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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'APNEE DU SOMMEIL'
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Barotraumatisme par effet Venturi lors du test d’apnée d’un patient en état de mort encéphalique : faut-il changer les modalités d’application de ce test ? / J. Cros in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 28, n° 10 ([01/10/2009])
[article]
Titre : Barotraumatisme par effet Venturi lors du test d’apnée d’un patient en état de mort encéphalique : faut-il changer les modalités d’application de ce test ? Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Cros, Auteur ; A. Dugard, Auteur ; N. Pichon, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 900-902 Langues : Français (fre) Mots-clés : MORT APNEE DU SOMMEIL PNEUMOTHORAX TEST Résumé : Le diagnostic clinique de mort encéphalique repose sur trois critères cliniques, l’un d’entre eux étant l’abolition de la respiration spontanée objectivée par une épreuve d’hypercapnie. Lors de cette manœuvre, de l’oxygène est administré par voie intratrachéale au travers d’une sonde à oxygène introduite dans la sonde d’intubation. Des cas de barotraumatisme lors de cette épreuve ont été décrits dans la littérature amenant à la perte du donneur potentiel ou de certains greffons, notamment, pulmonaires. Les auteurs rapportent un nouveau cas de barotraumatisme survenu au cours d’un test d’apnée et cela malgré le respect des modalités définies afin de prévenir ce type de complication. Outre la possible explication physiopathologique de ce phénomène avancée par les auteurs, il semble licite de redéfinir les modalités pratiques de réalisation de ce test afin d’éviter la perte de greffons potentiels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42498
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 28, n° 10 [01/10/2009] . - p. 900-902[article] Barotraumatisme par effet Venturi lors du test d’apnée d’un patient en état de mort encéphalique : faut-il changer les modalités d’application de ce test ? [texte imprimé] / J. Cros, Auteur ; A. Dugard, Auteur ; N. Pichon, Auteur ; et al., Auteur . - 2009 . - p. 900-902.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 28, n° 10 [01/10/2009] . - p. 900-902
Mots-clés : MORT APNEE DU SOMMEIL PNEUMOTHORAX TEST Résumé : Le diagnostic clinique de mort encéphalique repose sur trois critères cliniques, l’un d’entre eux étant l’abolition de la respiration spontanée objectivée par une épreuve d’hypercapnie. Lors de cette manœuvre, de l’oxygène est administré par voie intratrachéale au travers d’une sonde à oxygène introduite dans la sonde d’intubation. Des cas de barotraumatisme lors de cette épreuve ont été décrits dans la littérature amenant à la perte du donneur potentiel ou de certains greffons, notamment, pulmonaires. Les auteurs rapportent un nouveau cas de barotraumatisme survenu au cours d’un test d’apnée et cela malgré le respect des modalités définies afin de prévenir ce type de complication. Outre la possible explication physiopathologique de ce phénomène avancée par les auteurs, il semble licite de redéfinir les modalités pratiques de réalisation de ce test afin d’éviter la perte de greffons potentiels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42498 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le syndrôme d'apnées obstructives du sommeil chez l'adulte : prise en charge anesthésique / J.-F. Payen in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 29, n° 11 ([01/11/2010])
[article]
Titre : Le syndrôme d'apnées obstructives du sommeil chez l'adulte : prise en charge anesthésique Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-F. Payen, Auteur ; S. Jaber, Auteur ; P. Levy, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : APNEE DU SOMMEIL TROUBLE DU SOMMEIL ANESTHESIE COMPLICATION DEPISTAGE Résumé : Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) chez l’adulte se définit par la survenue de plus de cinq apnées et hypopnées par heure de sommeil dans un contexte de ronflement et d’hypersomnolence diurne. Le SAOS est minime pour un index d’apnées-hypopnées (IAH) compris entre 5 et 15, modéré pour un IAH entre 15 et 30, et sévère pour un IAH supérieur à 30. Le SAOS est fréquent, car il touche 7–15 % de la population entre 30 et 60 ans. Outre l’âge et le sexe masculin, les principaux facteurs associés au SAOS sont l’obésité et l’HTA. Le SAOS possède une morbidité propre, neuropsychique (dépression) et cardiovasculaire (HTA, ischémie myocardique). Le diagnostic de SAOS peut être suspecté dès l’interrogatoire. Le STOP-BANG questionnaire est un outil de dépistage adapté à la consultation d’anesthésie. Outre les complications liées aux pathologies associées, le SAOS expose à deux complications dans la période opératoire : ventilation au masque et intubation difficiles, et obstruction postopératoire des voies aériennes supérieures. La méconnaissance préalable du diagnostic contribue largement à la survenue de ces complications. La reprise immédiate de la pression positive continue et l’installation du patient en position demi-assise ou latérale en postopératoire sont des facteurs de prévention de l’obstruction des voies aériennes supérieures. La surveillance postopératoire immédiate peut s’effectuer en SSPI pendant trois heures pour beaucoup de patients. L’analgésie postopératoire doit privilégier les méthodes sans morphiniques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42621
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 29, n° 11 [01/11/2010][article] Le syndrôme d'apnées obstructives du sommeil chez l'adulte : prise en charge anesthésique [texte imprimé] / J.-F. Payen, Auteur ; S. Jaber, Auteur ; P. Levy, Auteur ; et al., Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 29, n° 11 [01/11/2010]
Mots-clés : APNEE DU SOMMEIL TROUBLE DU SOMMEIL ANESTHESIE COMPLICATION DEPISTAGE Résumé : Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) chez l’adulte se définit par la survenue de plus de cinq apnées et hypopnées par heure de sommeil dans un contexte de ronflement et d’hypersomnolence diurne. Le SAOS est minime pour un index d’apnées-hypopnées (IAH) compris entre 5 et 15, modéré pour un IAH entre 15 et 30, et sévère pour un IAH supérieur à 30. Le SAOS est fréquent, car il touche 7–15 % de la population entre 30 et 60 ans. Outre l’âge et le sexe masculin, les principaux facteurs associés au SAOS sont l’obésité et l’HTA. Le SAOS possède une morbidité propre, neuropsychique (dépression) et cardiovasculaire (HTA, ischémie myocardique). Le diagnostic de SAOS peut être suspecté dès l’interrogatoire. Le STOP-BANG questionnaire est un outil de dépistage adapté à la consultation d’anesthésie. Outre les complications liées aux pathologies associées, le SAOS expose à deux complications dans la période opératoire : ventilation au masque et intubation difficiles, et obstruction postopératoire des voies aériennes supérieures. La méconnaissance préalable du diagnostic contribue largement à la survenue de ces complications. La reprise immédiate de la pression positive continue et l’installation du patient en position demi-assise ou latérale en postopératoire sont des facteurs de prévention de l’obstruction des voies aériennes supérieures. La surveillance postopératoire immédiate peut s’effectuer en SSPI pendant trois heures pour beaucoup de patients. L’analgésie postopératoire doit privilégier les méthodes sans morphiniques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42621 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez l'enfant : gestion périopératoire / Corinne Lejus-Bourdeau in Anesthésie & Réanimation, Vol. 7, n° 1 (Janvier 2021)
[article]
Titre : Syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez l'enfant : gestion périopératoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Corinne Lejus-Bourdeau ; Jean-Vincent Aubineau ; Olivier Jacqmarcq Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 51-60 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2020.11.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : APNEE DU SOMMEIL ANESTHÉSIE PÉDIATRIE PÉRIOPÉRATOIRE AMYGDALECTOMIE Résumé : Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est devenu la principale cause d’amygdalectomie chez l’enfant. L’étiologie la plus fréquente du SAOS entre 3 et 6 ans est l’hypertrophie amygdalienne. L’obésité est un élément contributif important en période scolaire. Sa physiopathologie étant multifactorielle, un SAOS est présent dans un grand nombre de syndromes ou de pathologies comportant des anomalies craniofaciales et génétiques et du tonus musculaire. L’examen de référence pour établir le diagnostic et la sévérité du SAOS de l’enfant est la polysomnographie du sommeil, mais l’examen est peu accessible et réservé à des situations particulières. Les enfants ayant un SAOS ont une augmentation du risque périopératoire de désaturations, d’obstruction des VAS et de laryngospasme. L’incidence des complications respiratoires postopératoires immédiates est corrélée à la gravité du SAOS. La spécificité du McGill oxymetry score (MOS) pour détecter les SAOS sévères est élevée, mais le nombre de faux négatifs est important. Parmi les questionnaires proposés pour graduer la sévérité du SAOS, le Severity Hierarchy Score est certainement le plus performant. Les besoins en morphiniques sont réduits en cas de SAOS sévère. L’amygdalectomie n’inverse pas immédiatement les changements physiopathologiques associés au SAOS et l’anesthésie est même susceptible de les aggraver. Un SAOS sévère est une contre-indication à l’amygdalectomie ambulatoire. La présence de comorbidités et/ou un âge<3 ans imposent également une surveillance postopératoire continue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69197
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 7, n° 1 (Janvier 2021) . - p. 51-60[article] Syndrome d'apnées obstructives du sommeil chez l'enfant : gestion périopératoire [texte imprimé] / Corinne Lejus-Bourdeau ; Jean-Vincent Aubineau ; Olivier Jacqmarcq . - 2021 . - p. 51-60.
Doi : 10.1016/j.anrea.2020.11.003
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 7, n° 1 (Janvier 2021) . - p. 51-60
Mots-clés : APNEE DU SOMMEIL ANESTHÉSIE PÉDIATRIE PÉRIOPÉRATOIRE AMYGDALECTOMIE Résumé : Le syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est devenu la principale cause d’amygdalectomie chez l’enfant. L’étiologie la plus fréquente du SAOS entre 3 et 6 ans est l’hypertrophie amygdalienne. L’obésité est un élément contributif important en période scolaire. Sa physiopathologie étant multifactorielle, un SAOS est présent dans un grand nombre de syndromes ou de pathologies comportant des anomalies craniofaciales et génétiques et du tonus musculaire. L’examen de référence pour établir le diagnostic et la sévérité du SAOS de l’enfant est la polysomnographie du sommeil, mais l’examen est peu accessible et réservé à des situations particulières. Les enfants ayant un SAOS ont une augmentation du risque périopératoire de désaturations, d’obstruction des VAS et de laryngospasme. L’incidence des complications respiratoires postopératoires immédiates est corrélée à la gravité du SAOS. La spécificité du McGill oxymetry score (MOS) pour détecter les SAOS sévères est élevée, mais le nombre de faux négatifs est important. Parmi les questionnaires proposés pour graduer la sévérité du SAOS, le Severity Hierarchy Score est certainement le plus performant. Les besoins en morphiniques sont réduits en cas de SAOS sévère. L’amygdalectomie n’inverse pas immédiatement les changements physiopathologiques associés au SAOS et l’anesthésie est même susceptible de les aggraver. Un SAOS sévère est une contre-indication à l’amygdalectomie ambulatoire. La présence de comorbidités et/ou un âge<3 ans imposent également une surveillance postopératoire continue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69197 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant / Anne Laffargue in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 4 (Juillet 2018)
[article]
Titre : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Laffargue Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 300-307 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONSULTATION ANESTHESIE SYNDROME APNEE DU SOMMEIL Résumé : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) est défini comme la survenue d’épisodes répétés d’obstruction des voies aériennes, de façon partielle ou complète, durant le sommeil. Le dépistage de ce syndrome est essentiel lors de la consultation d’anesthésie, en commençant par la question : votre enfant ronfle-t-il ? Le diagnostic repose sur l’interrogatoire à la recherche de signes cliniques nocturnes et diurnes, l’utilisation de scores cliniques permettant d’évaluer la sévérité du SAOS. L’examen physique de l’enfant permet de rechercher des signes d’obstruction des voies aériennes, l’examen ORL, en particulier la nasofibroscopie, permettant d’évaluer l’importance de cette obstruction. Trois types de SAOS sont décrits chez l’enfant : le type 1 concerne de jeunes enfants sans surpoids avec hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 2 des enfants en surpoids avec une moindre hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 3 les enfants porteurs de pathologies neurologiques, musculaires ou squelettiques avec malformations craniofaciales. La réalisation d’une polysomnographie dépend de cette appréciation clinique, et n’est pas recommandée de façon systématique dans les SAOS de type 1 et 2. La prise en charge anesthésique des enfants porteurs de SAOS modéré diffère peu de la prise en charge habituelle. En cas de SAOS sévère, la prise en charge préopératoire peut justifier le recours à une ventilation non invasive, et le risque de complications respiratoires périopératoires est majoré, justifiant une surveillance rapprochée en postopératoire. L’administration de morphiniques chez les enfants porteurs d’un SAOS sévère doit être prudente en raison d’une sensibilité accrue aux opioïdes majorant le risque de dépression respiratoire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59444
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 4 (Juillet 2018) . - p. 300-307[article] Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil de l'enfant [texte imprimé] / Anne Laffargue . - 2018 . - p. 300-307.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 4 (Juillet 2018) . - p. 300-307
Mots-clés : CONSULTATION ANESTHESIE SYNDROME APNEE DU SOMMEIL Résumé : Le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS) est défini comme la survenue d’épisodes répétés d’obstruction des voies aériennes, de façon partielle ou complète, durant le sommeil. Le dépistage de ce syndrome est essentiel lors de la consultation d’anesthésie, en commençant par la question : votre enfant ronfle-t-il ? Le diagnostic repose sur l’interrogatoire à la recherche de signes cliniques nocturnes et diurnes, l’utilisation de scores cliniques permettant d’évaluer la sévérité du SAOS. L’examen physique de l’enfant permet de rechercher des signes d’obstruction des voies aériennes, l’examen ORL, en particulier la nasofibroscopie, permettant d’évaluer l’importance de cette obstruction. Trois types de SAOS sont décrits chez l’enfant : le type 1 concerne de jeunes enfants sans surpoids avec hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 2 des enfants en surpoids avec une moindre hypertrophie adéno-amygdalienne, le type 3 les enfants porteurs de pathologies neurologiques, musculaires ou squelettiques avec malformations craniofaciales. La réalisation d’une polysomnographie dépend de cette appréciation clinique, et n’est pas recommandée de façon systématique dans les SAOS de type 1 et 2. La prise en charge anesthésique des enfants porteurs de SAOS modéré diffère peu de la prise en charge habituelle. En cas de SAOS sévère, la prise en charge préopératoire peut justifier le recours à une ventilation non invasive, et le risque de complications respiratoires périopératoires est majoré, justifiant une surveillance rapprochée en postopératoire. L’administration de morphiniques chez les enfants porteurs d’un SAOS sévère doit être prudente en raison d’une sensibilité accrue aux opioïdes majorant le risque de dépression respiratoire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=59444 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt