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Auteur Kamran Samii |
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Accident hypoxique en anesthésie pédiatrique dû à un réglage inadapté du respirateur / T. Garnaud in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 32, n° 12 (Décembre 2013)
[article]
Titre : Accident hypoxique en anesthésie pédiatrique dû à un réglage inadapté du respirateur Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Garnaud, Auteur ; Kamran Samii, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 873-875 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCIDENT HYPOXEMIE PEDIATRIE ANESTHESIE VENTILATION ARTIFICIELLE INTUBATION TRACHEALE Résumé : Un enfant de trois ans a été pris en charge pour chirurgie et examen ORL sous anesthésie générale. Après induction, intubation et ventilation en mode volume contrôlé automatique, l’écran du respirateur a affiché des données compatibles avec celles d’un défaut d’intubation (absence de fraction expirée en CO2 [FeCO2], de débit expiratoire, sans alerte de dépassement de pression limite), confirmées par l’absence du soulèvement du thorax au rythme des cycles respiratoires machine. Un état d’hypoxie sévère est apparu et a été résolutif après extubation et reprise de la ventilation au masque facial en mode manuel. Une seconde intubation a été réalisée. Bien que le contrôle de la position de la sonde endotrachéale, clinique et capnographique ait été rassurant en mode ventilation manuelle, l’écran du respirateur a laissé de nouveau apparaître l’absence de courbe de débit expiratoire et de capnographie en mode automatique. La levée de la limitation de la pression d’insufflation maximale (PMax) a permis de mettre en évidence un bronchospasme et a corrigé l’anomalie. Ce cas clinique illustre un accident hypoxique au décours d’une induction d’anesthésie pédiatrique. Le réglage de la PMax du respirateur, inadapté à la situation clinique de bronchospasme, a conduit à un diagnostic erroné de défaut d’intubation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26900
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 12 (Décembre 2013) . - p. 873-875[article] Accident hypoxique en anesthésie pédiatrique dû à un réglage inadapté du respirateur [texte imprimé] / T. Garnaud, Auteur ; Kamran Samii, Auteur . - 2013 . - p. 873-875.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 32, n° 12 (Décembre 2013) . - p. 873-875
Mots-clés : ACCIDENT HYPOXEMIE PEDIATRIE ANESTHESIE VENTILATION ARTIFICIELLE INTUBATION TRACHEALE Résumé : Un enfant de trois ans a été pris en charge pour chirurgie et examen ORL sous anesthésie générale. Après induction, intubation et ventilation en mode volume contrôlé automatique, l’écran du respirateur a affiché des données compatibles avec celles d’un défaut d’intubation (absence de fraction expirée en CO2 [FeCO2], de débit expiratoire, sans alerte de dépassement de pression limite), confirmées par l’absence du soulèvement du thorax au rythme des cycles respiratoires machine. Un état d’hypoxie sévère est apparu et a été résolutif après extubation et reprise de la ventilation au masque facial en mode manuel. Une seconde intubation a été réalisée. Bien que le contrôle de la position de la sonde endotrachéale, clinique et capnographique ait été rassurant en mode ventilation manuelle, l’écran du respirateur a laissé de nouveau apparaître l’absence de courbe de débit expiratoire et de capnographie en mode automatique. La levée de la limitation de la pression d’insufflation maximale (PMax) a permis de mettre en évidence un bronchospasme et a corrigé l’anomalie. Ce cas clinique illustre un accident hypoxique au décours d’une induction d’anesthésie pédiatrique. Le réglage de la PMax du respirateur, inadapté à la situation clinique de bronchospasme, a conduit à un diagnostic erroné de défaut d’intubation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=26900 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Enquête nationale sur les médecins anesthésistes-réanimateurs seniors / Marc Gentilini in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 2 (Mars 2019)
[article]
Titre : Enquête nationale sur les médecins anesthésistes-réanimateurs seniors Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Gentilini ; Marc Laffon ; Kamran Samii ; Francis Bonnet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 83-90 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2018.09.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANESTHÉSIE RÉANIMATION PERSONNE ÂGÉE Résumé : En France, un nombre croissant d’anesthésistes-réanimateurs poursuit une activité après l’âge de la retraite. Une enquête nationale a été conduite sur les conditions d’exercice des anesthésistes-réanimateurs en fin de carrière. Un questionnaire a été adressé aux médecins anesthésistes-réanimateurs de plus de 55 ans inscrits au registre national de l’ordre des médecins. Ce questionnaire évaluait leur profil démographique, leur mode, leur condition d’exercice et leur attente concernant la formation continue. Les réponses recueillies entre septembre 2015 et mars 2016 ont été analysées. Au total, 1577 questionnaires ont été analysés, représentant 32,1 % de la population ciblée. Ils ont été répartis en deux groupes selon que les répondeurs étaient retraités avec activité professionnelle (R=331) ou non retraités (NR=1246). Le groupe R travaillait moins : 3(2–5) vs 5(4–5) jours pour le groupe NR ; le nombre de gardes était de 4(3–5) dans le groupe NR et de 3(2–5) dans le groupe R (p<0,03) et le nombre d’astreintes était de 5(37) et de 4(3–7) respectivement dans les groupes NR et R. Les raisons de poursuivre l’activité, relevaient de l’amélioration des revenus et du désir de maintenir une activité stimulante socialement et intellectuellement. L’expertise pratique du groupe R en matière de nouvelles technologies (échographie, vidéolaryngoscopes) était moindre. L’incidence des plaintes judiciaires au cours des deux dernières années était moindre dans le groupe R (9,4 % vs 3,8 % ; p=0,002). La majorité des anesthésistes-réanimateurs considéraient que leur besoin de formation continue était satisfait et une grande majorité avait une bonne opinion de leur spécialité. Après 55 ans, les anesthésistes-réanimateurs mènent une vie professionnelle active qui se prolonge au-delà de 65 ans pour certains d’entre eux. Cette augmentation de la durée de vie professionnelle doit être prise en compte aussi bien en termes de formation continue qu’en termes de conditions d’exercice. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63953
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 2 (Mars 2019) . - p. 83-90[article] Enquête nationale sur les médecins anesthésistes-réanimateurs seniors [texte imprimé] / Marc Gentilini ; Marc Laffon ; Kamran Samii ; Francis Bonnet . - 2019 . - p. 83-90.
Doi : 10.1016/j.anrea.2018.09.005
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 2 (Mars 2019) . - p. 83-90
Mots-clés : ANESTHÉSIE RÉANIMATION PERSONNE ÂGÉE Résumé : En France, un nombre croissant d’anesthésistes-réanimateurs poursuit une activité après l’âge de la retraite. Une enquête nationale a été conduite sur les conditions d’exercice des anesthésistes-réanimateurs en fin de carrière. Un questionnaire a été adressé aux médecins anesthésistes-réanimateurs de plus de 55 ans inscrits au registre national de l’ordre des médecins. Ce questionnaire évaluait leur profil démographique, leur mode, leur condition d’exercice et leur attente concernant la formation continue. Les réponses recueillies entre septembre 2015 et mars 2016 ont été analysées. Au total, 1577 questionnaires ont été analysés, représentant 32,1 % de la population ciblée. Ils ont été répartis en deux groupes selon que les répondeurs étaient retraités avec activité professionnelle (R=331) ou non retraités (NR=1246). Le groupe R travaillait moins : 3(2–5) vs 5(4–5) jours pour le groupe NR ; le nombre de gardes était de 4(3–5) dans le groupe NR et de 3(2–5) dans le groupe R (p<0,03) et le nombre d’astreintes était de 5(37) et de 4(3–7) respectivement dans les groupes NR et R. Les raisons de poursuivre l’activité, relevaient de l’amélioration des revenus et du désir de maintenir une activité stimulante socialement et intellectuellement. L’expertise pratique du groupe R en matière de nouvelles technologies (échographie, vidéolaryngoscopes) était moindre. L’incidence des plaintes judiciaires au cours des deux dernières années était moindre dans le groupe R (9,4 % vs 3,8 % ; p=0,002). La majorité des anesthésistes-réanimateurs considéraient que leur besoin de formation continue était satisfait et une grande majorité avait une bonne opinion de leur spécialité. Après 55 ans, les anesthésistes-réanimateurs mènent une vie professionnelle active qui se prolonge au-delà de 65 ans pour certains d’entre eux. Cette augmentation de la durée de vie professionnelle doit être prise en compte aussi bien en termes de formation continue qu’en termes de conditions d’exercice. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63953 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hypovitaminose B12 : quoi de neuf ? / O. Braillard in Revue médicale suisse, 355 (Septembre 2012)
[article]
Titre : Hypovitaminose B12 : quoi de neuf ? Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Braillard ; Alessandro Casini ; Kamran Samii ; et al. Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 1805-1810 Langues : Français (fre) Résumé : La recherche d’une carence en vitamine B12 ne se justifie que chez les patients symptomatiques ou ceux présentant un facteur de risque. La cause principale de carence est le syndrome de non-dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses. L’holotranscobalamine semble être un marqueur plus fiable que la vitamine B12 pour rechercher un déficit, mais n’a pas encore été validé dans les situations complexes. En l’absence de facteur de risque et en cas de déficit probable, une gastrite auto-immune doit être recherchée. Le traitement par voie orale est efficace, mais nécessite un suivi plus rapproché de la réponse au traitement et une observance thérapeutique excellente. Il n’a cependant pas été étudié pour les patients atteints de symptômes sévères, de maladie inflammatoire de l’intestin et de résection intestinale iléale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47292
in Revue médicale suisse > 355 (Septembre 2012) . - p. 1805-1810[article] Hypovitaminose B12 : quoi de neuf ? [texte imprimé] / O. Braillard ; Alessandro Casini ; Kamran Samii ; et al. . - 2012 . - p. 1805-1810.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 355 (Septembre 2012) . - p. 1805-1810
Résumé : La recherche d’une carence en vitamine B12 ne se justifie que chez les patients symptomatiques ou ceux présentant un facteur de risque. La cause principale de carence est le syndrome de non-dissociation de la vitamine B12 de ses protéines porteuses. L’holotranscobalamine semble être un marqueur plus fiable que la vitamine B12 pour rechercher un déficit, mais n’a pas encore été validé dans les situations complexes. En l’absence de facteur de risque et en cas de déficit probable, une gastrite auto-immune doit être recherchée. Le traitement par voie orale est efficace, mais nécessite un suivi plus rapproché de la réponse au traitement et une observance thérapeutique excellente. Il n’a cependant pas été étudié pour les patients atteints de symptômes sévères, de maladie inflammatoire de l’intestin et de résection intestinale iléale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47292 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt