Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
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Titre : Liberté d'informer : l'association en-gaje soutient les journalistes exilé·es en Belgique Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : En-GAJE Editeur : Namur [Belgique] : TDM asbl Année de publication : 2022 Format : 11 min. 38 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Exilés # Exilés:Exilés -- Protection, assistance, etc. # Journalisme # Journalistes # Journalistes:Journalistes -- Conditions de travail # Presse # Presse:Liberté de la presseRésumé : "Les journalistes exilé.es qui arrivent en Belgique peuvent bénéficier du soutien de l’association En-GAJE, une structure qui les aide à l’insertion et la reconnaissance de leur parcours professionnel. Chaque année, des centaines de journalistes à travers le monde sont assassiné·es, emprisonné·es, harcelé·es simplement parce qu’ils et elles remplissent leur mission d’informer. Nombreux sont ceux qui ont du tout quitter du jour au lendemain pour fuir des menaces et s’exiler à l’étranger. Pour leur venir en aide, l’asbl « Ensemble – Groupe d’aide aux journalistes exilés », dont l’acronyme est En-GAJE, a vu le jour en 2018 en Belgique. L’association soutient les journalistes exilé.es aussi bien dans leurs démarches administratives que dans la poursuite de leur métier. En-GAJE œuvre ainsi à l’insertion et la reconnaissance professionnelle des journalistes exilé.es. Ces journalistes sont aussi régulièrement invité.es à sensibiliser le public belge à la liberté de presse en témoignant de leur parcours. Ce sujet a été coconstruit avec l’association En-GAJE qui nous a aidé à rencontrer des journalistes exilé.es en Belgique. Nous avons pu suivre principalement deux journalistes soutenu.es par l’association ; Sow Fatimetou, journaliste présentatrice Mauritanienne, et Ebrahim Mahfoud, journaliste et documentariste syrien, qui ont accepté de nous raconter leur parcours professionnel, des raisons de leur exils jusqu’à leur quotidien en Belgique." Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/liberte-dinformer/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39644 Liberté d'informer : l'association en-gaje soutient les journalistes exilé·es en Belgique [document projeté ou vidéo] / En-GAJE . - Namur (Rue de Bruxelles 36, 5000, Belgique) : TDM asbl, 2022 . - ; 11 min. 38.
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Exilés # Exilés:Exilés -- Protection, assistance, etc. # Journalisme # Journalistes # Journalistes:Journalistes -- Conditions de travail # Presse # Presse:Liberté de la presseRésumé : "Les journalistes exilé.es qui arrivent en Belgique peuvent bénéficier du soutien de l’association En-GAJE, une structure qui les aide à l’insertion et la reconnaissance de leur parcours professionnel. Chaque année, des centaines de journalistes à travers le monde sont assassiné·es, emprisonné·es, harcelé·es simplement parce qu’ils et elles remplissent leur mission d’informer. Nombreux sont ceux qui ont du tout quitter du jour au lendemain pour fuir des menaces et s’exiler à l’étranger. Pour leur venir en aide, l’asbl « Ensemble – Groupe d’aide aux journalistes exilés », dont l’acronyme est En-GAJE, a vu le jour en 2018 en Belgique. L’association soutient les journalistes exilé.es aussi bien dans leurs démarches administratives que dans la poursuite de leur métier. En-GAJE œuvre ainsi à l’insertion et la reconnaissance professionnelle des journalistes exilé.es. Ces journalistes sont aussi régulièrement invité.es à sensibiliser le public belge à la liberté de presse en témoignant de leur parcours. Ce sujet a été coconstruit avec l’association En-GAJE qui nous a aidé à rencontrer des journalistes exilé.es en Belgique. Nous avons pu suivre principalement deux journalistes soutenu.es par l’association ; Sow Fatimetou, journaliste présentatrice Mauritanienne, et Ebrahim Mahfoud, journaliste et documentariste syrien, qui ont accepté de nous raconter leur parcours professionnel, des raisons de leur exils jusqu’à leur quotidien en Belgique." Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/liberte-dinformer/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39644 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : Maison pas de tout repos : repenser l'accompagnement des personnes âgées Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : ASBL Senior Montessori Editeur : Namur [Belgique] : TDM asbl Année de publication : 2022 Format : 12 min. 56 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Autonomie # Maisons de retraite # Personnes âgées # Personnes âgées:Personnes âgées -- Protection, assistance, etc. # Personnes âgées:Personnes âgées -- Psychologie # Personnes âgées:Personnes âgées -- Services auxRésumé : "Pourquoi ne pas parler de maison de vie plutôt que de maison de repos ? C’est le pari que s’est lancé les Jardins de Scailmont. Là-bas, le personnel met tout en œuvre pour accompagner au mieux les habitant·es qui souffrent de troubles cognitifs. Leur approche est centrée sur l’humain et basée sur deux besoins fondamentaux : l’autonomie et l’indépendance. L’objectif est simple ; garantir le bien-être et l’épanouissement personnel des habitant·es pour qu’ils et elles se sentent comme à la maison. Décider de pouvoir manger et se laver en temps voulu, respecter le rythme et les choix de chacun·e, ou encore participer à la gestion de la maison sont clairement les mots d’ordre de ce genre d’institution. Bien entendu, le changement ne s’est pas fait du jour au lendemain mais il s’inscrit dans des tas de réflexions qui ont émergé suite à des formations données par l’ASBL Senior Montessori. Selon cette méthode qui vise à s’intéresser davantage aux ressources et capacités préservées, “on n’accompagne pas une pathologie mais bien une personne”. Ce reportage c’est avant tout la preuve que les choses bougent dans le secteur du vieillissement, que des personnes se mobilisent pour faire des maisons de retraite un lieu de vie positif et communautaire.
Ce sujet a été réalisé en co-construction avec l’ASBL Senior Montessori. Plusieurs échanges ont été nécessaires pour comprendre au mieux la philosophie de cette approche centrée sur l’humain. Nous avons ensuite suivi l’association lors d’une journée de sensibilisation auprès du personnel de la Résidence la Reine des prés. Enfin il nous a paru évident de mettre en lumière le travail effectué au sein de la maison de vie Les Jardins de Scailmont, où le personnel a été formé il y a plus de 5 ans à la méthode Senior Montessori. "Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/maison-pas-de-tout-repos/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39646 Maison pas de tout repos : repenser l'accompagnement des personnes âgées [document projeté ou vidéo] / ASBL Senior Montessori . - Namur (Rue de Bruxelles 36, 5000, Belgique) : TDM asbl, 2022 . - ; 12 min. 56.
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Autonomie # Maisons de retraite # Personnes âgées # Personnes âgées:Personnes âgées -- Protection, assistance, etc. # Personnes âgées:Personnes âgées -- Psychologie # Personnes âgées:Personnes âgées -- Services auxRésumé : "Pourquoi ne pas parler de maison de vie plutôt que de maison de repos ? C’est le pari que s’est lancé les Jardins de Scailmont. Là-bas, le personnel met tout en œuvre pour accompagner au mieux les habitant·es qui souffrent de troubles cognitifs. Leur approche est centrée sur l’humain et basée sur deux besoins fondamentaux : l’autonomie et l’indépendance. L’objectif est simple ; garantir le bien-être et l’épanouissement personnel des habitant·es pour qu’ils et elles se sentent comme à la maison. Décider de pouvoir manger et se laver en temps voulu, respecter le rythme et les choix de chacun·e, ou encore participer à la gestion de la maison sont clairement les mots d’ordre de ce genre d’institution. Bien entendu, le changement ne s’est pas fait du jour au lendemain mais il s’inscrit dans des tas de réflexions qui ont émergé suite à des formations données par l’ASBL Senior Montessori. Selon cette méthode qui vise à s’intéresser davantage aux ressources et capacités préservées, “on n’accompagne pas une pathologie mais bien une personne”. Ce reportage c’est avant tout la preuve que les choses bougent dans le secteur du vieillissement, que des personnes se mobilisent pour faire des maisons de retraite un lieu de vie positif et communautaire.
Ce sujet a été réalisé en co-construction avec l’ASBL Senior Montessori. Plusieurs échanges ont été nécessaires pour comprendre au mieux la philosophie de cette approche centrée sur l’humain. Nous avons ensuite suivi l’association lors d’une journée de sensibilisation auprès du personnel de la Résidence la Reine des prés. Enfin il nous a paru évident de mettre en lumière le travail effectué au sein de la maison de vie Les Jardins de Scailmont, où le personnel a été formé il y a plus de 5 ans à la méthode Senior Montessori. "Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/maison-pas-de-tout-repos/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39646 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Titre : La migration en Belgique vue autrement : contribution et chiffres clés Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Caritas International Editeur : Namur [Belgique] : TDM asbl Année de publication : 2021 Format : 5 min. 18 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Émigration et immigration:Émigration et immigration -- Politique publique:Émigration et immigration -- Politique publique -- Belgique # Émigration et immigration:Emigration et immigration dans les représentations socialesRésumé : "Cette vidéo envisage la migration sous un angle nouveau, à savoir à partir de la contribution qu’elle apporte au développement économique, à l’emploi et la sécurité sociale en Belgique.
Ce projet a été réalisé pour, et avec, Caritas International, dans l’objectif de sensibiliser le grand public à une nouvelle façon d’aborder et d’approcher la migration afin notamment de briser quelques préjugés et d’attirer l’attention sur certains faits et chiffres absents des discours publics. Au-delà des infos chiffrées, nous insistons également pour montrer que si la contribution de la migration à l’économie est avérée par des recherches, cela n’exclut pas que cette dernière peut être un défi dans certains cas. La vidéo espère, au final, contribuer à une société plus ouverte et inclusive pour toutes et tous.
Le récit a été construit dans une démarche de co-construction avec Caritas International. Les infos et chiffres qui s’y trouvent sont principalement tirés du rapport « Penser une maison commune – Migration et développement en Belgique » réalisé par Caritas International en partenariat avec deux chercheurs de l’Université de Liège."En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/la-migration-vue-autrement/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39716 La migration en Belgique vue autrement : contribution et chiffres clés [document projeté ou vidéo] / Caritas International . - Namur (Rue de Bruxelles 36, 5000, Belgique) : TDM asbl, 2021 . - ; 5 min. 18.
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Émigration et immigration:Émigration et immigration -- Politique publique:Émigration et immigration -- Politique publique -- Belgique # Émigration et immigration:Emigration et immigration dans les représentations socialesRésumé : "Cette vidéo envisage la migration sous un angle nouveau, à savoir à partir de la contribution qu’elle apporte au développement économique, à l’emploi et la sécurité sociale en Belgique.
Ce projet a été réalisé pour, et avec, Caritas International, dans l’objectif de sensibiliser le grand public à une nouvelle façon d’aborder et d’approcher la migration afin notamment de briser quelques préjugés et d’attirer l’attention sur certains faits et chiffres absents des discours publics. Au-delà des infos chiffrées, nous insistons également pour montrer que si la contribution de la migration à l’économie est avérée par des recherches, cela n’exclut pas que cette dernière peut être un défi dans certains cas. La vidéo espère, au final, contribuer à une société plus ouverte et inclusive pour toutes et tous.
Le récit a été construit dans une démarche de co-construction avec Caritas International. Les infos et chiffres qui s’y trouvent sont principalement tirés du rapport « Penser une maison commune – Migration et développement en Belgique » réalisé par Caritas International en partenariat avec deux chercheurs de l’Université de Liège."En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/la-migration-vue-autrement/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39716 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Mon incroyable coloc : vivre en colocation quand on est en situation de handicap mental / ASBL Coup de Pouce à l’Avenir
Titre : Mon incroyable coloc : vivre en colocation quand on est en situation de handicap mental Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : ASBL Coup de Pouce à l’Avenir Editeur : Namur [Belgique] : TDM asbl Année de publication : 2022 Format : 12 min. 08 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Handicap # Handicapés mentaux # Handicapés mentaux:Handicapés mentaux -- Protection, assistance, etc. # Handicapés:Handicapés -- Intégration # Handicapés:Handicapés -- LogementRésumé : "Être en situation de handicap mental ne rime pas obligatoirement avec institution. Inès et Harrison nous prouvent que vivre en autonomie est totalement possible quand on est bien accompagné. Inès a 24 ans et vit seule dans son appartement. Harrison à 28 ans et vit dans la colocation de la Maison de l’Herbatte. Tous les deux sont atteint d’un handicap mental, mais ça ne les empêche pas de vivre en autonomie. Après avoir discuté avec Robert Dormal et Marianne Chaufoureau de l’ASBL Coup de Pouce à l’Avenir, nous avons eu la chance de passer deux jours entiers au sein de l’ASBL. Nous avons donc suivi Inès qui vit seul dans son appartement et Harrison qui vit à la Maison de l’Herbatte, une des colocations de l’ASBL qui loge six jeunes en situation de handicap mental et les accompagne vers l’autonomie. Deux journées du matin au soir qui nous ont permis de créer du lien avec Inès et Harrison et de passer du temps qualitatif ensemble." Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/mon-incroyable-coloc/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39633 Mon incroyable coloc : vivre en colocation quand on est en situation de handicap mental [document projeté ou vidéo] / ASBL Coup de Pouce à l’Avenir . - Namur (Rue de Bruxelles 36, 5000, Belgique) : TDM asbl, 2022 . - ; 12 min. 08.
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Handicap # Handicapés mentaux # Handicapés mentaux:Handicapés mentaux -- Protection, assistance, etc. # Handicapés:Handicapés -- Intégration # Handicapés:Handicapés -- LogementRésumé : "Être en situation de handicap mental ne rime pas obligatoirement avec institution. Inès et Harrison nous prouvent que vivre en autonomie est totalement possible quand on est bien accompagné. Inès a 24 ans et vit seule dans son appartement. Harrison à 28 ans et vit dans la colocation de la Maison de l’Herbatte. Tous les deux sont atteint d’un handicap mental, mais ça ne les empêche pas de vivre en autonomie. Après avoir discuté avec Robert Dormal et Marianne Chaufoureau de l’ASBL Coup de Pouce à l’Avenir, nous avons eu la chance de passer deux jours entiers au sein de l’ASBL. Nous avons donc suivi Inès qui vit seul dans son appartement et Harrison qui vit à la Maison de l’Herbatte, une des colocations de l’ASBL qui loge six jeunes en situation de handicap mental et les accompagne vers l’autonomie. Deux journées du matin au soir qui nous ont permis de créer du lien avec Inès et Harrison et de passer du temps qualitatif ensemble." Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/mon-incroyable-coloc/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39633 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les morts de la rue : un adieu digne pour les personnes sans-abris / Le Collectif des Morts de la Rue
Titre : Les morts de la rue : un adieu digne pour les personnes sans-abris Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Le Collectif des Morts de la Rue Editeur : Namur [Belgique] : TDM asbl Année de publication : 2023 Format : 11 min. 53 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Mort # Sans-abri # Sans-abri:Sans-abri -- MortRésumé : "Le Collectif des Morts de la Rue refuse que les personnes sans-abri ou qui l’ont été soient seules et anonymes, même après la mort ; et nous donne la possibilité et le droit de dire adieu aux êtres qui nous sont cher·es. Avez-vous déjà pensé à ce qu’il se passait quand une personne vivant dans la rue mourrait dans l’anonymat le plus total ? Qui s’occupe de lui organiser une cérémonie ? Qui est présent pour organiser une commémoration et lui dire un adieu lorsqu’il n'y a pas de proches ou quand on ne retrouve pas leur trace ?
A Bruxelles, un collectif s’est créé pour permettre à ces « morts de la rue » de recevoir un dernier adieu en toute dignité. Il est composé de membres issus du secteur du sans-abrisme, de citoyens et citoyennes, de personnes qui ont vécu ou vivent en rue. Les « Morts de la Rue » informe le réseau d’une personne dès l’annonce de son décès et veille à ce qu’une petite cérémonie autour d’un rituel puisse avoir lieu, le plus possible à l’image du ou de la défunt·e. Le collectif remet l’humain, le respect et la dignité au centre de ces sépultures, parce qu’encore trop souvent, des personnes sont enterrées dans une extrême solitude et précarité. On leur doit également un travail de mémoire colossal pour se souvenir de ces personnes ainsi qu’un travail de sensibilisation et de collaboration auprès des services concernés (communes, police, hôpitaux...) pour faire évoluer les pratiques et respecter les droits fondamentaux de chacun·e. Ce reportage a été co-construit avec le Collectif des Morts de la Rue. Nous les avons suivis sur le terrain afin de rendre compte de leur travail et leur combat pour la reconnaissance des droits des personnes sans-abri, à différents niveaux. Nous avons aussi rencontré le Service d’accompagnement spirituel de la Clinique Saint-Jean à Bruxelles, afin d'en savoir plus sur les pratiques au moment du décès d’une personne, en collaboration avec le collectif. "Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/les-morts-de-la-rue/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39629 Les morts de la rue : un adieu digne pour les personnes sans-abris [document projeté ou vidéo] / Le Collectif des Morts de la Rue . - Namur (Rue de Bruxelles 36, 5000, Belgique) : TDM asbl, 2023 . - ; 11 min. 53.
Langues : Français (fre)
Catégories : TS
Mort # Sans-abri # Sans-abri:Sans-abri -- MortRésumé : "Le Collectif des Morts de la Rue refuse que les personnes sans-abri ou qui l’ont été soient seules et anonymes, même après la mort ; et nous donne la possibilité et le droit de dire adieu aux êtres qui nous sont cher·es. Avez-vous déjà pensé à ce qu’il se passait quand une personne vivant dans la rue mourrait dans l’anonymat le plus total ? Qui s’occupe de lui organiser une cérémonie ? Qui est présent pour organiser une commémoration et lui dire un adieu lorsqu’il n'y a pas de proches ou quand on ne retrouve pas leur trace ?
A Bruxelles, un collectif s’est créé pour permettre à ces « morts de la rue » de recevoir un dernier adieu en toute dignité. Il est composé de membres issus du secteur du sans-abrisme, de citoyens et citoyennes, de personnes qui ont vécu ou vivent en rue. Les « Morts de la Rue » informe le réseau d’une personne dès l’annonce de son décès et veille à ce qu’une petite cérémonie autour d’un rituel puisse avoir lieu, le plus possible à l’image du ou de la défunt·e. Le collectif remet l’humain, le respect et la dignité au centre de ces sépultures, parce qu’encore trop souvent, des personnes sont enterrées dans une extrême solitude et précarité. On leur doit également un travail de mémoire colossal pour se souvenir de ces personnes ainsi qu’un travail de sensibilisation et de collaboration auprès des services concernés (communes, police, hôpitaux...) pour faire évoluer les pratiques et respecter les droits fondamentaux de chacun·e. Ce reportage a été co-construit avec le Collectif des Morts de la Rue. Nous les avons suivis sur le terrain afin de rendre compte de leur travail et leur combat pour la reconnaissance des droits des personnes sans-abri, à différents niveaux. Nous avons aussi rencontré le Service d’accompagnement spirituel de la Clinique Saint-Jean à Bruxelles, afin d'en savoir plus sur les pratiques au moment du décès d’une personne, en collaboration avec le collectif. "Complément en ligne : Fiche d'accompagnement En ligne : https://tdm-asbl.be/productions/les-morts-de-la-rue/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39629 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Nos seniors en campagne : rendre le vieillissement plus agréable / Réseau wallon de Développement Rural (RwDR)
PermalinkPermalinkOn va s'aimer : vie relationnelle, affective et sexuelle pour les personnes en situation de handicap / Maryse Williquet
PermalinkPermalinkPermalinkPasser la fourche : transmettre sa ferme, c'est complexe et ça se prépare / Réseau wallon de Développement Rural (RwDR)
PermalinkPermalinkPreuves d'amour : les difficultés des couples binationaux pour vivre ensemble en Belgique / Marie Tihon
PermalinkLe refuge des fiertés : une collocation pour des jeunes LGBTQI en situation de rupture familiale / Fondation Ihsane Jarfi
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