Centre de Documentation HELHa Tournai - Mouscron
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Semaine du 01/04 à Mouscron : Fermé lundi (Jour férié).
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Semaine du 25/03 à Mouscron : Fermé lundi de 8h00 à 10h30.Fermé mercredi 27/03 de 13h00 à 15h00.
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Auteur R. Gil |
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Émotions et maladie d’Alzheimer : neuropsychologie et enjeux éthiques / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 112 (Août 2019)
[article]
Titre : Émotions et maladie d’Alzheimer : neuropsychologie et enjeux éthiques Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur ; E.-M. Arroyo-Anllo, Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p.233-240 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Emotion ; E:Ethique clinique ; N:Neuropsychologie ; P:Personne âgéeRésumé : Les émotions mobilisent la « puissance d’agir » de l’être humain, interviennent dans les prises de décision, sont des auxiliaires de la mémorisation et des outils de la communication par les mimiques émotionnelles, la prosodie émotionnelle, la gestualité. Les émotions sont aussi des composantes de l’identité de la personne humaine. Les émotions sont « ressenties » de manière désagréable (inquiétude, peur, agressivité) ou agréable (bien-être). Chez la personne atteinte de maladie d’Alzheimer les perturbations émotionnelles peuvent entraîner de la dépression, de l’agressivité, de l’apathie. La famille, les soignants doivent tenir compte de l’expression de leurs propres émotions en présence des personnes malades. Les émotions peuvent aussi favoriser la résurgence de souvenirs, favoriser la communication avec l’entourage, renforcer la conscience de Soi. Ainsi la maladie d’Alzheimer ne peut se résumer en la description de troubles cognitifs et de troubles du comportement d’évolution progressive. Elle peut encore moins se résumer dans les résultats de quelques tests et échelles sans doute nécessaires mais réducteurs. L’évaluation et l’accompagnement doivent aussi tenir compte de la dimension émotionnelle de la personne humaine et de la manière dont la maladie d’Alzheimer altère ou préserve les émotions. L’approche neuropsychologique et l’approche humaniste de la maladie doivent désormais s’associer dans le cadre d’une éthique performative, soucieuse de modifier les pratiques professionnelles en tenant compte de la personne humaine dans sa plénitude. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41807
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 112 (Août 2019) . - p.233-240[article] Émotions et maladie d’Alzheimer : neuropsychologie et enjeux éthiques [texte imprimé] / R. Gil, Auteur ; E.-M. Arroyo-Anllo, Auteur . - 2019 . - p.233-240.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 112 (Août 2019) . - p.233-240
Catégories : Alpha
A:Alzheimer (maladie) ; E:Emotion ; E:Ethique clinique ; N:Neuropsychologie ; P:Personne âgéeRésumé : Les émotions mobilisent la « puissance d’agir » de l’être humain, interviennent dans les prises de décision, sont des auxiliaires de la mémorisation et des outils de la communication par les mimiques émotionnelles, la prosodie émotionnelle, la gestualité. Les émotions sont aussi des composantes de l’identité de la personne humaine. Les émotions sont « ressenties » de manière désagréable (inquiétude, peur, agressivité) ou agréable (bien-être). Chez la personne atteinte de maladie d’Alzheimer les perturbations émotionnelles peuvent entraîner de la dépression, de l’agressivité, de l’apathie. La famille, les soignants doivent tenir compte de l’expression de leurs propres émotions en présence des personnes malades. Les émotions peuvent aussi favoriser la résurgence de souvenirs, favoriser la communication avec l’entourage, renforcer la conscience de Soi. Ainsi la maladie d’Alzheimer ne peut se résumer en la description de troubles cognitifs et de troubles du comportement d’évolution progressive. Elle peut encore moins se résumer dans les résultats de quelques tests et échelles sans doute nécessaires mais réducteurs. L’évaluation et l’accompagnement doivent aussi tenir compte de la dimension émotionnelle de la personne humaine et de la manière dont la maladie d’Alzheimer altère ou préserve les émotions. L’approche neuropsychologique et l’approche humaniste de la maladie doivent désormais s’associer dans le cadre d’une éthique performative, soucieuse de modifier les pratiques professionnelles en tenant compte de la personne humaine dans sa plénitude. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41807 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T008525 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Identité humaine et vieillissement dans une lecture du Temps retrouvé de Marcel Proust / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), 80 (Avril 2014)
[article]
Titre : Identité humaine et vieillissement dans une lecture du Temps retrouvé de Marcel Proust Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.98-101 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
E:Ethique ; I:Identité ; V:Vieillesse ; V:VieillissementRésumé : Dans Le Temps retrouvé , Marcel Proust au cours d’une matinée chez la princesse de Guermantes retrouve des personnes qu’il n’avait pas vues depuis longtemps. Le vieillissement a imprimé aux visages et aux silhouettes des modifications telles que Proust évoque un bal costumé et raconte des difficultés d’identification. Mais il constate que laborieusement ou sous l’effet du surgissement du trait du visage qui déclenche le souvenir, les personnes sont en général reconnues. Bien plus, cette reconnaissance malgré les changements ouvre à l’évocation d’un passé qui n’était pas perdu. Tel est le Temps retrouvé qui, du passé profondément enfoui au présent, raconte l’histoire d’une vie dans laquelle on peut plonger jusqu’aux souvenirs les plus lointains. Et le parcours de la vie n’est plus vu comme une déchéance emportée par le naufrage du Temps. Il est vu comme un parcours ascendant même si cette ascension fragilise et rapproche sans cesse de la mort. Le vieillissement décrit par Proust peut ainsi se lire comme une permanence identitaire, au sens de l’ipséité, au-delà des changements qui n’affectent que la mêmeté et préservent le lien continu de chacun avec son passé. L’être humain, si frêle dans l’espace, tire toute son ampleur de la place qu’il occupe dans le Temps. Telle est ainsi la fascination que Proust finit par ressentir à l’égard de la vieillesse qui montre un même Moi en perpétuel changement mais aussi et du même coup en marche vers la mort qui le déliera du Temps. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25873
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 80 (Avril 2014) . - p.98-101[article] Identité humaine et vieillissement dans une lecture du Temps retrouvé de Marcel Proust [texte imprimé] / R. Gil, Auteur . - 2014 . - p.98-101.
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > 80 (Avril 2014) . - p.98-101
Catégories : Alpha
E:Ethique ; I:Identité ; V:Vieillesse ; V:VieillissementRésumé : Dans Le Temps retrouvé , Marcel Proust au cours d’une matinée chez la princesse de Guermantes retrouve des personnes qu’il n’avait pas vues depuis longtemps. Le vieillissement a imprimé aux visages et aux silhouettes des modifications telles que Proust évoque un bal costumé et raconte des difficultés d’identification. Mais il constate que laborieusement ou sous l’effet du surgissement du trait du visage qui déclenche le souvenir, les personnes sont en général reconnues. Bien plus, cette reconnaissance malgré les changements ouvre à l’évocation d’un passé qui n’était pas perdu. Tel est le Temps retrouvé qui, du passé profondément enfoui au présent, raconte l’histoire d’une vie dans laquelle on peut plonger jusqu’aux souvenirs les plus lointains. Et le parcours de la vie n’est plus vu comme une déchéance emportée par le naufrage du Temps. Il est vu comme un parcours ascendant même si cette ascension fragilise et rapproche sans cesse de la mort. Le vieillissement décrit par Proust peut ainsi se lire comme une permanence identitaire, au sens de l’ipséité, au-delà des changements qui n’affectent que la mêmeté et préservent le lien continu de chacun avec son passé. L’être humain, si frêle dans l’espace, tire toute son ampleur de la place qu’il occupe dans le Temps. Telle est ainsi la fascination que Proust finit par ressentir à l’égard de la vieillesse qui montre un même Moi en perpétuel changement mais aussi et du même coup en marche vers la mort qui le déliera du Temps. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25873 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T005369 NEU Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Neuropsychologie / R. Gil (2003)
Titre : Neuropsychologie Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur Editeur : Paris : Masson Année de publication : 2003 Collection : Abrégés Importance : 367 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-294-01017-0 Prix : 28 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
N:Neurologie ; P:PsychologieIndex. décimale : 616.80 ... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22406 Neuropsychologie [texte imprimé] / R. Gil, Auteur . - Paris : Masson, 2003 . - 367 p.. - (Abrégés) .
ISBN : 978-2-294-01017-0 : 28
Langues : Français (fre)
Catégories : Alpha
N:Neurologie ; P:PsychologieIndex. décimale : 616.80 ... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=22406 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T001847 616.80/056 Livre Tournai Soins infirmiers (T) Disponible Questions éthiques autour des lois du 29 juillet 1994 relatives à la bioéthique / R. Gil in Soins cadres, 33 (1e trim. 2000)
[article]
Titre : Questions éthiques autour des lois du 29 juillet 1994 relatives à la bioéthique Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil, Auteur Année de publication : 2000 Article en page(s) : pp. 17-20 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
B:Bioéthique ; E:Ethique ; F:France ; L:LégislationNote de contenu : 2000 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=357
in Soins cadres > 33 (1e trim. 2000) . - pp. 17-20[article] Questions éthiques autour des lois du 29 juillet 1994 relatives à la bioéthique [texte imprimé] / R. Gil, Auteur . - 2000 . - pp. 17-20.
Langues : Français (fre)
in Soins cadres > 33 (1e trim. 2000) . - pp. 17-20
Catégories : Alpha
B:Bioéthique ; E:Ethique ; F:France ; L:LégislationNote de contenu : 2000 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=357 Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité M_73 M_2000_33 Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé Soins Infirmiers (M) Consultable sur demande au CePaS (Gilly)
Exclu du prêtT_73 T_2000_33 Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé Soins infirmiers (T) Consultable sur demande au CePaS (Gilly)
Exclu du prêtRonsard face à la vieillesse et à la mort : de l’épicurisme à l’auto-compassion / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 23, n° 135 (Juin 2023)
[article]
Titre : Ronsard face à la vieillesse et à la mort : de l’épicurisme à l’auto-compassion Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gil Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 198-210 Note générale : https://doi.org//10.1016/j.npg.2022.12.004 Langues : Français (fre) Catégories : Alpha
A:Auto-compassion ; C:Compassion ; F:Fin de vie ; F:Finitude ; L:Littérature ; M:Mort ; P:Poésie ; V:VieillesseRésumé : Pierre de Ronsard, qualifié au XVIe siècle de « prince des poètes », rassembla autour de lui la Pléiade. Comblé de faveurs par Henri II et Charles IX, pétri d’une immense culture classique, il écrivit des poèmes d’une langue savante et mélodieuse, avec une versification rigoureuse. Il fut surtout considéré comme un épicurien, célébrant dans ses poèmes ses amours et ses déceptions amoureuses, les plaisirs de la bonne chère et du bon vin, le souci de jouir de l’instant présent. Il fut en effet habité aussi par la perspective du temps qui passe, par la fuite de la jeunesse, par la perspective de la vieillesse, des maladies et par la conscience de la finitude. À 31 ans, il rassemble sa vision de la vieillesse et de la mort dans un hymne aux accents graves orné d’images mythologiques et soutenu par sa foi chrétienne. Il y exprime moins une crainte de la vieillesse et de la mort qu’une crainte de la mort sociale, de l’incapacité de se mouvoir, des souffrances de fin de vie. Plus de trente plus tard, dans sa soixante et unième année, son état de santé le confine dans ses deux prieurés et ses épreuves de fin de vie durent environ deux mois. Ronsard fut très entouré notamment par quelques amis et par les religieux de ses prieurés. Claude Binet, son disciple, consigna ses observations sur les paroles et le comportement du poète dans une biographie. Par ailleurs, Ronsard composa des poèmes qu’il dicta jusqu’aux derniers instants de sa vie. Les témoignages ainsi recueillis ont conduit à analyser comment le poète, considéré comme épicurien, avait vécu sa fin de vie. Cette étude permet de montrer que Ronsard abandonna son épicurisme tandis que ses paroles et son comportement relèvent d’une auto-compassion avec ses trois composantes : la gentillesse à l’égard de soi, le sentiment d’appartenance à une humanité commune, exposée à la maladie, à la vieillesse, à la mort, une pleine conscience excluant l’hyperidentification avec l’expérience douloureuse et ses émotions négatives. L’auto-compassion est ainsi distinguée de l’auto-apitoiement et de l’estime de soi longtemps considérée comme un facteur déterminant de la santé mentale. La fin de vie de Ronsard est ainsi l’occasion d’apprécier de manière nouvelle l’œuvre de cet immense poète. Elle permet aussi de mettre en parallèle une œuvre littéraire et l’histoire de vie dont elle témoigne. Elle permet enfin de prêter attention aux manifestations cliniques de l’auto-compassion et à prendre la mesure de son importance comme stratégie adaptative à l’égard des épreuves de l’existence et notamment, en situation de soins palliatifs, dans l’accompagnement de fin de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52344
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 198-210[article] Ronsard face à la vieillesse et à la mort : de l’épicurisme à l’auto-compassion [texte imprimé] / R. Gil . - 2023 . - p. 198-210.
https://doi.org//10.1016/j.npg.2022.12.004
Langues : Français (fre)
in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie) > Vol. 23, n° 135 (Juin 2023) . - p. 198-210
Catégories : Alpha
A:Auto-compassion ; C:Compassion ; F:Fin de vie ; F:Finitude ; L:Littérature ; M:Mort ; P:Poésie ; V:VieillesseRésumé : Pierre de Ronsard, qualifié au XVIe siècle de « prince des poètes », rassembla autour de lui la Pléiade. Comblé de faveurs par Henri II et Charles IX, pétri d’une immense culture classique, il écrivit des poèmes d’une langue savante et mélodieuse, avec une versification rigoureuse. Il fut surtout considéré comme un épicurien, célébrant dans ses poèmes ses amours et ses déceptions amoureuses, les plaisirs de la bonne chère et du bon vin, le souci de jouir de l’instant présent. Il fut en effet habité aussi par la perspective du temps qui passe, par la fuite de la jeunesse, par la perspective de la vieillesse, des maladies et par la conscience de la finitude. À 31 ans, il rassemble sa vision de la vieillesse et de la mort dans un hymne aux accents graves orné d’images mythologiques et soutenu par sa foi chrétienne. Il y exprime moins une crainte de la vieillesse et de la mort qu’une crainte de la mort sociale, de l’incapacité de se mouvoir, des souffrances de fin de vie. Plus de trente plus tard, dans sa soixante et unième année, son état de santé le confine dans ses deux prieurés et ses épreuves de fin de vie durent environ deux mois. Ronsard fut très entouré notamment par quelques amis et par les religieux de ses prieurés. Claude Binet, son disciple, consigna ses observations sur les paroles et le comportement du poète dans une biographie. Par ailleurs, Ronsard composa des poèmes qu’il dicta jusqu’aux derniers instants de sa vie. Les témoignages ainsi recueillis ont conduit à analyser comment le poète, considéré comme épicurien, avait vécu sa fin de vie. Cette étude permet de montrer que Ronsard abandonna son épicurisme tandis que ses paroles et son comportement relèvent d’une auto-compassion avec ses trois composantes : la gentillesse à l’égard de soi, le sentiment d’appartenance à une humanité commune, exposée à la maladie, à la vieillesse, à la mort, une pleine conscience excluant l’hyperidentification avec l’expérience douloureuse et ses émotions négatives. L’auto-compassion est ainsi distinguée de l’auto-apitoiement et de l’estime de soi longtemps considérée comme un facteur déterminant de la santé mentale. La fin de vie de Ronsard est ainsi l’occasion d’apprécier de manière nouvelle l’œuvre de cet immense poète. Elle permet aussi de mettre en parallèle une œuvre littéraire et l’histoire de vie dont elle témoigne. Elle permet enfin de prêter attention aux manifestations cliniques de l’auto-compassion et à prendre la mesure de son importance comme stratégie adaptative à l’égard des épreuves de l’existence et notamment, en situation de soins palliatifs, dans l’accompagnement de fin de vie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbtournai/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52344 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité T009938 NPG Revue Tournai Soins infirmiers (T) Disponible En temps d’épidémie et de vie ordinaire : le monde de la vieillesse dans l’œuvre d’Albert Camus / R. Gil in NPG (Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie), Vol. 22, n° 130 (Août 2022)
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