Centre de Documentation Gilly
HORAIRE
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Fermetures exceptionnelles le jeudi 18 avril après-midi, le lundi 22 avril en matinée, le mardi 23 avril et le mercredi 24 avril en début d'après-midi
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Fermetures exceptionnelles le jeudi 18 avril après-midi, le lundi 22 avril en matinée, le mardi 23 avril et le mercredi 24 avril en début d'après-midi
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation de Gilly
HELHa - Paramédical.
HELHa - Paramédical.
Résultat de la recherche
5 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'OREILLE CANCER'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Faisabilité et intérêt d’un nouvel algorithme de reconstruction des images TEP-18FDG (AW OSEM DR) pour la délimitation des volumes cibles en radiothérapie. À propos d’un cas de néoplasie ORL / A. Colobert in MÉDECINE NUCLÉAIRE, vol. 41, n° 2 (Mars/Avril 2017)
[article]
Titre : Faisabilité et intérêt d’un nouvel algorithme de reconstruction des images TEP-18FDG (AW OSEM DR) pour la délimitation des volumes cibles en radiothérapie. À propos d’un cas de néoplasie ORL Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Colobert ; P. Bailly ; J. Daouk ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 99-107 Langues : Français (fre) Mots-clés : BOUCHE CANCER NEZ CANCER OREILLE CANCER Tomographie par émission de positons Résumé : Objectifs
Nous avons comparé les images de tomographie par émission de positons au [18]-Fluorodésoxyglucose reconstruites selon deux méthodes : « attenuation-weighted ordered subset expectation maximization » (AW-OSEM) et « detector response » (AW-OSEM DR) pour la délimitation des volumes cibles en radiothérapie des cancers des voies aéro-digestives supérieures (VADS). Dans cette étude préliminaire, nous avons étudié, d’une part, la résolution spatiale du système Biograph™ 6 et, d’autre part, les volumes cibles de radiothérapie « Gross Tumor Volume » (GTV), « Clinical Target Volume » (CTV) et « Planning Target Volume » (PTV) obtenus avec chacune de ces deux méthodes de reconstruction.
Matériel et méthodes
La résolution spatiale a été mesurée sur un objet test contenant 4 sources ponctuelles radioactives. Par ailleurs, les volumes cibles de radiothérapie ont été définis avec le logiciel Eclipse™ à partir des images du scanner injecté (TDM IV) et de la TEP/TDM (TEP AW-OSEM et TEP AW-OSEM DR).
Résultats
La résolution spatiale a été améliorée avec l’algorithme de reconstruction AW-OSEM DR comparé aux images obtenues avec la reconstruction AW-OSEM (de 7,5mm à 5,4mm pour la plus forte réduction). Les GTV issus de la reconstruction avec AW-OSEM DR par seuillage semi-automatique à 42 et 50 % de la « maximun standard uptake value » (respectivement, de 1,2 et 0,7cm3) étaient inférieurs à ceux obtenus avec AW-OSEM (respectivement, de 3,6 et 2,2cm3). Ils étaient également inférieurs à celui réalisé avec la TDM IV (5,5cm3). Il en était de même pour les CTV et les PTV.
Conclusion
Cette étude montre que l’algorithme de reconstruction AW-OSEM DR permet de moins dégrader la résolution spatiale qu’avec AW-OSEM utilisé en routine clinique. Dans le cadre de la définition des volumes cibles de radiothérapie, AW-OSEM DR peut permettre de diminuer les GTV, CTV et PTV et donc le risque d’effets secondaires associés aux organes à risque. [Résumé de l'auteur]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52280
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 41, n° 2 (Mars/Avril 2017) . - p. 99-107[article] Faisabilité et intérêt d’un nouvel algorithme de reconstruction des images TEP-18FDG (AW OSEM DR) pour la délimitation des volumes cibles en radiothérapie. À propos d’un cas de néoplasie ORL [texte imprimé] / A. Colobert ; P. Bailly ; J. Daouk ; et al. . - 2017 . - p. 99-107.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 41, n° 2 (Mars/Avril 2017) . - p. 99-107
Mots-clés : BOUCHE CANCER NEZ CANCER OREILLE CANCER Tomographie par émission de positons Résumé : Objectifs
Nous avons comparé les images de tomographie par émission de positons au [18]-Fluorodésoxyglucose reconstruites selon deux méthodes : « attenuation-weighted ordered subset expectation maximization » (AW-OSEM) et « detector response » (AW-OSEM DR) pour la délimitation des volumes cibles en radiothérapie des cancers des voies aéro-digestives supérieures (VADS). Dans cette étude préliminaire, nous avons étudié, d’une part, la résolution spatiale du système Biograph™ 6 et, d’autre part, les volumes cibles de radiothérapie « Gross Tumor Volume » (GTV), « Clinical Target Volume » (CTV) et « Planning Target Volume » (PTV) obtenus avec chacune de ces deux méthodes de reconstruction.
Matériel et méthodes
La résolution spatiale a été mesurée sur un objet test contenant 4 sources ponctuelles radioactives. Par ailleurs, les volumes cibles de radiothérapie ont été définis avec le logiciel Eclipse™ à partir des images du scanner injecté (TDM IV) et de la TEP/TDM (TEP AW-OSEM et TEP AW-OSEM DR).
Résultats
La résolution spatiale a été améliorée avec l’algorithme de reconstruction AW-OSEM DR comparé aux images obtenues avec la reconstruction AW-OSEM (de 7,5mm à 5,4mm pour la plus forte réduction). Les GTV issus de la reconstruction avec AW-OSEM DR par seuillage semi-automatique à 42 et 50 % de la « maximun standard uptake value » (respectivement, de 1,2 et 0,7cm3) étaient inférieurs à ceux obtenus avec AW-OSEM (respectivement, de 3,6 et 2,2cm3). Ils étaient également inférieurs à celui réalisé avec la TDM IV (5,5cm3). Il en était de même pour les CTV et les PTV.
Conclusion
Cette étude montre que l’algorithme de reconstruction AW-OSEM DR permet de moins dégrader la résolution spatiale qu’avec AW-OSEM utilisé en routine clinique. Dans le cadre de la définition des volumes cibles de radiothérapie, AW-OSEM DR peut permettre de diminuer les GTV, CTV et PTV et donc le risque d’effets secondaires associés aux organes à risque. [Résumé de l'auteur]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52280 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La Prise en charge en Radiothérapie : Un devoir pour le Technologue / Cécile Trevisan
Titre : La Prise en charge en Radiothérapie : Un devoir pour le Technologue Type de document : TFE / Mémoire Auteurs : Cécile Trevisan Editeur : Gilly : Haute Ecole Louvain en Hainaut Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : PRISE EN CHARGE TECHNOLOGUE EN IMAGERIE MEDICALE CERVEAU TUMEUR RADIOTHERAPIE OREILLE CANCER BOUCHE CANCER NEZ CANCER RADIOPROTECTION RAYON DROIT.MALADE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35630 La Prise en charge en Radiothérapie : Un devoir pour le Technologue [TFE / Mémoire] / Cécile Trevisan . - Gilly (Catégorie Paramédicale, Département Soins Infirmiers, 6060) : Haute Ecole Louvain en Hainaut, 2012.
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité TRIM-121 TFE Centre de documentation HELHa paramédical Gilly TFE A consulter sur place sur réservation minimum 24h à l'avance
Exclu du prêtLe suivi du patient cancéreux / Marc Espié
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité 619.1 ESP S Livre Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Etagères livres Exclu du prêt Confrontation des données de la TEP/TDM au 18FDG initiale aux statuts p16 (INK4a) et HPV des cancers des VADS localement avancés traités par radiochimiothérapie / M. Hadzic in MÉDECINE NUCLÉAIRE, vol. 41, n° 2 (Mars/Avril 2017)
[article]
Titre : Confrontation des données de la TEP/TDM au 18FDG initiale aux statuts p16 (INK4a) et HPV des cancers des VADS localement avancés traités par radiochimiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Hadzic ; F. Tixier ; A. Beby-Defaux ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 73-82 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tomographie par émission de positons NEZ CANCER BOUCHE CANCER OREILLE CANCER Résumé : Objectifs
La surexpression de la protéine p16 et le statut HPV (Human papilloma virus) sont reconnus comme facteurs de bon pronostic indépendants dans les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS). Il a été suggéré que les paramètres de la TEP/TDM au 18FDG initiale seraient également des facteurs pronostiques indépendants. Notre objectif était d’étudier le lien entre les données de la virologie et les données de la TEP/TDM préthérapeutique dans les cancers des VADS localement avancés, traités par radiochimiothérapie.
Méthodes
Quarante patients présentant un cancer des VADS avec des volumes tumoraux supérieurs à 3 cm3 ont été inclus prospectivement. Ils avaient tous bénéficié d’une TEP/TDM initiale dont ont été extraits le volume métabolique, l’intensité de fixation (SUV), l’activité globale et des paramètres d’hétérogénéité locale, régionale et globale et de forme. Ces paramètres ont été confrontés à l’analyse virologique des biopsies prétraitement : expression de p16 en immunohistochimie (IHC), recherche de l’ADN HPV 16 et statut HPV (p16+ADN HPV 16).
Résultats
Les patients p16+ présentaient des tumeurs plus hypermétaboliques avec des SUVmax (p=0,028) et SUVmean (p=0,02) élevés. Elles étaient plus hétérogènes localement avec une corrélation plus faible (p=0,004). Les formes des lésions initiales étaient moins complexes chez les patients p16+ et HPV+, avec un D2Bmax moins élevé (p=0,03).
Conclusion
Les cancers des VADS localement avancés ont des caractéristiques différentes en TEP lorsque les tumeurs sont p16+. Le lien entre ces caractéristiques biologiques et le devenir des patients reste à établir. [Résumé de l'auteur]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52277
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 41, n° 2 (Mars/Avril 2017) . - p. 73-82[article] Confrontation des données de la TEP/TDM au 18FDG initiale aux statuts p16 (INK4a) et HPV des cancers des VADS localement avancés traités par radiochimiothérapie [texte imprimé] / M. Hadzic ; F. Tixier ; A. Beby-Defaux ; et al. . - 2017 . - p. 73-82.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > vol. 41, n° 2 (Mars/Avril 2017) . - p. 73-82
Mots-clés : Tomographie par émission de positons NEZ CANCER BOUCHE CANCER OREILLE CANCER Résumé : Objectifs
La surexpression de la protéine p16 et le statut HPV (Human papilloma virus) sont reconnus comme facteurs de bon pronostic indépendants dans les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS). Il a été suggéré que les paramètres de la TEP/TDM au 18FDG initiale seraient également des facteurs pronostiques indépendants. Notre objectif était d’étudier le lien entre les données de la virologie et les données de la TEP/TDM préthérapeutique dans les cancers des VADS localement avancés, traités par radiochimiothérapie.
Méthodes
Quarante patients présentant un cancer des VADS avec des volumes tumoraux supérieurs à 3 cm3 ont été inclus prospectivement. Ils avaient tous bénéficié d’une TEP/TDM initiale dont ont été extraits le volume métabolique, l’intensité de fixation (SUV), l’activité globale et des paramètres d’hétérogénéité locale, régionale et globale et de forme. Ces paramètres ont été confrontés à l’analyse virologique des biopsies prétraitement : expression de p16 en immunohistochimie (IHC), recherche de l’ADN HPV 16 et statut HPV (p16+ADN HPV 16).
Résultats
Les patients p16+ présentaient des tumeurs plus hypermétaboliques avec des SUVmax (p=0,028) et SUVmean (p=0,02) élevés. Elles étaient plus hétérogènes localement avec une corrélation plus faible (p=0,004). Les formes des lésions initiales étaient moins complexes chez les patients p16+ et HPV+, avec un D2Bmax moins élevé (p=0,03).
Conclusion
Les cancers des VADS localement avancés ont des caractéristiques différentes en TEP lorsque les tumeurs sont p16+. Le lien entre ces caractéristiques biologiques et le devenir des patients reste à établir. [Résumé de l'auteur]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52277 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires / Frédéric Courbon in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Courbon ; D. Huglo ; F. Akriche ; A. Chakroun Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 194 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.063 Langues : Français (fre) Mots-clés : 99mTc-nanocolloïdes SEIN CANCER MÉLANOME OREILLE CANCER GORGE CANCER NEZ CANCER Résumé : La pratique du ganglion sentinelle (GS), largement diffusée en France, varie entre les établissements. Lors d’un atelier de travail parrainé (JFMN 2018), la pratique actuelle a été évaluée via un questionnaire. Au total, 74 participants ont répondu par vote électronique. Un total de 51 % exerçaient en CHU/CHG et 16 % dans un CLCC. Le nombre d’actes de GS par semaine était entre 1 et 10 pour 49 %, plus de 11 pour 21 % et moins d’un pour 22 %. Le cancer du sein était l’indication la plus fréquente (85 %), suivi du mélanome (62 %) et des cancers des organes génitaux externes (58 %), alors que le GS dans le cancer du col utérin n’était réalisé que par 36 % des participants et le cancer des VADS par 27 %. Pour 67 % des médecins, la méthode colorimétrique était associée à la méthode isotopique au moins dans certaines indications. Dans le cancer du sein, selon 65 % des médecins, la réalisation d’une image scintigraphique pour attester du drainage sentinelle était nécessaire, cependant, 41 % ont déclaré qu’elle n’était pas toujours utilisée par le chirurgien. L’observation d’un drainage tardif en l’absence d’un drainage précoce était possible pour 65 % des participants. Les éléments altérant la détection du GS étaient principalement l’antécédent de chirurgie mammaire (72 %), l’IMC de la patiente (59 %) et le site d’injection (54 %). La présence d’un repère radiologique était considérée comme une limite au GS uniquement par 19 % du panel. De façon globale, les principales difficultés rencontrées dans la pratique du GS étaient l’échec de la technique chez certains patients (51 % des médecins), le drainage complexe et les localisations atypiques (43 %), ainsi que la non-spécificité du radiotraceur avec multiplicité des GS tardifs (34 %). L’effet phare dans certaines localisations tumorales et la formation insuffisante à la technique étaient rapportés par 26 % des médecins. En termes de pratique ambulatoire, 58 % des participants ont déclaré réaliser le GS sur 1 jour et 65 % sur 2jours Les ressources humaines et matérielles (57 %) et les aspects logistiques (54 %) étaient rapportés comme les limites majeures à la pratique de l’ambulatoire. En conclusion, le panel évalué reflète l’avis d’une petite proportion de médecins nucléaires. Cependant, leur participation à cet atelier témoigne de leur implication pour cette technique. Selon ces résultats, des difficultés sont parfois rencontrées, suggérant que des améliorations dans le parcours du patient bénéficiant d’un GS restent souhaitables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63311
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 194[article] Pratique du ganglion sentinelle en France : résultats d’un questionnaire auprès des médecins nucléaires [texte imprimé] / Frédéric Courbon ; D. Huglo ; F. Akriche ; A. Chakroun . - 2019 . - p. 194.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.063
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 194
Mots-clés : 99mTc-nanocolloïdes SEIN CANCER MÉLANOME OREILLE CANCER GORGE CANCER NEZ CANCER Résumé : La pratique du ganglion sentinelle (GS), largement diffusée en France, varie entre les établissements. Lors d’un atelier de travail parrainé (JFMN 2018), la pratique actuelle a été évaluée via un questionnaire. Au total, 74 participants ont répondu par vote électronique. Un total de 51 % exerçaient en CHU/CHG et 16 % dans un CLCC. Le nombre d’actes de GS par semaine était entre 1 et 10 pour 49 %, plus de 11 pour 21 % et moins d’un pour 22 %. Le cancer du sein était l’indication la plus fréquente (85 %), suivi du mélanome (62 %) et des cancers des organes génitaux externes (58 %), alors que le GS dans le cancer du col utérin n’était réalisé que par 36 % des participants et le cancer des VADS par 27 %. Pour 67 % des médecins, la méthode colorimétrique était associée à la méthode isotopique au moins dans certaines indications. Dans le cancer du sein, selon 65 % des médecins, la réalisation d’une image scintigraphique pour attester du drainage sentinelle était nécessaire, cependant, 41 % ont déclaré qu’elle n’était pas toujours utilisée par le chirurgien. L’observation d’un drainage tardif en l’absence d’un drainage précoce était possible pour 65 % des participants. Les éléments altérant la détection du GS étaient principalement l’antécédent de chirurgie mammaire (72 %), l’IMC de la patiente (59 %) et le site d’injection (54 %). La présence d’un repère radiologique était considérée comme une limite au GS uniquement par 19 % du panel. De façon globale, les principales difficultés rencontrées dans la pratique du GS étaient l’échec de la technique chez certains patients (51 % des médecins), le drainage complexe et les localisations atypiques (43 %), ainsi que la non-spécificité du radiotraceur avec multiplicité des GS tardifs (34 %). L’effet phare dans certaines localisations tumorales et la formation insuffisante à la technique étaient rapportés par 26 % des médecins. En termes de pratique ambulatoire, 58 % des participants ont déclaré réaliser le GS sur 1 jour et 65 % sur 2jours Les ressources humaines et matérielles (57 %) et les aspects logistiques (54 %) étaient rapportés comme les limites majeures à la pratique de l’ambulatoire. En conclusion, le panel évalué reflète l’avis d’une petite proportion de médecins nucléaires. Cependant, leur participation à cet atelier témoigne de leur implication pour cette technique. Selon ces résultats, des difficultés sont parfois rencontrées, suggérant que des améliorations dans le parcours du patient bénéficiant d’un GS restent souhaitables. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63311 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt