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Auteur A. Fournet-Fayard |
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Céphalées post-brèches méningées et blood-patch : aspects théoriques et pratiques / A. Fournet-Fayard in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 32, n° 5 (Mai 2013)
[article]
Titre : Céphalées post-brèches méningées et blood-patch : aspects théoriques et pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Fournet-Fayard, Auteur ; Jean-Marc Malinovsky, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 325-338 Langues : Français (fre) Mots-clés : CEPHALEE RACHIANESTHESIE PONCTION LOMBAIRE ANESTHESIE LOCO-REGIONALE Résumé : Le syndrome de post-ponction lombaire (SPPL) est défini par l’International Headache Society comme des céphalées attribuées à des troubles moteurs intracrâniens non vasculaires en rapport avec une hypotension du LCR. Responsable de céphalées typiquement positionnelles, le tableau clinique s’accompagne également de troubles digestifs (nausées, vomissements), de troubles visuels ou auditifs dus à l’atteinte de nerfs crâniens voire de radiculalgies liées à l’étirement des nerfs rachidiens cervicaux. Le mécanisme physiopathologique est lié à une hypotension intracrânienne de LCR, consécutive à la brèche méningée. Les modifications de l’hémodynamique cérébrale (vasodilatation) et le déplacement rostro-caudal des principales structures intracrâniennes sont les principales conséquences de la fuite de LCR dont le débit n’est pas corrélé à l’intensité des céphalées. Divers traitements symptomatiques adjuvants (antalgiques, alitement, vasoconstricteurs…) sont proposés dans le cadre d’une attitude conservatrice purement médicale, mais leur efficacité semble très modeste. En rétablissant la pression intracrânienne du LCR par « contre-pression » dans l’espace péridural, l’injection de sang autologue ou « blood-patch » (BP) s’impose comme le traitement de référence du SPPL. De réalisation simple dans des conditions stériles, le BP présente un taux de succès supérieur à 80 % avec un amendement rapide des céphalées. Certaines modalités sur la procédure (délai de réalisation, volume à injecter, type de solutés…) doivent encore faire l’objet de recommandations scientifiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26916
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 5 (Mai 2013) . - p. 325-338[article] Céphalées post-brèches méningées et blood-patch : aspects théoriques et pratiques [texte imprimé] / A. Fournet-Fayard, Auteur ; Jean-Marc Malinovsky, Auteur . - 2013 . - p. 325-338.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 5 (Mai 2013) . - p. 325-338
Mots-clés : CEPHALEE RACHIANESTHESIE PONCTION LOMBAIRE ANESTHESIE LOCO-REGIONALE Résumé : Le syndrome de post-ponction lombaire (SPPL) est défini par l’International Headache Society comme des céphalées attribuées à des troubles moteurs intracrâniens non vasculaires en rapport avec une hypotension du LCR. Responsable de céphalées typiquement positionnelles, le tableau clinique s’accompagne également de troubles digestifs (nausées, vomissements), de troubles visuels ou auditifs dus à l’atteinte de nerfs crâniens voire de radiculalgies liées à l’étirement des nerfs rachidiens cervicaux. Le mécanisme physiopathologique est lié à une hypotension intracrânienne de LCR, consécutive à la brèche méningée. Les modifications de l’hémodynamique cérébrale (vasodilatation) et le déplacement rostro-caudal des principales structures intracrâniennes sont les principales conséquences de la fuite de LCR dont le débit n’est pas corrélé à l’intensité des céphalées. Divers traitements symptomatiques adjuvants (antalgiques, alitement, vasoconstricteurs…) sont proposés dans le cadre d’une attitude conservatrice purement médicale, mais leur efficacité semble très modeste. En rétablissant la pression intracrânienne du LCR par « contre-pression » dans l’espace péridural, l’injection de sang autologue ou « blood-patch » (BP) s’impose comme le traitement de référence du SPPL. De réalisation simple dans des conditions stériles, le BP présente un taux de succès supérieur à 80 % avec un amendement rapide des céphalées. Certaines modalités sur la procédure (délai de réalisation, volume à injecter, type de solutés…) doivent encore faire l’objet de recommandations scientifiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26916 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Effet antabuse sévère aggravé par la dopamine / N. Amireche in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 30, n° 2 ([01/02/2011])
[article]
Titre : Effet antabuse sévère aggravé par la dopamine Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Amireche, Auteur ; A. Fournet-Fayard ; J.-S. Petit ; et al., Auteur Année de publication : 2011 Article en page(s) : p. 150-152 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALCOOLISME HYPOTENSION ARTERIELLE NORADRENALINE Résumé : Le disulfirame est une molécule utilisée comme adjuvant dans la prévention des rechutes au cours de l’alcoolodépendance. Il est responsable lors de l’ingestion d’alcool d’un cortège de symptômes désagréables : l’effet antabuse censé décourager la prise d’alcool. Considérées le plus souvent comme mineures et sans gravités, les manifestations antabuses peuvent parfois être sévères et menacer le pronostic vital. Nous rapportons l’observation d’un effet antabuse grave avec état de choc aggravé par l’administration initiale de dopamine. La discussion en précise les mécanismes physiopathologiques et développe les principes de sa prise en charge thérapeutique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27085
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 2 [01/02/2011] . - p. 150-152[article] Effet antabuse sévère aggravé par la dopamine [texte imprimé] / N. Amireche, Auteur ; A. Fournet-Fayard ; J.-S. Petit ; et al., Auteur . - 2011 . - p. 150-152.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 30, n° 2 [01/02/2011] . - p. 150-152
Mots-clés : ALCOOLISME HYPOTENSION ARTERIELLE NORADRENALINE Résumé : Le disulfirame est une molécule utilisée comme adjuvant dans la prévention des rechutes au cours de l’alcoolodépendance. Il est responsable lors de l’ingestion d’alcool d’un cortège de symptômes désagréables : l’effet antabuse censé décourager la prise d’alcool. Considérées le plus souvent comme mineures et sans gravités, les manifestations antabuses peuvent parfois être sévères et menacer le pronostic vital. Nous rapportons l’observation d’un effet antabuse grave avec état de choc aggravé par l’administration initiale de dopamine. La discussion en précise les mécanismes physiopathologiques et développe les principes de sa prise en charge thérapeutique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27085 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt