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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'métastase osseuse'
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Comparaison des performances diagnostiques de la TEP au FNa avec et sans scanner couplé dans la recherche de métastases osseuses / S. Moini in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 37, n° 2 (Février 2013)
[article]
Titre : Comparaison des performances diagnostiques de la TEP au FNa avec et sans scanner couplé dans la recherche de métastases osseuses Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Moini, Auteur ; et al., Auteur ; C. Bruna-Muraille, Auteur ; D. Papathanassiou, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 19-25 Langues : Français (fre) Mots-clés : tep tep tdm imagerie hybride métastase osseuse FNa Résumé : Résumé
Introduction
Le couplage de la tomodensitométrie (TDM) à la tomographie par émission de positons (TEP) au fluorure de sodium (FNa) augmente la dose efficace délivrée au patient. Nous avons évalué son intérêt dans la détection des métastases osseuses.
Matériels et méthodes
Trois observateurs ont, rétrospectivement, analysé les images de TEP au FNa (non corrigées de l’atténuation) seules et celles corrigées de l’atténuation couplées à la TDM de 50 patients atteints de néoplasie. Le squelette était divisé en 17 régions. Pour chacune, un score de malignité des anomalies allant de 1 à 5 a été attribué. Une étude par région a été faite, ainsi qu’une étude par patient. Pour celle-ci, le score de la région où il était le plus élevé a été retenu pour chaque patient. Le suivi (six mois), l’histologie ou d’autres examens d’imagerie apportaient le diagnostic de référence.
Résultats
Pour les trois observateurs, lors de l’analyse par région, les aires sous les courbes ROC étaient, respectivement, 0,79, 0,97 et 0,70 sans TDM et 0,98, 0,98 et 0,96 avec TDM. La différence était significative (p < 0,05) pour les observateurs 1 et 3. Lors de l’analyse par patient, les aires sous les courbes ROC étaient 0,86, 0,96 et 0,85 sans TDM et 0,97, 0,98 et 0,99 avec TDM avec une différence significative pour l’observateur 3.
Conclusion
Le couplage de la TDM à la TEP au FNa augmente l’homogénéité des résultats obtenus par les différents observateurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29518
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 37, n° 2 (Février 2013) . - 19-25[article] Comparaison des performances diagnostiques de la TEP au FNa avec et sans scanner couplé dans la recherche de métastases osseuses [texte imprimé] / S. Moini, Auteur ; et al., Auteur ; C. Bruna-Muraille, Auteur ; D. Papathanassiou, Auteur . - 2013 . - 19-25.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 37, n° 2 (Février 2013) . - 19-25
Mots-clés : tep tep tdm imagerie hybride métastase osseuse FNa Résumé : Résumé
Introduction
Le couplage de la tomodensitométrie (TDM) à la tomographie par émission de positons (TEP) au fluorure de sodium (FNa) augmente la dose efficace délivrée au patient. Nous avons évalué son intérêt dans la détection des métastases osseuses.
Matériels et méthodes
Trois observateurs ont, rétrospectivement, analysé les images de TEP au FNa (non corrigées de l’atténuation) seules et celles corrigées de l’atténuation couplées à la TDM de 50 patients atteints de néoplasie. Le squelette était divisé en 17 régions. Pour chacune, un score de malignité des anomalies allant de 1 à 5 a été attribué. Une étude par région a été faite, ainsi qu’une étude par patient. Pour celle-ci, le score de la région où il était le plus élevé a été retenu pour chaque patient. Le suivi (six mois), l’histologie ou d’autres examens d’imagerie apportaient le diagnostic de référence.
Résultats
Pour les trois observateurs, lors de l’analyse par région, les aires sous les courbes ROC étaient, respectivement, 0,79, 0,97 et 0,70 sans TDM et 0,98, 0,98 et 0,96 avec TDM. La différence était significative (p < 0,05) pour les observateurs 1 et 3. Lors de l’analyse par patient, les aires sous les courbes ROC étaient 0,86, 0,96 et 0,85 sans TDM et 0,97, 0,98 et 0,99 avec TDM avec une différence significative pour l’observateur 3.
Conclusion
Le couplage de la TDM à la TEP au FNa augmente l’homogénéité des résultats obtenus par les différents observateurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29518 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Harrison. Principes de médecine interne. : Volume 1 / Dan Longo
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité 616.0 LON P Livre Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Etagères livres Exclu du prêt Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives / G. Peyraga in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Peyraga ; A. Ducassou ; F.-X. Arnaud ; T. Lizée ; J. Pouédras ; É. Moyal Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 55-61 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Myélopathie radio-induite Myélite radique Métastase osseuse Réirradiation Toxicité médullaire Résumé : Le radiothérapeute a un cauchemar : la survenue d’une myélopathie radio-induite. Heureusement, cette complication est exceptionnelle. Son diagnostic est évoqué devant des symptômes cliniques aspécifiques, apparaissant le plus souvent dans les 6 à 24 mois après la radiothérapie, et reste un diagnostic d’exclusion. L’IRM est l’examen paraclinique le plus informatif. Sa physiopathologie reste mal connue, avec une part probable de modifications vasculaires, et une autre part probable de perte de cellules parenchymateuses. Le radiothérapeute porte une attention particulière à la moelle épinière lors de chaque radiothérapie, et plus particulièrement lors de traitements stéréotaxiques ou de réirradiations. L’incidence faible de cette complication rend difficile la prédiction de sa survenue. Classiquement, une dose maximale de 50Gy est tolérée en radiothérapie normofractionnée (1,8 à 2Gy par séance). La nécessité clinique de réirradiation dans certaines situations amène parfois le radiothérapeute à outrepasser cette recommandation, en analysant individuellement la balance bénéfice risque. Certains facteurs favorisent la survenue de cette complication et doivent être pris en compte par le radiothérapeute, tels que l’administration de chimiothérapies concomitantes radiosensibilisantes ou neurotoxiques, et certaines comorbidités (diabète). Le développement d’algorithmes prédictifs de cette complication apporte une aide à la décision lors de ces réirradiations. Cependant, le patient doit recevoir une information détaillée des risques encourus lors de ces irradiations à risque, et la prescription du radiothérapeute doit rester prudente. Grâce à l’avènement de l’immunothérapie et des thérapies ciblées, le concept de cancer oligométastatique s’installe progressivement dans la pratique quotidienne, et les traitements stéréotaxiques et les réirradiations seront donc des indications de plus en plus fréquentes. La maîtrise du risque de complications est donc un enjeu majeur dans les années à venir, et reste un défi quotidien pour les radiothérapeutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69256
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 55-61[article] Radiothérapie et toxicité médullaire : actualités et perspectives [texte imprimé] / G. Peyraga ; A. Ducassou ; F.-X. Arnaud ; T. Lizée ; J. Pouédras ; É. Moyal . - 2021 . - p. 55-61.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.017
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 55-61
Mots-clés : Myélopathie radio-induite Myélite radique Métastase osseuse Réirradiation Toxicité médullaire Résumé : Le radiothérapeute a un cauchemar : la survenue d’une myélopathie radio-induite. Heureusement, cette complication est exceptionnelle. Son diagnostic est évoqué devant des symptômes cliniques aspécifiques, apparaissant le plus souvent dans les 6 à 24 mois après la radiothérapie, et reste un diagnostic d’exclusion. L’IRM est l’examen paraclinique le plus informatif. Sa physiopathologie reste mal connue, avec une part probable de modifications vasculaires, et une autre part probable de perte de cellules parenchymateuses. Le radiothérapeute porte une attention particulière à la moelle épinière lors de chaque radiothérapie, et plus particulièrement lors de traitements stéréotaxiques ou de réirradiations. L’incidence faible de cette complication rend difficile la prédiction de sa survenue. Classiquement, une dose maximale de 50Gy est tolérée en radiothérapie normofractionnée (1,8 à 2Gy par séance). La nécessité clinique de réirradiation dans certaines situations amène parfois le radiothérapeute à outrepasser cette recommandation, en analysant individuellement la balance bénéfice risque. Certains facteurs favorisent la survenue de cette complication et doivent être pris en compte par le radiothérapeute, tels que l’administration de chimiothérapies concomitantes radiosensibilisantes ou neurotoxiques, et certaines comorbidités (diabète). Le développement d’algorithmes prédictifs de cette complication apporte une aide à la décision lors de ces réirradiations. Cependant, le patient doit recevoir une information détaillée des risques encourus lors de ces irradiations à risque, et la prescription du radiothérapeute doit rester prudente. Grâce à l’avènement de l’immunothérapie et des thérapies ciblées, le concept de cancer oligométastatique s’installe progressivement dans la pratique quotidienne, et les traitements stéréotaxiques et les réirradiations seront donc des indications de plus en plus fréquentes. La maîtrise du risque de complications est donc un enjeu majeur dans les années à venir, et reste un défi quotidien pour les radiothérapeutes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69256 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt