Titre : |
Apprendre l'autonomie, apprendre la socialisation |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie-Agnès Hoffmans-Gosset |
Editeur : |
Lyon : Chronique sociale |
Année de publication : |
2006 |
Collection : |
Pédagogie Formation |
Importance : |
163 p. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-85008-388-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Autonomie |
Résumé : |
Avec l'autonomie, c'est une nouvelle façon de vivre qui se joue.
Cet essai tente d'explorer les sens, tous les sens de l'autonomie face aux aspects affectifs, intellectuels, psychologiques et relationnels. Il montre les obstacles, propose des orientations et des moyens pour atteindre l'autonomie, favoriser notre socialisation et notre équilibre personnel.
Cette réflexion conduit à comprendre qu'il n'y a pas d'autonomie sans socialisation. Il y a toujours le fait social, la rencontre de l'Autre, le tissage de liens, le réseau des échanges.
Cette dynamique conjointe de l'autonomie et de la socialisation façonne une cohérence de vie : il ne peut y avoir l'une sans l'autre, sans déformation de l'une ou de l'autre.
Parmi les candidats à l'autonomie, point de solitaires mais des solidaires, point de désenchantés mais des enthousiastes, car l'autonomie se nourrit de nos énergies, rassemble nos créativités et se forge de l'histoire de nos vies.
Louis Porcher le comprit au point d'écrire dans sa préface : une recherche sur l'autonomie est toujours aussi une recherche de l'autonomie. |
Apprendre l'autonomie, apprendre la socialisation [texte imprimé] / Marie-Agnès Hoffmans-Gosset . - Lyon : Chronique sociale, 2006 . - 163 p. ; 22 cm. - ( Pédagogie Formation) . ISBN : 978-2-85008-388-4 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Autonomie |
Résumé : |
Avec l'autonomie, c'est une nouvelle façon de vivre qui se joue.
Cet essai tente d'explorer les sens, tous les sens de l'autonomie face aux aspects affectifs, intellectuels, psychologiques et relationnels. Il montre les obstacles, propose des orientations et des moyens pour atteindre l'autonomie, favoriser notre socialisation et notre équilibre personnel.
Cette réflexion conduit à comprendre qu'il n'y a pas d'autonomie sans socialisation. Il y a toujours le fait social, la rencontre de l'Autre, le tissage de liens, le réseau des échanges.
Cette dynamique conjointe de l'autonomie et de la socialisation façonne une cohérence de vie : il ne peut y avoir l'une sans l'autre, sans déformation de l'une ou de l'autre.
Parmi les candidats à l'autonomie, point de solitaires mais des solidaires, point de désenchantés mais des enthousiastes, car l'autonomie se nourrit de nos énergies, rassemble nos créativités et se forge de l'histoire de nos vies.
Louis Porcher le comprit au point d'écrire dans sa préface : une recherche sur l'autonomie est toujours aussi une recherche de l'autonomie. |
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