Titre : |
Qu'apporte la littérature jeunesse aux enfants ? : et à ceux qui ne le sont plus |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Patrick Ben Soussan, Auteur ; Dominique Rateau, Préfacier, etc. |
Editeur : |
Toulouse : Éd. Érès |
Année de publication : |
2014 |
Collection : |
1001 et +, ISSN 2269-4161 |
Importance : |
322 p. |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7492-3806-7 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
littérature jeunesse album jeunesse stéréotype enfance |
Index. décimale : |
8-0 Livre et lecture |
Résumé : |
« Le premier homme de la préhistoire qui composa un bouquet de fleurs fut le premier à quitter l'état animal ; il comprit l'utilité de l'inutile. » Le livre du Thé, Okakura Kakuzô, 1906
La littérature de jeunesse est ainsi : pour les uns un bouquet de fleurs et pour les autres, inutile. Depuis toujours, elle se complait dans cette interrogation persistante, insignifiante et inféconde : écrit-on pour les enfants ? Elle résonne alors inlassablement de mille polémiques quant à sa qualité, son statut, sa fonction. Faut-il l’interdire, la remettre à l’ordre, l’ « éduquer » ?
Contre les voix qui s’élèvent pour l’éreinter, souvent sans la connaître, Patrick Ben Soussan fait l’éloge de cette singulière faculté de la littérature de jeunesse : offrir aux enfants des occasions, de penser, de rêver, de rire et de pleurer, d’aimer, de comprendre, de partager, de rencontrer, au plus vrai, le sensible, l'affecté, le réel et le rêve, de s’échapper et de se retrouver. C’est cela aussi qu’apporte la littérature de jeunesse à ceux qui ne sont plus des enfants, des retrouvailles, non pas avec leur enfance, perdue, inaliénable, mais avec des parts d’eux-mêmes, étranges et étrangères parfois, qu’elle leur révèle, à leur insu. |
Note de contenu : |
Sommaire :
Préface de Dominique Rateau
Avertissement. La littérature de jeunesse, n’en faites pas une histoire !
Envoi. C’est Oui-Oui qui m’a fait découvrir l’œdipe
Intermezzo. Moi, j’attends. La littérature de jeunesse sans fil rouge
Y’a pas BON littérature de jeunesse !
Intermezzo. Baudelaire en préliminaires
La littérature de jeunesse, la honte !
Intermezzo. Tic-Tic la girafe post coïtum animal triste
La littérature de jeunesse n’aurait pas sa place dans la grande librairie ?
Quand les écrivains « adultes » écrivent jeunesse
La littérature de jeunesse est dangereuse pour la jeunesse !
Intermezzo. Yakouba La littérature de jeunesse… est un passage
Sentimentale-moi ! La littérature jeunesse comme obscénité
De quoi et à qui ça parle la littérature de jeunesse ? Des faits et des fées
La littérature de jeunesse, de vive voix
Intermezzo. La littérature comme savoir-vivre
Des livres et des bébés
Intermezzo. Pourquôôââ la littérature de jeunesse ?
Les livres pour enfants ne sont pas des médicaments mais…
Intermezzo. Le Petit Prince. La littérature de jeunesse, un monde dont le prince est un enfant ?
La littérature de jeunesse, que des histoires de princesses ?
Conclusion
La faculté d’étonnement
Épilogue. Ava
|
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4546 |
Qu'apporte la littérature jeunesse aux enfants ? : et à ceux qui ne le sont plus [texte imprimé] / Patrick Ben Soussan, Auteur ; Dominique Rateau, Préfacier, etc. . - Toulouse : Éd. Érès, 2014 . - 322 p. ; 20 cm. - ( 1001 et +, ISSN 2269-4161) . ISBN : 978-2-7492-3806-7 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
littérature jeunesse album jeunesse stéréotype enfance |
Index. décimale : |
8-0 Livre et lecture |
Résumé : |
« Le premier homme de la préhistoire qui composa un bouquet de fleurs fut le premier à quitter l'état animal ; il comprit l'utilité de l'inutile. » Le livre du Thé, Okakura Kakuzô, 1906
La littérature de jeunesse est ainsi : pour les uns un bouquet de fleurs et pour les autres, inutile. Depuis toujours, elle se complait dans cette interrogation persistante, insignifiante et inféconde : écrit-on pour les enfants ? Elle résonne alors inlassablement de mille polémiques quant à sa qualité, son statut, sa fonction. Faut-il l’interdire, la remettre à l’ordre, l’ « éduquer » ?
Contre les voix qui s’élèvent pour l’éreinter, souvent sans la connaître, Patrick Ben Soussan fait l’éloge de cette singulière faculté de la littérature de jeunesse : offrir aux enfants des occasions, de penser, de rêver, de rire et de pleurer, d’aimer, de comprendre, de partager, de rencontrer, au plus vrai, le sensible, l'affecté, le réel et le rêve, de s’échapper et de se retrouver. C’est cela aussi qu’apporte la littérature de jeunesse à ceux qui ne sont plus des enfants, des retrouvailles, non pas avec leur enfance, perdue, inaliénable, mais avec des parts d’eux-mêmes, étranges et étrangères parfois, qu’elle leur révèle, à leur insu. |
Note de contenu : |
Sommaire :
Préface de Dominique Rateau
Avertissement. La littérature de jeunesse, n’en faites pas une histoire !
Envoi. C’est Oui-Oui qui m’a fait découvrir l’œdipe
Intermezzo. Moi, j’attends. La littérature de jeunesse sans fil rouge
Y’a pas BON littérature de jeunesse !
Intermezzo. Baudelaire en préliminaires
La littérature de jeunesse, la honte !
Intermezzo. Tic-Tic la girafe post coïtum animal triste
La littérature de jeunesse n’aurait pas sa place dans la grande librairie ?
Quand les écrivains « adultes » écrivent jeunesse
La littérature de jeunesse est dangereuse pour la jeunesse !
Intermezzo. Yakouba La littérature de jeunesse… est un passage
Sentimentale-moi ! La littérature jeunesse comme obscénité
De quoi et à qui ça parle la littérature de jeunesse ? Des faits et des fées
La littérature de jeunesse, de vive voix
Intermezzo. La littérature comme savoir-vivre
Des livres et des bébés
Intermezzo. Pourquôôââ la littérature de jeunesse ?
Les livres pour enfants ne sont pas des médicaments mais…
Intermezzo. Le Petit Prince. La littérature de jeunesse, un monde dont le prince est un enfant ?
La littérature de jeunesse, que des histoires de princesses ?
Conclusion
La faculté d’étonnement
Épilogue. Ava
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Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=4546 |
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