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Cancer Radiothérapie . 25/2Mention de date : Avril 2021Paru le : 01/04/2021 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierIn memoriam. Claude-Michel Lalanne (1919-2017) / J.-L. Lagrange in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : In memoriam. Claude-Michel Lalanne (1919-2017) Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-L. Lagrange Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 105-106 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.12.006 Langues : Français (fre) Mots-clés : HISTOIRE Lalanne, Claude-Michel (1919-2017) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71483
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 105-106[article] In memoriam. Claude-Michel Lalanne (1919-2017) [texte imprimé] / J.-L. Lagrange . - 2021 . - p. 105-106.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.12.006
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 105-106
Mots-clés : HISTOIRE Lalanne, Claude-Michel (1919-2017) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71483 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt MRI prostate contouring is not impaired by the use of a radiotherapy image acquisition set-up. An intra- and inter-observer paired comparative analysis with diagnostic set-up images / S. Sabater in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : MRI prostate contouring is not impaired by the use of a radiotherapy image acquisition set-up. An intra- and inter-observer paired comparative analysis with diagnostic set-up images Titre original : L’utilisation d’un dispositif d’acquisition d’images par radiothérapie ne nuit pas au contour de la prostate par IRM. Une analyse comparative intra- et inter-observateurs couplée à des images de diagnostic Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Sabater ; M.R. Pastor-Juan ; I. Andres ; L. Lopez-Martinez ; V. Lopez-Honrubia ; M.I. Tercero-Azorin ; M. Sevillano ; E. Lozano-Setien ; E. Jimenez-Jimenez ; R. Berenguer ; A. Rovirosa ; S. Castro-Larefors ; M. Magdalena Marti-Laosa ; O. Roche ; F. Martinez-Terol ; M. Arenas Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 107-113 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.024 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : IRM Intra-observateur Inter-observateur Contournage Résumé : Sommaire :
Objectif de l'étude
L’utilisation de l’IRM à des fins de planification de la radiothérapie se développe, mais l’acquisition d’images à l’aide de dispositifs de radiothérapie a altéré la qualité des images. Il n’a pas été évalué si des différences dans la configuration de l’acquisition d’images pouvaient modifier le contour des organes. Nous avons donc cherché à évaluer les différences de contours entre des paires d’ensembles d’images acquises au cours d’une même séance de balayage en utilisant des paramètres différents.
Matériel et méthodes
Dix patients ont été soumis à une planification de traitement par RT avec co-enregistrement IRM. L’IRM a été réalisée en utilisant deux configurations différentes au cours de la même session, à savoir la configuration de radiothérapie et la configuration de diagnostic par IRM. La prostate et le rectum ont été profilés rétrospectivement dans les deux ensembles d’images par cinq radio-oncologues et quatre radiologues. Une analyse intra-observateur a été effectuée pour comparer les volumes des organes, le coefficient de Dice et les valeurs de la distance de Hausdorff entre deux séries de délinéation. L’analyse inter-observateurs a été réalisée en comparant les contours individuels à un contour de consensus STAPLE généré, qui est considéré comme la référence de référence.
Résultats
Aucune différence significative n’a été observée entre les configurations d’acquisition de l’IRM. Des différences significatives ont été observées pour les paramètres de Dice et de Hausdorff, en comparant les contours individuels au contour de consensus STAPLE, lors de l’analyse des images de diagnostic entre les séries, bien que les valeurs brutes soient similaires.
Conclusion
Les contours de la prostate et du rectum n’ont pas différé de manière significative lors de l’utilisation de dispositifs d’acquisition d'IRM de diagnostic ou de radiothérapie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71484
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 107-113[article] MRI prostate contouring is not impaired by the use of a radiotherapy image acquisition set-up. An intra- and inter-observer paired comparative analysis with diagnostic set-up images = L’utilisation d’un dispositif d’acquisition d’images par radiothérapie ne nuit pas au contour de la prostate par IRM. Une analyse comparative intra- et inter-observateurs couplée à des images de diagnostic [texte imprimé] / S. Sabater ; M.R. Pastor-Juan ; I. Andres ; L. Lopez-Martinez ; V. Lopez-Honrubia ; M.I. Tercero-Azorin ; M. Sevillano ; E. Lozano-Setien ; E. Jimenez-Jimenez ; R. Berenguer ; A. Rovirosa ; S. Castro-Larefors ; M. Magdalena Marti-Laosa ; O. Roche ; F. Martinez-Terol ; M. Arenas . - 2021 . - p. 107-113.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.024
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 107-113
Mots-clés : IRM Intra-observateur Inter-observateur Contournage Résumé : Sommaire :
Objectif de l'étude
L’utilisation de l’IRM à des fins de planification de la radiothérapie se développe, mais l’acquisition d’images à l’aide de dispositifs de radiothérapie a altéré la qualité des images. Il n’a pas été évalué si des différences dans la configuration de l’acquisition d’images pouvaient modifier le contour des organes. Nous avons donc cherché à évaluer les différences de contours entre des paires d’ensembles d’images acquises au cours d’une même séance de balayage en utilisant des paramètres différents.
Matériel et méthodes
Dix patients ont été soumis à une planification de traitement par RT avec co-enregistrement IRM. L’IRM a été réalisée en utilisant deux configurations différentes au cours de la même session, à savoir la configuration de radiothérapie et la configuration de diagnostic par IRM. La prostate et le rectum ont été profilés rétrospectivement dans les deux ensembles d’images par cinq radio-oncologues et quatre radiologues. Une analyse intra-observateur a été effectuée pour comparer les volumes des organes, le coefficient de Dice et les valeurs de la distance de Hausdorff entre deux séries de délinéation. L’analyse inter-observateurs a été réalisée en comparant les contours individuels à un contour de consensus STAPLE généré, qui est considéré comme la référence de référence.
Résultats
Aucune différence significative n’a été observée entre les configurations d’acquisition de l’IRM. Des différences significatives ont été observées pour les paramètres de Dice et de Hausdorff, en comparant les contours individuels au contour de consensus STAPLE, lors de l’analyse des images de diagnostic entre les séries, bien que les valeurs brutes soient similaires.
Conclusion
Les contours de la prostate et du rectum n’ont pas différé de manière significative lors de l’utilisation de dispositifs d’acquisition d'IRM de diagnostic ou de radiothérapie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71484 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Angiosarcoma associated with radiation therapy after treatment of breast cancer. Retrospective study on ten years / V. Verdin in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Angiosarcoma associated with radiation therapy after treatment of breast cancer. Retrospective study on ten years Titre original : Angiosarcomes associés à la radiothérapie après un traitement pour cancer du sein. Étude rétrospective sur dix ans Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Verdin ; L. Mattart ; P.G. Cusumano Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 114-118 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.020 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Cancer du sein Radiothérapie Angiosarcome Chirurgie Résumé : Objectif de l’étude
L’incidence du sarcome du sein diagnostiqué après une radiothérapie est rare, mais en augmentation compte tenu de l’augmentation de l’espérance de vie des patients après radiothérapie. Le fibrosarcome, l’histiocytofibrome et l’angiosarcome sont les sarcomes du sein les plus courants. L’angiosarcome est fréquemment diagnostiqué chez les patients ayant bénéficiés d’une radiothérapie pour cancer du sein. Diagnostiqué trop tard, l’angiosarcome a un pronostic défavorable, un taux élevé de récidive. Cependant, vu son faible incidence, le bénéfice d’une irradiation dans le cadre d’un cancer du sein dépasse ce risque. L’objectif de ce travail était d’évaluer les cas d’angiosarcomes après une radiothérapie et de comparer ces données à la littérature.
Patients et méthodes
Cette étude rétrospective a inclus neuf patientes atteintes entre janvier 2007 et décembre 2016 d’un angiosarcome après radiothérapie d’un carcinome canalaire du sein. La latence, l’incidence, la prise en charge et l’évolution des patientes ont été comparées à la littérature.
Résultats, conclusion
La latence médiane était de 10 (4–24) ans, l’incidence était de 0,09 % des patients irradiés sur la même période dans l’Est de la Belgique. Les patientes ont été traitées par chirurgie avec ou sans reconstruction, sans radio- ni chimiothérapie. La survie globale était de 61,8 mois, avec une probabilité à un an de 55,6 % et à cinq ans de 29,6 %. Les progrès constants de la médecine et de ses technologies permettront de limiter la survenue de ce type d’angiosarcome et/ou de les diagnostiquer plus précocement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71485
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 114-118[article] Angiosarcoma associated with radiation therapy after treatment of breast cancer. Retrospective study on ten years = Angiosarcomes associés à la radiothérapie après un traitement pour cancer du sein. Étude rétrospective sur dix ans [texte imprimé] / V. Verdin ; L. Mattart ; P.G. Cusumano . - 2021 . - p. 114-118.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.020
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 114-118
Mots-clés : Cancer du sein Radiothérapie Angiosarcome Chirurgie Résumé : Objectif de l’étude
L’incidence du sarcome du sein diagnostiqué après une radiothérapie est rare, mais en augmentation compte tenu de l’augmentation de l’espérance de vie des patients après radiothérapie. Le fibrosarcome, l’histiocytofibrome et l’angiosarcome sont les sarcomes du sein les plus courants. L’angiosarcome est fréquemment diagnostiqué chez les patients ayant bénéficiés d’une radiothérapie pour cancer du sein. Diagnostiqué trop tard, l’angiosarcome a un pronostic défavorable, un taux élevé de récidive. Cependant, vu son faible incidence, le bénéfice d’une irradiation dans le cadre d’un cancer du sein dépasse ce risque. L’objectif de ce travail était d’évaluer les cas d’angiosarcomes après une radiothérapie et de comparer ces données à la littérature.
Patients et méthodes
Cette étude rétrospective a inclus neuf patientes atteintes entre janvier 2007 et décembre 2016 d’un angiosarcome après radiothérapie d’un carcinome canalaire du sein. La latence, l’incidence, la prise en charge et l’évolution des patientes ont été comparées à la littérature.
Résultats, conclusion
La latence médiane était de 10 (4–24) ans, l’incidence était de 0,09 % des patients irradiés sur la même période dans l’Est de la Belgique. Les patientes ont été traitées par chirurgie avec ou sans reconstruction, sans radio- ni chimiothérapie. La survie globale était de 61,8 mois, avec une probabilité à un an de 55,6 % et à cinq ans de 29,6 %. Les progrès constants de la médecine et de ses technologies permettront de limiter la survenue de ce type d’angiosarcome et/ou de les diagnostiquer plus précocement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71485 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt The safety and efficacy of Cyberknife® for thymic malignancy / C. Xu in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : The safety and efficacy of Cyberknife® for thymic malignancy Titre original : Sécurité et efficacité du Cyberknife® pour les tumeurs malignes thymiques Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Xu ; J. Sun ; W. Zhang Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 119-125 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.026 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Tumeur maligne thymique Cyberknife Sécurité Efficacité Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Évaluer l’innocuité et l’efficacité du Cyberknife® pour le traitement des tumeurs thymiques primaires ou récidivantes.
Matériel et méthodes
Nous avons examiné rétrospectivement les dossiers de 12 patients (16 lésions tumorales) atteints de tumeurs thymiques primaires ou récidivantes qui ont été traités par Cyberknife® entre mars 2008 et octobre 2017. Leurs données ont été stockées dans une base de données collectée prospectivement. La méthode de Kaplan–Meier a été utilisée pour calculer les courbes de survie.
Résultats
Cinq patients (41,7%), qui étaient atteints d’une maladie inopérable ou ont refusé une intervention chirurgicale, ont été traités par Cyberknife® initialement, et sept (58,3%) ont été traités par Cyberknife® en situation de récidive. Les sites de la maladie traités par Cyberknife® étaient le site tumoral primaire (5), les ganglions lymphatiques régionaux (4), le lit tumoral (3), la paroi thoracique (2), la plèvre (1) et l’os (1). Le volume cible médian était de 43,8cm3 (13,1–302,5cm3) pour les 16 lésions tumorales. La durée médiane de suivi était de 69,3 mois (extrêmes : 9,7–124,8 mois). La durée médiane de survie était de 48,2 mois, et les taux de survie globale à 5 et 10 ans étaient respectivement de 68,2% et 45,5%. Un taux de réponse élevé pour les lésions tumorales irradiées par le Cyberknife® a été obtenu. Un seul patient (8%) a été atteint d’une récidive dans le volume traité et la probabilité de survie sans récidive locale à 5 ans était de 90,9%. L’observation d’un cas a indiqué que le Cyberknife® peut induire un effet abscopal, qui offre la possibilité d’associer le Cyberknife® et l’immunothérapie. Aucune toxicité radio-induite grave n’a été observée et aucun décès lié au traitement n’est survenu.
Conclusion
Le traitement par le Cyberknife® a donné de bons résultats, en particulier un contrôle local, avec des effets secondaires minimes, chez des patients hautement sélectionnés atteints de tumeurs thymiques primaires ou récidivantes. D’autres études avec un plus grand effectif sont nécessaires.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71486
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 119-125[article] The safety and efficacy of Cyberknife® for thymic malignancy = Sécurité et efficacité du Cyberknife® pour les tumeurs malignes thymiques [texte imprimé] / C. Xu ; J. Sun ; W. Zhang . - 2021 . - p. 119-125.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.026
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 119-125
Mots-clés : Tumeur maligne thymique Cyberknife Sécurité Efficacité Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Évaluer l’innocuité et l’efficacité du Cyberknife® pour le traitement des tumeurs thymiques primaires ou récidivantes.
Matériel et méthodes
Nous avons examiné rétrospectivement les dossiers de 12 patients (16 lésions tumorales) atteints de tumeurs thymiques primaires ou récidivantes qui ont été traités par Cyberknife® entre mars 2008 et octobre 2017. Leurs données ont été stockées dans une base de données collectée prospectivement. La méthode de Kaplan–Meier a été utilisée pour calculer les courbes de survie.
Résultats
Cinq patients (41,7%), qui étaient atteints d’une maladie inopérable ou ont refusé une intervention chirurgicale, ont été traités par Cyberknife® initialement, et sept (58,3%) ont été traités par Cyberknife® en situation de récidive. Les sites de la maladie traités par Cyberknife® étaient le site tumoral primaire (5), les ganglions lymphatiques régionaux (4), le lit tumoral (3), la paroi thoracique (2), la plèvre (1) et l’os (1). Le volume cible médian était de 43,8cm3 (13,1–302,5cm3) pour les 16 lésions tumorales. La durée médiane de suivi était de 69,3 mois (extrêmes : 9,7–124,8 mois). La durée médiane de survie était de 48,2 mois, et les taux de survie globale à 5 et 10 ans étaient respectivement de 68,2% et 45,5%. Un taux de réponse élevé pour les lésions tumorales irradiées par le Cyberknife® a été obtenu. Un seul patient (8%) a été atteint d’une récidive dans le volume traité et la probabilité de survie sans récidive locale à 5 ans était de 90,9%. L’observation d’un cas a indiqué que le Cyberknife® peut induire un effet abscopal, qui offre la possibilité d’associer le Cyberknife® et l’immunothérapie. Aucune toxicité radio-induite grave n’a été observée et aucun décès lié au traitement n’est survenu.
Conclusion
Le traitement par le Cyberknife® a donné de bons résultats, en particulier un contrôle local, avec des effets secondaires minimes, chez des patients hautement sélectionnés atteints de tumeurs thymiques primaires ou récidivantes. D’autres études avec un plus grand effectif sont nécessaires.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71486 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt In vitro effects of Trastuzumab Emtansine (T-DM1) and concurrent irradiation on HER2-positive breast cancer cells / F. Mignot in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : In vitro effects of Trastuzumab Emtansine (T-DM1) and concurrent irradiation on HER2-positive breast cancer cells Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Mignot ; Y. Kirova ; P. Verrelle Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 126-134 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.028 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : T-DM1 Irradiation concomitante HER2-positives Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Déterminer les effets du T-DM1 avec une irradiation concomitante sur des lignées cellulaires de cancer du sein HER2-positives.
Matériel et méthodes
Cinq lignées cellulaires humaines de cancer du sein (étude in vitro) présentant différents niveaux d’expression de HER2 ont été utilisées pour déterminer l’effet thérapeutique potentiel du T-DM1 combiné à l’irradiation. La toxicité du T-DM1 a été évaluée à l’aide d’un test de viabilité et une analyse du cycle cellulaire a été effectuée par cytométrie de flux après incorporation de BrdU. Les cellules HER2 ont été irradiées à différents niveaux de dose après exposition au T-DM1. Les fractions de survie ont été déterminées par des tests de croissance cellulaire (après 5 temps de doublement de la population).
Résultats
Les résultats ont révélé que le T-DM1 induisait une létalité significative due à l’action intracellulaire de la DM1 sur le cycle cellulaire avec un blocage significatif de la phase G2/M. Même après une courte période d’incubation, la toxicité du T-DM1 a été maintenue et même renforcée au fil du temps, avec un taux de mort cellulaire plus élevé. Après irradiation seule, la D10 (dose nécessaire pour obtenir une survie cellulaire de 10 %) était significativement plus élevée pour les lignées cellulaires à forte expression de HER2 que pour les cellules à faible expression de HER2, avec une relation linéairement croissante. En combinaison avec l’irradiation, dans des conditions qui permettent la survie cellulaire, le T-DM1 n’induit pas de radiosensibilité.
Conclusion
Bien qu’il existe une corrélation linéaire entre l’expression intrinsèque de HER2 et la radiorésistance, les résultats indiquent que le T-DM1 n’est pas un sensibilisateur au rayonnement dans les conditions expérimentales de cette étude qui permettent la survie cellulaire. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires, en particulier des études in vivo avant de parvenir à une conclusion finale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71487
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 126-134[article] In vitro effects of Trastuzumab Emtansine (T-DM1) and concurrent irradiation on HER2-positive breast cancer cells [texte imprimé] / F. Mignot ; Y. Kirova ; P. Verrelle . - 2021 . - p. 126-134.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.028
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 126-134
Mots-clés : T-DM1 Irradiation concomitante HER2-positives Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Déterminer les effets du T-DM1 avec une irradiation concomitante sur des lignées cellulaires de cancer du sein HER2-positives.
Matériel et méthodes
Cinq lignées cellulaires humaines de cancer du sein (étude in vitro) présentant différents niveaux d’expression de HER2 ont été utilisées pour déterminer l’effet thérapeutique potentiel du T-DM1 combiné à l’irradiation. La toxicité du T-DM1 a été évaluée à l’aide d’un test de viabilité et une analyse du cycle cellulaire a été effectuée par cytométrie de flux après incorporation de BrdU. Les cellules HER2 ont été irradiées à différents niveaux de dose après exposition au T-DM1. Les fractions de survie ont été déterminées par des tests de croissance cellulaire (après 5 temps de doublement de la population).
Résultats
Les résultats ont révélé que le T-DM1 induisait une létalité significative due à l’action intracellulaire de la DM1 sur le cycle cellulaire avec un blocage significatif de la phase G2/M. Même après une courte période d’incubation, la toxicité du T-DM1 a été maintenue et même renforcée au fil du temps, avec un taux de mort cellulaire plus élevé. Après irradiation seule, la D10 (dose nécessaire pour obtenir une survie cellulaire de 10 %) était significativement plus élevée pour les lignées cellulaires à forte expression de HER2 que pour les cellules à faible expression de HER2, avec une relation linéairement croissante. En combinaison avec l’irradiation, dans des conditions qui permettent la survie cellulaire, le T-DM1 n’induit pas de radiosensibilité.
Conclusion
Bien qu’il existe une corrélation linéaire entre l’expression intrinsèque de HER2 et la radiorésistance, les résultats indiquent que le T-DM1 n’est pas un sensibilisateur au rayonnement dans les conditions expérimentales de cette étude qui permettent la survie cellulaire. Cependant, des recherches supplémentaires sont nécessaires, en particulier des études in vivo avant de parvenir à une conclusion finale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71487 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Volumetric and dosimetric impact of MRI in delineation of gross tumor volume of non-spinal vertebral metastases treated with stereotactic ablative radiation therapy / A. Ilamurugu in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Volumetric and dosimetric impact of MRI in delineation of gross tumor volume of non-spinal vertebral metastases treated with stereotactic ablative radiation therapy Titre original : Impact volumétrique et dosimétrique de l’IRM sur la délimitation du volume tumoral macroscopique des métastases vertébrales non spinales traitées par rirradiation ablative stéréotaxique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Ilamurugu Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 135-140 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.032 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Volumes tumoraux macroscopiques Imagerie par résonance magnétique Radiothérapie ablative stéréotaxique Métastases osseuses Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Étudier les volumes tumoraux macroscopiques (GTV) et leur impact dosimétrique sur la délinéation assisté par imagerie par résonance magnétique (IRM) pour les métastases non spinales traitées par irradiation stéréotaxique ablative (SABR).
Matériel et méthodes
Cinq contours d’observateur sur scanographie (GTVCT) et scanographie et IRM (GTVCT+MR) ont été évalués par rapport aux contours d’une équipe d’experts (GTVEC) pour 14 cas sélectionnés. L’indice de Duce (DSC) et le Geographical Miss Index (GMI) quantifiauent la variation de l’observateur. Nous avons aussi analysé la dose maximale (Dmax) et la dose reçue par 0,35cc (D0,35cc) de moelle épinière pour les GTVCT et GTVCT+MR, où le paramètre d’optimisation et les priorités n’ont pas changé. La fonction de classement en pourcentage a également été évaluée pour les doses dans la moelle épinière.
Résultats
Les scores moyens de DSC et GMI pour l’ensemble de données seulement scanographiques étaient respectivement de 0,6974 et 0,2851 et pour l’ensemble de données scanographies et remnographiques de, 0,7764 et 0,1907. Des résultats statistiquement significatifs ont été trouvés pour les GTV moyens entre GTVEC vet GTVCT et entre GTVCT contre GTVCT+MR (p<0,001). L’analyse dosimétrique de Dmax et D0,35cc a dépassé 84,2 % et 88,5 % fois de ses doses seuils respectives pour les ensembles de données sseulement canographues, tandis que pour les données scanograohiques et remnographiques, elle n’a dépassé que dans 18 % et 15,7 % des fois. L’analyse de la fonction de «rang en pourcentage» pour les doses dans la moelle épinière indique également la même chose.
Conclusion
Cette étude prend en charge la fusion IRM pour la délimitation du GTV et de l’organe ç risque pour les métastases non vertébrales. Notre étude a montré que l’analyse dosimétrique était essentielle pour les études sur les variations observées par les observateurs et que l’ajout de l’ensemble de données IRM était important pour améliorer la confiance en soi des traitements stéréotaxiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71488
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 135-140[article] Volumetric and dosimetric impact of MRI in delineation of gross tumor volume of non-spinal vertebral metastases treated with stereotactic ablative radiation therapy = Impact volumétrique et dosimétrique de l’IRM sur la délimitation du volume tumoral macroscopique des métastases vertébrales non spinales traitées par rirradiation ablative stéréotaxique [texte imprimé] / A. Ilamurugu . - 2021 . - p. 135-140.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.032
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 135-140
Mots-clés : Volumes tumoraux macroscopiques Imagerie par résonance magnétique Radiothérapie ablative stéréotaxique Métastases osseuses Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Étudier les volumes tumoraux macroscopiques (GTV) et leur impact dosimétrique sur la délinéation assisté par imagerie par résonance magnétique (IRM) pour les métastases non spinales traitées par irradiation stéréotaxique ablative (SABR).
Matériel et méthodes
Cinq contours d’observateur sur scanographie (GTVCT) et scanographie et IRM (GTVCT+MR) ont été évalués par rapport aux contours d’une équipe d’experts (GTVEC) pour 14 cas sélectionnés. L’indice de Duce (DSC) et le Geographical Miss Index (GMI) quantifiauent la variation de l’observateur. Nous avons aussi analysé la dose maximale (Dmax) et la dose reçue par 0,35cc (D0,35cc) de moelle épinière pour les GTVCT et GTVCT+MR, où le paramètre d’optimisation et les priorités n’ont pas changé. La fonction de classement en pourcentage a également été évaluée pour les doses dans la moelle épinière.
Résultats
Les scores moyens de DSC et GMI pour l’ensemble de données seulement scanographiques étaient respectivement de 0,6974 et 0,2851 et pour l’ensemble de données scanographies et remnographiques de, 0,7764 et 0,1907. Des résultats statistiquement significatifs ont été trouvés pour les GTV moyens entre GTVEC vet GTVCT et entre GTVCT contre GTVCT+MR (p<0,001). L’analyse dosimétrique de Dmax et D0,35cc a dépassé 84,2 % et 88,5 % fois de ses doses seuils respectives pour les ensembles de données sseulement canographues, tandis que pour les données scanograohiques et remnographiques, elle n’a dépassé que dans 18 % et 15,7 % des fois. L’analyse de la fonction de «rang en pourcentage» pour les doses dans la moelle épinière indique également la même chose.
Conclusion
Cette étude prend en charge la fusion IRM pour la délimitation du GTV et de l’organe ç risque pour les métastases non vertébrales. Notre étude a montré que l’analyse dosimétrique était essentielle pour les études sur les variations observées par les observateurs et que l’ajout de l’ensemble de données IRM était important pour améliorer la confiance en soi des traitements stéréotaxiques.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71488 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Application of a multi-institutional nomogram predicting salvage whole brain radiation-free survival to patients treated with postoperative stereotactic radiotherapy for brain metastases / A. Mousli in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Application of a multi-institutional nomogram predicting salvage whole brain radiation-free survival to patients treated with postoperative stereotactic radiotherapy for brain metastases Titre original : Validation externe d’un nomogramme multi-institutionnelle de prédiction de la radiothérapie encéphalique de sauvetage après irradiation stéréotaxique des métastases cérébrales Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Mousli Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 141-146 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.036 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Métastases cérébrales, Nomogramme, Facteurs prédictifs, Radiothérapie stéréotaxique Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
La validation externe du nomogramme de Gorovets et al. de l’estimation de la survie sans recours à l’irradiation encéphalique totale de sauvetage après radiothérapie stéréotaxique des métastases cérébrales (basé sur des données multi-institutionnelles).
Matériel et méthodes
Cette cohorte porte sur 68 patients traités entre 2008–2017 par une irradiation stéréotaxique pour des métastases cérébrales opérées. Le critère d’évaluation principal était l’irradiation encéphalique totale de sauvetage. Les courbes ROC (« Receiver operating characteristic ») et AUC (« Area under curve ») ont été calculées à 6 et 12 mois.
Résultats
Après un suivi médian de 64 mois, l’incidence cumulée des taux de rechutes cérébrales locales et à distantes étaient respectivement de 15 % [IC 95 % (intervalle de confiance à 95 %)=8–26 %] et de 34 % [IC 95 %=24–48 %] à 12 mois. Au moment de la première récidive, une deuxième radiothérapie stéréotaxique a été indiquée dans 33 % des cas et une irradiation de l’encéphale en totalité de sauvetage dans 57 %. Les taux d’irradiation encéphalique totale de sauvetage à 6 et 12 mois étaient respectivement de 88 % [IC 95 %=81–97 %] et 67 % [IC 95 %=56–81 %]. En se référant au nomogramme de prédiction de Gorovets et al., la radiothérapie encéphalique totale de sauvetage était légèrement surestimée à 6 mois alors qu’elle concordait parfaitement à 12 mois. Les valeurs d’AUC étaient respectivement de 0,47 et 0,62 à 6 et 12 mois. L’indice de concordance de Harrell était de 0,54.
Conclusion
Ce nomogramme permet de prédire le recours à l’irradiation de l’encéphale en totalité de sauvetage à 12 mois. Cependant, la puissance discriminative du nomogramme reste faible, soulignant l’importance de l’analyse à travers des « Big Data » dans l’avenir.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71489
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 141-146[article] Application of a multi-institutional nomogram predicting salvage whole brain radiation-free survival to patients treated with postoperative stereotactic radiotherapy for brain metastases = Validation externe d’un nomogramme multi-institutionnelle de prédiction de la radiothérapie encéphalique de sauvetage après irradiation stéréotaxique des métastases cérébrales [texte imprimé] / A. Mousli . - 2021 . - p. 141-146.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.036
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 141-146
Mots-clés : Métastases cérébrales, Nomogramme, Facteurs prédictifs, Radiothérapie stéréotaxique Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
La validation externe du nomogramme de Gorovets et al. de l’estimation de la survie sans recours à l’irradiation encéphalique totale de sauvetage après radiothérapie stéréotaxique des métastases cérébrales (basé sur des données multi-institutionnelles).
Matériel et méthodes
Cette cohorte porte sur 68 patients traités entre 2008–2017 par une irradiation stéréotaxique pour des métastases cérébrales opérées. Le critère d’évaluation principal était l’irradiation encéphalique totale de sauvetage. Les courbes ROC (« Receiver operating characteristic ») et AUC (« Area under curve ») ont été calculées à 6 et 12 mois.
Résultats
Après un suivi médian de 64 mois, l’incidence cumulée des taux de rechutes cérébrales locales et à distantes étaient respectivement de 15 % [IC 95 % (intervalle de confiance à 95 %)=8–26 %] et de 34 % [IC 95 %=24–48 %] à 12 mois. Au moment de la première récidive, une deuxième radiothérapie stéréotaxique a été indiquée dans 33 % des cas et une irradiation de l’encéphale en totalité de sauvetage dans 57 %. Les taux d’irradiation encéphalique totale de sauvetage à 6 et 12 mois étaient respectivement de 88 % [IC 95 %=81–97 %] et 67 % [IC 95 %=56–81 %]. En se référant au nomogramme de prédiction de Gorovets et al., la radiothérapie encéphalique totale de sauvetage était légèrement surestimée à 6 mois alors qu’elle concordait parfaitement à 12 mois. Les valeurs d’AUC étaient respectivement de 0,47 et 0,62 à 6 et 12 mois. L’indice de concordance de Harrell était de 0,54.
Conclusion
Ce nomogramme permet de prédire le recours à l’irradiation de l’encéphale en totalité de sauvetage à 12 mois. Cependant, la puissance discriminative du nomogramme reste faible, soulignant l’importance de l’analyse à travers des « Big Data » dans l’avenir.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71489 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Prognostic value of platelet-associated biomarkers in rectal cancer patients received neoadjuvant chemoradiation: A retrospective study / P. Wang in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Prognostic value of platelet-associated biomarkers in rectal cancer patients received neoadjuvant chemoradiation: A retrospective study Titre original : La valeur pronostique des biomarqueurs associés aux plaquettes chez les patients atteints d’un cancer du rectum ayant reçu une chimioradiation néoadjuvante: une étude rétrospective Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Wang Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 147-154 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.030 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Biomarqueurs associés aux plaquettes Chimioradiothérapie néoadjuvante Pronostic Survie Cancer du rectum Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Il a été démontré que le volume plaquettaire a une valeur pronostique chez les patients atteints de cancer colorectal. Cependant, les changements des autres biomarqueurs associés aux plaquettes chez les patients atteints de cancer du rectum, avant et après une chimioradiothérapie néoadjuvante, restent flous. Dans cette étude, nous avons étudié la valeur pronostique des biomarqueurs associés aux plaquettes chez les patients atteints de cancer du rectum avec recevant une chimioradiothérapie néoadjuvante.
Patients et méthodes
Un total de 75 patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) ont été sélectionnés et suivis à l’hôpital affilié du cancer de l’université de Zhengzhou entre juin 2013 et septembre 2016. Les données de les biomarqueurs associés, y compris le nombre de plaquettes, le rapport plaquettes/lymphocytes (PLR), le rapport lymphocytes/monocytes (LMR), le volume moyen des plaquettes (MPV) et la largeur de la distribution des plaquettes (PDW), avant et après chimioradiothérapie néoadjuvante, ont été collectés. Les associations entre ces biomarqueurs associés aux plaquettes et la survie globale, ainsi que la survie sans maladie des patients, ont été analysées. Les patients ont été divisés en groupes avec des valeurs élevées ou faibles des biomarqueurs associés aux plaquettes, et les résultats ont été comparés en utilisant la régression de Cox et l’analyse de Kaplan–Meier.
Résultats
Nous avons constaté que le pré-PLR (HR [Hazard Ratio] : 4,104 ; IC à 95% [intervalle de confiance à 95%] : 1,411–11,421 ; p=0,009) et le pré-LMR (HR : 0,384 ; IC à 95% : 0,124–1,185 ; p=0,066) pourraient prédire la survie globale chez les patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) après chimioradiothérapie néoadjuvante par analyse de régression Cox multivariée, une valeur seuil de pré-PLR >7,02 et pré-LMR ≤7,10 pourrait être utilisée comme facteurs pronostiques indépendants pour la survie globale par la méthode de Kaplan–Meier. La valeur pré-MPV pourrait être utilisée comme facteur pronostique indépendant pour la survie sans maladie par analyse de Kaplan–Meier (p=0,037). En outre, la valeur post-ACE était corrélée avec les survies globales et sans maladie chez les patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) recevant une chimioradiothérapie néoadjuvante.
Conclusion
Chez les patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) recevant une chimioradiothérapie néoadjuvante, les valeurs pré-PLR et pré-LMR sont des facteurs pronostiques indépendants pour la survie globale, tandis que la valeur pré-MPV a une valeur prédictive pour la survie sans maladie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71490
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 147-154[article] Prognostic value of platelet-associated biomarkers in rectal cancer patients received neoadjuvant chemoradiation: A retrospective study = La valeur pronostique des biomarqueurs associés aux plaquettes chez les patients atteints d’un cancer du rectum ayant reçu une chimioradiation néoadjuvante: une étude rétrospective [texte imprimé] / P. Wang . - 2021 . - p. 147-154.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.030
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 147-154
Mots-clés : Biomarqueurs associés aux plaquettes Chimioradiothérapie néoadjuvante Pronostic Survie Cancer du rectum Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Il a été démontré que le volume plaquettaire a une valeur pronostique chez les patients atteints de cancer colorectal. Cependant, les changements des autres biomarqueurs associés aux plaquettes chez les patients atteints de cancer du rectum, avant et après une chimioradiothérapie néoadjuvante, restent flous. Dans cette étude, nous avons étudié la valeur pronostique des biomarqueurs associés aux plaquettes chez les patients atteints de cancer du rectum avec recevant une chimioradiothérapie néoadjuvante.
Patients et méthodes
Un total de 75 patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) ont été sélectionnés et suivis à l’hôpital affilié du cancer de l’université de Zhengzhou entre juin 2013 et septembre 2016. Les données de les biomarqueurs associés, y compris le nombre de plaquettes, le rapport plaquettes/lymphocytes (PLR), le rapport lymphocytes/monocytes (LMR), le volume moyen des plaquettes (MPV) et la largeur de la distribution des plaquettes (PDW), avant et après chimioradiothérapie néoadjuvante, ont été collectés. Les associations entre ces biomarqueurs associés aux plaquettes et la survie globale, ainsi que la survie sans maladie des patients, ont été analysées. Les patients ont été divisés en groupes avec des valeurs élevées ou faibles des biomarqueurs associés aux plaquettes, et les résultats ont été comparés en utilisant la régression de Cox et l’analyse de Kaplan–Meier.
Résultats
Nous avons constaté que le pré-PLR (HR [Hazard Ratio] : 4,104 ; IC à 95% [intervalle de confiance à 95%] : 1,411–11,421 ; p=0,009) et le pré-LMR (HR : 0,384 ; IC à 95% : 0,124–1,185 ; p=0,066) pourraient prédire la survie globale chez les patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) après chimioradiothérapie néoadjuvante par analyse de régression Cox multivariée, une valeur seuil de pré-PLR >7,02 et pré-LMR ≤7,10 pourrait être utilisée comme facteurs pronostiques indépendants pour la survie globale par la méthode de Kaplan–Meier. La valeur pré-MPV pourrait être utilisée comme facteur pronostique indépendant pour la survie sans maladie par analyse de Kaplan–Meier (p=0,037). En outre, la valeur post-ACE était corrélée avec les survies globales et sans maladie chez les patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) recevant une chimioradiothérapie néoadjuvante.
Conclusion
Chez les patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué (de stade T3–4 ou avec atteinte ganglionnaire) recevant une chimioradiothérapie néoadjuvante, les valeurs pré-PLR et pré-LMR sont des facteurs pronostiques indépendants pour la survie globale, tandis que la valeur pré-MPV a une valeur prédictive pour la survie sans maladie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71490 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Les carcinomes canalaires de la parotide / M. Mnejja in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Les carcinomes canalaires de la parotide Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Mnejja Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 155-160 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.034 Langues : Français (fre) Mots-clés : Carcinome canalaire PAROTIDE SEIN:RADIOTHÉRAPIE Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Rapporter les particularités épidémiocliniques, thérapeutiques et évolutives des carcinomes canalaires de la parotide.
Matériel et méthodes
Étude rétrospective portant sur cinq cas de carcinome canalaire de la parotide primitive ou secondaire, pris en charge à notre service de 2007 à 2019.
Résultats
Il s’agissait de quatre hommes et une femme d’âge moyen de 61,4 ans. Une patiente avait été traitée pour un carcinome canalaire infiltrant mammaire. Le motif de consultation était une tuméfaction parotidienne dans quatre cas et une asymétrie faciale dans un cas. Une perméation cutanée a été trouvée dans un cas. Quatre patients ont eu une parotidectomie totale avec sacrifice du nerf facial dans trois cas et étendue à la peau dans un cas. Un évidement ganglionnaire a été réalisé dans quatre cas. Une patiente a eu une biopsie parotidienne diagnostique. Le carcinome canalaire était primitif dans quatre cas et métastatique d’un cancer mammaire dans un cas. Une radiothérapie postopératoire a été réalisée pour les quatre patients opérés. Le contrôle local et à distance a été obtenu dans trois cas. Une récidive locale et méningée a été observée dans un cas. Pour la patiente ayant un carcinome mammaire, elle avait une progression polymétastatique pulmonaire, osseuse, hépatique et cérébrale.
Conclusion
Le carcinome canalaire est une forme rare et agressive des cancers parotidiens de haut grade. Il peut être primitif ou secondaire. Le traitement se base sur la chirurgie et la radiothérapie. Le pronostic est réservéPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71491
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 155-160[article] Les carcinomes canalaires de la parotide [texte imprimé] / M. Mnejja . - 2021 . - p. 155-160.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.034
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 155-160
Mots-clés : Carcinome canalaire PAROTIDE SEIN:RADIOTHÉRAPIE Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
Rapporter les particularités épidémiocliniques, thérapeutiques et évolutives des carcinomes canalaires de la parotide.
Matériel et méthodes
Étude rétrospective portant sur cinq cas de carcinome canalaire de la parotide primitive ou secondaire, pris en charge à notre service de 2007 à 2019.
Résultats
Il s’agissait de quatre hommes et une femme d’âge moyen de 61,4 ans. Une patiente avait été traitée pour un carcinome canalaire infiltrant mammaire. Le motif de consultation était une tuméfaction parotidienne dans quatre cas et une asymétrie faciale dans un cas. Une perméation cutanée a été trouvée dans un cas. Quatre patients ont eu une parotidectomie totale avec sacrifice du nerf facial dans trois cas et étendue à la peau dans un cas. Un évidement ganglionnaire a été réalisé dans quatre cas. Une patiente a eu une biopsie parotidienne diagnostique. Le carcinome canalaire était primitif dans quatre cas et métastatique d’un cancer mammaire dans un cas. Une radiothérapie postopératoire a été réalisée pour les quatre patients opérés. Le contrôle local et à distance a été obtenu dans trois cas. Une récidive locale et méningée a été observée dans un cas. Pour la patiente ayant un carcinome mammaire, elle avait une progression polymétastatique pulmonaire, osseuse, hépatique et cérébrale.
Conclusion
Le carcinome canalaire est une forme rare et agressive des cancers parotidiens de haut grade. Il peut être primitif ou secondaire. Le traitement se base sur la chirurgie et la radiothérapie. Le pronostic est réservéPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71491 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Evaluation of margins in pelvic lymph nodes and prostate radiotherapy and the impact of bladder and rectum on prostate position / E.A. Marnouche in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Evaluation of margins in pelvic lymph nodes and prostate radiotherapy and the impact of bladder and rectum on prostate position Titre original : Radiothérapie pelvienne du cancer de la prostate : marges et impact des organes pelviens sur la prostate Type de document : texte imprimé Auteurs : E.A. Marnouche Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 161-168 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.033 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Prostate Rectum Vessie Volume cible prévisionnel ou de planification Résumé : Sommaire :
Objectifs de l’étude
Il s’agit d’une étude prospective ayant comme buts : la détermination des marges du volume cible prévisionnel (PTV) de la prostate et des aires ganglionnaires pelviennes. L’étude de l’impact du recalage prostatique par rapport au recalage osseux sur les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes. L’étude des variations physiologiques rectales et vésicales au cours du traitement par radiothérapie. L’étude de l’impact de ces variations sur la position de la prostate.
Patients et méthodes
Notre étude a inclus 15 patients.Nous avons réalisé des images orthogonales « kilovoltage » quotidiennes et des tomographies coniques hebdomadaires et on a mesuré les déplacements de la prostate et des vaisseaux sanguins iliaques. On a ainsi pu calculer les marges du PTV, selon la formule de Van Herk, à appliquer pour la prostate et les aires ganglionnaires iliaques dans le cadre d’un recalage osseux quotidien. Nous avons aussi réalisé une comparaison entre les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes en fonction du recalage osseux ou prostati que. On a aussi mesuré les déplacements du rectum et de la vessie sur quatre niveaux anatomiques : A : 1,5cm au-dessus de la symphyse pubienne. B : bord supérieur de la symphyse pubienne. C : mi-symphyse pubienne. D : bord inférieur de la symphyse pubienne. Enfin, on a réalisé une analyse uni- et multivariée pour déterminer les facteurs modifiant la position de la prostate.
Résultats
En cas de recalage osseux, les marges PTV prostatiques étaient respectivement 8,03mm, 5,42mm et 8,73mm pour les directions antérosupérieure, médiolatérale et supéro-inférieure. Plus de 97 % des déplacements prostatiques étaient moins de 5mm. Les marges du PTV pour les vaisseaux iliaques externes étaient entre 3,12mm et 3,25mm et entre 3,12mm et 4,18mm pour les vaisseaux iliaques primitifs. En comparaison avec le recalage prostatique, Le recalage osseux a permis de réduire les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes. Cette réduction était jusqu’à 54,3 % pour les aires ganglionnaires iliaques externes et jusqu’à 39,6 % pour les aires ganglionnaires iliaques primitives. Il n’y avait pas de modification significative du volume vésicale en cours de l’irradiation. En revanche, le volume rectal a varié durant les trois premières semaines avec une stabilisation après la 3e semaine. L’analyse uni- et multifactorielle a identifié la paroi antérieure du rectum (aux niveaux B et C) comme facteur en relation avec les mouvements prostatiques antéropostérieurs. Le volume vésical paraît aussi influencer la prostate dans cette direction.
Conclusion
Nous préconisons des marges prostatiques de 8mm, 6mm et 9mm dans les directions antéropostérieure, médiolatérale et supéro-inférieure. Des marges de 4mm et de 5mm peuvent être respectivement proposées autour des aires ganglionnaires iliaques externes et primitives. Le recalage osseux a permis de réduire les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes et ainsi de limiter l’irradiation de la cavité péritonéale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71492
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 161-168[article] Evaluation of margins in pelvic lymph nodes and prostate radiotherapy and the impact of bladder and rectum on prostate position = Radiothérapie pelvienne du cancer de la prostate : marges et impact des organes pelviens sur la prostate [texte imprimé] / E.A. Marnouche . - 2021 . - p. 161-168.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.033
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 161-168
Mots-clés : Prostate Rectum Vessie Volume cible prévisionnel ou de planification Résumé : Sommaire :
Objectifs de l’étude
Il s’agit d’une étude prospective ayant comme buts : la détermination des marges du volume cible prévisionnel (PTV) de la prostate et des aires ganglionnaires pelviennes. L’étude de l’impact du recalage prostatique par rapport au recalage osseux sur les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes. L’étude des variations physiologiques rectales et vésicales au cours du traitement par radiothérapie. L’étude de l’impact de ces variations sur la position de la prostate.
Patients et méthodes
Notre étude a inclus 15 patients.Nous avons réalisé des images orthogonales « kilovoltage » quotidiennes et des tomographies coniques hebdomadaires et on a mesuré les déplacements de la prostate et des vaisseaux sanguins iliaques. On a ainsi pu calculer les marges du PTV, selon la formule de Van Herk, à appliquer pour la prostate et les aires ganglionnaires iliaques dans le cadre d’un recalage osseux quotidien. Nous avons aussi réalisé une comparaison entre les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes en fonction du recalage osseux ou prostati que. On a aussi mesuré les déplacements du rectum et de la vessie sur quatre niveaux anatomiques : A : 1,5cm au-dessus de la symphyse pubienne. B : bord supérieur de la symphyse pubienne. C : mi-symphyse pubienne. D : bord inférieur de la symphyse pubienne. Enfin, on a réalisé une analyse uni- et multivariée pour déterminer les facteurs modifiant la position de la prostate.
Résultats
En cas de recalage osseux, les marges PTV prostatiques étaient respectivement 8,03mm, 5,42mm et 8,73mm pour les directions antérosupérieure, médiolatérale et supéro-inférieure. Plus de 97 % des déplacements prostatiques étaient moins de 5mm. Les marges du PTV pour les vaisseaux iliaques externes étaient entre 3,12mm et 3,25mm et entre 3,12mm et 4,18mm pour les vaisseaux iliaques primitifs. En comparaison avec le recalage prostatique, Le recalage osseux a permis de réduire les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes. Cette réduction était jusqu’à 54,3 % pour les aires ganglionnaires iliaques externes et jusqu’à 39,6 % pour les aires ganglionnaires iliaques primitives. Il n’y avait pas de modification significative du volume vésicale en cours de l’irradiation. En revanche, le volume rectal a varié durant les trois premières semaines avec une stabilisation après la 3e semaine. L’analyse uni- et multifactorielle a identifié la paroi antérieure du rectum (aux niveaux B et C) comme facteur en relation avec les mouvements prostatiques antéropostérieurs. Le volume vésical paraît aussi influencer la prostate dans cette direction.
Conclusion
Nous préconisons des marges prostatiques de 8mm, 6mm et 9mm dans les directions antéropostérieure, médiolatérale et supéro-inférieure. Des marges de 4mm et de 5mm peuvent être respectivement proposées autour des aires ganglionnaires iliaques externes et primitives. Le recalage osseux a permis de réduire les marges du PTV des aires ganglionnaires pelviennes et ainsi de limiter l’irradiation de la cavité péritonéale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71492 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Intramedullary spinal cord metastases: Report of three cases and review of the literature / M. Hommadi in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Intramedullary spinal cord metastases: Report of three cases and review of the literature Titre original : Métastases de la moelle épinière : à propos de trois cas et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Hommadi Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 169-174 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.10.003 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Métastases intramédullaires Moelle épinière Radiothérapie Résumé : Les métastases de la moelle épinière sont une entité rare mais dévastatrice des cancers. Le pronostic est défavorable avec une médiane de survie globale de 4 mois. Cette pathologie est de plus en plus vue en pratique quotidienne et cela est dû aux progrès thérapeutiques permettant des survies considérables des malades atteints de cancer métastatique, et de l’utilisation de plus en plus courante des moyens de diagnostic, surtout l’imagerie par résonnance magnétique, qui reste le moyen le plus performant. La prise en charge de ces malades est controversée à cause de sa rareté et l’absence d’étude comparant les différentes modalités thérapeutiques. Une meilleure connaissance de cette pathologie pourrait permettre d’adopter plus tôt le diagnostic a un stade où les déficits neurologiques sont réversibles et donc obtenir une palliation efficace. Nous avons fait cette recherche rétrospective de trois observations de malade souffrant de métastases intramédullaires, avec une revue de la littérature décrivant les caractéristiques diagnostiques, thérapeutiques et évolutives de cette pathologie rare.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71493
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 169-174[article] Intramedullary spinal cord metastases: Report of three cases and review of the literature = Métastases de la moelle épinière : à propos de trois cas et revue de la littérature [texte imprimé] / M. Hommadi . - 2021 . - p. 169-174.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.10.003
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 169-174
Mots-clés : Métastases intramédullaires Moelle épinière Radiothérapie Résumé : Les métastases de la moelle épinière sont une entité rare mais dévastatrice des cancers. Le pronostic est défavorable avec une médiane de survie globale de 4 mois. Cette pathologie est de plus en plus vue en pratique quotidienne et cela est dû aux progrès thérapeutiques permettant des survies considérables des malades atteints de cancer métastatique, et de l’utilisation de plus en plus courante des moyens de diagnostic, surtout l’imagerie par résonnance magnétique, qui reste le moyen le plus performant. La prise en charge de ces malades est controversée à cause de sa rareté et l’absence d’étude comparant les différentes modalités thérapeutiques. Une meilleure connaissance de cette pathologie pourrait permettre d’adopter plus tôt le diagnostic a un stade où les déficits neurologiques sont réversibles et donc obtenir une palliation efficace. Nous avons fait cette recherche rétrospective de trois observations de malade souffrant de métastases intramédullaires, avec une revue de la littérature décrivant les caractéristiques diagnostiques, thérapeutiques et évolutives de cette pathologie rare.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71493 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Place de la radiothérapie des cholangiocarcinomes intra- et extrahépatiques / J. Moreau in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Place de la radiothérapie des cholangiocarcinomes intra- et extrahépatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Moreau Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 175-181 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.039 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cholangiocarcinome RADIOTHÉRAPIE REVUE Résumé : Résumé
Les cholangiocarcinomes sont des tumeurs digestives dont l’incidence reste faible et le pronostic sombre. Le bénéfice de la chimioradiothérapie adjuvante et de la radiothérapie n’a jamais été démontré dans un essai contrôlé randomisé de phase III. La chimiothérapie par capécitabine 6 mois est le traitement standard en situation adjuvante. La chimioradiothérapie est validé après exérèse R1. Elle n’est pas recommandée en situation néoadjuvante compte tenu du manque de données disponibles. La chimiothérapie et la chimioradiothérapie sont validées en situation adjuvante ou localement évoluée. La radiothérapie en conditions stéréotaxiques offre une perspective intéressante, au prix d’une toxicité digestive importante, nécessitant une évaluation dans le cadre d’essais randomisés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71494
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 175-181[article] Place de la radiothérapie des cholangiocarcinomes intra- et extrahépatiques [texte imprimé] / J. Moreau . - 2021 . - p. 175-181.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.039
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 175-181
Mots-clés : Cholangiocarcinome RADIOTHÉRAPIE REVUE Résumé : Résumé
Les cholangiocarcinomes sont des tumeurs digestives dont l’incidence reste faible et le pronostic sombre. Le bénéfice de la chimioradiothérapie adjuvante et de la radiothérapie n’a jamais été démontré dans un essai contrôlé randomisé de phase III. La chimiothérapie par capécitabine 6 mois est le traitement standard en situation adjuvante. La chimioradiothérapie est validé après exérèse R1. Elle n’est pas recommandée en situation néoadjuvante compte tenu du manque de données disponibles. La chimiothérapie et la chimioradiothérapie sont validées en situation adjuvante ou localement évoluée. La radiothérapie en conditions stéréotaxiques offre une perspective intéressante, au prix d’une toxicité digestive importante, nécessitant une évaluation dans le cadre d’essais randomisés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71494 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt The efficacy of hypofractionated radiotherapy (HFRT) with concurrent and adjuvant temozolomide in newly diagnosed glioblastoma: A meta-analysis / Longbin Guo in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : The efficacy of hypofractionated radiotherapy (HFRT) with concurrent and adjuvant temozolomide in newly diagnosed glioblastoma: A meta-analysis Titre original : L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée avec le témozolomide concomitant et adjuvant dans le glioblastome nouvellement diagnostiqué : une méta-analyse Type de document : texte imprimé Auteurs : Longbin Guo Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 182-190 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.08.049 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Glioblastome Survie Méta-analyse Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée dans le glioblastome sans limite d’âge reste incertaine. L’objectif de cette méta-analyse était d’accéder aux résultats de survie chez ces patients.
Méthodes
Une recherche documentaire électronique complète sur PubMed, Web of Science et Cochrane Library, a été menée jusqu’au 1er juin 2020. Les principales données d’évaluation étaient le taux de survie globale à 12 et 24 mois et ceux de survie sans progression à 6 et 12 mois. Les données d’évaluation secondaires étaient l’incidence de la radionécrose et des événements indésirables. L’étude a été réalisée à l’aide du R « meta » package.
Résultats
Onze études répondaient aux critères d’inclusion, qui incluaient au total 484 participants. Les taux de survie globale à 12 mois et à 24 mois étaient de 71,3 % et 34,8 %, ceux de survie sans progression à 6 mois et à 12 mois de 74,0 % et 40,8 %. Par rapport aux programmes à faible BED (Biology Effective Dose) (<78Gy), les fortes BED peuvent augmenter le taux de survie sans progression à 6 (p=0,003) et 12 mois (p=0,011), mais pas celui de survie globale. Différentes doses par fraction n’ont eu aucun effet significatif à la fois sur la survie globale et la survie sans progression. L’incidence de la radionécrose était de 14,2 %. Bien que l’incidence globale des effets indésirables ne puisse être quantifiée, la toxicité de la radiothérapie hypofractionnée était acceptable.
Conclusions
Comparée aux données de survie pour le traitement standard, la radiothérapie hypofractionnée semble améliorer les taux de survie globale et de survie sans progression, tandis que les BED élevés peuvent augmenter celui de survie sans progression. La toxicité de la radiothérapie hypofractionnée est tolérable. D’autres études cliniques contrôlées randomisées sont nécessaires pour confirmer ces résultats.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71495
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 182-190[article] The efficacy of hypofractionated radiotherapy (HFRT) with concurrent and adjuvant temozolomide in newly diagnosed glioblastoma: A meta-analysis = L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée avec le témozolomide concomitant et adjuvant dans le glioblastome nouvellement diagnostiqué : une méta-analyse [texte imprimé] / Longbin Guo . - 2021 . - p. 182-190.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.08.049
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 182-190
Mots-clés : Radiothérapie hypofractionnée Glioblastome Survie Méta-analyse Résumé : Sommaire :
Objectif de l’étude
L’efficacité de la radiothérapie hypofractionnée dans le glioblastome sans limite d’âge reste incertaine. L’objectif de cette méta-analyse était d’accéder aux résultats de survie chez ces patients.
Méthodes
Une recherche documentaire électronique complète sur PubMed, Web of Science et Cochrane Library, a été menée jusqu’au 1er juin 2020. Les principales données d’évaluation étaient le taux de survie globale à 12 et 24 mois et ceux de survie sans progression à 6 et 12 mois. Les données d’évaluation secondaires étaient l’incidence de la radionécrose et des événements indésirables. L’étude a été réalisée à l’aide du R « meta » package.
Résultats
Onze études répondaient aux critères d’inclusion, qui incluaient au total 484 participants. Les taux de survie globale à 12 mois et à 24 mois étaient de 71,3 % et 34,8 %, ceux de survie sans progression à 6 mois et à 12 mois de 74,0 % et 40,8 %. Par rapport aux programmes à faible BED (Biology Effective Dose) (<78Gy), les fortes BED peuvent augmenter le taux de survie sans progression à 6 (p=0,003) et 12 mois (p=0,011), mais pas celui de survie globale. Différentes doses par fraction n’ont eu aucun effet significatif à la fois sur la survie globale et la survie sans progression. L’incidence de la radionécrose était de 14,2 %. Bien que l’incidence globale des effets indésirables ne puisse être quantifiée, la toxicité de la radiothérapie hypofractionnée était acceptable.
Conclusions
Comparée aux données de survie pour le traitement standard, la radiothérapie hypofractionnée semble améliorer les taux de survie globale et de survie sans progression, tandis que les BED élevés peuvent augmenter celui de survie sans progression. La toxicité de la radiothérapie hypofractionnée est tolérable. D’autres études cliniques contrôlées randomisées sont nécessaires pour confirmer ces résultats.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71495 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Irradiation axillaire prophylactique "de diffusion" dans le cancer du sein - revue de la littérature / M. Schmitt in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Irradiation axillaire prophylactique "de diffusion" dans le cancer du sein - revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Schmitt Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 191-199 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.035 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radiothérapie Creux axillaire Cancer du sein Résumé : Objectif de l’étude
Dans le cancer du sein, la radiothérapie est un élément majeur de la prise en charge. Toutefois, les indications de l’irradiation de la chaîne mammaire interne et de l’aire axillaire sont débattues. L’évolution actuelle des pratiques est à une désescalade thérapeutique dans la prise en charge de l’aire axillaire dans le cancer du sein. L’irradiation mammaire permettrait de diminuer le taux de récidive axillaire en apportant une couverture des niveaux I, II et III.
Matériels et méthodes
Une revue de la littérature a été réalisée grâce à PubMed et à la bibliothèque de données Cochrane pour identifier les articles réalisant une évaluation dosimétrique de la couverture des niveaux axillaires I, II et III avec différentes techniques lors de l’irradiation du sein afin de déterminer les implications thérapeutiques potentielles.
Résultats
Onze articles ont été retenus pour un total de 375 plans de traitement. Les résultats étaient très hétérogènes concernant la technique d’irradiation choisie, la dose initiale prescrite dans le sein, les volumes des niveaux axillaires délinéés et la dose reçue aux trois niveaux axillaires. En radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (RT3D) par faisceaux tangentiels standard, la dose moyenne délivrée était comprise entre 24Gy et 43,5Gy, 3Gy et 32,5Gy et 1,0Gy et 20,5Gy respectivement pour le niveau I, II et III. En radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle avec par faisceaux tangentiels hauts, la dose moyenne délivrée était comprise entre 38Gy et 49,7Gy pour le niveau I, entre 11Gy et 47,1Gy pour le niveau II et de 5Gy pour le niveau III (résultat disponible dans une seule étude). Enfin, la dose moyenne délivrée par radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité (RCMI) était comprise entre 14,5Gy et 42,6Gy, 3,4Gy et 35Gy et entre 1,2Gy et 25,5Gy pour le niveau I, II et III respectivement.
Conclusion
La dose incidente délivrée à l’aire ganglionnaire axillaire est substantielle, mais ne semble pas suffisante pour être thérapeutique quelle que soit la technique d’irradiation. Il existe des différences entre RCMI et radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71496
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 191-199[article] Irradiation axillaire prophylactique "de diffusion" dans le cancer du sein - revue de la littérature [texte imprimé] / M. Schmitt . - 2021 . - p. 191-199.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.06.035
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 191-199
Mots-clés : Radiothérapie Creux axillaire Cancer du sein Résumé : Objectif de l’étude
Dans le cancer du sein, la radiothérapie est un élément majeur de la prise en charge. Toutefois, les indications de l’irradiation de la chaîne mammaire interne et de l’aire axillaire sont débattues. L’évolution actuelle des pratiques est à une désescalade thérapeutique dans la prise en charge de l’aire axillaire dans le cancer du sein. L’irradiation mammaire permettrait de diminuer le taux de récidive axillaire en apportant une couverture des niveaux I, II et III.
Matériels et méthodes
Une revue de la littérature a été réalisée grâce à PubMed et à la bibliothèque de données Cochrane pour identifier les articles réalisant une évaluation dosimétrique de la couverture des niveaux axillaires I, II et III avec différentes techniques lors de l’irradiation du sein afin de déterminer les implications thérapeutiques potentielles.
Résultats
Onze articles ont été retenus pour un total de 375 plans de traitement. Les résultats étaient très hétérogènes concernant la technique d’irradiation choisie, la dose initiale prescrite dans le sein, les volumes des niveaux axillaires délinéés et la dose reçue aux trois niveaux axillaires. En radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (RT3D) par faisceaux tangentiels standard, la dose moyenne délivrée était comprise entre 24Gy et 43,5Gy, 3Gy et 32,5Gy et 1,0Gy et 20,5Gy respectivement pour le niveau I, II et III. En radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle avec par faisceaux tangentiels hauts, la dose moyenne délivrée était comprise entre 38Gy et 49,7Gy pour le niveau I, entre 11Gy et 47,1Gy pour le niveau II et de 5Gy pour le niveau III (résultat disponible dans une seule étude). Enfin, la dose moyenne délivrée par radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité (RCMI) était comprise entre 14,5Gy et 42,6Gy, 3,4Gy et 35Gy et entre 1,2Gy et 25,5Gy pour le niveau I, II et III respectivement.
Conclusion
La dose incidente délivrée à l’aire ganglionnaire axillaire est substantielle, mais ne semble pas suffisante pour être thérapeutique quelle que soit la technique d’irradiation. Il existe des différences entre RCMI et radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71496 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Proposition de délinéation des volumes cibles anatomocliniques postopératoires de la tumeur primitive de scancers de l'ethmoïde / F. Guillemin in Cancer Radiothérapie, 25/2 (Avril 2021)
[article]
Titre : Proposition de délinéation des volumes cibles anatomocliniques postopératoires de la tumeur primitive de scancers de l'ethmoïde Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Guillemin Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 200-205 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.04.015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Volume cible anatomo-clinique (CTV) Cancer Radiothérapie Ethmoïde délinéation Résumé : Il est proposé une délinéation des volumes cibles anatomo-liniques de la tumeur primitive (CTV-P) dans les cancers de l’ethmoïde traités par irradiation postpératoire. Ce concept s’appuie sur la connaissance de la radioanatomie et celle de l’histoire naturelle des cancers. Il repose sur le recalage de la scanographie de planification avec les imageries préopératoires pour la remise en place du volume tumoral macroscopique (GTV) initial et la création de marge autour de celui-ci étendue aux zones risques microscopiques selon le concept anatomique. Cet article ne traite pas des indications de radiothérapie externe mais précise les volumes à traiter si une radiothérapie est retenue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71497
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 200-205[article] Proposition de délinéation des volumes cibles anatomocliniques postopératoires de la tumeur primitive de scancers de l'ethmoïde [texte imprimé] / F. Guillemin . - 2021 . - p. 200-205.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.04.015
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/2 (Avril 2021) . - p. 200-205
Mots-clés : Volume cible anatomo-clinique (CTV) Cancer Radiothérapie Ethmoïde délinéation Résumé : Il est proposé une délinéation des volumes cibles anatomo-liniques de la tumeur primitive (CTV-P) dans les cancers de l’ethmoïde traités par irradiation postpératoire. Ce concept s’appuie sur la connaissance de la radioanatomie et celle de l’histoire naturelle des cancers. Il repose sur le recalage de la scanographie de planification avec les imageries préopératoires pour la remise en place du volume tumoral macroscopique (GTV) initial et la création de marge autour de celui-ci étendue aux zones risques microscopiques selon le concept anatomique. Cet article ne traite pas des indications de radiothérapie externe mais précise les volumes à traiter si une radiothérapie est retenue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=71497 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt