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Auteur J.-C. Merle |
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Insuffisances hépatiques aiguës sévères d'origine toxique : prise en charge étiologique et symptomatique / E. Levesque in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 32, n° 6 (Juin 2013)
[article]
Titre : Insuffisances hépatiques aiguës sévères d'origine toxique : prise en charge étiologique et symptomatique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Levesque, Auteur ; J.-C. Merle ; R. Amathieu ; et al., Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 416-421 Langues : Français (fre) Mots-clés : INSUFFISANCE HEPATIQUE HEPATITE VIRALE HEPATITE MEDICAMENTEUSE HEPATITE TOXIQUE Résumé : De nombreuses substances, médicamenteuses ou non, peuvent être responsables d'hépatite aiguë. Cependant, l'origine toxique, hormis lorsqu'elle est évidente, est un diagnostic d'élimination. Les causes les plus fréquentes, notamment virales, doivent être recherchées en premier. Les hépatites médicamenteuses les plus fréquentes sont dues au paracétamol, aux antibiotiques, aux antiépileptiques et aux antituberculeux. L'évaluation de la gravité de l'atteinte hépatique est primordiale. Elle repose sur des critères cliniques et biologiques. L'insuffisance hépatique aiguë est définie par une diminution du facteur V respectivement supérieur à 50 % pour les formes modérées et inférieur à 50 % pour les formes sévères. L'examen neurologique doit être minutieux à la recherche de signes d'encéphalopathie pouvant être frustes initialement. Selon la classification française, l'hépatite fulminante est définie par l'apparition d'une encéphalopathie dans les deux premières semaines ou subfulminante lorsqu'il apparaît entre la deuxième et la 12e semaine après le début de l'ictère. L'administration, même tardive, de N-acétylcystéine dans des intoxications au paracétamol avec ou sans hépatite est fondamentale. De même, dans les insuffisances hépatiques aiguës non dues au paracétamol, mais présentant une encéphalopathie grade I ou II, l'administration de N-acétylcystéine a montré une amélioration de la survie sans transplantation. Le transfert du patient vers un centre spécialisé doit être discuté devant toute hépatite toxique et doit être systématique en cas d'insuffisance hépatique associée. Il ne faut pas attendre les critères de transplantation pour transférer le patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26969
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 6 (Juin 2013) . - p. 416-421[article] Insuffisances hépatiques aiguës sévères d'origine toxique : prise en charge étiologique et symptomatique [texte imprimé] / E. Levesque, Auteur ; J.-C. Merle ; R. Amathieu ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 416-421.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 6 (Juin 2013) . - p. 416-421
Mots-clés : INSUFFISANCE HEPATIQUE HEPATITE VIRALE HEPATITE MEDICAMENTEUSE HEPATITE TOXIQUE Résumé : De nombreuses substances, médicamenteuses ou non, peuvent être responsables d'hépatite aiguë. Cependant, l'origine toxique, hormis lorsqu'elle est évidente, est un diagnostic d'élimination. Les causes les plus fréquentes, notamment virales, doivent être recherchées en premier. Les hépatites médicamenteuses les plus fréquentes sont dues au paracétamol, aux antibiotiques, aux antiépileptiques et aux antituberculeux. L'évaluation de la gravité de l'atteinte hépatique est primordiale. Elle repose sur des critères cliniques et biologiques. L'insuffisance hépatique aiguë est définie par une diminution du facteur V respectivement supérieur à 50 % pour les formes modérées et inférieur à 50 % pour les formes sévères. L'examen neurologique doit être minutieux à la recherche de signes d'encéphalopathie pouvant être frustes initialement. Selon la classification française, l'hépatite fulminante est définie par l'apparition d'une encéphalopathie dans les deux premières semaines ou subfulminante lorsqu'il apparaît entre la deuxième et la 12e semaine après le début de l'ictère. L'administration, même tardive, de N-acétylcystéine dans des intoxications au paracétamol avec ou sans hépatite est fondamentale. De même, dans les insuffisances hépatiques aiguës non dues au paracétamol, mais présentant une encéphalopathie grade I ou II, l'administration de N-acétylcystéine a montré une amélioration de la survie sans transplantation. Le transfert du patient vers un centre spécialisé doit être discuté devant toute hépatite toxique et doit être systématique en cas d'insuffisance hépatique associée. Il ne faut pas attendre les critères de transplantation pour transférer le patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26969 Exemplaires (1)
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