Titre : |
Prison à domicile |
Type de document : |
document projeté ou vidéo |
Auteurs : |
Philippe Borrel, Metteur en scène, réalisateur ; Hans-Jörg Albrecht, Personne interviewée |
Editeur : |
Strasbourg [France] : Arte |
Année de publication : |
2007 |
Importance : |
1 DVD |
Présentation : |
coul. |
Format : |
61 min. |
Note générale : |
Audio : français |
Catégories : |
TS Placement sous surveillance électronique
|
Index. décimale : |
01 Droit - Justice - Prisons |
Résumé : |
"Le bracelet électronique peut-il constituer une alternative à l'incarcération ? À partir de portraits de personnes assignées à domicile, une enquête fouillée qui nous emmène jusqu'aux États-Unis, où ce dispositif controversé est en vigueur depuis longtemps.
Vingt et un mille détenus - condamnés à un an maximum pour délit - purgent aujourd'hui en France leur peine à domicile grâce à un bracelet électronique.
Fixé à la cheville ou au poignet, il est relié à un récepteur téléphonique qui déclenche une alarme au moindre incident. Plus de barreaux, mais des horaires stricts à respecter et des frontières à ne pas franchir.
Si on s'accorde à dire que ce dispositif vaut mieux que la prison, dont les conditions déplorables et les effets criminogènes sont avérés, cette nouvelle technologie n'est pas sans soulever des interrogations : est-ce acceptable d'être contrôlé jusque dans son intimité ? Quels sont les effets sur la cellule familiale ? Quelles sont les raisons pour lesquelles de nombreux assignés "craquent" au bout de six mois ? La prison mentale est-elle vraiment moins destructrice que la prison physique ?
À partir du cas de personnes assignées à domicile - notamment un agriculteur condamné pour récidive de conduite sous alcool et un jeune homme impliqué dans une affaire de stupéfiants -, cette enquête très fouillée analyse les vertus et les méfaits d'un tel dispositif, en compagnie de magistrats, d'élus, de psychologues, d'universitaires et de personnels pénitentiaires.
Pour mieux saisir les enjeux, Philippe Borel est parti aux États-Unis, où cette méthode est utilisée depuis longtemps. En plus de l'assignation à domicile, les détenus peuvent être reliés à un GPS et localisés 24 heures sur 24. Des alternatives à la prison qui coûtent cher au détenu, car, tout comme les fournisseurs des appareils, ce sont des sociétés privées qui gèrent les peines." |
Note de contenu : |
Contient : "Prison à domicile" et "Discussion avec Hans-Jörg Albrecht"
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18525 |
Prison à domicile [document projeté ou vidéo] / Philippe Borrel, Metteur en scène, réalisateur ; Hans-Jörg Albrecht, Personne interviewée . - Strasbourg (4, quai du chanoine Winterer, 67080, France) : Arte, 2007 . - 1 DVD : coul. ; 61 min. Audio : français
Catégories : |
TS Placement sous surveillance électronique
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Index. décimale : |
01 Droit - Justice - Prisons |
Résumé : |
"Le bracelet électronique peut-il constituer une alternative à l'incarcération ? À partir de portraits de personnes assignées à domicile, une enquête fouillée qui nous emmène jusqu'aux États-Unis, où ce dispositif controversé est en vigueur depuis longtemps.
Vingt et un mille détenus - condamnés à un an maximum pour délit - purgent aujourd'hui en France leur peine à domicile grâce à un bracelet électronique.
Fixé à la cheville ou au poignet, il est relié à un récepteur téléphonique qui déclenche une alarme au moindre incident. Plus de barreaux, mais des horaires stricts à respecter et des frontières à ne pas franchir.
Si on s'accorde à dire que ce dispositif vaut mieux que la prison, dont les conditions déplorables et les effets criminogènes sont avérés, cette nouvelle technologie n'est pas sans soulever des interrogations : est-ce acceptable d'être contrôlé jusque dans son intimité ? Quels sont les effets sur la cellule familiale ? Quelles sont les raisons pour lesquelles de nombreux assignés "craquent" au bout de six mois ? La prison mentale est-elle vraiment moins destructrice que la prison physique ?
À partir du cas de personnes assignées à domicile - notamment un agriculteur condamné pour récidive de conduite sous alcool et un jeune homme impliqué dans une affaire de stupéfiants -, cette enquête très fouillée analyse les vertus et les méfaits d'un tel dispositif, en compagnie de magistrats, d'élus, de psychologues, d'universitaires et de personnels pénitentiaires.
Pour mieux saisir les enjeux, Philippe Borel est parti aux États-Unis, où cette méthode est utilisée depuis longtemps. En plus de l'assignation à domicile, les détenus peuvent être reliés à un GPS et localisés 24 heures sur 24. Des alternatives à la prison qui coûtent cher au détenu, car, tout comme les fournisseurs des appareils, ce sont des sociétés privées qui gèrent les peines." |
Note de contenu : |
Contient : "Prison à domicile" et "Discussion avec Hans-Jörg Albrecht"
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Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmblln/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18525 |
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