Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Chirurgies et actes invasifs chez les patients traités au long cours par un anticoagulant oral anti-IIa ou anti-Xa direct: Propositions du Groupe d'intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe d'études sur l'hémostase et la thrombose (GEHT) / P. Sie in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 30, n° 9 ([01/09/2011])
[article]
Titre : Chirurgies et actes invasifs chez les patients traités au long cours par un anticoagulant oral anti-IIa ou anti-Xa direct: Propositions du Groupe d'intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe d'études sur l'hémostase et la thrombose (GEHT) Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Sie, Auteur ; A. Godier, Auteur ; C.-M. Samama, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : 645-650 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE ANTICOAGULANT THROMBOSE Résumé : Les anticoagulants oraux directs (AOD), anti-IIa ou anti-Xa, sont destinés à remplacer les antagonistes de la vitamine K pour une majorité de leurs indications. Les patients traités par ces médicaments pourront bénéficier d'une chirurgie ou d'un acte invasif programmé ou urgent. L'absence d'expérience de cette situation ne permet pas d'émettre des recommandations, mais seulement des propositions pour la meilleure gestion possible vis-à-vis du double risque hémorragique et thrombotique. Les AOD sont à risque hémorragique en cas d'acte invasif, n'ont aucun agent de réversion validé, ne sont pas facilement mesurés par les tests de laboratoire, et leur variabilité individuelle est importante. Bien qu'il existe des différences entre les AOD, elles n'imposent pas une prise en charge périopératoire particulière à chacun. Pour les actes programmés à risque hémorragique faible, il est proposé de réaliser une fenêtre thérapeutique de 48 heures encadrant l'acte. Pour ceux à risque hémorragique modéré ou élevé, il est proposé d'interrompre le traitement à j-5 pour assurer l'élimination complète du médicament chez tous les patients et de ne le reprendre que lorsque le risque hémorragique est contrôlé. Un relais par une héparine est justifié si le risque thrombotique lié à l'indication initiale du traitement par l'AOD est élevé (patients en fibrillation atriale (FA) ayant un antécédent cardio-embolique). Dans les situations non programmées, l'acte invasif doit être retardé au maximum (une à deux demi-vies d'élimination du médicament si possible) et les agents hémostatiques non spécifiques (facteur VIIa recombinant, concentrés de complexe prothrombinique [CCP]) ne doivent pas être utilisés à titre prophylactique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27068
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 9 [01/09/2011] . - 645-650[article] Chirurgies et actes invasifs chez les patients traités au long cours par un anticoagulant oral anti-IIa ou anti-Xa direct: Propositions du Groupe d'intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe d'études sur l'hémostase et la thrombose (GEHT) [texte imprimé] / P. Sie, Auteur ; A. Godier, Auteur ; C.-M. Samama, Auteur ; et al., Auteur . - 2011 . - 645-650.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 9 [01/09/2011] . - 645-650
Mots-clés : CHIRURGIE ANTICOAGULANT THROMBOSE Résumé : Les anticoagulants oraux directs (AOD), anti-IIa ou anti-Xa, sont destinés à remplacer les antagonistes de la vitamine K pour une majorité de leurs indications. Les patients traités par ces médicaments pourront bénéficier d'une chirurgie ou d'un acte invasif programmé ou urgent. L'absence d'expérience de cette situation ne permet pas d'émettre des recommandations, mais seulement des propositions pour la meilleure gestion possible vis-à-vis du double risque hémorragique et thrombotique. Les AOD sont à risque hémorragique en cas d'acte invasif, n'ont aucun agent de réversion validé, ne sont pas facilement mesurés par les tests de laboratoire, et leur variabilité individuelle est importante. Bien qu'il existe des différences entre les AOD, elles n'imposent pas une prise en charge périopératoire particulière à chacun. Pour les actes programmés à risque hémorragique faible, il est proposé de réaliser une fenêtre thérapeutique de 48 heures encadrant l'acte. Pour ceux à risque hémorragique modéré ou élevé, il est proposé d'interrompre le traitement à j-5 pour assurer l'élimination complète du médicament chez tous les patients et de ne le reprendre que lorsque le risque hémorragique est contrôlé. Un relais par une héparine est justifié si le risque thrombotique lié à l'indication initiale du traitement par l'AOD est élevé (patients en fibrillation atriale (FA) ayant un antécédent cardio-embolique). Dans les situations non programmées, l'acte invasif doit être retardé au maximum (une à deux demi-vies d'élimination du médicament si possible) et les agents hémostatiques non spécifiques (facteur VIIa recombinant, concentrés de complexe prothrombinique [CCP]) ne doivent pas être utilisés à titre prophylactique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27068 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge des complications hémorragiques graves et de la chirurgie en urgence chez les patients recevant un anticoagulant oral anti-IIa ou anti-Xa direct. Propositions du Groupe d'intérêt en Hémostase Périopératoire (GIHP) - mars 2013 / G. Pernod in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 32, n° 10 (Octobre 2013)
[article]
Titre : Prise en charge des complications hémorragiques graves et de la chirurgie en urgence chez les patients recevant un anticoagulant oral anti-IIa ou anti-Xa direct. Propositions du Groupe d'intérêt en Hémostase Périopératoire (GIHP) - mars 2013 Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Pernod, Auteur ; et al. ; A. Godier ; Pierre Albaladejo Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 691-700 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTICOAGULANT CHIRURGIE HEMOSTASE URGENCE HEMORRAGIE Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux (NACO), anti-IIa ou anti-Xa directs, sont destinés à être largement utilisés dans le traitement de la maladie thromboembolique veineuse ou dans la fibrillation atriale en remplacement des antivitamines K (AVK). Comme tout traitement anticoagulant, notamment aux doses dites « curatives », ils sont associés à un risque hémorragique spontané ou provoqué. De plus, une proportion non négligeable de patients traités sera confrontée à la nécessité d'un geste invasif en urgence. Compte tenu de l'absence d'antidote spécifique, les mesures à prendre doivent être définies dans ces situations. Le peu de données disponibles ne permet pas d'émettre des recommandations, mais seulement des propositions qui seront amenées à évoluer en fonction de l'expérience accumulée. Les propositions présentées dans cet article s'appliquent au dabigatran (Pradaxa®) et au rivaroxaban (Xarelto®), les données relatives à l'apixaban et à l'edoxaban étant encore trop peu nombreuses. Pour la chirurgie urgente à risque hémorragique, il est proposé de doser le taux plasmatique du médicament. Des taux inférieurs ou égaux à 30 ng/mL, à la fois pour dabigatran et rivaroxaban, devraient permettre la réalisation d'une chirurgie à risque hémorragique élevé. Au-delà, il est convenu, dans la mesure du possible, de reporter l'intervention en surveillant l'évolution de la concentration du médicament. La conduite à tenir est alors définie selon le NACO et sa concentration. Si le dosage du médicament n'est pas disponible immédiatement, des propositions « dégradées » sur la base de tests usuels, TP et TCA, sont présentées. Ces tests ne permettent cependant pas d'évaluer réellement ni la concentration de médicament, ni le risque hémorragique qui en dépend. En cas d'hémorragie grave dans un organe critique, il est proposé de réduire l'effet du traitement anticoagulant par l'utilisation d'un médicament procoagulant non spécifique en première ligne [concentrés de complexe prothrombinique activé (FEIBA® 30-50 U/kg) ou non activé (CCP 50 U/kg)]. En dehors de cette situation, pour tout autre type d'hémorragie grave, l'administration d'un médicament procoagulant, potentiellement thrombogène chez ces patients, sera discutée en fonction du taux de NACO et des possibilités d'hémostase mécanique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27010
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 10 (Octobre 2013) . - p. 691-700[article] Prise en charge des complications hémorragiques graves et de la chirurgie en urgence chez les patients recevant un anticoagulant oral anti-IIa ou anti-Xa direct. Propositions du Groupe d'intérêt en Hémostase Périopératoire (GIHP) - mars 2013 [texte imprimé] / G. Pernod, Auteur ; et al. ; A. Godier ; Pierre Albaladejo . - 2013 . - p. 691-700.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 10 (Octobre 2013) . - p. 691-700
Mots-clés : ANTICOAGULANT CHIRURGIE HEMOSTASE URGENCE HEMORRAGIE Résumé : Les nouveaux anticoagulants oraux (NACO), anti-IIa ou anti-Xa directs, sont destinés à être largement utilisés dans le traitement de la maladie thromboembolique veineuse ou dans la fibrillation atriale en remplacement des antivitamines K (AVK). Comme tout traitement anticoagulant, notamment aux doses dites « curatives », ils sont associés à un risque hémorragique spontané ou provoqué. De plus, une proportion non négligeable de patients traités sera confrontée à la nécessité d'un geste invasif en urgence. Compte tenu de l'absence d'antidote spécifique, les mesures à prendre doivent être définies dans ces situations. Le peu de données disponibles ne permet pas d'émettre des recommandations, mais seulement des propositions qui seront amenées à évoluer en fonction de l'expérience accumulée. Les propositions présentées dans cet article s'appliquent au dabigatran (Pradaxa®) et au rivaroxaban (Xarelto®), les données relatives à l'apixaban et à l'edoxaban étant encore trop peu nombreuses. Pour la chirurgie urgente à risque hémorragique, il est proposé de doser le taux plasmatique du médicament. Des taux inférieurs ou égaux à 30 ng/mL, à la fois pour dabigatran et rivaroxaban, devraient permettre la réalisation d'une chirurgie à risque hémorragique élevé. Au-delà, il est convenu, dans la mesure du possible, de reporter l'intervention en surveillant l'évolution de la concentration du médicament. La conduite à tenir est alors définie selon le NACO et sa concentration. Si le dosage du médicament n'est pas disponible immédiatement, des propositions « dégradées » sur la base de tests usuels, TP et TCA, sont présentées. Ces tests ne permettent cependant pas d'évaluer réellement ni la concentration de médicament, ni le risque hémorragique qui en dépend. En cas d'hémorragie grave dans un organe critique, il est proposé de réduire l'effet du traitement anticoagulant par l'utilisation d'un médicament procoagulant non spécifique en première ligne [concentrés de complexe prothrombinique activé (FEIBA® 30-50 U/kg) ou non activé (CCP 50 U/kg)]. En dehors de cette situation, pour tout autre type d'hémorragie grave, l'administration d'un médicament procoagulant, potentiellement thrombogène chez ces patients, sera discutée en fonction du taux de NACO et des possibilités d'hémostase mécanique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27010 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le ratio transfusionnel PFC/CGR 1/1 : un phénomène de mode basé sur des preuves ? / S. Susen in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 30, n° 5 ([01/05/2011])
[article]
Titre : Le ratio transfusionnel PFC/CGR 1/1 : un phénomène de mode basé sur des preuves ? Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Susen, Auteur ; Y. Ozier ; A. Godier Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 421-428 Langues : Français (fre) Mots-clés : COAGULATION POLYTRAUMATISME TRANSFUSION SANGUINE PLASMA SANGUIN Résumé : Malgré des progrès de prise en charge, l'hémorragie massive demeure fréquemment compliquée de coagulopathie, responsable d'une augmentation de morbi-mortalité. Le traitement de cette coagulopathie inclut la transfusion de plasma frais congelé (PFC) dont les modalités sont l'objet de débats. Si la plupart des recommandations internationales préconisent une administration de PFC guidée en priorité par les tests de laboratoire, elles sont cependant difficilement applicables lors de transfusions massives, puisque le temps nécessaire à l'obtention des résultats du bilan biologique d'hémostase associé aux délais indispensables à la décongélation des PFC conduisent à un retard de prise en charge. Parallèlement, plusieurs analyses de séries de polytraumatisés ont suggéré que l'emploi précoce et large de PFC avec des ratios PFC/CGR élevés et proches de 1 pourrait être associé à une meilleure survie et une moindre morbidité. Il s'agit exclusivement de résultats issus d'analyses de cohortes rétrospectives de patients polytraumatisés nécessitant des transfusions massives (> 10 CGR en 24 h) dans un contexte militaire ou civil, dont la portée est limitée par une méthodologie contestable et des biais d'analyse, en particulier le biais de survie. De plus, ces transfusions libérales de PFC se sont associées à une majoration des SDRA et des défaillances multiviscérales. Par conséquent, s'il est certain que la transfusion de PFC doit être débutée précocement en cas d?hémorragie massive du polytraumatisé, les résultats préliminaires des études conseillant un ratio PFC/CGR à 1/1 ne peuvent pas être transposés à tous les patients en situation hémorragique : l'analyse rétrospective de traumatisés de guerre ne peut pas être extrapolée aux patients de chirurgie programmée et très peu de patients sont réellement concernés par une telle transfusion massive. Les patients pouvant potentiellement bénéficier d'une augmentation des ratios sont donc sans doute les polytraumatisés en choc hémorragique et les ruptures d'anévrisme de l'aorte abdominale et certaines hémorragies du postpartum. Pour les autres cas, et dans l'attente des conclusions d'essais cliniques de qualité démontrant ou non les bénéfices d'une transfusion paritaire, sans majoration inutile des risques et des coûts, une politique de rigueur s'impose. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27109
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 5 [01/05/2011] . - p. 421-428[article] Le ratio transfusionnel PFC/CGR 1/1 : un phénomène de mode basé sur des preuves ? [texte imprimé] / S. Susen, Auteur ; Y. Ozier ; A. Godier . - 2011 . - p. 421-428.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 5 [01/05/2011] . - p. 421-428
Mots-clés : COAGULATION POLYTRAUMATISME TRANSFUSION SANGUINE PLASMA SANGUIN Résumé : Malgré des progrès de prise en charge, l'hémorragie massive demeure fréquemment compliquée de coagulopathie, responsable d'une augmentation de morbi-mortalité. Le traitement de cette coagulopathie inclut la transfusion de plasma frais congelé (PFC) dont les modalités sont l'objet de débats. Si la plupart des recommandations internationales préconisent une administration de PFC guidée en priorité par les tests de laboratoire, elles sont cependant difficilement applicables lors de transfusions massives, puisque le temps nécessaire à l'obtention des résultats du bilan biologique d'hémostase associé aux délais indispensables à la décongélation des PFC conduisent à un retard de prise en charge. Parallèlement, plusieurs analyses de séries de polytraumatisés ont suggéré que l'emploi précoce et large de PFC avec des ratios PFC/CGR élevés et proches de 1 pourrait être associé à une meilleure survie et une moindre morbidité. Il s'agit exclusivement de résultats issus d'analyses de cohortes rétrospectives de patients polytraumatisés nécessitant des transfusions massives (> 10 CGR en 24 h) dans un contexte militaire ou civil, dont la portée est limitée par une méthodologie contestable et des biais d'analyse, en particulier le biais de survie. De plus, ces transfusions libérales de PFC se sont associées à une majoration des SDRA et des défaillances multiviscérales. Par conséquent, s'il est certain que la transfusion de PFC doit être débutée précocement en cas d?hémorragie massive du polytraumatisé, les résultats préliminaires des études conseillant un ratio PFC/CGR à 1/1 ne peuvent pas être transposés à tous les patients en situation hémorragique : l'analyse rétrospective de traumatisés de guerre ne peut pas être extrapolée aux patients de chirurgie programmée et très peu de patients sont réellement concernés par une telle transfusion massive. Les patients pouvant potentiellement bénéficier d'une augmentation des ratios sont donc sans doute les polytraumatisés en choc hémorragique et les ruptures d'anévrisme de l'aorte abdominale et certaines hémorragies du postpartum. Pour les autres cas, et dans l'attente des conclusions d'essais cliniques de qualité démontrant ou non les bénéfices d'une transfusion paritaire, sans majoration inutile des risques et des coûts, une politique de rigueur s'impose. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27109 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt