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La revue Sage-femme . Vol. 17, n° 2Mention de date : Avril 2018 Paru le : 11/04/2018 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierObservance des méthodes contraceptives pre-IVG et analyse des changements comportementaux post-IVG / Chloé Schoub-Thieblemont in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 2 (Avril 2018)
[article]
Titre : Observance des méthodes contraceptives pre-IVG et analyse des changements comportementaux post-IVG Type de document : texte imprimé Auteurs : Chloé Schoub-Thieblemont ; M. Nadjafizadeh Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 49-53 Langues : Français (fre) Résumé : Contexte
Depuis plusieurs années, en France, le nombre d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) est stable, malgré l’usage largement répandu de divers moyens de contraception, et la maîtrise de la reproduction qu’ils permettent aux femmes.
Objectifs
Nous avons effectué un état des lieux des comportements contraceptifs et de l’observance des méthodes avant puis après une IVG, et nous avons notamment analysé les défauts d’usage et la prévalence des méthodes utilisées.
Méthodes
Il s’agit d’une étude observationnelle, descriptive et analytique, réalisée entre le 1er octobre 2016 et le 28 février 2017 à la maternité régionale universitaire de Nancy. Les 70 patientes inclues dans notre cohorte avaient réalisé une IVG, médicamenteuse ou chirurgicale, ou effectué leur consultation de contrôle post-IVG à la maternité, au cours de cette période. Le recueil des données s’est effectué par le biais de questionnaires qui avaient été distribués aux patientes, et dont l’analyse reposait sur de multiples variances.
Résultats
En pré-IVG, la pilule était majoritairement utilisée, suivie par l’emploi du préservatif masculin. Près d’un quart des patientes n’utilisait pas de moyen de contraception et l’usage de dispositifs intra-utérin (DIU) et d’implants était mineur. La quasi-intégralité de notre cohorte avait commis des erreurs contraceptives durant les 3 derniers mois pré-IVG, et une part importante de notre population avait changé ou interrompu sa contraception au cours des 6 derniers mois. En post-IVG, l’usage de DIU ou d’implants augmentait nettement avec la moitié de notre cohorte qui les employait, suivi de près par l’utilisation de la pilule. L’absence de contraception ne concernait plus que 4 patientes, et l’usage du préservatif reculait considérablement.
Conclusion
Les erreurs contraceptives se révèlent nombreuses avant l’avortement et les comportements contraceptifs sont différents, selon qu’ils étaient analysés en pré ou post-IVG. Les prescriptions post-IVG favorisent les méthodes réversibles de longue durée d’action et semblent davantage adaptées au mode de vie et à la sexualité des femmes ou du couple.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57926
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 49-53[article] Observance des méthodes contraceptives pre-IVG et analyse des changements comportementaux post-IVG [texte imprimé] / Chloé Schoub-Thieblemont ; M. Nadjafizadeh . - 2018 . - p. 49-53.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 49-53
Résumé : Contexte
Depuis plusieurs années, en France, le nombre d’interruptions volontaires de grossesse (IVG) est stable, malgré l’usage largement répandu de divers moyens de contraception, et la maîtrise de la reproduction qu’ils permettent aux femmes.
Objectifs
Nous avons effectué un état des lieux des comportements contraceptifs et de l’observance des méthodes avant puis après une IVG, et nous avons notamment analysé les défauts d’usage et la prévalence des méthodes utilisées.
Méthodes
Il s’agit d’une étude observationnelle, descriptive et analytique, réalisée entre le 1er octobre 2016 et le 28 février 2017 à la maternité régionale universitaire de Nancy. Les 70 patientes inclues dans notre cohorte avaient réalisé une IVG, médicamenteuse ou chirurgicale, ou effectué leur consultation de contrôle post-IVG à la maternité, au cours de cette période. Le recueil des données s’est effectué par le biais de questionnaires qui avaient été distribués aux patientes, et dont l’analyse reposait sur de multiples variances.
Résultats
En pré-IVG, la pilule était majoritairement utilisée, suivie par l’emploi du préservatif masculin. Près d’un quart des patientes n’utilisait pas de moyen de contraception et l’usage de dispositifs intra-utérin (DIU) et d’implants était mineur. La quasi-intégralité de notre cohorte avait commis des erreurs contraceptives durant les 3 derniers mois pré-IVG, et une part importante de notre population avait changé ou interrompu sa contraception au cours des 6 derniers mois. En post-IVG, l’usage de DIU ou d’implants augmentait nettement avec la moitié de notre cohorte qui les employait, suivi de près par l’utilisation de la pilule. L’absence de contraception ne concernait plus que 4 patientes, et l’usage du préservatif reculait considérablement.
Conclusion
Les erreurs contraceptives se révèlent nombreuses avant l’avortement et les comportements contraceptifs sont différents, selon qu’ils étaient analysés en pré ou post-IVG. Les prescriptions post-IVG favorisent les méthodes réversibles de longue durée d’action et semblent davantage adaptées au mode de vie et à la sexualité des femmes ou du couple.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57926 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Les conséquences des régimes végétariens et végétaliens pendant la grossesse et la lactation, sur la femme enceinte, le foetus, le nouveau-né et le nourrisson / L. El Ayoubi in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 2 (Avril 2018)
[article]
Titre : Les conséquences des régimes végétariens et végétaliens pendant la grossesse et la lactation, sur la femme enceinte, le foetus, le nouveau-né et le nourrisson Type de document : texte imprimé Auteurs : L. El Ayoubi ; Florence Comte Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 54-62 Langues : Français (fre) Résumé : Objectifs
Identifier les conséquences des régimes végétariens et végétaliens pendant la grossesse et la lactation, sur la femme enceinte, le fœtus, le nouveau-né et le nourrisson. Répertorier les carences alimentaires provoquées par ces différents régimes pendant la grossesse et la lactation.
Matériels et méthode
Recherche bibliographique entre 1981 et 2015 sur les bases de données Pubmed et Cochrane Library et recherche de proche en proche à partir de la bibliographie des articles.
Résultats
La carence alimentaire la plus fréquemment identifiée pendant la grossesse et la lactation chez les femmes végétariennes et végétaliennes est la carence en vitamine B12, sachant qu’il existe également d’autres carences potentielles : carences en zinc, fer, calcium et protéines. Ces différentes carences ont de nombreuses et importantes conséquences maternelles, fœtales, néonatales et infantiles, notamment anémies, retards de croissance intra-utérins, altérations de la croissance staturo-pondérale, troubles neurologiques, retards mentaux à long-terme, etc.
Conclusion
Étant donné la gravité des conséquences que peuvent entraîner ces régimes pendant la grossesse et la lactation sur la santé maternelle, fœtale, néonatale et infantile, il semblerait judicieux de mettre en place, d’une part, un dépistage précoce et systématique de ces pratiques alimentaires dès les premiers mois de la grossesse et, d’autre part, une supplémentation adaptée aux différentes carences potentielles. À cet égard, le rôle de la sage-femme est important du fait de sa proximité avec les femmes enceintes, les femmes allaitantes et les nouveau-nés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57927
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 54-62[article] Les conséquences des régimes végétariens et végétaliens pendant la grossesse et la lactation, sur la femme enceinte, le foetus, le nouveau-né et le nourrisson [texte imprimé] / L. El Ayoubi ; Florence Comte . - 2018 . - p. 54-62.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 54-62
Résumé : Objectifs
Identifier les conséquences des régimes végétariens et végétaliens pendant la grossesse et la lactation, sur la femme enceinte, le fœtus, le nouveau-né et le nourrisson. Répertorier les carences alimentaires provoquées par ces différents régimes pendant la grossesse et la lactation.
Matériels et méthode
Recherche bibliographique entre 1981 et 2015 sur les bases de données Pubmed et Cochrane Library et recherche de proche en proche à partir de la bibliographie des articles.
Résultats
La carence alimentaire la plus fréquemment identifiée pendant la grossesse et la lactation chez les femmes végétariennes et végétaliennes est la carence en vitamine B12, sachant qu’il existe également d’autres carences potentielles : carences en zinc, fer, calcium et protéines. Ces différentes carences ont de nombreuses et importantes conséquences maternelles, fœtales, néonatales et infantiles, notamment anémies, retards de croissance intra-utérins, altérations de la croissance staturo-pondérale, troubles neurologiques, retards mentaux à long-terme, etc.
Conclusion
Étant donné la gravité des conséquences que peuvent entraîner ces régimes pendant la grossesse et la lactation sur la santé maternelle, fœtale, néonatale et infantile, il semblerait judicieux de mettre en place, d’une part, un dépistage précoce et systématique de ces pratiques alimentaires dès les premiers mois de la grossesse et, d’autre part, une supplémentation adaptée aux différentes carences potentielles. À cet égard, le rôle de la sage-femme est important du fait de sa proximité avec les femmes enceintes, les femmes allaitantes et les nouveau-nés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57927 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Apport de la surveillance Réseau Mater dans l'amélioration continue de qualité des soins en obstétrique / M.A. Favreau-Confesson in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 2 (Avril 2018)
[article]
Titre : Apport de la surveillance Réseau Mater dans l'amélioration continue de qualité des soins en obstétrique Type de document : texte imprimé Auteurs : M.A. Favreau-Confesson ; C. Brunet ; M.-P. Veuillet ; G. Spagnolo ; A. Huby-Machado ; F. De Carlini ; C. Pinheiro ; D. Plasse ; G. Picod Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 63-66 Langues : Français (fre) Résumé : La maternité du centre hospitalier de Mâcon effectue depuis 2002 le suivi des infections du post-partum dans le cadre du Réseau Mater. Elle a été alertée en 2008 par le directeur du Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (CCLIN) Sud-Est et le médecin coordonnateur du réseau, sur l’augmentation significative du nombre observé des endométrites sur accouchement par voie basse, ainsi que des infections de site opératoire et des infections urinaires sur césarienne, par rapport au nombre attendu. Dès lors, le service a engagé un programme d’actions et d’amélioration de la qualité, dans une approche pluriprofessionnelle, portant sur les organisations de travail, les pratiques professionnelles, l’information et l’implication des patientes dans la prévention du risque infectieux, ainsi que la réhabilitation du bloc obstétrical. L’analyse des données annuelles de surveillance par le Réseau Mater montre, depuis 2010, la normalisation des ratios standardisés d’infections nosocomiales. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57928
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 63-66[article] Apport de la surveillance Réseau Mater dans l'amélioration continue de qualité des soins en obstétrique [texte imprimé] / M.A. Favreau-Confesson ; C. Brunet ; M.-P. Veuillet ; G. Spagnolo ; A. Huby-Machado ; F. De Carlini ; C. Pinheiro ; D. Plasse ; G. Picod . - 2018 . - p. 63-66.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 63-66
Résumé : La maternité du centre hospitalier de Mâcon effectue depuis 2002 le suivi des infections du post-partum dans le cadre du Réseau Mater. Elle a été alertée en 2008 par le directeur du Centre de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (CCLIN) Sud-Est et le médecin coordonnateur du réseau, sur l’augmentation significative du nombre observé des endométrites sur accouchement par voie basse, ainsi que des infections de site opératoire et des infections urinaires sur césarienne, par rapport au nombre attendu. Dès lors, le service a engagé un programme d’actions et d’amélioration de la qualité, dans une approche pluriprofessionnelle, portant sur les organisations de travail, les pratiques professionnelles, l’information et l’implication des patientes dans la prévention du risque infectieux, ainsi que la réhabilitation du bloc obstétrical. L’analyse des données annuelles de surveillance par le Réseau Mater montre, depuis 2010, la normalisation des ratios standardisés d’infections nosocomiales. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57928 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Exposition aux risques professionnels pendant la grossesse : retour de services médicaux interentreprises / Jean-Bernard Henrotin in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 2 (Avril 2018)
[article]
Titre : Exposition aux risques professionnels pendant la grossesse : retour de services médicaux interentreprises Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Bernard Henrotin ; M. Vaissière ; M. Etaix ; M. Dziurla ; S. Malard ; D. Lafon Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 67-77 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Décrire le suivi des grossesses au travail et les expositions professionnelles potentiellement dangereuses pour l’issue d’une grossesse.
Méthodes
Une étude descriptive transversale a été réalisée entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014 auprès de services de santé au travail de la région Languedoc-Roussillon. Les salariées étaient interrogées par les médecins du travail (MT) lors de la visite de reprise après accouchement (expositions professionnelles, anticipation et prévention des risques, communication entre préventeurs et cliniciens, arrêts de travail). Le codage des emplois était réalisé en utilisant la nomenclature des catégories socioprofessionnelles de l’Insee (2003). La précarité socioéconomique était mesurée à partir de l’échelle d’Évaluation de la Précarité et des Inégalités de Santé dans les Centres d’Examens de Santé (EPICES).
Résultats
Dans cette étude, 1347 salariées ont été recrutées. La moyenne d’âge était de 30,7±4,5 ans. L’effectif comprenait 54,2 % d’employées, 30,7 % de professions intermédiaires, 10,4 % de cadres et 4,7 % d’ouvrières. Vingt-deux pour cent des salariées présentaient une situation de précarité socioéconomique. Quarante-trois pour cent de l’effectif était exposé à au moins trois risques potentiels pour une grossesse. Seulement 17,7 % des salariées avaient rencontré un MT et 14,7 % avaient bénéficié d’un aménagement de poste. Notons qu’il était rapporté un niveau élevé (74,2 %) d’arrêt de travail (AT).
Conclusion
Ces résultats descriptifs attirent l’attention sur la nécessité de surveiller les femmes enceintes au travail. Toutefois, le faible niveau d’actes de prévention et le fort niveau d’AT interrogent la façon de prendre en compte le travail dans le suivi des grossesses au travail.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57929
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 67-77[article] Exposition aux risques professionnels pendant la grossesse : retour de services médicaux interentreprises [texte imprimé] / Jean-Bernard Henrotin ; M. Vaissière ; M. Etaix ; M. Dziurla ; S. Malard ; D. Lafon . - 2018 . - p. 67-77.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 67-77
Résumé : Objectif
Décrire le suivi des grossesses au travail et les expositions professionnelles potentiellement dangereuses pour l’issue d’une grossesse.
Méthodes
Une étude descriptive transversale a été réalisée entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014 auprès de services de santé au travail de la région Languedoc-Roussillon. Les salariées étaient interrogées par les médecins du travail (MT) lors de la visite de reprise après accouchement (expositions professionnelles, anticipation et prévention des risques, communication entre préventeurs et cliniciens, arrêts de travail). Le codage des emplois était réalisé en utilisant la nomenclature des catégories socioprofessionnelles de l’Insee (2003). La précarité socioéconomique était mesurée à partir de l’échelle d’Évaluation de la Précarité et des Inégalités de Santé dans les Centres d’Examens de Santé (EPICES).
Résultats
Dans cette étude, 1347 salariées ont été recrutées. La moyenne d’âge était de 30,7±4,5 ans. L’effectif comprenait 54,2 % d’employées, 30,7 % de professions intermédiaires, 10,4 % de cadres et 4,7 % d’ouvrières. Vingt-deux pour cent des salariées présentaient une situation de précarité socioéconomique. Quarante-trois pour cent de l’effectif était exposé à au moins trois risques potentiels pour une grossesse. Seulement 17,7 % des salariées avaient rencontré un MT et 14,7 % avaient bénéficié d’un aménagement de poste. Notons qu’il était rapporté un niveau élevé (74,2 %) d’arrêt de travail (AT).
Conclusion
Ces résultats descriptifs attirent l’attention sur la nécessité de surveiller les femmes enceintes au travail. Toutefois, le faible niveau d’actes de prévention et le fort niveau d’AT interrogent la façon de prendre en compte le travail dans le suivi des grossesses au travail.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57929 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Liquide amniotique teinté ou méconial : doivent-ils modifier notre prise en charge obstétricale ? / A. De Souza in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 2 (Avril 2018)
[article]
Titre : Liquide amniotique teinté ou méconial : doivent-ils modifier notre prise en charge obstétricale ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. De Souza ; H. Minebois ; A. Luc ; M. Choserot ; C. Bertholdt ; O. Morel ; R. Callec Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 78-86 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Déterminer si la présence d’un liquide amniotique (LA) teinté ou méconial est corrélée à un risque accru d’acidose métabolique néonatale sévère.
Méthodes
Dans une étude rétrospective de type cas-témoin réalisée dans une maternité de type 3 du 1er janvier au 31 décembre 2014, toutes les patientes ayant accouché à un terme ≥37SA d’un fœtus singleton eutrophe en présentation céphalique et pour lesquelles un LA teinté ou méconial a été mis en évidence ont été incluses. Les caractéristiques maternelles, les complications obstétricales et néonatales ont été comparées en fonction de la couleur du LA.
Résultats
Au total, 302 patientes dans le groupe LA « anormal » (198 « LA méconial » et 104 « LA teinté ») vs. 302 patientes dans le groupe LA clair ont été incluses. Aucune différence significative sur le taux d’acidose néonatale sévère entre les 2 groupes n’a été retrouvée. La fréquence des anomalies du rythme cardiaque fœtal était augmentée en cas de LA méconial (11,3 % vs. 31,7 %, p<0,0001). Le critère composite associant pH artériel ombilical<7,0±excès de bases ≥12mmol/L±score d’Apgar à 5min<7, était plus fréquent en cas de LA méconial (4,0 % vs. 12,5 %, p=0,0018).
Conclusion
La survenue d’une acidose métabolique néonatale sévère n’était pas plus fréquente en cas de mise en évidence d’un liquide amniotique teinté ou méconial, au prix d’une majoration du recours au pH au scalp et à la césarienne lorsque le liquide était méconial.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57930
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 78-86[article] Liquide amniotique teinté ou méconial : doivent-ils modifier notre prise en charge obstétricale ? [texte imprimé] / A. De Souza ; H. Minebois ; A. Luc ; M. Choserot ; C. Bertholdt ; O. Morel ; R. Callec . - 2018 . - p. 78-86.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 78-86
Résumé : Objectif
Déterminer si la présence d’un liquide amniotique (LA) teinté ou méconial est corrélée à un risque accru d’acidose métabolique néonatale sévère.
Méthodes
Dans une étude rétrospective de type cas-témoin réalisée dans une maternité de type 3 du 1er janvier au 31 décembre 2014, toutes les patientes ayant accouché à un terme ≥37SA d’un fœtus singleton eutrophe en présentation céphalique et pour lesquelles un LA teinté ou méconial a été mis en évidence ont été incluses. Les caractéristiques maternelles, les complications obstétricales et néonatales ont été comparées en fonction de la couleur du LA.
Résultats
Au total, 302 patientes dans le groupe LA « anormal » (198 « LA méconial » et 104 « LA teinté ») vs. 302 patientes dans le groupe LA clair ont été incluses. Aucune différence significative sur le taux d’acidose néonatale sévère entre les 2 groupes n’a été retrouvée. La fréquence des anomalies du rythme cardiaque fœtal était augmentée en cas de LA méconial (11,3 % vs. 31,7 %, p<0,0001). Le critère composite associant pH artériel ombilical<7,0±excès de bases ≥12mmol/L±score d’Apgar à 5min<7, était plus fréquent en cas de LA méconial (4,0 % vs. 12,5 %, p=0,0018).
Conclusion
La survenue d’une acidose métabolique néonatale sévère n’était pas plus fréquente en cas de mise en évidence d’un liquide amniotique teinté ou méconial, au prix d’une majoration du recours au pH au scalp et à la césarienne lorsque le liquide était méconial.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57930 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Suspicion de lésion d'herpès génital chez une patiente enceinte sans antécédent connu d'herpès génital. Recommandations pour la pratique clinique du Collège national des gynécologues obstétriciens français (CNGOF) / N. Sananès in La revue Sage-femme, Vol. 17, n° 2 (Avril 2018)
[article]
Titre : Suspicion de lésion d'herpès génital chez une patiente enceinte sans antécédent connu d'herpès génital. Recommandations pour la pratique clinique du Collège national des gynécologues obstétriciens français (CNGOF) Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Sananès Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 90-105 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Émettre des recommandations quant à la prise en charge d’un épisode initial d’herpès génital pendant la grossesse et dans le post-partum immédiat.
Méthodes
Consultation des bases de données MedLine et Cochrane Library et des recommandations des principales savantes.
Résultats
En cas d’épisode initial d’herpès génital pendant la grossesse, il est recommandé d’initier un traitement antiviral par aciclovir (200mg×5 par jour) ou valaciclovir (1000mg×2 par jour) pendant 5 à 10jours (grade C). Il est recommandé de proposer à la patiente une sérologie VIH si cela n’a pas été fait précédemment (grade B). Chez les femmes ayant présenté un épisode initial d’herpès génital pendant la grossesse, il est recommandé de mettre en place une prophylaxie antivirale à partir de 36 semaines d’aménorrhée par aciclovir (400mg×3 par jour) ou valaciclovir (500mg×2 par jour) (grade B). Il est recommandé de réaliser une césarienne en cas de suspicion d’épisode initial d’herpès génital au moment du travail (grade B) ou de rupture de la poche des eaux à terme (accord professionnel), ou en cas d’épisode initial d’herpès génital survenu moins de 6 semaines avant l’accouchement (accord professionnel). En cas d’épisode initial d’herpès génital découvert dans le post-partum, il est nécessaire de prévenir le pédiatre (accord professionnel). La patiente pourra être traitée selon le schéma décrit ci-dessus.
Conclusion
Il est recommandé de réaliser une césarienne en cas d’épisode initial d’herpès génital dans les 6 semaines précédant l’accouchement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57931
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 90-105[article] Suspicion de lésion d'herpès génital chez une patiente enceinte sans antécédent connu d'herpès génital. Recommandations pour la pratique clinique du Collège national des gynécologues obstétriciens français (CNGOF) [texte imprimé] / N. Sananès . - 2018 . - p. 90-105.
Langues : Français (fre)
in La revue Sage-femme > Vol. 17, n° 2 (Avril 2018) . - p. 90-105
Résumé : Objectif
Émettre des recommandations quant à la prise en charge d’un épisode initial d’herpès génital pendant la grossesse et dans le post-partum immédiat.
Méthodes
Consultation des bases de données MedLine et Cochrane Library et des recommandations des principales savantes.
Résultats
En cas d’épisode initial d’herpès génital pendant la grossesse, il est recommandé d’initier un traitement antiviral par aciclovir (200mg×5 par jour) ou valaciclovir (1000mg×2 par jour) pendant 5 à 10jours (grade C). Il est recommandé de proposer à la patiente une sérologie VIH si cela n’a pas été fait précédemment (grade B). Chez les femmes ayant présenté un épisode initial d’herpès génital pendant la grossesse, il est recommandé de mettre en place une prophylaxie antivirale à partir de 36 semaines d’aménorrhée par aciclovir (400mg×3 par jour) ou valaciclovir (500mg×2 par jour) (grade B). Il est recommandé de réaliser une césarienne en cas de suspicion d’épisode initial d’herpès génital au moment du travail (grade B) ou de rupture de la poche des eaux à terme (accord professionnel), ou en cas d’épisode initial d’herpès génital survenu moins de 6 semaines avant l’accouchement (accord professionnel). En cas d’épisode initial d’herpès génital découvert dans le post-partum, il est nécessaire de prévenir le pédiatre (accord professionnel). La patiente pourra être traitée selon le schéma décrit ci-dessus.
Conclusion
Il est recommandé de réaliser une césarienne en cas d’épisode initial d’herpès génital dans les 6 semaines précédant l’accouchement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57931 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt