Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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How to preoxygenate in operative room: Healthy subjects and situations “at risk” / A. De Jong in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 33, n° 7-8 (Juillet 2014)
[article]
Titre : How to preoxygenate in operative room: Healthy subjects and situations “at risk” Titre original : Comment preoxygéner au bloc : sujets sains et situations à risque Type de document : texte imprimé Auteurs : A. De Jong ; Emmanuel Futier ; A. Millot ; et al. Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.457-461 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Préoxygénation Bloc opératoire Obésité Grossesse Réanimation Résumé : L’intubation est un des gestes les plus fréquemment réalisés au bloc opératoire. Elle peut être associée à la survenue de complications vitales en cas de ventilation et/ou d’intubation difficile, chez les patients ne pouvant pas tolérer une hypoxémie même légère et chez les patients particulièrement à risque de désaturation comme les patients obèses, de réanimation ou les femmes enceintes. Pour diminuer les complications liées à l’intubation, la préoxygénation est fondamentale, permettant d’augmenter la durée de l’apnée sans désaturation (saturation artérielle supérieure à 88–90 %). La préoxygénation consiste à augmenter les réserves pulmonaires en oxygène, localisées dans la capacité résiduelle fonctionnelle, et permet de prévenir l’hypoxémie qui pourrait survenir durant la tentative d’intubation. Les patients obèses, de réanimation et les femmes enceintes sont particulièrement à risque d’une efficacité réduite de la préoxygénation à cause de modifications physiopathologiques : diminution de la capacité résiduelle fonctionnelle, risque augmenté d’atélectasies, shunt. La ventilation spontanée pendant 3minutes à volume courant ou 3 à 8 capacités vitales sont recommandés dans la population générale, permettant le plus souvent d’atteindre un seuil d’oxygène expiré de 90 %. Des études récentes ont montré que pour maximiser la préoxygénation, les patients obèses et de réanimation pourraient bénéficier d’une préoxygénation à 100 % en ventilation non invasive, avec une pression expiratoire positive, en position proclive. Les manœuvres de recrutement présentent un intérêt juste après l’intubation pour limiter le risque de dérecrutement pulmonaire. Chez la femme enceinte, d’autres études dans le domaine de la préoxygénation sont nécessaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40573
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 33, n° 7-8 (Juillet 2014) . - p.457-461[article] How to preoxygenate in operative room: Healthy subjects and situations “at risk” = Comment preoxygéner au bloc : sujets sains et situations à risque [texte imprimé] / A. De Jong ; Emmanuel Futier ; A. Millot ; et al. . - 2014 . - p.457-461.
Langues : Anglais (eng)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 33, n° 7-8 (Juillet 2014) . - p.457-461
Mots-clés : Préoxygénation Bloc opératoire Obésité Grossesse Réanimation Résumé : L’intubation est un des gestes les plus fréquemment réalisés au bloc opératoire. Elle peut être associée à la survenue de complications vitales en cas de ventilation et/ou d’intubation difficile, chez les patients ne pouvant pas tolérer une hypoxémie même légère et chez les patients particulièrement à risque de désaturation comme les patients obèses, de réanimation ou les femmes enceintes. Pour diminuer les complications liées à l’intubation, la préoxygénation est fondamentale, permettant d’augmenter la durée de l’apnée sans désaturation (saturation artérielle supérieure à 88–90 %). La préoxygénation consiste à augmenter les réserves pulmonaires en oxygène, localisées dans la capacité résiduelle fonctionnelle, et permet de prévenir l’hypoxémie qui pourrait survenir durant la tentative d’intubation. Les patients obèses, de réanimation et les femmes enceintes sont particulièrement à risque d’une efficacité réduite de la préoxygénation à cause de modifications physiopathologiques : diminution de la capacité résiduelle fonctionnelle, risque augmenté d’atélectasies, shunt. La ventilation spontanée pendant 3minutes à volume courant ou 3 à 8 capacités vitales sont recommandés dans la population générale, permettant le plus souvent d’atteindre un seuil d’oxygène expiré de 90 %. Des études récentes ont montré que pour maximiser la préoxygénation, les patients obèses et de réanimation pourraient bénéficier d’une préoxygénation à 100 % en ventilation non invasive, avec une pression expiratoire positive, en position proclive. Les manœuvres de recrutement présentent un intérêt juste après l’intubation pour limiter le risque de dérecrutement pulmonaire. Chez la femme enceinte, d’autres études dans le domaine de la préoxygénation sont nécessaires. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40573 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Non-invasive ventilation after surgery / S. Jaber in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 33, n° 7-8 (Juillet 2014)
[article]
Titre : Non-invasive ventilation after surgery Titre original : Ventilation non-invasive postopératoire Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Jaber ; A. De Jong ; A. Castagnoli ; Emmanuel Futier ; G. Chanques Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.487-491 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Chirurgie Anesthésie Ventilation non-invasive Intubation et complications postopératoires Résumé : L’hypoxémie et/ou l’insuffisance respiratoire aiguë (IRA) postopératoire survient le plus souvent après une chirurgie abdominale et/ou thoracique. L’anesthésie, la douleur postopératoire et la chirurgie vont induire des modifications respiratoires : hypoxémie, diminution des volumes pulmonaires et atélectasie associée à un syndrome restrictif et un dysfonctionnement diaphragmatique. Assurer une oxygénation adéquate en cas de complications pulmonaires postopératoires telle qu’une IRA est primordial. Bien que le recours à l’intubation endotrachéale et la ventilation invasive a été considérée pendant de nombreuses années comme la pierre angulaire de la prise en charge ventilatoire en cas d’IRA sévère postopératoire, plusieurs études ont montré que la mortalité associée aux complications pulmonaires postopératoires étaient en grande partie liées aux complications liées à la réintubation et à la ventilation mécanique invasive. Par conséquent, les objectifs majeurs pour les anesthésistes et les chirurgiens sont : (1) d’éviter la survenue de complications postopératoires, (2) en cas de survenue d’IRA postopératoire, d’assurer un apport d’oxygène adéquate (oxygénation) et de veiller à l’élimination du CO2 (ventilation), tout en évitant l’intubation. La ventilation non-invasive (VNI) ne nécessite pas de sonde endotrachéale ou de trachéotomie et son utilisation est bien établie pour prévenir l’apparition d’IRA (traitement prophylactique ou préventif) ou pour traiter une IRA afin d’éviter une réintubation (traitement curatif). Des études ont montré que les facteurs de risque liés au patient, telles que la broncho-pneumopathie obstructive chronique (BPCO), un âge supérieur à 60ans, un ASA>II, l’obésité, la dépendance fonctionnelle, et l’insuffisance cardiaque congestive, augmentent le risque de complications pulmonaires postopératoires. La justification de l’utilisation de la VNI postopératoire est la même que l’utilisation de la VNI en post-extubation en plus des spécificités liées aux modifications respiratoires induites par la chirurgie et l’anesthésie. La VNI postopératoire améliore les échanges gazeux, diminue le travail respiratoire et réduit les atélectasies. Les objectifs de cet article sont : (1) de décrire les principales modifications respiratoires induites par la chirurgie et l’anesthésie qui justifient l’utilisation de la VNI postopératoire ; (2) de proposer des recommandations à l’utilisation en toute sécurité de la VNI postopératoire et (3) de présenter les principaux résultats obtenus par l’application de la VNI préventive et curative dans un contexte chirurgical. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40580
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 33, n° 7-8 (Juillet 2014) . - p.487-491[article] Non-invasive ventilation after surgery = Ventilation non-invasive postopératoire [texte imprimé] / S. Jaber ; A. De Jong ; A. Castagnoli ; Emmanuel Futier ; G. Chanques . - 2014 . - p.487-491.
Langues : Anglais (eng)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 33, n° 7-8 (Juillet 2014) . - p.487-491
Mots-clés : Chirurgie Anesthésie Ventilation non-invasive Intubation et complications postopératoires Résumé : L’hypoxémie et/ou l’insuffisance respiratoire aiguë (IRA) postopératoire survient le plus souvent après une chirurgie abdominale et/ou thoracique. L’anesthésie, la douleur postopératoire et la chirurgie vont induire des modifications respiratoires : hypoxémie, diminution des volumes pulmonaires et atélectasie associée à un syndrome restrictif et un dysfonctionnement diaphragmatique. Assurer une oxygénation adéquate en cas de complications pulmonaires postopératoires telle qu’une IRA est primordial. Bien que le recours à l’intubation endotrachéale et la ventilation invasive a été considérée pendant de nombreuses années comme la pierre angulaire de la prise en charge ventilatoire en cas d’IRA sévère postopératoire, plusieurs études ont montré que la mortalité associée aux complications pulmonaires postopératoires étaient en grande partie liées aux complications liées à la réintubation et à la ventilation mécanique invasive. Par conséquent, les objectifs majeurs pour les anesthésistes et les chirurgiens sont : (1) d’éviter la survenue de complications postopératoires, (2) en cas de survenue d’IRA postopératoire, d’assurer un apport d’oxygène adéquate (oxygénation) et de veiller à l’élimination du CO2 (ventilation), tout en évitant l’intubation. La ventilation non-invasive (VNI) ne nécessite pas de sonde endotrachéale ou de trachéotomie et son utilisation est bien établie pour prévenir l’apparition d’IRA (traitement prophylactique ou préventif) ou pour traiter une IRA afin d’éviter une réintubation (traitement curatif). Des études ont montré que les facteurs de risque liés au patient, telles que la broncho-pneumopathie obstructive chronique (BPCO), un âge supérieur à 60ans, un ASA>II, l’obésité, la dépendance fonctionnelle, et l’insuffisance cardiaque congestive, augmentent le risque de complications pulmonaires postopératoires. La justification de l’utilisation de la VNI postopératoire est la même que l’utilisation de la VNI en post-extubation en plus des spécificités liées aux modifications respiratoires induites par la chirurgie et l’anesthésie. La VNI postopératoire améliore les échanges gazeux, diminue le travail respiratoire et réduit les atélectasies. Les objectifs de cet article sont : (1) de décrire les principales modifications respiratoires induites par la chirurgie et l’anesthésie qui justifient l’utilisation de la VNI postopératoire ; (2) de proposer des recommandations à l’utilisation en toute sécurité de la VNI postopératoire et (3) de présenter les principaux résultats obtenus par l’application de la VNI préventive et curative dans un contexte chirurgical. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40580 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Nouvelle observation d'une embolie gazeuse au retrait d'un cathéter veineux central / A. De Jong in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 30, n° 4 ([01/04/2011])
[article]
Titre : Nouvelle observation d'une embolie gazeuse au retrait d'un cathéter veineux central Type de document : texte imprimé Auteurs : A. De Jong, Auteur ; M. Cisse ; B. Jung ; et al., Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 366-368 Langues : Français (fre) Mots-clés : EMBOLIE OXYGENOTHERAPIE TRANSPLANTATION CATHETER COMPLICATION Résumé : L’embolie gazeuse paradoxale est une complication rare, mais grave du cathétérisme veineux central. Nous rapportons ici une observation d’embolie paradoxale avec détresse respiratoire et coma après ablation d’un cathéter jugulaire interne chez un patient transplanté hépatique. À la suite de cette observation, nous discutons les moyens de prévention des accidents emboliques lors des manœuvres de cathéters centraux ainsi que la place de l’oxygénothérapie hyperbare. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27117
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 4 [01/04/2011] . - p. 366-368[article] Nouvelle observation d'une embolie gazeuse au retrait d'un cathéter veineux central [texte imprimé] / A. De Jong, Auteur ; M. Cisse ; B. Jung ; et al., Auteur . - 2011 . - p. 366-368.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 4 [01/04/2011] . - p. 366-368
Mots-clés : EMBOLIE OXYGENOTHERAPIE TRANSPLANTATION CATHETER COMPLICATION Résumé : L’embolie gazeuse paradoxale est une complication rare, mais grave du cathétérisme veineux central. Nous rapportons ici une observation d’embolie paradoxale avec détresse respiratoire et coma après ablation d’un cathéter jugulaire interne chez un patient transplanté hépatique. À la suite de cette observation, nous discutons les moyens de prévention des accidents emboliques lors des manœuvres de cathéters centraux ainsi que la place de l’oxygénothérapie hyperbare. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27117 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt