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Auteur P. Chevalier |
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Un programme intensif de contrôle du poids pour obtenir une rémission prolongée d’un diabète de type 2 / P. Chevalier in minerva, Vol. 18, n° 5 (Juin 2019)
[article]
Titre : Un programme intensif de contrôle du poids pour obtenir une rémission prolongée d’un diabète de type 2 Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 57-61 Note générale : DOI: 10.1016/S0140-6736(17)33102-1 Langues : Français (fre) Mots-clés : Contrôle Diabète de type 2 Effets indésirables Exercice physique Qualité de vie Régime alimentaire Résumé : Chez des sujets obèses âgés de 20 à 65 ans avec un diagnostic de diabète de type 2 dans les 6 années précédentes, traité par antidiabétique ou non (pas par insuline), un programme intensif de contrôle du poids en première ligne de soins peut-il entraîner une rémission du diabète de type 2 malgré la suppression des médicaments antidiabétiques, sur 12 mois de suivi ? En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2188 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67601
in minerva > Vol. 18, n° 5 (Juin 2019) . - p. 57-61[article] Un programme intensif de contrôle du poids pour obtenir une rémission prolongée d’un diabète de type 2 [] / P. Chevalier . - 2019 . - p. 57-61.
DOI: 10.1016/S0140-6736(17)33102-1
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 18, n° 5 (Juin 2019) . - p. 57-61
Mots-clés : Contrôle Diabète de type 2 Effets indésirables Exercice physique Qualité de vie Régime alimentaire Résumé : Chez des sujets obèses âgés de 20 à 65 ans avec un diagnostic de diabète de type 2 dans les 6 années précédentes, traité par antidiabétique ou non (pas par insuline), un programme intensif de contrôle du poids en première ligne de soins peut-il entraîner une rémission du diabète de type 2 malgré la suppression des médicaments antidiabétiques, sur 12 mois de suivi ? En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2188 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67601 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quelle durée pour un traitement antibiotique d’une OMA chez des enfants âgés de 6 à 23 mois ? / P. Chevalier in minerva, Vol. 16, n°7 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Quelle durée pour un traitement antibiotique d’une OMA chez des enfants âgés de 6 à 23 mois ? Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 167-170 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiotique Interactions médicamenteuses Otite Placebo Récidive Résistance microbienne aux médicaments Association médicamenteuse Résumé : En dehors du débat concernant les indications validées de prescrire un antibiotique en cas d’otite moyenne aiguë chez l’enfant (1,2), une autre question se pose pour les praticiens : quelle doit être la durée d’un tel traitement en prenant en compte l’efficacité, la tolérance, les effets indésirables, y compris la survenue de germes résistants ? En 2001, la RBP de la BAPCOC (3) recommandait de limiter le traitement à 5 jours, sauf en cas de mauvaise évolution clinique, sur base d’un constat dans les études d’une éradication bactérienne rapide (moins de 4 jours), d’une efficacité d’un traitement limité à 5 jours (4,5), du risque accru d’apparition d’une résistance (portage de pneumocoques résistants) en cas de traitement par antibiotique bêta-lactame au-delà de 5 jours (6) et des conditionnements d’antibiotiques disponibles pour les enfants. Sur cette base et en prenant également en compte une méta-analyse publiée en 2010 par la Cochrane Collaboration (7), la BAPCOC recommandait en 2012 dans la mise à jour de son guide (8) un traitement de 5 à 7 jours.
Sur base de la même méta-analyse (7) précédemment analysée dans la revue Minerva (9), le jury du Consensus de l’INAMI (10) conclut en 2016 qu’«il semble plus judicieux de traiter au moins 7 jours pour éviter les rechutes endéans le mois excepté chez les patients immunocompromis qui nécessitent un traitement plus long (GRADE A - B, faible recommandation) ». Une RCT publiée en 2016 apporte-t-elle de nouveaux éléments, du moins pour les enfants âgés de 6 à 23 mois ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2126 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58161
in minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 167-170[article] Quelle durée pour un traitement antibiotique d’une OMA chez des enfants âgés de 6 à 23 mois ? [document électronique] / P. Chevalier . - 2017 . - p. 167-170.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 167-170
Mots-clés : Antibiotique Interactions médicamenteuses Otite Placebo Récidive Résistance microbienne aux médicaments Association médicamenteuse Résumé : En dehors du débat concernant les indications validées de prescrire un antibiotique en cas d’otite moyenne aiguë chez l’enfant (1,2), une autre question se pose pour les praticiens : quelle doit être la durée d’un tel traitement en prenant en compte l’efficacité, la tolérance, les effets indésirables, y compris la survenue de germes résistants ? En 2001, la RBP de la BAPCOC (3) recommandait de limiter le traitement à 5 jours, sauf en cas de mauvaise évolution clinique, sur base d’un constat dans les études d’une éradication bactérienne rapide (moins de 4 jours), d’une efficacité d’un traitement limité à 5 jours (4,5), du risque accru d’apparition d’une résistance (portage de pneumocoques résistants) en cas de traitement par antibiotique bêta-lactame au-delà de 5 jours (6) et des conditionnements d’antibiotiques disponibles pour les enfants. Sur cette base et en prenant également en compte une méta-analyse publiée en 2010 par la Cochrane Collaboration (7), la BAPCOC recommandait en 2012 dans la mise à jour de son guide (8) un traitement de 5 à 7 jours.
Sur base de la même méta-analyse (7) précédemment analysée dans la revue Minerva (9), le jury du Consensus de l’INAMI (10) conclut en 2016 qu’«il semble plus judicieux de traiter au moins 7 jours pour éviter les rechutes endéans le mois excepté chez les patients immunocompromis qui nécessitent un traitement plus long (GRADE A - B, faible recommandation) ». Une RCT publiée en 2016 apporte-t-elle de nouveaux éléments, du moins pour les enfants âgés de 6 à 23 mois ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2126 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58161 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Recommandation de bonne pratique : prévention des chutes chez les personnes âgées / P. Chevalier in La Revue de la Médecine Générale, 204 (juin 2003)
[article]
Titre : Recommandation de bonne pratique : prévention des chutes chez les personnes âgées Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Chevalier, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp. 260-264 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE CHUTE PREVENTION Note de contenu : 2003 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31273
in La Revue de la Médecine Générale > 204 (juin 2003) . - pp. 260-264[article] Recommandation de bonne pratique : prévention des chutes chez les personnes âgées [texte imprimé] / P. Chevalier, Auteur . - 2003 . - pp. 260-264.
Langues : Français (fre)
in La Revue de la Médecine Générale > 204 (juin 2003) . - pp. 260-264
Mots-clés : PERSONNE AGEE CHUTE PREVENTION Note de contenu : 2003 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31273 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Suppléments de fer en cas d’anémie sur insuffisance rénale : par voie orale ou intraveineuse ? / P. Chevalier in minerva, Vol. 16, n°5 (Juin 2017)
[article]
Titre : Suppléments de fer en cas d’anémie sur insuffisance rénale : par voie orale ou intraveineuse ? Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 123-127 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anémie Effets secondaires indésirables des médicaments Fer Hemoglobine Insuffisance rénale chronique Maladies de carence Mortalité Qualité de vie Transfusion sanguine Résumé : Une anémie est une complication fréquente d’une insuffisance rénale chronique (IRC) et est associée à une morbi-mortalité accrue (1). Une des causes de cette anémie est une homéostasie déficitaire pour le fer. L’administration de fer (fer oral ou intraveineux) est donc recommandée. Une administration intraveineuse pourrait comporter un risque d’anaphylaxie, d’infection bactérienne voire de favoriser une athérosclérose (2). Une administration par voie orale pourrait être moins risquée et/ou avec des risques différents. L’efficacité des deux voies d’administration est-elle pareillement efficace ? Qu’en est-il pour les patients en insuffisance rénale chronique et plus précisément en fonction du stade d’insuffisance rénale, d’une dialyse en cours ou non, en termes de bénéfices/risques ? En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2114 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58184
in minerva > Vol. 16, n°5 (Juin 2017) . - p. 123-127[article] Suppléments de fer en cas d’anémie sur insuffisance rénale : par voie orale ou intraveineuse ? [document électronique] / P. Chevalier . - 2017 . - p. 123-127.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 16, n°5 (Juin 2017) . - p. 123-127
Mots-clés : Anémie Effets secondaires indésirables des médicaments Fer Hemoglobine Insuffisance rénale chronique Maladies de carence Mortalité Qualité de vie Transfusion sanguine Résumé : Une anémie est une complication fréquente d’une insuffisance rénale chronique (IRC) et est associée à une morbi-mortalité accrue (1). Une des causes de cette anémie est une homéostasie déficitaire pour le fer. L’administration de fer (fer oral ou intraveineux) est donc recommandée. Une administration intraveineuse pourrait comporter un risque d’anaphylaxie, d’infection bactérienne voire de favoriser une athérosclérose (2). Une administration par voie orale pourrait être moins risquée et/ou avec des risques différents. L’efficacité des deux voies d’administration est-elle pareillement efficace ? Qu’en est-il pour les patients en insuffisance rénale chronique et plus précisément en fonction du stade d’insuffisance rénale, d’une dialyse en cours ou non, en termes de bénéfices/risques ? En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2114 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58184 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Tests performants pour la détection d’une dépression majeure chez des sujets présentant une démence non sévère / P. Chevalier in minerva, Vol. 16, n°9 (Novembre 2017)
[article]
Titre : Tests performants pour la détection d’une dépression majeure chez des sujets présentant une démence non sévère Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 226-230 Langues : Français (fre) Mots-clés : Démence Dépression détection Gériatrie Résumé : La prévalence d’une dépression majeure en cas de démence est importante : de 12,7% sur critères DSM à 42% pour des critères diagnostiques de dépression en cas de démence selon une synthèse de la littérature (1). Une importante étude de cohorte prospective effectuée aux USA (2) a montré une incidence plus importante (OR de 2,64 avec IC à 95% de 2,43 à 2,86) de dépression chez les personnes démentes que chez celles qui ne le sont pas. Différents tests sont proposés pour la détection des cas de dépression en cas de démence. La performance comparative (sensibilité, spécificité, rapports de vraisemblance) de ces tests, par rapport à des critères diagnostiques de référence, n’avait pas encore été établie de façon méthodique. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2142 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58185
in minerva > Vol. 16, n°9 (Novembre 2017) . - p. 226-230[article] Tests performants pour la détection d’une dépression majeure chez des sujets présentant une démence non sévère [document électronique] / P. Chevalier . - 2017 . - p. 226-230.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 16, n°9 (Novembre 2017) . - p. 226-230
Mots-clés : Démence Dépression détection Gériatrie Résumé : La prévalence d’une dépression majeure en cas de démence est importante : de 12,7% sur critères DSM à 42% pour des critères diagnostiques de dépression en cas de démence selon une synthèse de la littérature (1). Une importante étude de cohorte prospective effectuée aux USA (2) a montré une incidence plus importante (OR de 2,64 avec IC à 95% de 2,43 à 2,86) de dépression chez les personnes démentes que chez celles qui ne le sont pas. Différents tests sont proposés pour la détection des cas de dépression en cas de démence. La performance comparative (sensibilité, spécificité, rapports de vraisemblance) de ces tests, par rapport à des critères diagnostiques de référence, n’avait pas encore été établie de façon méthodique. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2142 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58185 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Utilité d’un dépistage cardiovasculaire triple : anévrisme de l’aorte abdominale, artérite périphérique et hypertension artérielle / P. Chevalier in minerva, Vol. 17, n° 7 (Septembre 2018)
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