Centre de Documentation Gilly
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HELHa - Paramédical.
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Auteur T. Schmitz |
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Présentation du siège. Recommandations pour la pratique clinique / L. Sentilhes in Sages-femmes. Clinique - formation - recherche, Vol. 20, n° 3 (Mai/Juin 2021)
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Republication de : Efficacité du cerclage préventif indiqué sur des antécédents obstétricaux en cas de grossesse gémellaire / M. Métairie in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 6 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Republication de : Efficacité du cerclage préventif indiqué sur des antécédents obstétricaux en cas de grossesse gémellaire Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Métairie ; D. Korb ; C Morin ; T. Schmitz ; O. Sibony Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 312-319 Note générale : Doi : 10.1016/j.sagf.2019.09.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : GROSSESSE GÉMELLAIRE CERCLAGE PRÉCARITÉ PRÉVENTION AVORTEMENT SPONTANÉ Résumé : Objectif : Évaluer l’efficacité du cerclage indiqué sur des antécédents en cas de grossesses gémellaires.
Méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective de cohorte de type exposées–non exposées, menée entre 2002 et 2017. Les patientes incluses présentaient une grossesse gémellaire avec au moins un antécédent de fausse couche tardive (FCT) ou d’accouchement prématuré (AP) avant 34SA. Deux groupes étaient comparés : « cerclage préventif » et « absence de cerclage préventif ». Le critère de jugement principal était le taux de prématurité avant 34SA. Les caractéristiques des femmes et de la grossesse ont été décrites et la survenue de prématurité avant 34SA a été comparée après ajustement sur des facteurs de confusion.
Résultats : Parmi les 1972 patientes présentant une grossesse gémellaire et ayant accouché à Robert-Debré entre 2002 et 2017, 69 (3,5 %) femmes avaient au moins un antécédent de FCT ou d’AP avant 34SA. Parmi elles, 20 (29 %) patientes ont été incluses dans le groupe « cerclage préventif » et 49 (71 %) dans le groupe « absence de cerclage préventif ». Les femmes du groupe « cerclage préventif » avaient des antécédents plus sévères. Le taux d’accouchements prématurés avant 34SA n’était pas différent entre les deux groupes (45,0 % versus 44,9 %, p=0,99, OR brut : 1,00 (0,35–2,83), OR ajusté : 1,06 (0,33–3,44)).
Conclusion : Le taux de prématurité avant 34SA en cas de grossesse gémellaire est similaire en cas de réalisation ou non d’un cerclage préventif chez les femmes présentant des antécédents de FCT ou d’AP. L’absence d’efficacité du cerclage doit être toutefois nuancée par le fait que les femmes du groupe cerclage avaient des antécédents obstétricaux plus sévères.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66573
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 6 (Décembre 2019) . - p. 312-319[article] Republication de : Efficacité du cerclage préventif indiqué sur des antécédents obstétricaux en cas de grossesse gémellaire [texte imprimé] / M. Métairie ; D. Korb ; C Morin ; T. Schmitz ; O. Sibony . - 2019 . - p. 312-319.
Doi : 10.1016/j.sagf.2019.09.001
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 6 (Décembre 2019) . - p. 312-319
Mots-clés : GROSSESSE GÉMELLAIRE CERCLAGE PRÉCARITÉ PRÉVENTION AVORTEMENT SPONTANÉ Résumé : Objectif : Évaluer l’efficacité du cerclage indiqué sur des antécédents en cas de grossesses gémellaires.
Méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective de cohorte de type exposées–non exposées, menée entre 2002 et 2017. Les patientes incluses présentaient une grossesse gémellaire avec au moins un antécédent de fausse couche tardive (FCT) ou d’accouchement prématuré (AP) avant 34SA. Deux groupes étaient comparés : « cerclage préventif » et « absence de cerclage préventif ». Le critère de jugement principal était le taux de prématurité avant 34SA. Les caractéristiques des femmes et de la grossesse ont été décrites et la survenue de prématurité avant 34SA a été comparée après ajustement sur des facteurs de confusion.
Résultats : Parmi les 1972 patientes présentant une grossesse gémellaire et ayant accouché à Robert-Debré entre 2002 et 2017, 69 (3,5 %) femmes avaient au moins un antécédent de FCT ou d’AP avant 34SA. Parmi elles, 20 (29 %) patientes ont été incluses dans le groupe « cerclage préventif » et 49 (71 %) dans le groupe « absence de cerclage préventif ». Les femmes du groupe « cerclage préventif » avaient des antécédents plus sévères. Le taux d’accouchements prématurés avant 34SA n’était pas différent entre les deux groupes (45,0 % versus 44,9 %, p=0,99, OR brut : 1,00 (0,35–2,83), OR ajusté : 1,06 (0,33–3,44)).
Conclusion : Le taux de prématurité avant 34SA en cas de grossesse gémellaire est similaire en cas de réalisation ou non d’un cerclage préventif chez les femmes présentant des antécédents de FCT ou d’AP. L’absence d’efficacité du cerclage doit être toutefois nuancée par le fait que les femmes du groupe cerclage avaient des antécédents obstétricaux plus sévères.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66573 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Republication) / T. Schmitz in la revue Sage-femme, Vol. 18, n° 2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Republication) Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Schmitz ; L. Sentilhes ; E. Lorthe ; D. Gallot ; H. Madar ; M. Doret-Dion ; G. Beucher ; C. Charlier ; C. Cazanave ; P. Delorme ; C. Garabedian ; E. Azria ; V. Tessier ; M.-V. Senat ; G. Kayem Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 107-114 Langues : Français (fre) Résumé : Objectif
Déterminer la prise en charge des patientes avec une rupture prématurée des membranes avant 37 semaines d'aménorrhée (SA).
Méthodes
Synthèse de la littérature à partir des bases de données PubMed et Cochrane et des recommandations des sociétés et collèges français et étrangers.
Résultats
En France, la fréquence de la rupture prématurée des membranes (RPM) est de 2 à 3 % avant 37 SA (Niveau de preuve [NP] 2) et de moins de 1 % avant 34 SA (NP2). La prématurité et l'infection intra-utérine sont les complications majeures de la RPM avant terme (NP2). La prolongation de la durée de latence est bénéfique (NP2). Par rapport aux autres causes de prématurité, la RPM avant terme n'est pas associée à un sur-risque évident de morbi-mortalité néonatale, sauf en cas d'infection intra-utérine, qui est associée à une augmentation des morts fœtales in utero (NP3), des infections néonatales précoces (NP2) et des entérocolites ulcéronécrosantes (NP2). Le diagnostic de la RPM avant terme est principalement clinique (accord professionnel). En cas de doute diagnostique, il est recommandé d'utiliser les tests de détection d'IGFBP-1 ou de PAMG-1 (accord professionnel). Il est recommandé d'hospitaliser les patientes lors du diagnostic de RPM avant terme (accord professionnel). Il n'existe pas d'argument suffisant pour recommander ou ne pas recommander une tocolyse initiale (grade C). Si une tocolyse était prescrite, il est recommandé de ne pas la prolonger plus de 48heures (grade C). Il est recommandé d'administrer une cure anténatale de corticoïdes si l'âge gestationnel est inférieur à 34 SA (grade A) et du sulfate de magnésium en cas d'accouchement imminent avant 32 SA (grade A). Il est recommandé de prescrire une antibioprophylaxie à l'admission (grade A) pour réduire la morbidité néonatale et maternelle (NP1). L'amoxicilline, les céphalosporines de 3ème génération et l'érythromycine (accord professionnel) peuvent être utilisées en monothérapie, ou l'association érythromycine-amoxicilline (accord professionnel), pour une durée de 7jours (grade C). Toutefois, un arrêt précoce de l'antibioprophylaxie semble acceptable en cas de prélèvement vaginal initial négatif (accord professionnel). Il n'est pas recommandé de prescrire comme antibioprophylaxie l'association amoxicilline-acide clavulanique (accord professionnel), des aminosides, des glycopeptides, des céphalosporines de première ou deuxième génération, de la clindamycine ou du métronidazole (accord professionnel). La prise en charge à domicile des patientes cliniquement stables après au moins 48heures de surveillance hospitalière est possible (accord professionnel). Au cours de la surveillance, il est recommandé d'identifier les éléments cliniques et biologiques évocateurs d'une infection intra-utérine (accord professionnel). Il n'est pas possible d'émettre de recommandations sur la fréquence de cette surveillance (accord professionnel). En cas d'examen de surveillance isolément positif chez une patiente asymptomatique (CRP augmentée, hyperleucocytose, prélèvement vaginal positif), il n'est pas recommandé d'initier systématiquement une antibiothérapie (accord professionnel). En cas d'infection intra-utérine, il est recommandé d'administrer immédiatement une antibiothérapie associant une bêtalactamine à un aminoside (grade B), par voie intraveineuse (grade B) et de faire naître l'enfant (grade A). La césarienne en cas d'infection intra-utérine est réservée aux indications obstétricales habituelles (accord professionnel). Il est recommandé d'avoir une attitude expectative en cas de RPM non compliquée avant 37 SA (grade A), même en cas de prélèvement positif pour le streptocoque B, sous couvert d'une antibioprophylaxie à l'admission (accord professionnel). L'ocytocine et les prostaglandines sont deux options envisageables pour le déclenchement du travail en cas de RPM avant terme (accord professionnel).
Conclusion
La prise en charge de la rupture prématurée des membranes avant terme non compliquée repose sur l'expectative jusqu'à 37 SA (grade A).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63199
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 2 (Avril 2019) . - p. 107-114[article] Rupture prématurée des membranes avant terme : recommandations pour la pratique clinique du CNGOF (Republication) [texte imprimé] / T. Schmitz ; L. Sentilhes ; E. Lorthe ; D. Gallot ; H. Madar ; M. Doret-Dion ; G. Beucher ; C. Charlier ; C. Cazanave ; P. Delorme ; C. Garabedian ; E. Azria ; V. Tessier ; M.-V. Senat ; G. Kayem . - 2019 . - p. 107-114.
Langues : Français (fre)
in la revue Sage-femme > Vol. 18, n° 2 (Avril 2019) . - p. 107-114
Résumé : Objectif
Déterminer la prise en charge des patientes avec une rupture prématurée des membranes avant 37 semaines d'aménorrhée (SA).
Méthodes
Synthèse de la littérature à partir des bases de données PubMed et Cochrane et des recommandations des sociétés et collèges français et étrangers.
Résultats
En France, la fréquence de la rupture prématurée des membranes (RPM) est de 2 à 3 % avant 37 SA (Niveau de preuve [NP] 2) et de moins de 1 % avant 34 SA (NP2). La prématurité et l'infection intra-utérine sont les complications majeures de la RPM avant terme (NP2). La prolongation de la durée de latence est bénéfique (NP2). Par rapport aux autres causes de prématurité, la RPM avant terme n'est pas associée à un sur-risque évident de morbi-mortalité néonatale, sauf en cas d'infection intra-utérine, qui est associée à une augmentation des morts fœtales in utero (NP3), des infections néonatales précoces (NP2) et des entérocolites ulcéronécrosantes (NP2). Le diagnostic de la RPM avant terme est principalement clinique (accord professionnel). En cas de doute diagnostique, il est recommandé d'utiliser les tests de détection d'IGFBP-1 ou de PAMG-1 (accord professionnel). Il est recommandé d'hospitaliser les patientes lors du diagnostic de RPM avant terme (accord professionnel). Il n'existe pas d'argument suffisant pour recommander ou ne pas recommander une tocolyse initiale (grade C). Si une tocolyse était prescrite, il est recommandé de ne pas la prolonger plus de 48heures (grade C). Il est recommandé d'administrer une cure anténatale de corticoïdes si l'âge gestationnel est inférieur à 34 SA (grade A) et du sulfate de magnésium en cas d'accouchement imminent avant 32 SA (grade A). Il est recommandé de prescrire une antibioprophylaxie à l'admission (grade A) pour réduire la morbidité néonatale et maternelle (NP1). L'amoxicilline, les céphalosporines de 3ème génération et l'érythromycine (accord professionnel) peuvent être utilisées en monothérapie, ou l'association érythromycine-amoxicilline (accord professionnel), pour une durée de 7jours (grade C). Toutefois, un arrêt précoce de l'antibioprophylaxie semble acceptable en cas de prélèvement vaginal initial négatif (accord professionnel). Il n'est pas recommandé de prescrire comme antibioprophylaxie l'association amoxicilline-acide clavulanique (accord professionnel), des aminosides, des glycopeptides, des céphalosporines de première ou deuxième génération, de la clindamycine ou du métronidazole (accord professionnel). La prise en charge à domicile des patientes cliniquement stables après au moins 48heures de surveillance hospitalière est possible (accord professionnel). Au cours de la surveillance, il est recommandé d'identifier les éléments cliniques et biologiques évocateurs d'une infection intra-utérine (accord professionnel). Il n'est pas possible d'émettre de recommandations sur la fréquence de cette surveillance (accord professionnel). En cas d'examen de surveillance isolément positif chez une patiente asymptomatique (CRP augmentée, hyperleucocytose, prélèvement vaginal positif), il n'est pas recommandé d'initier systématiquement une antibiothérapie (accord professionnel). En cas d'infection intra-utérine, il est recommandé d'administrer immédiatement une antibiothérapie associant une bêtalactamine à un aminoside (grade B), par voie intraveineuse (grade B) et de faire naître l'enfant (grade A). La césarienne en cas d'infection intra-utérine est réservée aux indications obstétricales habituelles (accord professionnel). Il est recommandé d'avoir une attitude expectative en cas de RPM non compliquée avant 37 SA (grade A), même en cas de prélèvement positif pour le streptocoque B, sous couvert d'une antibioprophylaxie à l'admission (accord professionnel). L'ocytocine et les prostaglandines sont deux options envisageables pour le déclenchement du travail en cas de RPM avant terme (accord professionnel).
Conclusion
La prise en charge de la rupture prématurée des membranes avant terme non compliquée repose sur l'expectative jusqu'à 37 SA (grade A).
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63199 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt