Centre de documentation HELHa Cardijn Louvain-la-Neuve
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Le centre de documentation de la HELHa Cardijn LLN met à disposition de ses lecteurs un fonds documentaire spécialisé dans les domaines pouvant intéresser – de près ou de loin - les (futur·e·s) travailleur·euse·s sociaux·ales : travail social, sociologie, psychologie, droit, santé, économie, pédagogie, immigration, vieillissement, famille, précarité, délinquance, emploi, communication, etc.
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Luttons en chants, un champ de luttes / Nicolas Verschueren in L'esperluette, 118 (Octobre - Novembre - Décembre 2023)
[article]
Titre : Luttons en chants, un champ de luttes Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Verschueren Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 9-11 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Action sociale # Art -- Aspect socialRésumé : "« Una mattina mi sono alzato, O Bella Ciao, Bella Ciao, Bella Ciao, Ciao, Ciao ». Ce début de chant et ces quelques notes sont désormais partagés, repris, chantés, fredonnés … suscitant même la controverse sur ses réappropriations multiples. L’origine de Bella Ciao est à la fois connue et méconnue, souvent associée à la résistance des partisan·es pendant la Seconde Guerre mondiale, mais qui doit également sa source originelle aux chants des mondine, ces travailleuses italiennes des rizières du Pô. Débuter cet article sur le chant de lutte en évoquant Bella Ciao a tout de l’évidence, voire de la caricature. Au-delà de la célébrité de ce chant (et de ses « mésusages ») se déploie une histoire du chant dans l’espace social, dans l’espace de travail et dans celui de la lutte." Note de contenu : Bibliographie p. 11 En ligne : https://www.ciep.be/images/publications/esperluette/2023/118/Esper118.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38884
in L'esperluette > 118 (Octobre - Novembre - Décembre 2023) . - p. 9-11[article] Luttons en chants, un champ de luttes [texte imprimé] / Nicolas Verschueren . - 2023 . - p. 9-11.
Langues : Français (fre)
in L'esperluette > 118 (Octobre - Novembre - Décembre 2023) . - p. 9-11
Catégories : TS
Action sociale # Art -- Aspect socialRésumé : "« Una mattina mi sono alzato, O Bella Ciao, Bella Ciao, Bella Ciao, Ciao, Ciao ». Ce début de chant et ces quelques notes sont désormais partagés, repris, chantés, fredonnés … suscitant même la controverse sur ses réappropriations multiples. L’origine de Bella Ciao est à la fois connue et méconnue, souvent associée à la résistance des partisan·es pendant la Seconde Guerre mondiale, mais qui doit également sa source originelle aux chants des mondine, ces travailleuses italiennes des rizières du Pô. Débuter cet article sur le chant de lutte en évoquant Bella Ciao a tout de l’évidence, voire de la caricature. Au-delà de la célébrité de ce chant (et de ses « mésusages ») se déploie une histoire du chant dans l’espace social, dans l’espace de travail et dans celui de la lutte." Note de contenu : Bibliographie p. 11 En ligne : https://www.ciep.be/images/publications/esperluette/2023/118/Esper118.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38884 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER ESL 118 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Maylis de Kerangal : « Le roman n'est pas le lieu d'une édification morale » / Maylis de Kerangal in Sciences humaines, 364 (Décembre 2023)
[article]
Titre : Maylis de Kerangal : « Le roman n'est pas le lieu d'une édification morale » Type de document : texte imprimé Auteurs : Maylis de Kerangal, Personne interviewée ; Cécile Peltier, Intervieweur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 45-46 Note générale : Issu du dossier "La société française vue par les écrivains" Langues : Français (fre) Catégories : TS
Art -- Aspect social # Ethnologie # Littérature # Politique et littératureRésumé : "Maylis de Kerangal est devenue romancière après des études d’histoire et d’ethnologie." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38694
in Sciences humaines > 364 (Décembre 2023) . - p. 45-46[article] Maylis de Kerangal : « Le roman n'est pas le lieu d'une édification morale » [texte imprimé] / Maylis de Kerangal, Personne interviewée ; Cécile Peltier, Intervieweur . - 2023 . - p. 45-46.
Issu du dossier "La société française vue par les écrivains"
Langues : Français (fre)
in Sciences humaines > 364 (Décembre 2023) . - p. 45-46
Catégories : TS
Art -- Aspect social # Ethnologie # Littérature # Politique et littératureRésumé : "Maylis de Kerangal est devenue romancière après des études d’histoire et d’ethnologie." Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=38694 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER SHU 364 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible
[article]
Titre : Médiation culturelle et artistique Type de document : texte imprimé Auteurs : Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 4-85 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Art -- Aspect social # Artistes # Culture # Décolonisation # Diffusion de la culture # Équipements culturels # Exclusion sociale # Sexisme # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistique # Sociologie de la cultureRésumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39444
in Antipodes > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85[article] Médiation culturelle et artistique [texte imprimé] / Chafik Allal ; Judith Dehail ; François Makanga ; Jean-Claude Mullens ; Adeline Rosenstein ; Olivier Marboeuf ; Virginia Pisano ; Diana Mammana ; Margareta von Oswald . - 2023 . - p. 4-85.
Langues : Français (fre)
in Antipodes > 238 (Décembre 2023) . - p. 4-85
Catégories : TS
Art -- Aspect social # Artistes # Culture # Décolonisation # Diffusion de la culture # Équipements culturels # Exclusion sociale # Sexisme # Sexisme:Sexisme dans le milieu artistique # Sociologie de la cultureRésumé : "La culture d’un groupe est un construit qui devient référent pour définir les normes, les valeurs, les croyances qui, à leur tour, construisent (de) la culture et produisent de nouvelles transformations culturelles en lien avec ce qui se passe comme (nouveaux) défis dans la société. Tout ceci permet aux individus composant les groupes d’avoir des clefs pour donner du sens à leurs actions. En particulier, ceci leur indique ce qu’ils doivent trouver bon, beau, vrai et juste de faire, de dire, de penser et de ressentir. Et là, nous traçons les contours de la notion de « modèle culturel », qui peut être défini comme un ensemble plus ou moins structuré de principes éthiques qui proposent aux membres d’une collectivité humaine le sens de leurs conduites et de leurs actions. Dans la société, les cultures sont liées aux rapports de domination : en effet, le gout, le « classe », le « trendy » ou le « stylé » est souvent défini par les dominantes, même quand c’est « pris », « piqué » diraient des plus jeunes, chez les dominés, avec ou sans adaptation. Lela dominée peut certes être impliquée et même être invitée à adopter les bons réflexes d’appréciation de la culture dominante, souvent bourgeoise. La médiation, telle qu’elle est envisagée et encore pratiquée largement et par beaucoup d’institutions se voit comme ayant pour mission de satisfaire les présupposés besoins de catégories de publics dits « publics fragilisés », « publics orphelins », « publics empêchés », appellations aussi « minorisantes » les unes que les autres ; bref des personnes provenant de groupes dominés. Vue comme cela, la définition se base sur deux implicites qui peuvent induire un type d’actions. Le premier implicite est de voir les personnes comme des publics en attente de réponses à des besoins, le plus souvent plutôt des « projections de besoins » ; partir sur une sociologie du manque est une erreur fondamentale dans la construction du rapport à l’Altérité. Le second implicite est de les voir comme « publics », certainement pas sujets-acteurs. Les deux implicites mis ensemble impliquent une vision pédagogique spécifique, plus proche de l’éducation bancaire que d’une vision d’émancipation qui les renforce comme acteurs producteurs de culture et de sens. Ainsi, un curieux exemple qui a le vent en poupe : les formations « parcours d’intégration » données aux personnes immigrées nouvellement arrivées, constituent un cas assez radical et désormais politiquement « assumé » : il y est parfois question de production artistique, mais rarement pour impliquer des personnes des groupes en question, sinon pour leur « apprendre » ce qui est beau, le sens de l’esthétique, « à la Belge ». Souvent, lorsqu’il est question d’intégration, c’est comme s’il s’agissait de faire rentrer un groupe dans le modèle culturel régnant, créations culturelles et artistiques comprises. Ce qui est également le cas avec d’autres groupes dominés [1]. Souvent, des institutions ou des administrations identifient des vraies « fractures », « exclusions » et « tensions » à dimensions sociales et elles tentent de résorber via des actions qui vont dans un sens de « rapprochement » - plus ou moins forcé – de publics dominés des pratiques, produits, grand-messes organisées par des établissements culturels. « Faire coller » est une vision dans le meilleur des cas paternaliste pour « éduquer à » (« éduquer à l’image » souvent entendu dans le sens de « éduquer à comprendre les codes symboliques dominants et des dominants quand ils font des images »). Le souci est que de telles démarches ne pourront jamais interroger les rapports de pouvoir, ni symboliques, ni culturels, ni sociaux, ni économiques. Au mieux, elles permettront à un.e transfuge de classe d’être la preuve vivante et l’alibi que « ça peut fonctionner » et entretenir ainsi les illusions d’une mobilité par le biais du culturel et de l’artistique. Cette force du récit « singulier » comme preuve est surutilisée dans le système néolibéral. Regardez ça a marché pour UtopiaWoman ! ce qui est sous-entendu, c’est surtout que si ça ne marche pas pour toi, c’est que tu devrais t’en prendre à toi-même. Le système de reproduction des inégalités a de l’avenir dans un tel système. C’est d’ailleurs à se demander si cet engouement de mouvements progressistes pour changer le récit n’est pas un énième piège culturel du système néolibéral dans lequel ils tombent ; en effet, il y avait déjà les explications sur la force du storytelling. Comme si changer le storytelling pouvant changer facilement le rapport de force. Ceci évite de questionner les dispositifs, empêche de se décentrer, oriente l’angle de vue vers autre chose. Ainsi, peu ou personne ne se posera la question importante du « pourquoi » : pourquoi doit-on obliger des publics à aller consommer des activités ? pourquoi veut-on uniformiser les goûts et les centres d’intérêt ? Pourquoi travaille-t-on à effacer les diversités possibles ?
Alors, que faire ? doit-on éviter toute médiation si elle risque d’uniformiser ? Non, certainement pas."Note de contenu : Sommaire
Edito (Chafik Allal) / Entre sexisme et précarité. La médiation culturelle comme pratique critique (J. Dehail) / Marronage culturel, ou comment investir les failles de l'institution (F. Makanga) / Impressions sur la nouvelle scénographie du musée de Tervuren (J.-C. Mullens) / Extrait de la BD Décris-Ravage (A. Rosenstein & Baladi) / Posture et engagement en contexte décolonial (O. Marboeuf, V. Pisano) / Le Musée Résonant (D. Mammana et M. von Oswald)En ligne : https://www.iteco.be/revue-antipodes/mediation-culturelle-et-artistique-218/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=39444 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER ANT 238 (2023) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Des murs pour crier, des espaces à occuper / Margaux Joachim in Agir par la culture, 69 (Automne 2022)
[article]
Titre : Des murs pour crier, des espaces à occuper Type de document : texte imprimé Auteurs : Margaux Joachim ; Isabelle Martin Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 31-33 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Art -- Aspect social # Art dans la rue # Espace public (science politique) # Femmes:Femmes artistes # Participation socialeRésumé : "New-York, Bruxelles, Lima, Liège, Paris, Tokyo... partout les femmes utilisent l’espace public pour s’indigner, réagir, se faire entendre. Collage, rassemblement, danse, performance,
occupation... des formes diverses qui permettent, sans qu’on ne doive nous l’autoriser, d’occuper le terrain."En ligne : https://www.agirparlaculture.be/wp-content/uploads/2022/10/apc_69_BR.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35253
in Agir par la culture > 69 (Automne 2022) . - p. 31-33[article] Des murs pour crier, des espaces à occuper [texte imprimé] / Margaux Joachim ; Isabelle Martin . - 2022 . - p. 31-33.
Langues : Français (fre)
in Agir par la culture > 69 (Automne 2022) . - p. 31-33
Catégories : TS
Art -- Aspect social # Art dans la rue # Espace public (science politique) # Femmes:Femmes artistes # Participation socialeRésumé : "New-York, Bruxelles, Lima, Liège, Paris, Tokyo... partout les femmes utilisent l’espace public pour s’indigner, réagir, se faire entendre. Collage, rassemblement, danse, performance,
occupation... des formes diverses qui permettent, sans qu’on ne doive nous l’autoriser, d’occuper le terrain."En ligne : https://www.agirparlaculture.be/wp-content/uploads/2022/10/apc_69_BR.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35253 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER APC 69 (2022) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible
[article]
Titre : La musique comme TRACE Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Aubert Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 10-13 Langues : Français (fre) Catégories : TS
Animation sociale:Animation socioculturelle # Art -- Aspect social # Émigration et immigration:Émigration et immigration -- Dans la musique # Musique -- Aspect social # Sociologie de la musiqueRésumé : "Musiques migrantes : que recouvre cette expression ? Loin d’être un phénomène spécifiquement contemporain, la circulation des musiques peut être observée depuis les temps les plus anciens. Mais le développement des technologies – du phonographe au milieu du XIXe siècle jusqu’aux plateformes numériques actuelles – a accéléré le processus. En migrant, les musiques dialoguent, se transforment, s’adaptent, se métissent, comme l’illustrent les quelques exemples qui suivent." En ligne : https://www.cbai.be/imag363_septembre-octobre-22/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35142
in Imag > 363 (Septembre - Octobre 2022) . - p. 10-13[article] La musique comme TRACE [texte imprimé] / Laurent Aubert . - 2022 . - p. 10-13.
Langues : Français (fre)
in Imag > 363 (Septembre - Octobre 2022) . - p. 10-13
Catégories : TS
Animation sociale:Animation socioculturelle # Art -- Aspect social # Émigration et immigration:Émigration et immigration -- Dans la musique # Musique -- Aspect social # Sociologie de la musiqueRésumé : "Musiques migrantes : que recouvre cette expression ? Loin d’être un phénomène spécifiquement contemporain, la circulation des musiques peut être observée depuis les temps les plus anciens. Mais le développement des technologies – du phonographe au milieu du XIXe siècle jusqu’aux plateformes numériques actuelles – a accéléré le processus. En migrant, les musiques dialoguent, se transforment, s’adaptent, se métissent, comme l’illustrent les quelques exemples qui suivent." En ligne : https://www.cbai.be/imag363_septembre-octobre-22/ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35142 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité PER IMA 363 (2022) Périodique Centre de documentation HELHa Cardijn LLN Salle de lecture (Périodiques) Disponible Nathalie Quintaine : « Les classes moyennes n'auront eu qu'un temps » / Eve Charrin in Sciences humaines, 364 (Décembre 2023)
PermalinkNe pas attendre la parole mais la prendre / Savannah Desmedt in Akène : l'interface au croisement des pratiques sociales, 5 (Février 2023)
Permalink« Nous sommes »: ensemble pour changer le monde en utilisant l’art / Agora asbl in L'esperluette, 118 (Octobre - Novembre - Décembre 2023)
PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPeindre et dépeindre [Dossier] / Jean Tonglet in Revue Quart Monde : vaincre l'exclusion, 266 (2023)
PermalinkPeut-on critiquer Israël en Allemagne ? / Sonia Combe in Le monde diplomatique, 829 (Avril 2023)
PermalinkLa photo, vecteur de lien social pour les réfugiés / Catherine Callico in Espace de libertés, 488 (Avril 2020)
PermalinkPlongée dans le Laboratoire d’imagination insurrectionnelle / Caroline Dunski in Espace de libertés, 507 (Septembre 2022)
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