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HELHa - Paramédical.
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la revue Sage-femme . Vol. 18, n° 1Mention de date : Février 2019 Paru le : 11/02/2019 |
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---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierLe devenir socioéconomique des mères adolescentes, 10 ans plus tard / A. Bouillaut in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Le devenir socioéconomique des mères adolescentes, 10 ans plus tard Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Bouillaut ; G. Grandazzi ; N. Brielle Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1-6 Langues : Français (fre) Résumé : Le devenir socioéconomique des mères adolescentes dix ans plus tard est un sujet peu traité. Nous avons donc mené des entretiens semi-dirigés auprès de neuf femmes ayant accouché en 2004 au CHU de Caen, alors qu'elles avaient entre 15 et 19 ans. Il ressort de cette étude que le devenir de ces femmes d'un point de vue professionnel et relationnel (conjugal et amical) dépend notamment de leur typologie de grossesse. Concernant le devenir obstétrical et le devenir de l'enfant, nous pouvons globalement dire que ces femmes ont eu en moyenne trois enfants et que leurs enfants ont eu un bon développement. Enfin, l'ensemble des femmes interrogées semble avoir conservé une bonne estime de soi, mais une partie avoue que cela a été une expérience difficile et toutes ne réitéreraient pas cette expérience et ne la souhaitent pas à leurs enfants.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62597
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 1-6[article] Le devenir socioéconomique des mères adolescentes, 10 ans plus tard [texte imprimé] / A. Bouillaut ; G. Grandazzi ; N. Brielle . - 2019 . - p. 1-6.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 1-6
Résumé : Le devenir socioéconomique des mères adolescentes dix ans plus tard est un sujet peu traité. Nous avons donc mené des entretiens semi-dirigés auprès de neuf femmes ayant accouché en 2004 au CHU de Caen, alors qu'elles avaient entre 15 et 19 ans. Il ressort de cette étude que le devenir de ces femmes d'un point de vue professionnel et relationnel (conjugal et amical) dépend notamment de leur typologie de grossesse. Concernant le devenir obstétrical et le devenir de l'enfant, nous pouvons globalement dire que ces femmes ont eu en moyenne trois enfants et que leurs enfants ont eu un bon développement. Enfin, l'ensemble des femmes interrogées semble avoir conservé une bonne estime de soi, mais une partie avoue que cela a été une expérience difficile et toutes ne réitéreraient pas cette expérience et ne la souhaitent pas à leurs enfants.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62597 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : Évaluation lors d’une IVG des freins à l’utilisation de la contraception d’urgence / S. Dupuis in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Republication de : Évaluation lors d’une IVG des freins à l’utilisation de la contraception d’urgence Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Dupuis ; J. Antomarchi ; V. Dani ; M. Dorez ; J. Delotte Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 7-13 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
En France, une grossesse sur trois est non prévue. Parmi celles-ci, la moitié font l'objet d'une interruption volontaire de grossesse. Cependant, l'utilisation de la contraception d'urgence est loin d'être systématique. Il est donc pertinent de s'interroger sur les raisons et les facteurs liés à l'absence de recours à la contraception d'urgence.
Méthodes
Une étude observationnelle rétrospective a été menée dans le service d'orthogénie du centre hospitalier universitaire, sur une période d'un mois et demi. Les patientes consultant dans le cadre d'une interruption volontaire de grossesse étaient soumises à un questionnaire lors d'un entretien semi-dirigé. Les données recueillies étaient : âge, niveau d'étude, profession, taille de la commune d'habitation, statut légal, antécédents obstétricaux, contraception utilisée au moment de la grossesse non prévue, antécédent de prise de la contraception d'urgence et la raison de non prise d'une contraception d'urgence.
Résultats
Cent cinq questionnaires ont été étudiés. Dans 81 % des cas, l'absence de recours à la contraception d'urgence était la conséquence d'une sous-estimation du risque de grossesse. Parmi l'ensemble des variables caractéristiques de la population étudiées, seul le niveau scolaire était lié au motif de non prise de la contraception d'urgence.
