Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche

: encore de nombreuses questions non résolues
[article]
Titre : |
Le dépistage du diabète gestationnel : encore de nombreuses questions non résolues |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Stéphanie Bartolo ; Anne Vambergue ; P. Deruelle |
Année de publication : |
2016 |
Article en page(s) : |
p. 112-119 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Diabète gestationnel / diagnostic Dépistage systématique Évaluation des risques Analyse coût-bénéfice Etudes de validation Types de publication:Etudes de validation |
Résumé : |
Depuis de nombreuses années, il y a un débat sur le dépistage du diabète gestationnel, notamment sur quel examen de dépistage et quels seuils utiliser. Le but de cette revue de la littérature est de déterminer si le dépistage du diabète gestationnel en France répond aux 10 critères de définition d'un test de dépistage par l'OMS. Le DG est bien un problème de santé publique, avec une histoire naturelle partiellement connue et décelable à un stade précoce. Il a été démontré que des hyperglycémies moins sévères que celles dépistées par le dépistage en 2 temps sont associées à une augmentation des taux de césarienne, de macrosomie foetale et d'hypoglycémie néonatale. Par ailleurs, ce dépistage permet, lorsqu'il est positif, de suivre de plus près ces patientes qui sont à risque de développer un diabète de type 2. Enfin, traiter le diabète gestationnel diagnostiqué par le dépistage en 2 étapes s'est révélé efficace. Il n'existe pas de données permettant de dire si traiter les femmes diagnostiquées avec des seuils plus bas seraient efficaces ou inefficaces. Le test de dépistage en 1 temps ne permet de dépister que des complications foetales et non des complications maternelles. Il apparaît comme acceptable pour la population de femmes enceintes. Le test diagnostique et le traitement nous semblent également acceptables. À ce jour, sa reproductibilité est mal connue. Le dépistage entraîne une augmentation du nombre d'interventions obstétricales. Plusieurs études retrouvent que le dépistage du diabète gestationnel serait coût-efficace mais dans des contextes de soins différents du nôtre. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41448 |
in La revue Sage-femme > vol. 15, 3 (juin 2016) . - p. 112-119
[article] Le dépistage du diabète gestationnel : encore de nombreuses questions non résolues [texte imprimé] / Stéphanie Bartolo ; Anne Vambergue ; P. Deruelle . - 2016 . - p. 112-119. Langues : Français ( fre) in La revue Sage-femme > vol. 15, 3 (juin 2016) . - p. 112-119
Mots-clés : |
Diabète gestationnel / diagnostic Dépistage systématique Évaluation des risques Analyse coût-bénéfice Etudes de validation Types de publication:Etudes de validation |
Résumé : |
Depuis de nombreuses années, il y a un débat sur le dépistage du diabète gestationnel, notamment sur quel examen de dépistage et quels seuils utiliser. Le but de cette revue de la littérature est de déterminer si le dépistage du diabète gestationnel en France répond aux 10 critères de définition d'un test de dépistage par l'OMS. Le DG est bien un problème de santé publique, avec une histoire naturelle partiellement connue et décelable à un stade précoce. Il a été démontré que des hyperglycémies moins sévères que celles dépistées par le dépistage en 2 temps sont associées à une augmentation des taux de césarienne, de macrosomie foetale et d'hypoglycémie néonatale. Par ailleurs, ce dépistage permet, lorsqu'il est positif, de suivre de plus près ces patientes qui sont à risque de développer un diabète de type 2. Enfin, traiter le diabète gestationnel diagnostiqué par le dépistage en 2 étapes s'est révélé efficace. Il n'existe pas de données permettant de dire si traiter les femmes diagnostiquées avec des seuils plus bas seraient efficaces ou inefficaces. Le test de dépistage en 1 temps ne permet de dépister que des complications foetales et non des complications maternelles. Il apparaît comme acceptable pour la population de femmes enceintes. Le test diagnostique et le traitement nous semblent également acceptables. À ce jour, sa reproductibilité est mal connue. Le dépistage entraîne une augmentation du nombre d'interventions obstétricales. Plusieurs études retrouvent que le dépistage du diabète gestationnel serait coût-efficace mais dans des contextes de soins différents du nôtre. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41448 |
|  |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Mode de déclenchement du travail et conduite du travail en cas d’utérus cicatriciel |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
P. Deruelle, Auteur ; J. Lepage, Auteur ; S. Depret, Auteur ; et al., Auteur |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 25-39 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
DECLENCHEMENT ACCOUCHEMENT UTERUS CICATRICE GESTION DES RISQUES CESARIENNE SURVEILLANCE AVORTEMENT THERAPEUTIQUE DECES FOETUS PRONOSTIC HORMONE ANESTHESIE LOCO-REGIONALE |
Résumé : |
But
Évaluer les bénéfices et risques de l’induction du travail en cas d’utérus cicatriciel. Définir les modalités de conduite et de surveillance du travail en cas de tentative de voie basse sur utérus cicatriciel.
Matériel et méthodes
Recherche bibliographique à partie de la base de données Medline® et de la Cochrane Database Library®. Consultation des recommandations des sociétés savantes de gynécologie obstétrique internationales.
Résultats
Le déclenchement du travail augmente le risque de rupture utérine qui peut être estimé à 1 % en cas d’utilisation de l’ocytocine et 2 % en cas d’utilisation des prostaglandines vaginales (NP2). Les méthodes mécaniques ont été insuffisamment étudiées. Le misoprostol semble augmenter de façon importante le risque de rupture (NP3). La mise en place systématique d’une tocométrie interne ne permet pas de prévenir la rupture utérine (Avis d’expert). La direction du travail augmente modérément le risque de rupture (NP3). Le risque de rupture augmente également au-delà de trois heures de dilatation stationnaire après avoir obtenu une bonne dynamique utérine (Avis d’expert). L’analgésie péridurale doit être encouragée (Grade C). La réalisation systématique d’une révision utérine n’a pas d’intérêt (Grade C).
Conclusion
Les patientes doivent être informées des modalités de surveillance du travail en cas d’utérus cicatriciel. En cas de décision de déclenchement, la patiente devra être informée de l’indication du déclenchement et du risque augmenté de rupture utérine. Les modalités du déclenchement devront tenir compte des caractéristiques maternelles et obstétricales. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28247 |
in La revue Sage-femme > 1 (Février 2013) . - p. 25-39
[article] Mode de déclenchement du travail et conduite du travail en cas d’utérus cicatriciel [texte imprimé] / P. Deruelle, Auteur ; J. Lepage, Auteur ; S. Depret, Auteur ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 25-39. Langues : Français ( fre) in La revue Sage-femme > 1 (Février 2013) . - p. 25-39
Mots-clés : |
DECLENCHEMENT ACCOUCHEMENT UTERUS CICATRICE GESTION DES RISQUES CESARIENNE SURVEILLANCE AVORTEMENT THERAPEUTIQUE DECES FOETUS PRONOSTIC HORMONE ANESTHESIE LOCO-REGIONALE |
Résumé : |
But
Évaluer les bénéfices et risques de l’induction du travail en cas d’utérus cicatriciel. Définir les modalités de conduite et de surveillance du travail en cas de tentative de voie basse sur utérus cicatriciel.
Matériel et méthodes
Recherche bibliographique à partie de la base de données Medline® et de la Cochrane Database Library®. Consultation des recommandations des sociétés savantes de gynécologie obstétrique internationales.
Résultats
Le déclenchement du travail augmente le risque de rupture utérine qui peut être estimé à 1 % en cas d’utilisation de l’ocytocine et 2 % en cas d’utilisation des prostaglandines vaginales (NP2). Les méthodes mécaniques ont été insuffisamment étudiées. Le misoprostol semble augmenter de façon importante le risque de rupture (NP3). La mise en place systématique d’une tocométrie interne ne permet pas de prévenir la rupture utérine (Avis d’expert). La direction du travail augmente modérément le risque de rupture (NP3). Le risque de rupture augmente également au-delà de trois heures de dilatation stationnaire après avoir obtenu une bonne dynamique utérine (Avis d’expert). L’analgésie péridurale doit être encouragée (Grade C). La réalisation systématique d’une révision utérine n’a pas d’intérêt (Grade C).
Conclusion
Les patientes doivent être informées des modalités de surveillance du travail en cas d’utérus cicatriciel. En cas de décision de déclenchement, la patiente devra être informée de l’indication du déclenchement et du risque augmenté de rupture utérine. Les modalités du déclenchement devront tenir compte des caractéristiques maternelles et obstétricales. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=28247 |
|  |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Republication de : Évaluation du respect du protocole des codes couleurs selon l’indication de césarienne et le délai décision-naissance |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S. Deltombe-Bodart ; A. Grabarz ; N. Ramdane ; V. Delporte ; S. Depret ; P. Deruelle ; C. Garabedian |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 272-278 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectif
Évaluer le respect de l'application du protocole des codes couleurs selon l'indication de césarienne et du délai décision-naissance (DDN) selon le code couleur, l'opérateur et la période.
Méthode
Étude rétrospective monocentrique incluant les patientes ayant accouché par césarienne en cours de travail de singleton après 37 SA entre 2015 et 2017. Trois groupes ont été constitués : les césariennes en code vert, orange et rouge. Nous avons comparé dans ces 3 groupes les caractéristiques de la population et les données obstétricales. A posteriori, nous avons établi un code couleur réévalué et analysé la concordance entre le code initial et réévalué. Le respect du DDN en fonction de l'indication de césarienne, du code couleur, du grade de l'opérateur et de la période nocturne ou diurne a été étudié.
Résultats
Huit cent quatre-vingt-un patientes ont été incluses dont 303 (34 %) ayant eu une césarienne code vert, 353 (40 %) code orange et 225 (26 %) code rouge. Il y avait une concordance significative entre les codes couleur initiaux et réévalués avec un test de concordance Kappa IC 95 % 0,95 (0,93-0,97). Les DDN ont été respectés avec respectivement 37±20min pour les césariennes code vert, 20±6min pour les césariennes code orange et 12±3min pour les césariennes code rouge avec respect du DDN selon le code couleur. Le DDN moyen était similaire selon l'opérateur et la période.
Conclusion
Nous observons dans notre étude un respect du code couleur en fonction de l'indication de césarienne et un respect du DDN quel que soit l'horaire de réalisation et l'opérateur.
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60845 |
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 272-278
[article] Republication de : Évaluation du respect du protocole des codes couleurs selon l’indication de césarienne et le délai décision-naissance [texte imprimé] / S. Deltombe-Bodart ; A. Grabarz ; N. Ramdane ; V. Delporte ; S. Depret ; P. Deruelle ; C. Garabedian . - 2018 . - p. 272-278. Langues : Français ( fre) in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 272-278
Résumé : |
Objectif
Évaluer le respect de l'application du protocole des codes couleurs selon l'indication de césarienne et du délai décision-naissance (DDN) selon le code couleur, l'opérateur et la période.
Méthode
Étude rétrospective monocentrique incluant les patientes ayant accouché par césarienne en cours de travail de singleton après 37 SA entre 2015 et 2017. Trois groupes ont été constitués : les césariennes en code vert, orange et rouge. Nous avons comparé dans ces 3 groupes les caractéristiques de la population et les données obstétricales. A posteriori, nous avons établi un code couleur réévalué et analysé la concordance entre le code initial et réévalué. Le respect du DDN en fonction de l'indication de césarienne, du code couleur, du grade de l'opérateur et de la période nocturne ou diurne a été étudié.
Résultats
Huit cent quatre-vingt-un patientes ont été incluses dont 303 (34 %) ayant eu une césarienne code vert, 353 (40 %) code orange et 225 (26 %) code rouge. Il y avait une concordance significative entre les codes couleur initiaux et réévalués avec un test de concordance Kappa IC 95 % 0,95 (0,93-0,97). Les DDN ont été respectés avec respectivement 37±20min pour les césariennes code vert, 20±6min pour les césariennes code orange et 12±3min pour les césariennes code rouge avec respect du DDN selon le code couleur. Le DDN moyen était similaire selon l'opérateur et la période.
Conclusion
Nous observons dans notre étude un respect du code couleur en fonction de l'indication de césarienne et un respect du DDN quel que soit l'horaire de réalisation et l'opérateur.
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60845 |
|  |
Exemplaires (1)
|
Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Republication de : Méthodes de maturation cervicale et déclenchement du travail : évaluation de la sonde simple ballonnet comparée à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
V. Pez ; P. Deruelle ; M. Kyheng ; C. Boyon ; E. Clouqueur ; C. Garabedian |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 279-284 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectif
Comparer l'efficacité de la sonde simple ballonnet, à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines dans la maturation cervicale et le déclenchement du travail sur col défavorable.
Méthodes
Il s'agit d'une étude comparative, rétrospective, uni-centrique. Étaient incluses les grossesses singleton en présentation céphalique. Étaient exclus les utérus cicatriciels. Les critères de jugement étaient le taux d'accouchement voie basse, le taux de césarienne, la modification du score de Bishop, le délai déclenchement-naissance, le recours à une prostaglandine de 2e ligne, le recours à l'oxytocine en salle de naissance et la survenue de complications maternelles ou néonatales.
Résultats
Ont été incluses 108patientes : 45dans le groupe simple ballonnet, 32dans le groupe double ballonnet et 31dans le groupe prostaglandines. Le taux d'accouchement voie basse était similaire dans le groupe simple ballonnet (78 %) comparé aux 2autres groupes (respectivement 75 % pour la sonde double ballonnet et 71 % pour les prostaglandines). Le recours à l'oxytocine était plus important pour le groupe simple ballonnet. Il n'y avait pas de différence significative pour les autres paramètres. Les coûts du déclenchement étaient respectivement de 9euros pour le groupe simple ballonnet, versus 55 et 81euros pour les groupes double ballonnet et prostaglandines.
Conclusion
La sonde simple ballonnet semble avoir une efficacité identique à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines vaginales, avec comme principal avantage un moindre coût pour le déclenchement.
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60846 |
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 279-284
[article] Republication de : Méthodes de maturation cervicale et déclenchement du travail : évaluation de la sonde simple ballonnet comparée à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines [texte imprimé] / V. Pez ; P. Deruelle ; M. Kyheng ; C. Boyon ; E. Clouqueur ; C. Garabedian . - 2018 . - p. 279-284. Langues : Français ( fre) in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 6 (Décembre 2018) . - p. 279-284
Résumé : |
Objectif
Comparer l'efficacité de la sonde simple ballonnet, à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines dans la maturation cervicale et le déclenchement du travail sur col défavorable.
Méthodes
Il s'agit d'une étude comparative, rétrospective, uni-centrique. Étaient incluses les grossesses singleton en présentation céphalique. Étaient exclus les utérus cicatriciels. Les critères de jugement étaient le taux d'accouchement voie basse, le taux de césarienne, la modification du score de Bishop, le délai déclenchement-naissance, le recours à une prostaglandine de 2e ligne, le recours à l'oxytocine en salle de naissance et la survenue de complications maternelles ou néonatales.
Résultats
Ont été incluses 108patientes : 45dans le groupe simple ballonnet, 32dans le groupe double ballonnet et 31dans le groupe prostaglandines. Le taux d'accouchement voie basse était similaire dans le groupe simple ballonnet (78 %) comparé aux 2autres groupes (respectivement 75 % pour la sonde double ballonnet et 71 % pour les prostaglandines). Le recours à l'oxytocine était plus important pour le groupe simple ballonnet. Il n'y avait pas de différence significative pour les autres paramètres. Les coûts du déclenchement étaient respectivement de 9euros pour le groupe simple ballonnet, versus 55 et 81euros pour les groupes double ballonnet et prostaglandines.
Conclusion
La sonde simple ballonnet semble avoir une efficacité identique à la sonde double ballonnet et aux prostaglandines vaginales, avec comme principal avantage un moindre coût pour le déclenchement.
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60846 |
|  |
Exemplaires (1)
|
Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Republication de : Le sport : un élément clé pour la contractilité myométriale et la régulation des adipokines chez la femme enceinte obèse ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
L. Ghesquière ; S. Hanssens ; A. Leroy ; C. Petit ; P. Deruelle ; H. Azaïs |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 226-234 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L'obésité est un problème majeur de santé publique. Les femmes enceintes sont également concernées par cette épidémie. L'obésité chez la femme enceinte s'accompagne d'une augmentation des complications obstétricales et acute;onatales, mais est aussi responsable d'une altération de la qualité du travail qui pourrait s'expliquer par une activité contractile myométriale réduite. Cela aboutit à une augmentation du taux de césariennes et d'hémorragies du post-partum, dans cette population particulièrement à risque. Les adipokines, hormones sécrétées par le tissu adipeux, pourraient avoir un rôle dans l'altération de la contractilité du myomètre. La perte de poids chez ces patientes repose sur une prise en charge iététique, mais aussi sur l'activité physique. Cette dernière va permettre une diminution du volume du tissu adipeux et ainsi une amélioration de l'action des adipokines, ce qui pourrait être une piste pour améliorer la contractilité utérine. L'objectif de cette revue de la littérature est de faire le point sur les connaissances actuelles concernant le rôle des adipokines sur la contractilité utérine chez les femmes enceintes obèses et d'évaluer l'intérêt du sport pour améliorer la contractilité chez ces femmes et ainsi diminuer les complications obstétricales liées à l'obésité.
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60685 |
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 5 (Octobre 2018) . - p. 226-234
[article] Republication de : Le sport : un élément clé pour la contractilité myométriale et la régulation des adipokines chez la femme enceinte obèse ? [texte imprimé] / L. Ghesquière ; S. Hanssens ; A. Leroy ; C. Petit ; P. Deruelle ; H. Azaïs . - 2018 . - p. 226-234. Langues : Français ( fre) in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 5 (Octobre 2018) . - p. 226-234
Résumé : |
L'obésité est un problème majeur de santé publique. Les femmes enceintes sont également concernées par cette épidémie. L'obésité chez la femme enceinte s'accompagne d'une augmentation des complications obstétricales et acute;onatales, mais est aussi responsable d'une altération de la qualité du travail qui pourrait s'expliquer par une activité contractile myométriale réduite. Cela aboutit à une augmentation du taux de césariennes et d'hémorragies du post-partum, dans cette population particulièrement à risque. Les adipokines, hormones sécrétées par le tissu adipeux, pourraient avoir un rôle dans l'altération de la contractilité du myomètre. La perte de poids chez ces patientes repose sur une prise en charge iététique, mais aussi sur l'activité physique. Cette dernière va permettre une diminution du volume du tissu adipeux et ainsi une amélioration de l'action des adipokines, ce qui pourrait être une piste pour améliorer la contractilité utérine. L'objectif de cette revue de la littérature est de faire le point sur les connaissances actuelles concernant le rôle des adipokines sur la contractilité utérine chez les femmes enceintes obèses et d'évaluer l'intérêt du sport pour améliorer la contractilité chez ces femmes et ainsi diminuer les complications obstétricales liées à l'obésité.
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60685 |
|  |
Exemplaires (1)
|
Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |