement chez ces couples et l’orientation vers un centre d’AMP doit être rapide si nécessaire.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64174
in La revue Sage-femme > Vol. 18, n° 3 (Juin 2019) . - p. 166-175[article] Republication de : Prise en charge des couples porteurs du VIH en assistance médicale à la procréation : quels résultats et quelle stratégie en France en 2019 ? [texte imprimé] / C. Ninive ; X. Ferraretto ; S. Gricourt ; M.A. Llabador ; J. Lepage ; C. Gauché-Cazalis ; S. Epelboin ; M. Peigné . - 2019 . - p. 166-175.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 18, n° 3 (Juin 2019) . - p. 166-175
Résumé : Avec l’utilisation des traitements antirétroviraux, la transmission du VIH entre partenaires sexuels et de la mère au fœtus s’est considérablement réduite, autorisant successivement la grossesse, puis l’assistance médicale à la procréation, puis les rapports sexuels non protégés ciblés chez les couples vivant avec le VIH. Depuis le premier rapport Morlat en France en 2013, la procréation naturelle est désormais envisageable sous certaines conditions pour ces couples vivant avec le VIH et le recours à l’AMP se limite de plus en plus au traitement d’une infertilité. Si les résultats en IIU semblent satisfaisants pour les couples sérodiscordants pour le VIH, les résultats en FIV sont plus défavorables lorsque la femme est infectée par le VIH. Par contre, ils semblent comparables à ceux de la population générale lorsque l’homme uniquement est infecté par le VIH. On peut supposer une altération ovarienne chez les femmes infectées, liée au traitement et/ou au virus. Le désir de grossesse doit être abordé précocement chez ces couples et l’orientation vers un centre d’AMP doit être rapide si nécessaire.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64174 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt