4 - Bulletin 4 2022 5 - Bulletin 5 2022 6 - Bulletin 6 2022 7 - Bulletin 7 2022 8 - Bulletin 8 2022 1 - Bulletin 1 2023 2 - Bulletin 2 2023 La revue nouvelle . 7 Bulletin 7 Mention de date :  2022 Paru le :  01/11/2022

Dépouillements

Détresse de l’enseignement en FWB : Une analyse syndicale par la CGSP-Enseignement / Joseph Thonon in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 5-9 Titre : Détresse de l’enseignement en FWB : Une analyse syndicale par la CGSP-Enseignement Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph Thonon ; Isabelle Bruyr ; Jean-François Lankester Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-9 Langues : Français (fre) Catégories : TS Enseignement # Enseignement:Enseignement -- Réforme # Politique et gouvernement -- Belgique:Bruxelles -- Politique et gourvernement # Politique et gouvernement -- Belgique:Politique et gouvernement -- Wallonie # Syndicats Résumé : "L’année scolaire 2021-2022 aura été marquée par trois manifestations d’ampleur à Bruxelles, Mons et Liège. Par celles-ci, les personnels de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles ont manifesté leur désapprobation envers les politiques gouvernementales en matière d’enseignement. Comment ce mouvement de grogne sociale a-t-il démarré et quelle est la situation aujourd’hui ? Le mécontentement exprimé par les personnels de l’enseignement lors des trois mobilisations de l’année scolaire précédente n’a pas surgi inopinément ou à la suite d’un évènement précis. Il s’est amplifié progressivement au fil des décisions politiques. Nous verrons comment la période précédant la crise sanitaire, déjà marquée par les tensions et le désœuvrement, a fait place à une situation de crise sociale en raison de la gestion incohérente de la pandémie dans l’enseignement. Déjà, le Pacte pour un Enseignement d’excellence émergeait et des répercussions se ressentaient dans le monde de l’enseignement avant même sa mise en application. Il s’agit d’un projet ambitieux ayant pour objectif d’améliorer notre système éducatif en adoptant progressivement toute une série de réformes. In fine, la mise en œuvre desdites réformes requiert beaucoup d’énergie aux équipes éducatives. Très vite, les membres des personnels ont commencé à dénoncer une surcharge de travail induite par les réformes du pacte. Ils vont même plus loin : leur métier se verrait complètement transformé et l’enseignement face aux élèves ne serait plus leur tâche principale…" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-5.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35204 [article] Détresse de l’enseignement en FWB : Une analyse syndicale par la CGSP-Enseignement [texte imprimé] / Joseph Thonon ; Isabelle Bruyr ; Jean-François Lankester . - 2022 . - p. 5-9. Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 5-9 Catégories : TS Enseignement # Enseignement:Enseignement -- Réforme # Politique et gouvernement -- Belgique:Bruxelles -- Politique et gourvernement # Politique et gouvernement -- Belgique:Politique et gouvernement -- Wallonie # Syndicats Résumé : "L’année scolaire 2021-2022 aura été marquée par trois manifestations d’ampleur à Bruxelles, Mons et Liège. Par celles-ci, les personnels de l’enseignement en Fédération Wallonie-Bruxelles ont manifesté leur désapprobation envers les politiques gouvernementales en matière d’enseignement. Comment ce mouvement de grogne sociale a-t-il démarré et quelle est la situation aujourd’hui ? Le mécontentement exprimé par les personnels de l’enseignement lors des trois mobilisations de l’année scolaire précédente n’a pas surgi inopinément ou à la suite d’un évènement précis. Il s’est amplifié progressivement au fil des décisions politiques. Nous verrons comment la période précédant la crise sanitaire, déjà marquée par les tensions et le désœuvrement, a fait place à une situation de crise sociale en raison de la gestion incohérente de la pandémie dans l’enseignement. Déjà, le Pacte pour un Enseignement d’excellence émergeait et des répercussions se ressentaient dans le monde de l’enseignement avant même sa mise en application. Il s’agit d’un projet ambitieux ayant pour objectif d’améliorer notre système éducatif en adoptant progressivement toute une série de réformes. In fine, la mise en œuvre desdites réformes requiert beaucoup d’énergie aux équipes éducatives. Très vite, les membres des personnels ont commencé à dénoncer une surcharge de travail induite par les réformes du pacte. Ils vont même plus loin : leur métier se verrait complètement transformé et l’enseignement face aux élèves ne serait plus leur tâche principale…" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-5.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35204

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Récession européenne et énergie / Xavier Dupret in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 9-15 Titre : Récession européenne et énergie Type de document : texte imprimé Auteurs : Xavier Dupret Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 9-15 Langues : Français (fre) Catégories : TS Economie # Inflation # Politique énergétique # Politique et gouvernement -- Pays de l'Union européenne # Relations économiques internationales Résumé : "Depuis l’invasion de l’Ukraine, les nuages noirs s’accumulent pour l’économie européenne. La perspective d’une récession apparait de plus en plus probable. La question de l’augmentation du cours des produits énergétiques (principalement le gaz et l’électricité) va indéniablement peser sur les possibilités de croissance du Vieux Continent. La fulgurance de l’augmentation des cours a de quoi donner le tournis. Quelles sont les perspectives pour cet hiver ? Depuis le 26 aout 2021, en un an, le marché au comptant du gaz est passé de 27,88 à 339,19 euros le mégawatt-heure. Pour l’électricité, on relève un mouvement similaire, son prix moyen ayant dépassé les 700 euros par mégawattheure (MWh) le jeudi 25 aout. Sept jours plus tôt, le record établi en mars avait été battu et le MWh avait atteint le niveau de 540,80 euros. Ces prix représentent une augmentation des couts pour les entreprises et les consommateurs. Alors que les grandes entreprises formant le capital concentré oligopolistique éprouvent moins de difficultés à répercuter les hausses de prix sur leurs produits, il n’en va pas de même pour les petites entreprises. Après la Covid, cette poussée inflationniste exercera une nouvelle pression défavorable sur le secteur Horeca à travers toute l’Europe. Pour les travailleurs peu qualifiés, c’est une source d’emplois facilement accessibles qui risque ainsi de se tarir. Par exemple, 70 % des pubs britanniques sont susceptibles de fermer cet hiver si les prix de l’énergie se maintiennent à ce niveau…" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-9.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35205 [article] Récession européenne et énergie [texte imprimé] / Xavier Dupret . - 2022 . - p. 9-15. Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 9-15 Catégories : TS Economie # Inflation # Politique énergétique # Politique et gouvernement -- Pays de l'Union européenne # Relations économiques internationales Résumé : "Depuis l’invasion de l’Ukraine, les nuages noirs s’accumulent pour l’économie européenne. La perspective d’une récession apparait de plus en plus probable. La question de l’augmentation du cours des produits énergétiques (principalement le gaz et l’électricité) va indéniablement peser sur les possibilités de croissance du Vieux Continent. La fulgurance de l’augmentation des cours a de quoi donner le tournis. Quelles sont les perspectives pour cet hiver ? Depuis le 26 aout 2021, en un an, le marché au comptant du gaz est passé de 27,88 à 339,19 euros le mégawatt-heure. Pour l’électricité, on relève un mouvement similaire, son prix moyen ayant dépassé les 700 euros par mégawattheure (MWh) le jeudi 25 aout. Sept jours plus tôt, le record établi en mars avait été battu et le MWh avait atteint le niveau de 540,80 euros. Ces prix représentent une augmentation des couts pour les entreprises et les consommateurs. Alors que les grandes entreprises formant le capital concentré oligopolistique éprouvent moins de difficultés à répercuter les hausses de prix sur leurs produits, il n’en va pas de même pour les petites entreprises. Après la Covid, cette poussée inflationniste exercera une nouvelle pression défavorable sur le secteur Horeca à travers toute l’Europe. Pour les travailleurs peu qualifiés, c’est une source d’emplois facilement accessibles qui risque ainsi de se tarir. Par exemple, 70 % des pubs britanniques sont susceptibles de fermer cet hiver si les prix de l’énergie se maintiennent à ce niveau…" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-9.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35205

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« Génération pro-vie ». Lutter contre l’avortement après les lois de dépénalisation / Anne-Sophie Crosetti in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 15-20 Titre : « Génération pro-vie ». Lutter contre l’avortement après les lois de dépénalisation Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Sophie Crosetti Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-20 Langues : Français (fre) Catégories : TS Avortement # Avortement:Avortement -- Législation # Dépénalisation Résumé : "Le vendredi 24 juin 2022, la Cour suprême des États-Unis révoquait l’arrêt historique Roe v. Wade garantissant aux femmes la liberté d’avorter en vertu du droit à la vie privée. Cette décision historique a semé un vent de panique parmi les défenseur·euses du droit à l’avortement aux États-Unis et ailleurs : et si l’avortement n’était finalement pas un droit acquis ? L’Histoire nous a pourtant déjà fourni de nombreux exemples de la fragilité de ce droit. La Pologne, par exemple, autorise l’avortement à partir de 1953, avant de revenir sur ce droit en 1993. Depuis, les conditions pour obtenir un avortement se restreignent de plus en plus dans ce pays, entrainant des manifestations d’envergure. En Belgique, si l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a été partiellement décriminalisée en 1990, elle est longtemps restée au cœur de débats politiques, que d’aucuns interprétaient comme un marchandage entre les différentes formations partisanes dans le but d’éviter une modification des conditions d’accès à l’IVG (Marques-Pereira, 2021). Au-delà de l’aspect légal, l’actualité américaine met sous les feux des projecteurs des mouvements parfois délaissés du fait des contextes législatifs. Cette actualité offre une opportunité de se pencher sur les mobilisations contre l’avortement en Belgique et sur une particularité saillante : son renouvèlement générationnel. En effet, ces évènements mettent en lumière des militant·es qui se sont réjoui·es de la révocation et ont perçu cette victoire comme celle d’une nouvelle génération, la « génération pro-vie »" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-15.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35206 [article] « Génération pro-vie ». Lutter contre l’avortement après les lois de dépénalisation [texte imprimé] / Anne-Sophie Crosetti . - 2022 . - p. 15-20. Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 15-20 Catégories : TS Avortement # Avortement:Avortement -- Législation # Dépénalisation Résumé : "Le vendredi 24 juin 2022, la Cour suprême des États-Unis révoquait l’arrêt historique Roe v. Wade garantissant aux femmes la liberté d’avorter en vertu du droit à la vie privée. Cette décision historique a semé un vent de panique parmi les défenseur·euses du droit à l’avortement aux États-Unis et ailleurs : et si l’avortement n’était finalement pas un droit acquis ? L’Histoire nous a pourtant déjà fourni de nombreux exemples de la fragilité de ce droit. La Pologne, par exemple, autorise l’avortement à partir de 1953, avant de revenir sur ce droit en 1993. Depuis, les conditions pour obtenir un avortement se restreignent de plus en plus dans ce pays, entrainant des manifestations d’envergure. En Belgique, si l’interruption volontaire de grossesse (IVG) a été partiellement décriminalisée en 1990, elle est longtemps restée au cœur de débats politiques, que d’aucuns interprétaient comme un marchandage entre les différentes formations partisanes dans le but d’éviter une modification des conditions d’accès à l’IVG (Marques-Pereira, 2021). Au-delà de l’aspect légal, l’actualité américaine met sous les feux des projecteurs des mouvements parfois délaissés du fait des contextes législatifs. Cette actualité offre une opportunité de se pencher sur les mobilisations contre l’avortement en Belgique et sur une particularité saillante : son renouvèlement générationnel. En effet, ces évènements mettent en lumière des militant·es qui se sont réjoui·es de la révocation et ont perçu cette victoire comme celle d’une nouvelle génération, la « génération pro-vie »" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-15.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35206

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Chaumont-Gistoux, society / Chléa Bormans in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 15-20 Titre : Chaumont-Gistoux, society Type de document : texte imprimé Auteurs : Chléa Bormans Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 15-20 Langues : Français (fre) Catégories : TS Développement humain # Education # Éducation familiale # Famille # Milieu scolaire # Stéréotype (psychologie) # Travail:Milieu de travail Résumé : "Chaumont-Gistoux. Commune riche en verdure située dans le Brabant wallon et traversée par la capricieuse rivière le Train. La simple sonorité de son élégante et plutôt bourgeoise prononciation peut laisser deviner l’essence de son étendue, de ses habitants, de ses rues et de son air. Chaumont-Gistoux, c’est là où j’ai grandi, où je vis encore les weekends et où j’ai aspiré une bonne partie de mon conditionnement. Ici, se prélassant sur cette feuille, Chaumont-Gistoux n’est pas la charmante commune aux arbres verts ou la deuxième commune la plus fortunée du Brabant wallon. Non. Ici, Chaumont-Gistoux est une façon de vivre, un mode de pensée, un adjectif même. Elle est l’esprit dans la tête d’une partie de la population du Brabant wallon et donc, de Chaumont-Gistoux. Elle est ce à quoi je n’ai pas encore trouvé de nom. Elle est la part de moi que je m’efforce de fuir à tout prix pour éviter de devenir comme elle. Elle est ce dont je ne cesse de chercher les issues de secours. Mais comment se fait-il que ce lieu d’enfance dans lequel j’ai grandi paisiblement et joyeusement soit devenu un doux coussin de soie qui m’étouffe sauvagement, mais subtilement ? D’abord, ma position est particulière. J’ai grandi et suis allée à l’école dans le Brabant wallon. J’ai passé dix-huit années de mon existence à penser que ma vie était « la norme ». Milieu chrétien, blanc, à grande majorité hétérosexuelle cisgenre et aux revenus élevés, pour moi, le monde c’était ça. Il m’a d’ailleurs fallu près de vingt ans avant de me rendre compte que je n’avais jamais vu une personne non blanche dans la commune de Chaumont-Gistoux, excepté les propriétaires du traiteur chinois au coin de la rue" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-21.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35207 [article] Chaumont-Gistoux, society [texte imprimé] / Chléa Bormans . - 2022 . - p. 15-20. Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 15-20 Catégories : TS Développement humain # Education # Éducation familiale # Famille # Milieu scolaire # Stéréotype (psychologie) # Travail:Milieu de travail Résumé : "Chaumont-Gistoux. Commune riche en verdure située dans le Brabant wallon et traversée par la capricieuse rivière le Train. La simple sonorité de son élégante et plutôt bourgeoise prononciation peut laisser deviner l’essence de son étendue, de ses habitants, de ses rues et de son air. Chaumont-Gistoux, c’est là où j’ai grandi, où je vis encore les weekends et où j’ai aspiré une bonne partie de mon conditionnement. Ici, se prélassant sur cette feuille, Chaumont-Gistoux n’est pas la charmante commune aux arbres verts ou la deuxième commune la plus fortunée du Brabant wallon. Non. Ici, Chaumont-Gistoux est une façon de vivre, un mode de pensée, un adjectif même. Elle est l’esprit dans la tête d’une partie de la population du Brabant wallon et donc, de Chaumont-Gistoux. Elle est ce à quoi je n’ai pas encore trouvé de nom. Elle est la part de moi que je m’efforce de fuir à tout prix pour éviter de devenir comme elle. Elle est ce dont je ne cesse de chercher les issues de secours. Mais comment se fait-il que ce lieu d’enfance dans lequel j’ai grandi paisiblement et joyeusement soit devenu un doux coussin de soie qui m’étouffe sauvagement, mais subtilement ? D’abord, ma position est particulière. J’ai grandi et suis allée à l’école dans le Brabant wallon. J’ai passé dix-huit années de mon existence à penser que ma vie était « la norme ». Milieu chrétien, blanc, à grande majorité hétérosexuelle cisgenre et aux revenus élevés, pour moi, le monde c’était ça. Il m’a d’ailleurs fallu près de vingt ans avant de me rendre compte que je n’avais jamais vu une personne non blanche dans la commune de Chaumont-Gistoux, excepté les propriétaires du traiteur chinois au coin de la rue" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-21.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35207

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Brésil de Bolsonaro : fin de partie ? [Dossier] / François Fecteau in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 25-71 Titre : Brésil de Bolsonaro : fin de partie ? [Dossier] Type de document : texte imprimé Auteurs : François Fecteau, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 25-71 Langues : Français (fre) Catégories : TS Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique culturelle # Politique des dépenses publiques # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Science politique Résumé : "Après quatre ans de discours où s'entrecroisent propos racistes, misogynes, homophobes et négationnistes ; quatre ans de politiques publiques reléguant au rancart les luttes contre les inégalités socioéconomiques et les changements climatiques ; quatre ans de définancement de l'art, de la culture, des services publics comme la santé et de l'éducation, cinq chercheur·euses originaires du Brésil dressent le bilan controversé du régime de Jair Bolsonaro." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35208 [article] Brésil de Bolsonaro : fin de partie ? [Dossier] [texte imprimé] / François Fecteau, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2022 . - p. 25-71. Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 25-71 Catégories : TS Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique culturelle # Politique des dépenses publiques # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Science politique Résumé : "Après quatre ans de discours où s'entrecroisent propos racistes, misogynes, homophobes et négationnistes ; quatre ans de politiques publiques reléguant au rancart les luttes contre les inégalités socioéconomiques et les changements climatiques ; quatre ans de définancement de l'art, de la culture, des services publics comme la santé et de l'éducation, cinq chercheur·euses originaires du Brésil dressent le bilan controversé du régime de Jair Bolsonaro." En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35208

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Dans le viseur du négationnisme de Bolsonaro : Éducation, science, technologie / Maria Caramez Carlotto in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 29-39 Titre : Dans le viseur du négationnisme de Bolsonaro : Éducation, science, technologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Maria Caramez Carlotto Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 29-39 Note générale : Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) Catégories : TS Crimes contre l'humanité:Crimes contre l'humanité -- Négation # Education # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Science # Science politique # Technologie éducative # Technologies de l'information et de la communication Résumé : "Il n’y a rien de scientifiquement prouvé sur ce vaccin [Coronavac].Les vaccinés [contre le Covid] développent le syndrome d’immunodéficience acquise [sida].Notre Amazonie, étant une forêt humide, ne s’enflamme pas […] Vous le prouverez et vous apporterez une image qui correspond à la réalité. Les attaques que subit le Brésil en ce qui concerne l’Amazonie ne sont pas justes. […] Elle est exactement la même que lors de sa découverte en l’an 1500. Ces phrases, de l’actuel président brésilien Jair Bolsonaro, ont eu d’énormes répercussions au Brésil et dans le monde. Elles reflètent son déni dans deux domaines cruciaux de la période récente : la crise sanitaire et la crise environnementale. Ces domaines sont particulièrement significatifs car, pour chacun d’eux, le négationnisme de Bolsonaro a produit des résultats catastrophiques. Le négationnisme de Bolsonaro n’est que la face la plus visible de l’étrange rapport qu’entretient le président avec le savoir, duquel découle une politique systématique d’attaques contre les institutions de l’éducation, de la science et de la technologie. Cet article vise à décrire et à analyser cette politique négationniste qui, comme nous le savons, caractérise toutes les forces d’extrême droite dans le monde, mais dont le Brésil s’avère un véritable « laboratoire » qui mérite l’attention. À cette fin, le texte va rappeler de façon systématique l’histoire du système brésilien d’éducation, soulignant l’enseignement supérieur, la science et la technologie, pour ensuite analyser l’ampleur de l’inflexion menée par Bolsonaro" Note de contenu : Bibliographie p. 38-39 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-29.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35209 [article] Dans le viseur du négationnisme de Bolsonaro : Éducation, science, technologie [texte imprimé] / Maria Caramez Carlotto . - 2022 . - p. 29-39. Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 29-39 Catégories : TS Crimes contre l'humanité:Crimes contre l'humanité -- Négation # Education # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Science # Science politique # Technologie éducative # Technologies de l'information et de la communication Résumé : "Il n’y a rien de scientifiquement prouvé sur ce vaccin [Coronavac].Les vaccinés [contre le Covid] développent le syndrome d’immunodéficience acquise [sida].Notre Amazonie, étant une forêt humide, ne s’enflamme pas […] Vous le prouverez et vous apporterez une image qui correspond à la réalité. Les attaques que subit le Brésil en ce qui concerne l’Amazonie ne sont pas justes. […] Elle est exactement la même que lors de sa découverte en l’an 1500. Ces phrases, de l’actuel président brésilien Jair Bolsonaro, ont eu d’énormes répercussions au Brésil et dans le monde. Elles reflètent son déni dans deux domaines cruciaux de la période récente : la crise sanitaire et la crise environnementale. Ces domaines sont particulièrement significatifs car, pour chacun d’eux, le négationnisme de Bolsonaro a produit des résultats catastrophiques. Le négationnisme de Bolsonaro n’est que la face la plus visible de l’étrange rapport qu’entretient le président avec le savoir, duquel découle une politique systématique d’attaques contre les institutions de l’éducation, de la science et de la technologie. Cet article vise à décrire et à analyser cette politique négationniste qui, comme nous le savons, caractérise toutes les forces d’extrême droite dans le monde, mais dont le Brésil s’avère un véritable « laboratoire » qui mérite l’attention. À cette fin, le texte va rappeler de façon systématique l’histoire du système brésilien d’éducation, soulignant l’enseignement supérieur, la science et la technologie, pour ensuite analyser l’ampleur de l’inflexion menée par Bolsonaro" Note de contenu : Bibliographie p. 38-39 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-29.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35209

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Droits LGBTQI+ sous Bolsonaro : revers et résistance / Gustavo Gomes da Costa in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 40-46 Titre : Droits LGBTQI+ sous Bolsonaro : revers et résistance Type de document : texte imprimé Auteurs : Gustavo Gomes da Costa ; Maria Caramez Carlotto, Traducteur ; François Fecteau, Traducteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 40-46 Note générale : Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) Catégories : TS Extrémisme (politique) :Extrême droite # Femmes:Femmes -- Conditions sociales:Femmes -- Conditions sociales -- Brésil # Femmes:Femmes -- Droits # Homophobie # Minorités sexuelles:Homosexuels :Homosexuels -- Persécutions # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil Résumé : "Sur la base d'un discours fortement autoritaire et antidroits des femmes et des personnes LGBTQI+", Jair Bolsonaro, ancien capitaine et membre du 'bas clergé' au Congrès national, a été élu président du Brésil. Une fois au pouvoir, son gouvernement a encouragé un revirement dans les domaines de l'éducation, de la santé, des droits de l'homme et de la politique étrangère brésilienne, transformant le pays en une sorte de laboratoire pour le programme politique de l'extrême droite. L'activisme en faveur de la prodiversité sexuelle se retrouve face aux défis posés par un gouvernement à l'agenda anti-gender. Quels sont les enjeux pour les droits LGTBQI+ en cette veille électorale ?" Note de contenu : Bibliographie p. 46 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-40.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35210 [article] Droits LGBTQI+ sous Bolsonaro : revers et résistance [texte imprimé] / Gustavo Gomes da Costa ; Maria Caramez Carlotto, Traducteur ; François Fecteau, Traducteur . - 2022 . - p. 40-46. Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 40-46 Catégories : TS Extrémisme (politique) :Extrême droite # Femmes:Femmes -- Conditions sociales:Femmes -- Conditions sociales -- Brésil # Femmes:Femmes -- Droits # Homophobie # Minorités sexuelles:Homosexuels :Homosexuels -- Persécutions # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil Résumé : "Sur la base d'un discours fortement autoritaire et antidroits des femmes et des personnes LGBTQI+", Jair Bolsonaro, ancien capitaine et membre du 'bas clergé' au Congrès national, a été élu président du Brésil. Une fois au pouvoir, son gouvernement a encouragé un revirement dans les domaines de l'éducation, de la santé, des droits de l'homme et de la politique étrangère brésilienne, transformant le pays en une sorte de laboratoire pour le programme politique de l'extrême droite. L'activisme en faveur de la prodiversité sexuelle se retrouve face aux défis posés par un gouvernement à l'agenda anti-gender. Quels sont les enjeux pour les droits LGTBQI+ en cette veille électorale ?" Note de contenu : Bibliographie p. 46 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-40.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35210

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Politiques urbaines du logement : Nouveaux visages de l’inégalité brésilienne ? / Moisés Kopper in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 47-54 Titre : Politiques urbaines du logement : Nouveaux visages de l’inégalité brésilienne ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Moisés Kopper ; Maria Caramez Carlotto, Traducteur ; François Fecteau, Traducteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 47-54 Note générale : Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) Catégories : TS Démocratisation # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Logement # Logement:Logement -- Droit # Logement:Logement social # Logement:Politique du logement # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Politique urbaine # Urbanisme Résumé : "La redémocratisation brésilienne du milieu des années 1980 a apporté des avancées significatives en matière de décentralisation et de focalisation des politiques publiques. Avec une forte tendance à la municipalisation, le principal problème auquel font alors face les politiques visant à résoudre le manque de logements demeure l’accès au foncier en territoire urbain (Abers et al., 2014 ; Castro et al., 2014). Pendant la dictature militaire, la mise en œuvre des politiques de logement public avait suivi un modèle centralisé de distribution des ressources, les sociétés de logement de l’État (COHAB) étant responsables de leur exécution, ce qui avait effectivement conduit à l’adoption d’une politique de construction de logements abordables. Le modèle de financement du logement adopté au Brésil entre 1964 et 1986 reposait ainsi sur deux instruments permettant de capter l’épargne privée, rémunérée à de faibles taux d’intérêt : le Fonds de garantie de l’ancienneté (FGTS) et le Système brésilien d’épargne et de prêts (SBPE), réglementé dans le cadre du système financier du logement (Cardoso et Aragão, 2013). Tous deux étaient administrés par la Banque nationale du logement (BNH), considérée à l’époque comme la principale institution financière du développement urbain brésilien. La BNH était une société publique axée sur le financement et la production de projets immobiliers qui, malgré son nom, n’opérait pas directement avec les clients finaux, mais par l’intermédiaire de banques privées et/ou publiques et d’agents promoteurs, tels que des sociétés de logement et des sociétés de distribution d’eau et d’assainissement…" Note de contenu : Bibliographie p. 53-54 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-47.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35211 [article] Politiques urbaines du logement : Nouveaux visages de l’inégalité brésilienne ? [texte imprimé] / Moisés Kopper ; Maria Caramez Carlotto, Traducteur ; François Fecteau, Traducteur . - 2022 . - p. 47-54. Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 47-54 Catégories : TS Démocratisation # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Logement # Logement:Logement -- Droit # Logement:Logement social # Logement:Politique du logement # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Politique urbaine # Urbanisme Résumé : "La redémocratisation brésilienne du milieu des années 1980 a apporté des avancées significatives en matière de décentralisation et de focalisation des politiques publiques. Avec une forte tendance à la municipalisation, le principal problème auquel font alors face les politiques visant à résoudre le manque de logements demeure l’accès au foncier en territoire urbain (Abers et al., 2014 ; Castro et al., 2014). Pendant la dictature militaire, la mise en œuvre des politiques de logement public avait suivi un modèle centralisé de distribution des ressources, les sociétés de logement de l’État (COHAB) étant responsables de leur exécution, ce qui avait effectivement conduit à l’adoption d’une politique de construction de logements abordables. Le modèle de financement du logement adopté au Brésil entre 1964 et 1986 reposait ainsi sur deux instruments permettant de capter l’épargne privée, rémunérée à de faibles taux d’intérêt : le Fonds de garantie de l’ancienneté (FGTS) et le Système brésilien d’épargne et de prêts (SBPE), réglementé dans le cadre du système financier du logement (Cardoso et Aragão, 2013). Tous deux étaient administrés par la Banque nationale du logement (BNH), considérée à l’époque comme la principale institution financière du développement urbain brésilien. La BNH était une société publique axée sur le financement et la production de projets immobiliers qui, malgré son nom, n’opérait pas directement avec les clients finaux, mais par l’intermédiaire de banques privées et/ou publiques et d’agents promoteurs, tels que des sociétés de logement et des sociétés de distribution d’eau et d’assainissement…" Note de contenu : Bibliographie p. 53-54 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-47.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35211

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Ne laisse pas la samba mourir : La culture aux mains du militaire / Gabriela Lopes de Azavedo in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 55-64 Titre : Ne laisse pas la samba mourir : La culture aux mains du militaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Gabriela Lopes de Azavedo Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 55-64 Note générale : Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) Catégories : TS Culture # Culture populaire # Cultures urbaines (culture populaire) # Diffusion de la culture # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil Résumé : "Cet article souhaite débattre du rapport entre le gouvernement Bolsonaro et la culture. Comme ce gouvernement est encore en place, nous nous occuperons d’un panorama des restructurations dans le champ de la culture, qui ont été menées dès l’élection de Bolsonaro depuis octobre 2018 jusqu’à aujourd’hui, veille de l’élection au terme de laquelle ce politicien tentera d’être réélu. Dans la poursuite de cet objectif, nous commencerons par une courte discussion sur le rôle de la culture et de l’art dans la formation de l’État et de l’identité nationale en prenant en compte les singularités du Brésil en tant que pays latino-américain colonisé à la périphérie du capitalisme international. À la suite, nous ferons une brève reconstitution historique en trois axes : le premier s’attache à l’histoire du rapport entre la culture et l’État brésilien de la fin du XIXe siècle jusqu’aux dictatures du XXe siècle. En deuxième lieu, nous traiterons de l’éthos des chefs d’États ayant formé les gouvernements de la nouvelle République qui ont succédé à la dictature militaire de 1964-1985. Finalement, nous aborderons l’imaginaire du rapport que Bolsonaro entretient avec la culture et les politiques publiques mises en place qui témoignent de cette rupture historique avec le respect des institutions culturelles. Le champ de la culture brésilienne se distingue par son métissage et la richesse de la diversité de ses héritages. Telle que le révèle toutefois l’Histoire, la cohabitation des productions artistiques et culturelles, issues des différents milieux ethniques et sociaux, traduit un rapport de colonisation au cœur des inégalités raciales et économiques" Note de contenu : Bibliographie p. 64 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-55.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35212 [article] Ne laisse pas la samba mourir : La culture aux mains du militaire [texte imprimé] / Gabriela Lopes de Azavedo . - 2022 . - p. 55-64. Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 55-64 Catégories : TS Culture # Culture populaire # Cultures urbaines (culture populaire) # Diffusion de la culture # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil Résumé : "Cet article souhaite débattre du rapport entre le gouvernement Bolsonaro et la culture. Comme ce gouvernement est encore en place, nous nous occuperons d’un panorama des restructurations dans le champ de la culture, qui ont été menées dès l’élection de Bolsonaro depuis octobre 2018 jusqu’à aujourd’hui, veille de l’élection au terme de laquelle ce politicien tentera d’être réélu. Dans la poursuite de cet objectif, nous commencerons par une courte discussion sur le rôle de la culture et de l’art dans la formation de l’État et de l’identité nationale en prenant en compte les singularités du Brésil en tant que pays latino-américain colonisé à la périphérie du capitalisme international. À la suite, nous ferons une brève reconstitution historique en trois axes : le premier s’attache à l’histoire du rapport entre la culture et l’État brésilien de la fin du XIXe siècle jusqu’aux dictatures du XXe siècle. En deuxième lieu, nous traiterons de l’éthos des chefs d’États ayant formé les gouvernements de la nouvelle République qui ont succédé à la dictature militaire de 1964-1985. Finalement, nous aborderons l’imaginaire du rapport que Bolsonaro entretient avec la culture et les politiques publiques mises en place qui témoignent de cette rupture historique avec le respect des institutions culturelles. Le champ de la culture brésilienne se distingue par son métissage et la richesse de la diversité de ses héritages. Telle que le révèle toutefois l’Histoire, la cohabitation des productions artistiques et culturelles, issues des différents milieux ethniques et sociaux, traduit un rapport de colonisation au cœur des inégalités raciales et économiques" Note de contenu : Bibliographie p. 64 En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-55.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35212

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Être évangélique et de gauche, c’est possible ! Les pasteurs et mouvements évangéliques mobilisés pour la démocratie au Brésil / Margaux De Barros in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 29-39 Titre : Être évangélique et de gauche, c’est possible ! Les pasteurs et mouvements évangéliques mobilisés pour la démocratie au Brésil Type de document : texte imprimé Auteurs : Margaux De Barros Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 29-39 Note générale : Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) Catégories : TS Conservatisme # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Primauté du droit # Religion # Tolérance :Tolérance religieuse Résumé : "L’élection de Jair Bolsonaro en 2018 a mis en lumière la place prépondérante des acteurs évangéliques sur la scène politique brésilienne. L’expansion évangélique au Brésil s’est manifestée par la traduction de sa force numérique en pouvoir politique, les Églises pentecôtistes et néopentecôtistes finançant les campagnes électorales de candidats conservateurs ou présentant leurs propres candidats. La forte visibilité de leadeurs évangéliques conservateurs et réactionnaires, dans les sphères médiatique et politique, ne doit toutefois pas occulter la diversité des orientations politiques et sociales au sein de ce mouvement. En effet, il est important de souligner l’hétérogénéité des « évangéliques » qui se traduit par une multiplicité d’opinions, de valeurs et de théologies. La désignation « évangéliques » en tant que groupe religieux unifié, communément considéré comme conservateur s’avère alors peu pertinente, puisqu’elle est sujette à d’âpres querelles et qu’elle dissimule la pluralité des visions du monde et des pratiques religieuses. Rappelons qu’une grande partie des pasteurs refusent de prendre position dans le débat politique et qu’il existe un segment dit « progressiste », certes minoritaire, mais qui tente d’imposer sa présence dans les sphères religieuse et politique. Le terme « évangélique progressiste » que j’utilise ici désigne les croyants pour qui la foi chrétienne doit conduire à œuvrer pour la justice sociale et contre les problèmes structurels tels que les inégalités économiques, la violence et la pauvreté" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-65.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35213 [article] Être évangélique et de gauche, c’est possible ! Les pasteurs et mouvements évangéliques mobilisés pour la démocratie au Brésil [texte imprimé] / Margaux De Barros . - 2022 . - p. 29-39. Issu du dossier "Brésil de Bolsonaro : fin de partie ?" Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 29-39 Catégories : TS Conservatisme # Extrémisme (politique) :Extrême droite # Politique et gouvernement -- Amérique latine:Politique et gouvernement -- Brésil # Primauté du droit # Religion # Tolérance :Tolérance religieuse Résumé : "L’élection de Jair Bolsonaro en 2018 a mis en lumière la place prépondérante des acteurs évangéliques sur la scène politique brésilienne. L’expansion évangélique au Brésil s’est manifestée par la traduction de sa force numérique en pouvoir politique, les Églises pentecôtistes et néopentecôtistes finançant les campagnes électorales de candidats conservateurs ou présentant leurs propres candidats. La forte visibilité de leadeurs évangéliques conservateurs et réactionnaires, dans les sphères médiatique et politique, ne doit toutefois pas occulter la diversité des orientations politiques et sociales au sein de ce mouvement. En effet, il est important de souligner l’hétérogénéité des « évangéliques » qui se traduit par une multiplicité d’opinions, de valeurs et de théologies. La désignation « évangéliques » en tant que groupe religieux unifié, communément considéré comme conservateur s’avère alors peu pertinente, puisqu’elle est sujette à d’âpres querelles et qu’elle dissimule la pluralité des visions du monde et des pratiques religieuses. Rappelons qu’une grande partie des pasteurs refusent de prendre position dans le débat politique et qu’il existe un segment dit « progressiste », certes minoritaire, mais qui tente d’imposer sa présence dans les sphères religieuse et politique. Le terme « évangélique progressiste » que j’utilise ici désigne les croyants pour qui la foi chrétienne doit conduire à œuvrer pour la justice sociale et contre les problèmes structurels tels que les inégalités économiques, la violence et la pauvreté" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-65.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35213

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Corset de papier / Lucie Barette in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 72-74 Titre : Corset de papier Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucie Barette Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 72-74 Langues : Français (fre) Catégories : TS Capitalisme # Discrimination:Discrimination sexuelle # Émancipation # Études sur le genre # Femmes # Femmes:Femmes -- Dans la littérature # Femmes:Femmes -- Droits # Femmes:Femmes dans la publicité # Femmes:Femmes dans les représentations sociales # Patriarcat (sociologie) # Presse # Stéréotype (psychologie) Résumé : "Axelle en Belgique et La Déferlante en France, pour ne prendre que ces deux exemples, sont deux revues qui abordent les questions de société sous le prisme du genre et prennent le contrepied de ce que l’on nomme la « presse féminine ». Ces médias, que l’on voit se multiplier, aujourd’hui, s’attèlent à renverser le paradigme et à permettre aux femmes de s’émanciper d’un monde médiatique intégré à la société capitaliste patriarcale. Touchant davantage les femmes, elles ne se destinent pas volontairement à un lectorat féminin. Médias indépendants, ces revues s’attachent à déconstruire les mécanismes sociétaux à l’œuvre et se veulent « boite à outils » pour penser les grandes questions de société sous le prisme du genre. En deux mots, elles pratiquent un « journalisme situé et actif » dans une volonté affirmée de favoriser l’émancipation collective des femmes au travers de l’intervention féminine. Dans un souci de développement de la puissance d’agir des femmes et en se démarquant des modèles économiques imposés aux médias écrits, ces magazines donnent la parole aux premières concernées, leur offrant un espace d’expression dont elles sont encore majoritairement privées dans la presse généraliste. Comme l’affirme Sabine Panet, rédactrice en chef d’Axelle, « Dans les médias mainstream, il est alors difficile de faire passer un sujet sur les violences de genre. Pour être accepté, le sujet doit être légitimé par une parole experte. Soit le savant (souvent un homme) de la rédaction, qui confirme aimablement que le sujet est valable et pas trop féministe" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-72.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35214 [article] Corset de papier [texte imprimé] / Lucie Barette . - 2022 . - p. 72-74. Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 72-74 Catégories : TS Capitalisme # Discrimination:Discrimination sexuelle # Émancipation # Études sur le genre # Femmes # Femmes:Femmes -- Dans la littérature # Femmes:Femmes -- Droits # Femmes:Femmes dans la publicité # Femmes:Femmes dans les représentations sociales # Patriarcat (sociologie) # Presse # Stéréotype (psychologie) Résumé : "Axelle en Belgique et La Déferlante en France, pour ne prendre que ces deux exemples, sont deux revues qui abordent les questions de société sous le prisme du genre et prennent le contrepied de ce que l’on nomme la « presse féminine ». Ces médias, que l’on voit se multiplier, aujourd’hui, s’attèlent à renverser le paradigme et à permettre aux femmes de s’émanciper d’un monde médiatique intégré à la société capitaliste patriarcale. Touchant davantage les femmes, elles ne se destinent pas volontairement à un lectorat féminin. Médias indépendants, ces revues s’attachent à déconstruire les mécanismes sociétaux à l’œuvre et se veulent « boite à outils » pour penser les grandes questions de société sous le prisme du genre. En deux mots, elles pratiquent un « journalisme situé et actif » dans une volonté affirmée de favoriser l’émancipation collective des femmes au travers de l’intervention féminine. Dans un souci de développement de la puissance d’agir des femmes et en se démarquant des modèles économiques imposés aux médias écrits, ces magazines donnent la parole aux premières concernées, leur offrant un espace d’expression dont elles sont encore majoritairement privées dans la presse généraliste. Comme l’affirme Sabine Panet, rédactrice en chef d’Axelle, « Dans les médias mainstream, il est alors difficile de faire passer un sujet sur les violences de genre. Pour être accepté, le sujet doit être légitimé par une parole experte. Soit le savant (souvent un homme) de la rédaction, qui confirme aimablement que le sujet est valable et pas trop féministe" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-72.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35214

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Prostitution de rue et violences : Le vécu des femmes trans* à Yser / Anna Daniela Dresler in La revue nouvelle, 7 (2022)  

Public ISBD [article]  inLa revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 75-83 Titre : Prostitution de rue et violences : Le vécu des femmes trans* à Yser Type de document : texte imprimé Auteurs : Anna Daniela Dresler Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 75-83 Langues : Français (fre) Catégories : TS Femmes -- Violence envers # Minorités sexuelles:Transgenres # Prostitution # Urbanisme Résumé : "Parmi les nombreuses pratiques que recouvre la prostitution, en des lieux divers, cet article s’intéresse spécifiquement aux travailleuses du sexe trans* qui pratiquent une prostitution de rue à Yser, dans le centre de Bruxelles. Au gré des évolutions récentes du quartier — notamment le changement du profil socioéconomique des habitant·es, la promotion immobilière, les projets de développements urbanistiques — le discours selon lequel la prostitution historiquement présente est de moins en moins conciliable avec les nouvelles ambitions du quartier a gagné en vigueur. Cette vision, qui considère les tensions présentes dans le quartier comme une conséquence de la prostitution (entre autres), a contribué à la publication de nouveaux règlements, l’entrée en vigueur de mesures ciblées, à la mise en œuvre d’un placemaking excluant les personnes concernées par la prostitution ou les assuétudes, et entrainé à de multiples reprises la sollicitation des pouvoirs publics par certains acteurs locaux. La fermeture des hôtels de passe, des terrasses ou des établissements Horeca qui autorisaient les travailleuses du sexe à les fréquenter, tient également de cette lecture de la situation. Pourtant, les témoignages sur les incivilités et violences dans le quartier sont rarement livrés par les prostituées elles-mêmes et n’offrent, donc, qu’une image partielle de ces conflits. Les violences à l’égard des travailleuses du sexe trans* sont encore moins documentées. Pour remédier à cela et offrir une photographie plus complète et nuancée de la situation à Yser, cet article décline la multiplicité des violences que les travailleuses du sexe y rencontrent et leurs spécificités" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-75.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35215 [article] Prostitution de rue et violences : Le vécu des femmes trans* à Yser [texte imprimé] / Anna Daniela Dresler . - 2022 . - p. 75-83. Langues : Français (fre) in La revue nouvelle > 7 (2022) . - p. 75-83 Catégories : TS Femmes -- Violence envers # Minorités sexuelles:Transgenres # Prostitution # Urbanisme Résumé : "Parmi les nombreuses pratiques que recouvre la prostitution, en des lieux divers, cet article s’intéresse spécifiquement aux travailleuses du sexe trans* qui pratiquent une prostitution de rue à Yser, dans le centre de Bruxelles. Au gré des évolutions récentes du quartier — notamment le changement du profil socioéconomique des habitant·es, la promotion immobilière, les projets de développements urbanistiques — le discours selon lequel la prostitution historiquement présente est de moins en moins conciliable avec les nouvelles ambitions du quartier a gagné en vigueur. Cette vision, qui considère les tensions présentes dans le quartier comme une conséquence de la prostitution (entre autres), a contribué à la publication de nouveaux règlements, l’entrée en vigueur de mesures ciblées, à la mise en œuvre d’un placemaking excluant les personnes concernées par la prostitution ou les assuétudes, et entrainé à de multiples reprises la sollicitation des pouvoirs publics par certains acteurs locaux. La fermeture des hôtels de passe, des terrasses ou des établissements Horeca qui autorisaient les travailleuses du sexe à les fréquenter, tient également de cette lecture de la situation. Pourtant, les témoignages sur les incivilités et violences dans le quartier sont rarement livrés par les prostituées elles-mêmes et n’offrent, donc, qu’une image partielle de ces conflits. Les violences à l’égard des travailleuses du sexe trans* sont encore moins documentées. Pour remédier à cela et offrir une photographie plus complète et nuancée de la situation à Yser, cet article décline la multiplicité des violences que les travailleuses du sexe y rencontrent et leurs spécificités" En ligne : https://cairn-cdocs.helha.be/revue-nouvelle-2022-7-page-75.htm Permalink : http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35215

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