Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Mention de date : Juillet 2018
Paru le : 01/07/2018
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[n° ou bulletin]
3/2018 - Juillet 2018 - [texte imprimé] . - 2018. Langues : Français ( fre) | |
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[article]
Titre : |
Une révolution dans la thérapie génique : chance ou danger pour l’homme ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Mireille Leduc, Auteur |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p.8-20 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
La thérapie génique entre dans une ère nouvelle grâce à la technique CRISPR/Cas9. D’utilisation simple et d’un coût peu élevé, elle permet de modifier l’ADN non seulement des cellules somatiques mais aussi des cellules germinales et des embryons. Un certain nombre de scientifiques ont pris conscience qu’une telle technologie constituait un outil très puissant. En 2015, un sommet international à Washington a étudié les défis éthiques et scientifiques posés par la thérapie génique germinale humaine.
Les arguments en faveur de la thérapie génique apportés au cours du colloque de Washington ont été les suivants : la possibilité d’éliminer définitivement certaines maladies génétiques ; une alternative par la procréation médicalement assistée pour des couples homozygotes d’implanter dans l’utérus des embryons traités, c’est-à-dire sains. Répondant à certains arguments critiques, un moratoire a été décidé pour deux raisons. La première est un refus de la thérapie génique germinale tant qu’elle n’aboutit pas à un fort taux de correction de gènes et qu’elle n’élimine pas les modifications indésirables. La seconde est un refus de la thérapie génique germinale tant que les débats éthiques entre scientifiques et société ne réussissent pas à définir le bien commun. Au cours de ce sommet, un fort consensus pour ces deux moratoires s’est accompagné de la prise de conscience de nouvelles questions éthiques. Aucune décision commune n’a été prise, mais des voix se sont élevées pour rappeler... |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59326 |
in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.8-20
[article] Une révolution dans la thérapie génique : chance ou danger pour l’homme ? [texte imprimé] / Mireille Leduc, Auteur . - 2018 . - p.8-20. Langues : Français ( fre) in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.8-20
Résumé : |
La thérapie génique entre dans une ère nouvelle grâce à la technique CRISPR/Cas9. D’utilisation simple et d’un coût peu élevé, elle permet de modifier l’ADN non seulement des cellules somatiques mais aussi des cellules germinales et des embryons. Un certain nombre de scientifiques ont pris conscience qu’une telle technologie constituait un outil très puissant. En 2015, un sommet international à Washington a étudié les défis éthiques et scientifiques posés par la thérapie génique germinale humaine.
Les arguments en faveur de la thérapie génique apportés au cours du colloque de Washington ont été les suivants : la possibilité d’éliminer définitivement certaines maladies génétiques ; une alternative par la procréation médicalement assistée pour des couples homozygotes d’implanter dans l’utérus des embryons traités, c’est-à-dire sains. Répondant à certains arguments critiques, un moratoire a été décidé pour deux raisons. La première est un refus de la thérapie génique germinale tant qu’elle n’aboutit pas à un fort taux de correction de gènes et qu’elle n’élimine pas les modifications indésirables. La seconde est un refus de la thérapie génique germinale tant que les débats éthiques entre scientifiques et société ne réussissent pas à définir le bien commun. Au cours de ce sommet, un fort consensus pour ces deux moratoires s’est accompagné de la prise de conscience de nouvelles questions éthiques. Aucune décision commune n’a été prise, mais des voix se sont élevées pour rappeler... |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59326 |
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Exemplaires (1)
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Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Prélèvements d’organes chez les personnes décédées : évolutions législatives |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Vanessa Labeye, Auteur |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p.21-34 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Le prélèvement et la greffe d’organes relèvent du domaine de la bioéthique. Leur réalisation touche à la mort et à la re-naissance ; elle interroge chacun sur ses relations avec son corps et met en jeu les ressorts de ses convictions les plus intimes. Les questions ainsi soulevées mettent en évidence des conflits de valeurs ; elles ont trait à l’autonomie de la personne et à sa liberté de choix, au désir de sauver des vies et à la solidarité, en résonance avec les fondements de notre société républicaine « liberté, égalité et fraternité ». Mais le prélèvement pose aussi la question de la vulnérabilité des proches, ainsi que celles du poids de l’atteinte au corps pour le bénéfice d’autrui et de la dignité de la personne décédée.
Les lois de bioéthique de 1994 établissent le cadre légal des questions qui touchent au corps ; elles posent des limites qui permettent la protection des personnes dans la pratique des sciences biomédicales : comme le formulait Rabelais, « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Des révisions régulières de ces lois ont été prévues par le législateur. Ainsi, un nouveau processus de révision a été mis en oeuvre par le Comité consultatif national d’éthique avec la conduite des Etats généraux de la bioéthique depuis janvier 2018. Dans toute la France, des groupes de personnes d’horizons divers ont participé à ces débats et partagé leur vision partielle et personnelle afin de dégager un cadre éclairant la complexité des questions soulevées. En dehors de ces révisions prédéterminées, « tout projet de réforme sur les problèmes éthiques, sur les questions de société soulevées par le progrès des connaissances dans le domaine de la biologie, de la médecine ou la santé, doit... |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59327 |
in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.21-34
[article] Prélèvements d’organes chez les personnes décédées : évolutions législatives [texte imprimé] / Vanessa Labeye, Auteur . - 2018 . - p.21-34. Langues : Français ( fre) in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.21-34
Résumé : |
Le prélèvement et la greffe d’organes relèvent du domaine de la bioéthique. Leur réalisation touche à la mort et à la re-naissance ; elle interroge chacun sur ses relations avec son corps et met en jeu les ressorts de ses convictions les plus intimes. Les questions ainsi soulevées mettent en évidence des conflits de valeurs ; elles ont trait à l’autonomie de la personne et à sa liberté de choix, au désir de sauver des vies et à la solidarité, en résonance avec les fondements de notre société républicaine « liberté, égalité et fraternité ». Mais le prélèvement pose aussi la question de la vulnérabilité des proches, ainsi que celles du poids de l’atteinte au corps pour le bénéfice d’autrui et de la dignité de la personne décédée.
Les lois de bioéthique de 1994 établissent le cadre légal des questions qui touchent au corps ; elles posent des limites qui permettent la protection des personnes dans la pratique des sciences biomédicales : comme le formulait Rabelais, « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Des révisions régulières de ces lois ont été prévues par le législateur. Ainsi, un nouveau processus de révision a été mis en oeuvre par le Comité consultatif national d’éthique avec la conduite des Etats généraux de la bioéthique depuis janvier 2018. Dans toute la France, des groupes de personnes d’horizons divers ont participé à ces débats et partagé leur vision partielle et personnelle afin de dégager un cadre éclairant la complexité des questions soulevées. En dehors de ces révisions prédéterminées, « tout projet de réforme sur les problèmes éthiques, sur les questions de société soulevées par le progrès des connaissances dans le domaine de la biologie, de la médecine ou la santé, doit... |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59327 |
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Exemplaires (1)
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Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Implications éthiques du Comité d’expert donneur vivant dans le don d’organe |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Isabelle Pipien, Auteur |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p.35-46 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Pour les greffes d’organes, le donneur vivant est un donneur optimal. En effet, la possibilité de réaliser le prélèvement et la greffe dans le cadre d’une programmation réglée permet de mieux maîtriser l’évaluation des risques, l’adéquation du donneur au receveur et surtout le temps d’ischémie du greffon entre son prélèvement et sa greffe. Les enjeux ne sont pas moindres dans le domaine de la greffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH). En effet, l’extrême rareté de la compatibilité immunologique en population générale conduit à rechercher le donneur dans la famille. C’est la seule situation dans laquelle le don peut être fait par un enfant.
En 2017, 611 greffes rénales ont été réalisées à partir d’un donneur vivant. Si elle est en constante augmentation, cette activité reste faible, de l’ordre de 16% en dessous de la moyenne observée en Europe. Pourtant le donneur vivant est un donneur optimal. La possibilité de réaliser le prélèvement et la greffe dans le cadre d’une programmation réglée permet de mieux maîtriser l’évaluation des risques, l’adéquation du donneur au receveur et surtout le temps d’ischémie du greffon entre son prélèvement et sa greffe. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59328 |
in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.35-46
[article] Implications éthiques du Comité d’expert donneur vivant dans le don d’organe [texte imprimé] / Isabelle Pipien, Auteur . - 2018 . - p.35-46. Langues : Français ( fre) in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.35-46
Résumé : |
Pour les greffes d’organes, le donneur vivant est un donneur optimal. En effet, la possibilité de réaliser le prélèvement et la greffe dans le cadre d’une programmation réglée permet de mieux maîtriser l’évaluation des risques, l’adéquation du donneur au receveur et surtout le temps d’ischémie du greffon entre son prélèvement et sa greffe. Les enjeux ne sont pas moindres dans le domaine de la greffe de cellules souches hématopoïétiques (CSH). En effet, l’extrême rareté de la compatibilité immunologique en population générale conduit à rechercher le donneur dans la famille. C’est la seule situation dans laquelle le don peut être fait par un enfant.
En 2017, 611 greffes rénales ont été réalisées à partir d’un donneur vivant. Si elle est en constante augmentation, cette activité reste faible, de l’ordre de 16% en dessous de la moyenne observée en Europe. Pourtant le donneur vivant est un donneur optimal. La possibilité de réaliser le prélèvement et la greffe dans le cadre d’une programmation réglée permet de mieux maîtriser l’évaluation des risques, l’adéquation du donneur au receveur et surtout le temps d’ischémie du greffon entre son prélèvement et sa greffe. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59328 |
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Exemplaires (1)
|
Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Nouvelles de la révision des lois de bioéthique |
Type de document : |
texte imprimé |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p.47-48 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’éditorial de Bruno Saintôt qui ouvre ce numéro, titré « Quelles libertés et quelles solidarités en fin de vie ? », a été rédigé avant la publication des conclusions des Etats généraux de la bioéthique. Avant même que ceux-ci soient engagés, le principe d’une réflexion sur la fin de vie semblait devoir être écarté. En effet, la professeure Agnès Buzin, ministre des Solidarités et de la Santé, s’était montrée réservée dès janvier 2018 quant à la préparation d’une nouvelle législation pour un « sujet éminemment compliqué ». Elle suggérait que l’on commence par travailler sur la loi Claeys-Leonetti de février 2016 qui est peu connue et dont les conclusions ne sont encore guère appliquées.
Très rapidement pourtant, il a paru évident que cette question était au coeur des préoccupations des Français et serait difficilement éludée des débats des Etats généraux. En effet, dès l’ouverture du site Internet mis en ligne par le CCNE – et alors que huit autres thèmes (dont la procréation) sollicitaient l’attention des internautes – le thème « fin de vie » rassemblait un nombre croissant d’interventions des citoyens, de même que celui sur la procréation. De multiples débats lui étaient consacrés dans les espaces éthiques régionaux. Des positions étaient exprimées et discutées dans la presse écrite, à titre personnel, par l’intermédiaire de tribunes ou dans les médias audiovisuels |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59329 |
in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.47-48
[article] Nouvelles de la révision des lois de bioéthique [texte imprimé] . - 2018 . - p.47-48. Langues : Français ( fre) in Laennec. Santé - Médecine - Éthique > 3/2018 (Juillet 2018) . - p.47-48
Résumé : |
L’éditorial de Bruno Saintôt qui ouvre ce numéro, titré « Quelles libertés et quelles solidarités en fin de vie ? », a été rédigé avant la publication des conclusions des Etats généraux de la bioéthique. Avant même que ceux-ci soient engagés, le principe d’une réflexion sur la fin de vie semblait devoir être écarté. En effet, la professeure Agnès Buzin, ministre des Solidarités et de la Santé, s’était montrée réservée dès janvier 2018 quant à la préparation d’une nouvelle législation pour un « sujet éminemment compliqué ». Elle suggérait que l’on commence par travailler sur la loi Claeys-Leonetti de février 2016 qui est peu connue et dont les conclusions ne sont encore guère appliquées.
Très rapidement pourtant, il a paru évident que cette question était au coeur des préoccupations des Français et serait difficilement éludée des débats des Etats généraux. En effet, dès l’ouverture du site Internet mis en ligne par le CCNE – et alors que huit autres thèmes (dont la procréation) sollicitaient l’attention des internautes – le thème « fin de vie » rassemblait un nombre croissant d’interventions des citoyens, de même que celui sur la procréation. De multiples débats lui étaient consacrés dans les espaces éthiques régionaux. Des positions étaient exprimées et discutées dans la presse écrite, à titre personnel, par l’intermédiaire de tribunes ou dans les médias audiovisuels |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59329 |
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Exemplaires (1)
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Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |