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Auteur Bertrand Kiefer |
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Lancet et New England : les facteurs de l'impact / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 697 (10 juin 2020)
[article]
Titre : Lancet et New England : les facteurs de l'impact Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Kiefer Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 1224 Note générale : Comme une ombre triste sur le paysage médical plane ces jours une forme d’atterrement. L’événement, son retentissement surtout, se montre sans précédent, d’une gravité exceptionnelle. Deux grandes revues scientifiques sont tombées dans un grossier piège monté par une start-up à l’expérience fantomatique, Surgisphere, dont quelques clics sur internet suffisaient à montrer qu’elle était radicalement incapable d’accomplir ce qu’elle prétendait, c’est-à-dire contacter des dizaines, voire des centaines d’hôpitaux, obtenir d’eux qu’ils fournissent des données (en échange de quoi?), puis mouliner ces données, forcément hétérogènes, dans un gigantesque programme.1 Une petite heure d’investigation en ligne aurait permis de découvrir que parmi les six employés de cette entreprise inconnue du monde scientifique se trouvent un auteur de science-fiction et une hôtesse d’événementiel. Mais non: aux yeux des co-auteurs et des revues, l’importance des résultats amenés sur un plateau par Surgisphere (dans une démarche supposée philanthropique?) était trop alléchante. Elle a balayé comme de vulgaires détails les élémentaires règles de prudence. Langues : Français (fre) Mots-clés : RECHERCHE MÉDICALE PUBLICATION Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67830
in Revue médicale suisse > 697 (10 juin 2020) . - p. 1224[article] Lancet et New England : les facteurs de l'impact [texte imprimé] / Bertrand Kiefer . - 2020 . - p. 1224.
Comme une ombre triste sur le paysage médical plane ces jours une forme d’atterrement. L’événement, son retentissement surtout, se montre sans précédent, d’une gravité exceptionnelle. Deux grandes revues scientifiques sont tombées dans un grossier piège monté par une start-up à l’expérience fantomatique, Surgisphere, dont quelques clics sur internet suffisaient à montrer qu’elle était radicalement incapable d’accomplir ce qu’elle prétendait, c’est-à-dire contacter des dizaines, voire des centaines d’hôpitaux, obtenir d’eux qu’ils fournissent des données (en échange de quoi?), puis mouliner ces données, forcément hétérogènes, dans un gigantesque programme.1 Une petite heure d’investigation en ligne aurait permis de découvrir que parmi les six employés de cette entreprise inconnue du monde scientifique se trouvent un auteur de science-fiction et une hôtesse d’événementiel. Mais non: aux yeux des co-auteurs et des revues, l’importance des résultats amenés sur un plateau par Surgisphere (dans une démarche supposée philanthropique?) était trop alléchante. Elle a balayé comme de vulgaires détails les élémentaires règles de prudence.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 697 (10 juin 2020) . - p. 1224
Mots-clés : RECHERCHE MÉDICALE PUBLICATION Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67830 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt A leur propos, les cerveaux sont divisés / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 625 (Octobre 2018)
[article]
Titre : A leur propos, les cerveaux sont divisés Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Kiefer Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 1988 Langues : Français (fre) Mots-clés : CERVEAU RECHERCHE SCIENTIFIQUE ETHIQUE TECHNOLOGIE HOMME Résumé : Encore un remodelage (et une petite crise) de l’Human Brain Project (HBP) ? Eh oui : encore. Et le flou persiste. On peut d’ailleurs se demander : pareille ambition, modéliser le cerveau, en décoder le fonctionnement, est-ce raisonnable ? Ou s’agit-il d’une mégalomanie techno-optimiste et autocentrée ? Comme si on annonçait : voici le « Universe Project », un projet permettant de comprendre comment fonctionne l’univers. La semaine dernière, Andreas Mortensen, directeur général du HBP, annonçait que la coordination du HBP sera davantage partagée. L’EPFL va en lâcher le pilotage général. Pourquoi ce rétropédalage ? D’abord, selon lui, parce qu’un centre suisse ne peut plus prétendre gouverner seul un grand projet européen. Mais les raisons sont en réalité plus larges. Les communautés de chercheurs ne sont pas d’accord entre elles. Les neuroscientiques se sentent lésés, au profit des spécialistes de la modélisation digitale. Et il y a conflit sur les modèles (ou leur absence), sur la pertinence des approches des multiples groupes et leur compatibilité. Les problèmes relèvent donc d’incompréhensions scientifiques et épistémologiques. Les uns contestent les méthodes des autres. La communication manque de langage commun (le langage, cette affaire humaine). Le cerveau est devenu un Babel moderne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60764
in Revue médicale suisse > 625 (Octobre 2018) . - p. 1988[article] A leur propos, les cerveaux sont divisés [texte imprimé] / Bertrand Kiefer . - 2018 . - p. 1988.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 625 (Octobre 2018) . - p. 1988
Mots-clés : CERVEAU RECHERCHE SCIENTIFIQUE ETHIQUE TECHNOLOGIE HOMME Résumé : Encore un remodelage (et une petite crise) de l’Human Brain Project (HBP) ? Eh oui : encore. Et le flou persiste. On peut d’ailleurs se demander : pareille ambition, modéliser le cerveau, en décoder le fonctionnement, est-ce raisonnable ? Ou s’agit-il d’une mégalomanie techno-optimiste et autocentrée ? Comme si on annonçait : voici le « Universe Project », un projet permettant de comprendre comment fonctionne l’univers. La semaine dernière, Andreas Mortensen, directeur général du HBP, annonçait que la coordination du HBP sera davantage partagée. L’EPFL va en lâcher le pilotage général. Pourquoi ce rétropédalage ? D’abord, selon lui, parce qu’un centre suisse ne peut plus prétendre gouverner seul un grand projet européen. Mais les raisons sont en réalité plus larges. Les communautés de chercheurs ne sont pas d’accord entre elles. Les neuroscientiques se sentent lésés, au profit des spécialistes de la modélisation digitale. Et il y a conflit sur les modèles (ou leur absence), sur la pertinence des approches des multiples groupes et leur compatibilité. Les problèmes relèvent donc d’incompréhensions scientifiques et épistémologiques. Les uns contestent les méthodes des autres. La communication manque de langage commun (le langage, cette affaire humaine). Le cerveau est devenu un Babel moderne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=60764 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Maintenant et après / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 687 (25 mars 2020)
[article]
Titre : Maintenant et après Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Kiefer Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 612 Note générale : Face à la folie du temps, au rugissement des éléments, aux situations de crise où la vie des humains se réduit à l’essentiel, chaque époque a eu son refuge, qui était aussi son mythe. Les croyances, les églises, les rois, les empereurs – et les mondes que tout cela mettait en scène. En ce temps de pandémie, c’est le système de santé. Non pour le pouvoir qu’il représente, car de pouvoir il n’a pas. Il soigne et sauve des vies, certes, mais son efficacité reste en deçà de sa force symbolique. Refuge, il l’est en raison de son souci de la fragilité et de son refus de l’indifférence. Dans un monde déshumanisé, il se tient comme un rempart. Image inversée de l’utilitarisme économique, il ne cesse de construire avec son savoir et sa pratique une sollicitude du vulnérable. Il vit et rayonne une culture qui dérange parce qu’elle s’intéresse à tout ce qui se trouve dans le champ délaissé du regard contemporain, la solidarité en particulier, qui est à la fois son moteur et son continuel questionnement. On parle de système. Mais ce système n’existe qu’au travers des personnes qui l’incarnent, les soignants, leurs compétences et surtout leur amour de l’humain. Et, ces jours, pas besoin de théorie : le témoignage des risques pris au service des autres suffit. Langues : Français (fre) Mots-clés : SANTÉ PERSONNEL DE SANTÉ SOCIÉTÉ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67392
in Revue médicale suisse > 687 (25 mars 2020) . - p. 612[article] Maintenant et après [texte imprimé] / Bertrand Kiefer . - 2020 . - p. 612.
Face à la folie du temps, au rugissement des éléments, aux situations de crise où la vie des humains se réduit à l’essentiel, chaque époque a eu son refuge, qui était aussi son mythe. Les croyances, les églises, les rois, les empereurs – et les mondes que tout cela mettait en scène. En ce temps de pandémie, c’est le système de santé. Non pour le pouvoir qu’il représente, car de pouvoir il n’a pas. Il soigne et sauve des vies, certes, mais son efficacité reste en deçà de sa force symbolique. Refuge, il l’est en raison de son souci de la fragilité et de son refus de l’indifférence. Dans un monde déshumanisé, il se tient comme un rempart. Image inversée de l’utilitarisme économique, il ne cesse de construire avec son savoir et sa pratique une sollicitude du vulnérable. Il vit et rayonne une culture qui dérange parce qu’elle s’intéresse à tout ce qui se trouve dans le champ délaissé du regard contemporain, la solidarité en particulier, qui est à la fois son moteur et son continuel questionnement. On parle de système. Mais ce système n’existe qu’au travers des personnes qui l’incarnent, les soignants, leurs compétences et surtout leur amour de l’humain. Et, ces jours, pas besoin de théorie : le témoignage des risques pris au service des autres suffit.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 687 (25 mars 2020) . - p. 612
Mots-clés : SANTÉ PERSONNEL DE SANTÉ SOCIÉTÉ Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67392 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La maladie la nuit / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 665 (2 Octobre 2019)
[article]
Titre : La maladie la nuit Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Kiefer Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1784 Langues : Français (fre) Résumé : Pour les malades, ceux que la mort commence à côtoyer, mais aussi les autres, chez qui elle n’est encore qu’une bête qui rôde, la nuit représente toujours une aventure. De solitude. De souffrance qui altère, qui transforme, se déployant en voyage intérieur. C’est l’étrange moment où la raison perd sa clarté – ou alors la trouve, laissant tomber les masques et les faussetés du jour. Moment d’angoisses sans recours, mêlées de troubles distorsions de la raison. S’y déploient des fantasmes et y surgissent des monstres, comme disaient les Anciens. Moment, aussi, où se manifeste une conscience décapée de soi, parfois une fulgurante clairvoyance. Peut-être existe-t-il une vérité de la nuit ? Pour les Amérindiens, sa réalité, celle des rêves et de la conscience embrumée, représente le vrai monde, dont la modalité éveillée n’est qu’une émanation. Comment être sûr du contraire ?
« La santé, c’est la vie dans le silence des organes », affirmait Leriche. Eh bien, de la même façon, la maladie la nuit, c’est la souffrance dans le silence de la médecine. Silence, d’abord, des institutions, hôpitaux et centres ambulatoires qui, même ouverts 24h/24, ferment le soir venu les stores de leur activité rayonnante et affairée pour se mettre en mode attente. Silence, ensuite – et en symétrie – des malades. Il existe en effet une convention tacite selon laquelle, dans la mesure du possible, le malade, la nuit, doit rester patient (jamais il ne l’est autant qu’à ce moment-là), discret, contenu dans ses propres besoins et confiné à ses capacités. Bien sûr, la nuit, les médicaments continuent d’agir, les machines, quand il y en a, surveillent ou pallient des déficiences aussi bien que de jour. Mais il ne s’agit que d’expectative. Que chacun confie sa maladie au repos thérapeutique : voilà le grand programme nocturne.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65769
in Revue médicale suisse > 665 (2 Octobre 2019) . - p. 1784[article] La maladie la nuit [texte imprimé] / Bertrand Kiefer . - 2019 . - p. 1784.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 665 (2 Octobre 2019) . - p. 1784
Résumé : Pour les malades, ceux que la mort commence à côtoyer, mais aussi les autres, chez qui elle n’est encore qu’une bête qui rôde, la nuit représente toujours une aventure. De solitude. De souffrance qui altère, qui transforme, se déployant en voyage intérieur. C’est l’étrange moment où la raison perd sa clarté – ou alors la trouve, laissant tomber les masques et les faussetés du jour. Moment d’angoisses sans recours, mêlées de troubles distorsions de la raison. S’y déploient des fantasmes et y surgissent des monstres, comme disaient les Anciens. Moment, aussi, où se manifeste une conscience décapée de soi, parfois une fulgurante clairvoyance. Peut-être existe-t-il une vérité de la nuit ? Pour les Amérindiens, sa réalité, celle des rêves et de la conscience embrumée, représente le vrai monde, dont la modalité éveillée n’est qu’une émanation. Comment être sûr du contraire ?
« La santé, c’est la vie dans le silence des organes », affirmait Leriche. Eh bien, de la même façon, la maladie la nuit, c’est la souffrance dans le silence de la médecine. Silence, d’abord, des institutions, hôpitaux et centres ambulatoires qui, même ouverts 24h/24, ferment le soir venu les stores de leur activité rayonnante et affairée pour se mettre en mode attente. Silence, ensuite – et en symétrie – des malades. Il existe en effet une convention tacite selon laquelle, dans la mesure du possible, le malade, la nuit, doit rester patient (jamais il ne l’est autant qu’à ce moment-là), discret, contenu dans ses propres besoins et confiné à ses capacités. Bien sûr, la nuit, les médicaments continuent d’agir, les machines, quand il y en a, surveillent ou pallient des déficiences aussi bien que de jour. Mais il ne s’agit que d’expectative. Que chacun confie sa maladie au repos thérapeutique : voilà le grand programme nocturne.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65769 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Mammographie : les explorateurs se perdent / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 417 (12 février 2014)
[article]
Titre : Mammographie : les explorateurs se perdent Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Kiefer Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 416 Note générale : Curieuse charge du Swiss Medical Board (SMB) contre la mammographie de dépistage, la semaine dernière. Curieuse par son contenu, d’abord, sa forme ensuite. Mais surtout par sa radicalité, on pourrait même dire sa violence. Quel était le but réel, peut-être caché, de cette attaque des programmes existants, impliquant des centaines de milliers de femmes ? Existe-t-il des éléments nouveaux, par rapport aux multiples études publiées un peu partout dans le monde ? Non, pas le moindre. Les cantons, romands surtout, se sont décidés sur la base de ces analyses mondiales. Ils ont suivi, comme de nombreux pays développés, la position de l’OMS, ont pris des risques, entrepris des démarches courageuses, puis ont communiqué les connaissances permettant une décision éclairée aux femmes concernées. Et voilà qu’un groupement indépendant déstabilise tout cela, ridiculise les soignants et les politiciens cantonaux, sans avancer d’arguments convaincants. Tous les spécialistes savent que les bénéfices sont limités, mais qu’ils existent. La pesée difficile, mettant en jeu des choix de société, a déjà été faite. Pourquoi donc cette bombe médiatique ? Langues : Français (fre) Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44618
in Revue médicale suisse > 417 (12 février 2014) . - p. 416[article] Mammographie : les explorateurs se perdent [texte imprimé] / Bertrand Kiefer . - 2014 . - p. 416.
Curieuse charge du Swiss Medical Board (SMB) contre la mammographie de dépistage, la semaine dernière. Curieuse par son contenu, d’abord, sa forme ensuite. Mais surtout par sa radicalité, on pourrait même dire sa violence. Quel était le but réel, peut-être caché, de cette attaque des programmes existants, impliquant des centaines de milliers de femmes ? Existe-t-il des éléments nouveaux, par rapport aux multiples études publiées un peu partout dans le monde ? Non, pas le moindre. Les cantons, romands surtout, se sont décidés sur la base de ces analyses mondiales. Ils ont suivi, comme de nombreux pays développés, la position de l’OMS, ont pris des risques, entrepris des démarches courageuses, puis ont communiqué les connaissances permettant une décision éclairée aux femmes concernées. Et voilà qu’un groupement indépendant déstabilise tout cela, ridiculise les soignants et les politiciens cantonaux, sans avancer d’arguments convaincants. Tous les spécialistes savent que les bénéfices sont limités, mais qu’ils existent. La pesée difficile, mettant en jeu des choix de société, a déjà été faite. Pourquoi donc cette bombe médiatique ?
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 417 (12 février 2014) . - p. 416
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44618 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt «Le master fribourgeois sera l'occasion d'innovations pédagogiques» : Interview de Pierre-Yves Rodondi par Michaël Balavoine et Bertrand Kiefer / Michael Balavoine in Revue médicale suisse, 632-3 (Janvier 2019)
PermalinkMe too, un mot de médecine / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 590 (Janvier 2018)
PermalinkLa médecine cernée par l'incertitude / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 543 (décembre 2016)
PermalinkMédecine, crises et Boeing / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 650 (8 mai 2019)
PermalinkLa médecine a-t-elle encore un but ? / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 609 (Mai 2018)
PermalinkLa médecine face à l’échec carcéral / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 400 (Octobre 2013)
PermalinkLa médecine face à la révolution numérique / Amalio Telenti in Revue médicale suisse, 471 (Avril 2015)
PermalinkLa médecine de famille doit assumer le fait d'être une spécialité / Nicolas Senn in Revue médicale suisse, 544-5 (janvier 2017)
PermalinkLa médecine frappée de burnout / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 335 (avril 2012)
PermalinkDe Médecine et hygiène à la Revue médicale suisse : 80 ans d'histoire et une nouvelle structure / Michael Balavoine in Revue médicale suisse, 848 (1er novembre 2023)
PermalinkLa médecine, modalité du populisme ? / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 547 (Janvier 2017)
PermalinkMédecine personnalisée et futur narcissique / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 419 (Février 2014)
PermalinkDes médecins, la technologie fera-t-elle des infirmières ? / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 483 (Août 2015)
PermalinkMédicaliser la vieillesse : un gaspillage sacré / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 454 (Décembre 2014)
PermalinkMensonge et révolte / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 699 (1er juillet 2020)
PermalinkMicrobiote intestinal et identité floue / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 339 (Mai 2012)
PermalinkMigration et prévention : éviter les gros maux / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 380 (Avril 2013)
PermalinkLe mythe des crèmes solaires / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 607 (Mai 2018)
PermalinkNouveaux concepts : tout se complique / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 602 (Avril 2018)
PermalinkNouvelle loi sur la PMA : un bricolage nécessaire / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 474 (Mai 2015)
PermalinkNumérique : la loi du plus fort / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 655 (12 juin 2019)
PermalinkLe numérique, trouble attracteur / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 564 (Mai 2017)
PermalinkNutrition : le renversement des certitudes / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 575 (Septembre 2017)
PermalinkNutrition : tout et n'importe quoi / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 646 (Avril 2019)
PermalinkPan-médicalisme ? / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 692 (6 mai 2020)
PermalinkLe Parlement et sa (post) vérité / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 544-5 (janvier 2017)
PermalinkParticules fines : la santé publique manque d'air / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 422 (Mars 2014)
PermalinkPatients (timidement) inclus / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 663 (18 septembre 2019)
PermalinkPlanetesante.ch : l'aventure romande de la santé / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 327 (février 2012)
PermalinkDu point de vue des mauvaises herbes / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 558 (Avril 2017)
Permalink«Prendre soin est la mission centrale d'un service de médecine de premier recours» : Interview d'Idriss Guessous par Michäël Balavoine et Bertrand Kiefer / Michael Balavoine in Revue médicale suisse, 632-3 (Janvier 2019)
PermalinkPromesses de promesses et misère fictionnelle / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 621 (Octobre 2018)
PermalinkÀ propos du bloc-notes: « Statines, la médecine immobile » / François Mach in Revue médicale suisse, 678 (22 janvier 2020)
PermalinkProthèses mammaires : le choc des cultures / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 325 (Janvier 2012)
PermalinkLa qualité, une arme à plusieurs tranchants / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 431 (Mai 2014)
PermalinkLe quasi-mythe de la médecine personnalisée / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 370 (Janvier2013)
PermalinkDe quelle santé la révolution digitale est-elle porteuse ? / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 555 (Mars 2017)
PermalinkRecherche : quand chacun veut être quelqu'un / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 420 (Mars 2014)
PermalinkLe remède et le mal / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 689 (8 avril 2020)
PermalinkRéponse. Roger Federer sait-il à quel point la médecine ne sait pas ? / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 614 (Août 2018)
PermalinkRéseaux de soins, rêve et réalité / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 337 (avril 2012)
PermalinkSanté : du citoyen parfait au citoyen conscient / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 449 (Novembre 2014)
PermalinkScience, démocratie et mensonge / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 550 (février 2017)
PermalinkScience et doutes : le bazar / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 694 (20 mai 2020)
Permalink«Les sciences humaines au cœur de la pratique médicale» / Marina Casselyn in Revue médicale suisse, 456-457 (Janvier 2015)
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