Conclusion
La sous-estimation du risque de grossesse est le principal motif de l'absence de recours à la contraception d'urgence, indépendamment du profil de la patiente. Il apparaît essentiel de mieux informer l'ensemble des femmes en âge de procréer et leur entourage sur leur fécondité et sur les mécanismes de la reproduction afin de réduire le nombre de grossesses non prévues en France.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62598
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 7-13[article] Republication de : Évaluation lors d’une IVG des freins à l’utilisation de la contraception d’urgence [texte imprimé] / S. Dupuis ; J. Antomarchi ; V. Dani ; M. Dorez ; J. Delotte . - 2019 . - p. 7-13.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 7-13
Résumé : Objectif
En France, une grossesse sur trois est non prévue. Parmi celles-ci, la moitié font l'objet d'une interruption volontaire de grossesse. Cependant, l'utilisation de la contraception d'urgence est loin d'être systématique. Il est donc pertinent de s'interroger sur les raisons et les facteurs liés à l'absence de recours à la contraception d'urgence.
Méthodes
Une étude observationnelle rétrospective a été menée dans le service d'orthogénie du centre hospitalier universitaire, sur une période d'un mois et demi. Les patientes consultant dans le cadre d'une interruption volontaire de grossesse étaient soumises à un questionnaire lors d'un entretien semi-dirigé. Les données recueillies étaient : âge, niveau d'étude, profession, taille de la commune d'habitation, statut légal, antécédents obstétricaux, contraception utilisée au moment de la grossesse non prévue, antécédent de prise de la contraception d'urgence et la raison de non prise d'une contraception d'urgence.
Résultats
Cent cinq questionnaires ont été étudiés. Dans 81 % des cas, l'absence de recours à la contraception d'urgence était la conséquence d'une sous-estimation du risque de grossesse. Parmi l'ensemble des variables caractéristiques de la population étudiées, seul le niveau scolaire était lié au motif de non prise de la contraception d'urgence.
Conclusion
La sous-estimation du risque de grossesse est le principal motif de l'absence de recours à la contraception d'urgence, indépendamment du profil de la patiente. Il apparaît essentiel de mieux informer l'ensemble des femmes en âge de procréer et leur entourage sur leur fécondité et sur les mécanismes de la reproduction afin de réduire le nombre de grossesses non prévues en France.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : Facteurs organisationnels associés à la réalisation d’une césarienne dans une population à bas risque / C. Duvillier in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Republication de : Facteurs organisationnels associés à la réalisation d’une césarienne dans une population à bas risque Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Duvillier ; A. Rousseau ; C. Bouyer ; F. Goffinet ; P. Rozenberg Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 14-23 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Il existe des différences considérables du taux de césariennes entre les maternités d'une même région. Le taux de césarienne a augmenté ces dernières années dans la population à bas risque. L'objectif de cette étude était d'étudier l'impact des facteurs organisationnels sur le taux de césarienne dans une population à bas risque.
Méthodes
Nous avons réalisé une étude de cohorte rétrospective en population dans les dix maternités du réseau MYPA de 2009 à 2015. Nous avons sélectionné une population à bas risque en ne conservant que les groupes 1 et 3 de la classification de Robson. Le critère de jugement principal était l'accouchement par césarienne. Les facteurs organisationnels étudiés ont regroupé les caractéristiques structurelles des maternités (universitaire ou non, public ou privée, nombre d'accouchement annuel, unité de soins intensifs maternels, unité de soins intensifs néonatals, nombre de salle de naissance) et l'organisation de l'équipe soignante (nombre de sages-femmes et d'obstétriciens, mode de garde, charge de travail et réalisation d'une revue de morbi-mortalité). Nous avons réalisé une analyse multiniveau à intercept aléatoire, univariée puis multivariée en retenant les variables ayant un p<0,20.
Résultats
Notre population d'étude a inclus 64 100 femmes. Le taux de césarienne a varié de 5,5 à 11,3 % parmi les 10 maternités. En analyse univariée, les variables organisationnelles significativement associées à la réalisation d'une césarienne étaient le statut de la maternité (centre hospitalier universitaire, centre hospitalier public non universitaire et établissement privé) et la réalisation d'une revue de morbi-mortalité. Cependant, après ajustement, aucun de ces facteurs organisationnels n'était significativement associé à la réalisation d'une césarienne. Lorsque l'analyse multivariée a été restreinte au sous-groupe des nullipares, le statut privé de la maternité était significativement associé à un taux plus élevé de césariennes (OR=1,39 [1,09-1,76]). De même, la probabilité de césarienne était plus importante lorsque le nombre d'accouchement par salle de naissance augmentait (OR=1,15 [1,01-1,31]). Pour le sous-groupe des multipares, aucune variable n'était significativement associée à la réalisation d'une césarienne.
Conclusion
Dans notre population globale à bas risque, aucun facteur organisationnel n'apparaissait associé à une augmentation du taux de césarienne. En revanche, dans la population des nullipares à bas risque, le statut privé du centre et un nombre élevé d'accouchement par salle de naissance étaient associés à un plus grand nombre de césariennes. Augmenter le nombre de salles de naissance pourrait donc être une piste pour tenter de réduire le nombre de césariennes. Les travaux à venir devraient également chercher à identifier les facteurs spécifiques permettant de réduire les différences de taux de césarienne entre maternités privées et publiques.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62599
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 14-23[article] Republication de : Facteurs organisationnels associés à la réalisation d’une césarienne dans une population à bas risque [texte imprimé] / C. Duvillier ; A. Rousseau ; C. Bouyer ; F. Goffinet ; P. Rozenberg . - 2019 . - p. 14-23.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 14-23
Résumé : Objectif
Il existe des différences considérables du taux de césariennes entre les maternités d'une même région. Le taux de césarienne a augmenté ces dernières années dans la population à bas risque. L'objectif de cette étude était d'étudier l'impact des facteurs organisationnels sur le taux de césarienne dans une population à bas risque.
Méthodes
Nous avons réalisé une étude de cohorte rétrospective en population dans les dix maternités du réseau MYPA de 2009 à 2015. Nous avons sélectionné une population à bas risque en ne conservant que les groupes 1 et 3 de la classification de Robson. Le critère de jugement principal était l'accouchement par césarienne. Les facteurs organisationnels étudiés ont regroupé les caractéristiques structurelles des maternités (universitaire ou non, public ou privée, nombre d'accouchement annuel, unité de soins intensifs maternels, unité de soins intensifs néonatals, nombre de salle de naissance) et l'organisation de l'équipe soignante (nombre de sages-femmes et d'obstétriciens, mode de garde, charge de travail et réalisation d'une revue de morbi-mortalité). Nous avons réalisé une analyse multiniveau à intercept aléatoire, univariée puis multivariée en retenant les variables ayant un p<0,20.
Résultats
Notre population d'étude a inclus 64 100 femmes. Le taux de césarienne a varié de 5,5 à 11,3 % parmi les 10 maternités. En analyse univariée, les variables organisationnelles significativement associées à la réalisation d'une césarienne étaient le statut de la maternité (centre hospitalier universitaire, centre hospitalier public non universitaire et établissement privé) et la réalisation d'une revue de morbi-mortalité. Cependant, après ajustement, aucun de ces facteurs organisationnels n'était significativement associé à la réalisation d'une césarienne. Lorsque l'analyse multivariée a été restreinte au sous-groupe des nullipares, le statut privé de la maternité était significativement associé à un taux plus élevé de césariennes (OR=1,39 [1,09-1,76]). De même, la probabilité de césarienne était plus importante lorsque le nombre d'accouchement par salle de naissance augmentait (OR=1,15 [1,01-1,31]). Pour le sous-groupe des multipares, aucune variable n'était significativement associée à la réalisation d'une césarienne.
Conclusion
Dans notre population globale à bas risque, aucun facteur organisationnel n'apparaissait associé à une augmentation du taux de césarienne. En revanche, dans la population des nullipares à bas risque, le statut privé du centre et un nombre élevé d'accouchement par salle de naissance étaient associés à un plus grand nombre de césariennes. Augmenter le nombre de salles de naissance pourrait donc être une piste pour tenter de réduire le nombre de césariennes. Les travaux à venir devraient également chercher à identifier les facteurs spécifiques permettant de réduire les différences de taux de césarienne entre maternités privées et publiques.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62599 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Maladie de Parkinson et grossesse / S. Maud in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Maladie de Parkinson et grossesse Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Maud ; M. Ben Ismail ; P. Remy Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 24-28 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative, qui touche principalement les personnes de plus de 50 ans. Cette pathologie peu connue chez les jeunes femmes en âge de procréer, pose la question des ressources dont disposent les professionnels de santé spécialisés en obstétrique, afin de les accompagner au mieux dans leur projet de naissance.
Méthode
Présentation d'un cas clinique. Madame D. est une patiente âgée de 39 ans, dont le diagnostic de la maladie a été établi 8 ans plus tôt. Il s'agit d'une Ve geste, future IVe pare qui a déjà connu deux grossesses avec la maladie et qui démarre sa première grossesse sous lévodopa et pramipexole.
Conclusion
Les études disponibles sur le sujet sont peu nombreuses et le plus souvent il s'agit de la présentation d'un à deux cas cliniques. Il semble néanmoins que le traitement permettrait de préserver les capacités physiques des patientes sans qu'aucune incidence obstétricale et fœtale ne lui soit directement imputé.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62600
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 24-28[article] Maladie de Parkinson et grossesse [texte imprimé] / S. Maud ; M. Ben Ismail ; P. Remy . - 2019 . - p. 24-28.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 24-28
Résumé : Objectif
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative, qui touche principalement les personnes de plus de 50 ans. Cette pathologie peu connue chez les jeunes femmes en âge de procréer, pose la question des ressources dont disposent les professionnels de santé spécialisés en obstétrique, afin de les accompagner au mieux dans leur projet de naissance.
Méthode
Présentation d'un cas clinique. Madame D. est une patiente âgée de 39 ans, dont le diagnostic de la maladie a été établi 8 ans plus tôt. Il s'agit d'une Ve geste, future IVe pare qui a déjà connu deux grossesses avec la maladie et qui démarre sa première grossesse sous lévodopa et pramipexole.
Conclusion
Les études disponibles sur le sujet sont peu nombreuses et le plus souvent il s'agit de la présentation d'un à deux cas cliniques. Il semble néanmoins que le traitement permettrait de préserver les capacités physiques des patientes sans qu'aucune incidence obstétricale et fœtale ne lui soit directement imputé.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62600 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Association entre tabagisme maternel et diabète gestationnel : analyse d’études et conclusions pour la pratique clinique / Ingele Roelens in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Association entre tabagisme maternel et diabète gestationnel : analyse d’études et conclusions pour la pratique clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Ingele Roelens ; Ivan Berlin Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 29 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte
Lors de l'ENP 2016, 30 % des femmes indiquaient fumer avant la grossesse et 17 % des femmes ont continué leur tabagisme tout au long de la grossesse. En même temps, plus de 10 % des femmes voient leur grossesse compliquée par l'apparition d'un diabète gestationnel. Le tabagisme est un facteur de risque connu pour le diabète de type 2 (DT2) et le diabète gestationnel peut être cité comme fragilité au niveau métabolique avec un risque élevé de développement de DT2 ultérieur.
Objectif
Mettre en lumière l'association éventuelle du tabagisme avec le développement du diabète gestationnel.
Méthode
Revue systématique de la littérature et analyse des articles pertinents.
Résultats et analyse
Nous avons effectué une recherche de Medline pour des études publiées entre 2002 et 2017 et nous avons identifié 18 études à inclure dans la revue. Trois autres études ont été identifiées dans les bibliographies.
Sept études montraient un effet facteur de risque du tabagisme actuel ou récemment arrêté, 4 études ne trouvaient aucune association et 4 études montraient un effet protecteur du tabagisme. Les données présentées de 3 autres études ne permettaient pas d'établir une conclusion quelconque. Les différentes études sont décrites et analysées.
Discussion
Toutes les études sont caractérisées par un voire plusieurs biais. Le plus courant des biais est l'absence de validation du statut tabagique, ce qui sous-estime sensiblement la taille du groupe des femmes tabagiques. Plusieurs études stratifient les groupes selon leurs habitudes tabagiques, or ceci est difficile à analyser car il ne s'agit que de l'auto-déclaratif. Un dernier biais soulevé est un potentiel tabagisme passif. Plusieurs évidences physiopathologiques ne semblent pas être prises en compte, telles que le cumul du stress métabolique du tabagisme avec celui d'un arrêt tabagique ou que l'influence du tabagisme actif sur le métabolisme glucidique lui-même. En dernier, sont discutés les facteurs de risque pour le diabète gestationnel.
Conclusions pour la pratique clinique
Il n'est pas possible ce jour de conclure sur un effet négatif ou positif du tabagisme sur le développement du DG. Les effets néfastes pour le développement fœtal font en sorte que chaque femme devrait recevoir le conseil d'arrêter son tabagisme et devrait avoir droit à une aide pour l'arrêt. Il paraît évident d'accompagner et conseiller les femmes ayant récemment arrêté lorsque leur prise de poids est rapide et plus important que la prise de poids optimale.
Perspectives
Un protocole de meta-analyse est en cours d'élaboration et sera publié sur Prospero. Entre-autres, le protocole tiendra compte des risques de biais ainsi que l'évaluation de l'hétérogénéité, l'analyse en détail des divers sous-groupes (par exemple : fumeuses versus non-fumeuses ; fumeuses qui ont arrêté de fumer pendant la grossesse versus les femmes enceintes qui continuent de fumer pendant la grossesse et non-fumeuses), l'ajustement sera fait sur les variables confondantes.
Note de contenu : Poster Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62601
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 29[article] Association entre tabagisme maternel et diabète gestationnel : analyse d’études et conclusions pour la pratique clinique [texte imprimé] / Ingele Roelens ; Ivan Berlin . - 2019 . - p. 29.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 29
Résumé : Contexte
Lors de l'ENP 2016, 30 % des femmes indiquaient fumer avant la grossesse et 17 % des femmes ont continué leur tabagisme tout au long de la grossesse. En même temps, plus de 10 % des femmes voient leur grossesse compliquée par l'apparition d'un diabète gestationnel. Le tabagisme est un facteur de risque connu pour le diabète de type 2 (DT2) et le diabète gestationnel peut être cité comme fragilité au niveau métabolique avec un risque élevé de développement de DT2 ultérieur.
Objectif
Mettre en lumière l'association éventuelle du tabagisme avec le développement du diabète gestationnel.
Méthode
Revue systématique de la littérature et analyse des articles pertinents.
Résultats et analyse
Nous avons effectué une recherche de Medline pour des études publiées entre 2002 et 2017 et nous avons identifié 18 études à inclure dans la revue. Trois autres études ont été identifiées dans les bibliographies.
Sept études montraient un effet facteur de risque du tabagisme actuel ou récemment arrêté, 4 études ne trouvaient aucune association et 4 études montraient un effet protecteur du tabagisme. Les données présentées de 3 autres études ne permettaient pas d'établir une conclusion quelconque. Les différentes études sont décrites et analysées.
Discussion
Toutes les études sont caractérisées par un voire plusieurs biais. Le plus courant des biais est l'absence de validation du statut tabagique, ce qui sous-estime sensiblement la taille du groupe des femmes tabagiques. Plusieurs études stratifient les groupes selon leurs habitudes tabagiques, or ceci est difficile à analyser car il ne s'agit que de l'auto-déclaratif. Un dernier biais soulevé est un potentiel tabagisme passif. Plusieurs évidences physiopathologiques ne semblent pas être prises en compte, telles que le cumul du stress métabolique du tabagisme avec celui d'un arrêt tabagique ou que l'influence du tabagisme actif sur le métabolisme glucidique lui-même. En dernier, sont discutés les facteurs de risque pour le diabète gestationnel.
Conclusions pour la pratique clinique
Il n'est pas possible ce jour de conclure sur un effet négatif ou positif du tabagisme sur le développement du DG. Les effets néfastes pour le développement fœtal font en sorte que chaque femme devrait recevoir le conseil d'arrêter son tabagisme et devrait avoir droit à une aide pour l'arrêt. Il paraît évident d'accompagner et conseiller les femmes ayant récemment arrêté lorsque leur prise de poids est rapide et plus important que la prise de poids optimale.
Perspectives
Un protocole de meta-analyse est en cours d'élaboration et sera publié sur Prospero. Entre-autres, le protocole tiendra compte des risques de biais ainsi que l'évaluation de l'hétérogénéité, l'analyse en détail des divers sous-groupes (par exemple : fumeuses versus non-fumeuses ; fumeuses qui ont arrêté de fumer pendant la grossesse versus les femmes enceintes qui continuent de fumer pendant la grossesse et non-fumeuses), l'ajustement sera fait sur les variables confondantes.
Note de contenu : Poster Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62601 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF (texte court) / N. Chabbert-Buffet in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Republication de : Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF (texte court) Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Chabbert-Buffet ; H. Marret ; Aubert Agostini ; C. Cardinale ; N. Hamdaoui ; D. Hassoun ; A.-P. Jonville-Bera ; M. Lambert ; T. Linet ; Catherine Pienkowski ; Geneviève Plu-Bureau ; D. Pragout ; G. Robin ; C. Rousset-Jablonski ; M. Scheffler ; F. Vidal ; S. Vigoureux ; Bernard Hédon (1953-....) Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 30-51 Langues : Français (fre) Résumé : Ces Recommandations pour la pratique clinique en contraception sont les premières promues par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), afin d'aider le praticien à prendre une décision médicale en lui fournissant une synthèse des données scientifiques existantes sur le sujet. La méthodologie de la Haute Autorité de santé (HAS) a été adoptée. Douze questions pratiques ont été sélectionnées par le comité d'organisation et le groupe de travail. La littérature a été analysée jusqu'en décembre 2017, des recommandations basées sur le niveau de preuve ont été proposées affectées d'un grade. Les textes longs, dont cette synthèse est issue, ont été relus par des experts en contraception et des praticiens du secteur privé ou public, ayant une activité en contraception. Des recommandations pratiques sont ainsi proposées pour la conduite de la consultation de contraception, l'information sur les méthodes contraceptives, leurs risques et bénéfices non contraceptifs, la gestion de la contraception hormonale en pratique, la contraception intra-utérine, la contraception d'urgence, les méthodes locales et naturelles, la contraception chez les adolescentes, après 40 ans, en situation à risque vasculaire ou carcinologique. La contraception définitive et l'emploi pour la contraception de molécules ne disposant pas d'une autorisation de mise sur le marché ont été exclus du champ de ces recommandations. L'avenir de la contraception à court et moyen terme tel qu'il peut être anticipé aujourd'hui, passe avant tout par le bon usage des moyens dont nous disposons aujourd'hui, l'information des femmes et l'amélioration de l'accès aux contraceptions pour toutes les femmes. C'est l'objectif poursuivi par ces recommandations de pratique clinique du CNGOF.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62602
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 30-51[article] Republication de : Contraception : Recommandations pour la Pratique Clinique du CNGOF (texte court) [texte imprimé] / N. Chabbert-Buffet ; H. Marret ; Aubert Agostini ; C. Cardinale ; N. Hamdaoui ; D. Hassoun ; A.-P. Jonville-Bera ; M. Lambert ; T. Linet ; Catherine Pienkowski ; Geneviève Plu-Bureau ; D. Pragout ; G. Robin ; C. Rousset-Jablonski ; M. Scheffler ; F. Vidal ; S. Vigoureux ; Bernard Hédon (1953-....) . - 2019 . - p. 30-51.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 30-51
Résumé : Ces Recommandations pour la pratique clinique en contraception sont les premières promues par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), afin d'aider le praticien à prendre une décision médicale en lui fournissant une synthèse des données scientifiques existantes sur le sujet. La méthodologie de la Haute Autorité de santé (HAS) a été adoptée. Douze questions pratiques ont été sélectionnées par le comité d'organisation et le groupe de travail. La littérature a été analysée jusqu'en décembre 2017, des recommandations basées sur le niveau de preuve ont été proposées affectées d'un grade. Les textes longs, dont cette synthèse est issue, ont été relus par des experts en contraception et des praticiens du secteur privé ou public, ayant une activité en contraception. Des recommandations pratiques sont ainsi proposées pour la conduite de la consultation de contraception, l'information sur les méthodes contraceptives, leurs risques et bénéfices non contraceptifs, la gestion de la contraception hormonale en pratique, la contraception intra-utérine, la contraception d'urgence, les méthodes locales et naturelles, la contraception chez les adolescentes, après 40 ans, en situation à risque vasculaire ou carcinologique. La contraception définitive et l'emploi pour la contraception de molécules ne disposant pas d'une autorisation de mise sur le marché ont été exclus du champ de ces recommandations. L'avenir de la contraception à court et moyen terme tel qu'il peut être anticipé aujourd'hui, passe avant tout par le bon usage des moyens dont nous disposons aujourd'hui, l'information des femmes et l'amélioration de l'accès aux contraceptions pour toutes les femmes. C'est l'objectif poursuivi par ces recommandations de pratique clinique du CNGOF.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62602 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : La contraception d’urgence. RPC Contraception CNGOF / N. Hamdaoui in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Republication de : La contraception d’urgence. RPC Contraception CNGOF Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Hamdaoui ; C. Cardinale ; Aubert Agostini Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 52-59 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs
Éditer, par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), des recommandations fondées sur les preuves disponibles dans la littérature pour l'utilisation en termes d'efficacité, de sécurité et d'effets secondaires de la contraception d'urgence (CU).
Méthodes
Une revue de la littérature a été effectuée en consultant les données Medline, Cochrane Library et les recommandations internationales en langue française et anglaise du 1er janvier 1979 jusqu'au 1er mai 2018.
Résultats
Il est recommandé d'informer les patientes que la CU n'est pas efficace à 100 %. Un test de grossesse est recommandé en cas de retard de règles après prise d'une CU. Il est recommandé d'utiliser la CU le plus tôt possible après le rapport à risque. En l'absence de contraception au long cours, dans les 72 premières heures après le rapport sans protection, l'ulipristal acétate (UPA) ou le lévonorgestrel (LNG) peuvent être proposés avec une supériorité de l'UPA entre 0 et 72h. Au-delà de 72h, les données suggèrent une meilleure efficacité de l'UPA. Cependant, en prenant en compte des éléments pratiques (accès à la CU, coût, répercussions sur la prise d'une contraception hormonale après UPA), il est difficile de recommander l'UPA en priorité entre 0 et 72h. Les menstruations sont plus susceptibles d'arriver précocement avec le LNG. Le DIU au cuivre est une méthode efficace et peut être utilisé en CU jusqu'à 120h après un rapport sexuel non protégé ou en cas de risque d'échec d'une méthode contraceptive.
Conclusion
La contraception d'urgence n'est pas efficace à 100 %. Plus la prise de la CU est proche du rapport à risque, plus elle est efficace en termes de taux de grossesse.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62603
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 52-59[article] Republication de : La contraception d’urgence. RPC Contraception CNGOF [texte imprimé] / N. Hamdaoui ; C. Cardinale ; Aubert Agostini . - 2019 . - p. 52-59.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 52-59
Résumé : Objectifs
Éditer, par le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), des recommandations fondées sur les preuves disponibles dans la littérature pour l'utilisation en termes d'efficacité, de sécurité et d'effets secondaires de la contraception d'urgence (CU).
Méthodes
Une revue de la littérature a été effectuée en consultant les données Medline, Cochrane Library et les recommandations internationales en langue française et anglaise du 1er janvier 1979 jusqu'au 1er mai 2018.
Résultats
Il est recommandé d'informer les patientes que la CU n'est pas efficace à 100 %. Un test de grossesse est recommandé en cas de retard de règles après prise d'une CU. Il est recommandé d'utiliser la CU le plus tôt possible après le rapport à risque. En l'absence de contraception au long cours, dans les 72 premières heures après le rapport sans protection, l'ulipristal acétate (UPA) ou le lévonorgestrel (LNG) peuvent être proposés avec une supériorité de l'UPA entre 0 et 72h. Au-delà de 72h, les données suggèrent une meilleure efficacité de l'UPA. Cependant, en prenant en compte des éléments pratiques (accès à la CU, coût, répercussions sur la prise d'une contraception hormonale après UPA), il est difficile de recommander l'UPA en priorité entre 0 et 72h. Les menstruations sont plus susceptibles d'arriver précocement avec le LNG. Le DIU au cuivre est une méthode efficace et peut être utilisé en CU jusqu'à 120h après un rapport sexuel non protégé ou en cas de risque d'échec d'une méthode contraceptive.
Conclusion
La contraception d'urgence n'est pas efficace à 100 %. Plus la prise de la CU est proche du rapport à risque, plus elle est efficace en termes de taux de grossesse.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62603 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt