Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
L'espoir des rétines artificielles : de la recherche à ses premières applications Mention de date : Juin 2017
Paru le : 01/06/2017
|
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panier
: Une demande justifiée seulement en cas de micropénis ou d'atteinte morphologique
[article]
Titre : |
Chirurgie cosmétique du pénis : Une demande justifiée seulement en cas de micropénis ou d'atteinte morphologique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Armand Chevrot ; Stéphane Droupy |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 623-627 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Pénis / malformations Pénis / chirurgie Chirurgie plastique |
Résumé : |
Il n'y a pas de consensus concernant la taille au-dessous de laquelle il est justifié d'accepter de tenter de modifier la taille du pénis. Une longueur du pénis en érection inférieure 10 cm peut être considérée comme une limite acceptable, chez un homme qui en souffre. L'évaluation des hommes en demande d'augmentation du pénis doit comporter un avis psycho-sexologique à la recherche d'une dysmorphophobie ou d'une autre affection psychiatrique. Devant une demande justifiée d'allongement pour une verge de petite taille, une tentative d'allongement par traction mécanique doit être proposée en première intention. En cas d'échec, trois techniques peuvent être utilisées seules ou en association : un allongement par section du ligament suspenseur de la verge avec plastie cutanée en V-Y inversé, une lipoaspiration du mont du pubis et une section de palmure scrotale. Les résultats sont modestes, avec des taux de complications non négligeables et de satisfaction faibles. Les techniques d'élargissement par injection de graisse autologue ou d'acide hyaluronique donnent des résultats esthétiques inconstants avec un taux de satisfaction bas. Toutes les autres techniques sont expérimentales. La chirurgie cosmétique du pénis est associée à un risque médico-légal important et doit faire l'objet d'une concertation multidisciplinaire, à l'issue d'un temps de réflexion donné au patient après une information complète et réaliste. Les demandes dans le but d'une chirurgie de reconstruction après traumatisme ou conséquences des traitements des cancers sont justifiées. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53869 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 623-627
[article] Chirurgie cosmétique du pénis : Une demande justifiée seulement en cas de micropénis ou d'atteinte morphologique [texte imprimé] / Armand Chevrot ; Stéphane Droupy . - 2017 . - p. 623-627. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 623-627
Mots-clés : |
Pénis / malformations Pénis / chirurgie Chirurgie plastique |
Résumé : |
Il n'y a pas de consensus concernant la taille au-dessous de laquelle il est justifié d'accepter de tenter de modifier la taille du pénis. Une longueur du pénis en érection inférieure 10 cm peut être considérée comme une limite acceptable, chez un homme qui en souffre. L'évaluation des hommes en demande d'augmentation du pénis doit comporter un avis psycho-sexologique à la recherche d'une dysmorphophobie ou d'une autre affection psychiatrique. Devant une demande justifiée d'allongement pour une verge de petite taille, une tentative d'allongement par traction mécanique doit être proposée en première intention. En cas d'échec, trois techniques peuvent être utilisées seules ou en association : un allongement par section du ligament suspenseur de la verge avec plastie cutanée en V-Y inversé, une lipoaspiration du mont du pubis et une section de palmure scrotale. Les résultats sont modestes, avec des taux de complications non négligeables et de satisfaction faibles. Les techniques d'élargissement par injection de graisse autologue ou d'acide hyaluronique donnent des résultats esthétiques inconstants avec un taux de satisfaction bas. Toutes les autres techniques sont expérimentales. La chirurgie cosmétique du pénis est associée à un risque médico-légal important et doit faire l'objet d'une concertation multidisciplinaire, à l'issue d'un temps de réflexion donné au patient après une information complète et réaliste. Les demandes dans le but d'une chirurgie de reconstruction après traumatisme ou conséquences des traitements des cancers sont justifiées. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53869 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
: A la chirurgie s'ajoute désormais la possibilité d'un médicament par voie injectable
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
: Toute érection durant plus de 4 heures est dangereuse
[article]
Titre : |
Priapisme : Toute érection durant plus de 4 heures est dangereuse |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pierre Bondil ; Damien Carnicelli |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 632-635 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Priapisme Dysfonctionnement érectile |
Résumé : |
Le priapisme est une urgence thérapeutique pour deux raisons majeures : le risque d'ischémie aiguë propre au priapisme veineux aigu, de loin le plus fréquent ; pour éviter les séquelles érectiles en traitant avant la 24 e heure. Le diagnostic physiopathologique et le bilan étiologique sont deux étapes indispensables pour la conduite à tenir. Dans la majorité des cas, la clinique distingue sans difficultés le priapisme artériel du priapisme veineux (aigu ou non). Progrès majeur, le traitement doit être toujours progressif, adapté au mécanisme (artériel ou veineux) et à la souffrance anoxique (d'où le rôle de la gazométrie). En cas de priapisme veineux aigu, le traitement médical, très efficace avant la 24 e heure, a réduit la chirurgie indiquée seulement pour les patients vus trop tard. La prévention des séquelles érectiles qui affectent encore trop de sujets souvent jeune, nécessite de sensibiliser les populations à risque (drépanocytose et traitements médicamenteux de l'insuffisance érectile), et d'homogénéiser la prise en charge en soins primaires. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53871 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 632-635
[article] Priapisme : Toute érection durant plus de 4 heures est dangereuse [texte imprimé] / Pierre Bondil ; Damien Carnicelli . - 2017 . - p. 632-635. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 632-635
Mots-clés : |
Priapisme Dysfonctionnement érectile |
Résumé : |
Le priapisme est une urgence thérapeutique pour deux raisons majeures : le risque d'ischémie aiguë propre au priapisme veineux aigu, de loin le plus fréquent ; pour éviter les séquelles érectiles en traitant avant la 24 e heure. Le diagnostic physiopathologique et le bilan étiologique sont deux étapes indispensables pour la conduite à tenir. Dans la majorité des cas, la clinique distingue sans difficultés le priapisme artériel du priapisme veineux (aigu ou non). Progrès majeur, le traitement doit être toujours progressif, adapté au mécanisme (artériel ou veineux) et à la souffrance anoxique (d'où le rôle de la gazométrie). En cas de priapisme veineux aigu, le traitement médical, très efficace avant la 24 e heure, a réduit la chirurgie indiquée seulement pour les patients vus trop tard. La prévention des séquelles érectiles qui affectent encore trop de sujets souvent jeune, nécessite de sensibiliser les populations à risque (drépanocytose et traitements médicamenteux de l'insuffisance érectile), et d'homogénéiser la prise en charge en soins primaires. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53871 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Une jeune femme avec des symptômes psychiatriques subaigus aux urgences |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Alexandra Grinea ; Sophie Demeret ; Francis Bolgert |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 641-644 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Encéphalite à anticorps anti-récepteur N-méthyl-D-aspartate / diagnostic Confusion / diagnostic Présentations de cas Tératome Tumeurs de l'ovaire Symptômes comportementaux |
Résumé : |
Cas clinique. Présentation d'une jeune femme âgée de 19 ans, étudiante et sans antécédents médicaux, qui développe en une semaine un tableau d'allure psychiatrique associant une angoisse majeure, un changement de comportement alimentaire à type d'anorexie et une insomnie. Malgré un traitement anxiolytique, les troubles du comportement se majorent : fixation obsessionnelle sur ses études, majoration de l'anorexie et de l'insomnie, bradypsychie, hallucinations auditives et installation d'un mutisme. Aux urgences, une encéphalite auto-immune à anticorps anti-NMDAR est diagnostiquée. Cette maladie décrite pour la première fois en 2007 se manifeste par l'association de troubles d'allure psychiatrique, de troubles de la conscience et de mouvements anormaux involontaires, le plus souvent chez une femme jeune. Cette pathologie est dans plus de 50% des cas associée à une tumeur, principalement un tératome de l'ovaire, chez la femme. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53873 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 641-644
[article] Une jeune femme avec des symptômes psychiatriques subaigus aux urgences [texte imprimé] / Alexandra Grinea ; Sophie Demeret ; Francis Bolgert . - 2017 . - p. 641-644. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 641-644
Mots-clés : |
Encéphalite à anticorps anti-récepteur N-méthyl-D-aspartate / diagnostic Confusion / diagnostic Présentations de cas Tératome Tumeurs de l'ovaire Symptômes comportementaux |
Résumé : |
Cas clinique. Présentation d'une jeune femme âgée de 19 ans, étudiante et sans antécédents médicaux, qui développe en une semaine un tableau d'allure psychiatrique associant une angoisse majeure, un changement de comportement alimentaire à type d'anorexie et une insomnie. Malgré un traitement anxiolytique, les troubles du comportement se majorent : fixation obsessionnelle sur ses études, majoration de l'anorexie et de l'insomnie, bradypsychie, hallucinations auditives et installation d'un mutisme. Aux urgences, une encéphalite auto-immune à anticorps anti-NMDAR est diagnostiquée. Cette maladie décrite pour la première fois en 2007 se manifeste par l'association de troubles d'allure psychiatrique, de troubles de la conscience et de mouvements anormaux involontaires, le plus souvent chez une femme jeune. Cette pathologie est dans plus de 50% des cas associée à une tumeur, principalement un tératome de l'ovaire, chez la femme. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53873 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
: deux prises de sang pour éviter des années d'errance diagnostique
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Prise en charge des hémorragies intracérébrales |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marion Yger ; Sonia Alamowitch |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 647-653 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Hémorragie cérébrale Accident vasculaire cérébral / Etiologie Hypertension artérielle / complications Hémostatiques Neuroprotecteurs |
Résumé : |
L'hémorragie intracérébrale est un problème de santé publique important, du fait de sa fréquence et de sa morbimortalité élevée et précoce : à J30, la mortalité après une hémorragie intracérébrale est évaluée à 42 %. 2 L'hémorragie intracérébrale est l'accident vasculaire cérébral au pronostic le plus péjoratif. Malgré une recherche thérapeutique importante ces 20 dernières années, le seul traitement ayant montré son efficacité est la prise en charge en unité de neurologie vasculaire (recommandation de classe 1). 49 Le clinicien est susceptible d'être confronté aux hémorragies intracérébrales, du fait de la croissance de la population âgée et de l'utilisation plus fréquente d'anticoagulants. La prise en charge gagne à être adaptée à chaque situation, en fonction d'un diagnostic causal le plus précis possible. Nous proposons une revue actualisée des interventions thérapeutiques non spécifiques dans l'hémorragie intracérébrale : celles-ci comprennent les interventions médicales et chirurgicales ciblant une diminution de la taille de l'hématome mais également les interventions médicales visant à diminuer les phénomènes inflammatoires péri-hématiques contribuant au pronostic péjoratif des hémorragies intracérébrales. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53875 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 647-653
[article] Prise en charge des hémorragies intracérébrales [texte imprimé] / Marion Yger ; Sonia Alamowitch . - 2017 . - p. 647-653. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 647-653
Mots-clés : |
Hémorragie cérébrale Accident vasculaire cérébral / Etiologie Hypertension artérielle / complications Hémostatiques Neuroprotecteurs |
Résumé : |
L'hémorragie intracérébrale est un problème de santé publique important, du fait de sa fréquence et de sa morbimortalité élevée et précoce : à J30, la mortalité après une hémorragie intracérébrale est évaluée à 42 %. 2 L'hémorragie intracérébrale est l'accident vasculaire cérébral au pronostic le plus péjoratif. Malgré une recherche thérapeutique importante ces 20 dernières années, le seul traitement ayant montré son efficacité est la prise en charge en unité de neurologie vasculaire (recommandation de classe 1). 49 Le clinicien est susceptible d'être confronté aux hémorragies intracérébrales, du fait de la croissance de la population âgée et de l'utilisation plus fréquente d'anticoagulants. La prise en charge gagne à être adaptée à chaque situation, en fonction d'un diagnostic causal le plus précis possible. Nous proposons une revue actualisée des interventions thérapeutiques non spécifiques dans l'hémorragie intracérébrale : celles-ci comprennent les interventions médicales et chirurgicales ciblant une diminution de la taille de l'hématome mais également les interventions médicales visant à diminuer les phénomènes inflammatoires péri-hématiques contribuant au pronostic péjoratif des hémorragies intracérébrales. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53875 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
La pharmaco-épidémiologie ou comment évaluer les médicaments dans la vraie vie ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Julien Bezin ; Pauline Bosco-Levy ; Antoine Pariente |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 657-660 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Pharmacoépidémiologie Surveillance pharmacologique Évaluation des risques Analyse coût-bénéfice Pharmacovigilance Fluoroquinolones / effets indésirables Anticoagulants / effets indésirables |
Résumé : |
La pharma co-épidémiologie est une discipline récente définie comme «l'étude de l'utilisation et des effets bénéfiques et indésirables des médicaments en population, destinée à favoriser leur bon usage et ainsi permettre d'améliorer la santé publique» . Dans l'évaluation du médicament en population générale, ses objectifs sont donc d'étudier les modalités réelles d'utilisation du médicament, les risques liés à son utilisation, et les bénéfices que son utilisation permet d'obtenir dans un contexte différent de celui des essais cliniques. Les méthodes employées par la pharmaco-épidémiologie correspondent, pour la plupart, à des méthodes également employées en épidémiologie. Des biais spécifiques à la pharmaco-épidémiologie ont cependant conduit au développement, dans cette discipline, de techniques particulières. Solidement établie dans les pays anglo-saxons et d'Europe du Nord depuis, la pharmaco-épidémiologie n'a été véritablement intégrée à l'exercice de la surveillance du médicament en France que depuis quelques années, essentiellement sous l'impulsion de l'Agence nationale de sécurité du médicament. Deux encadrés concernent plus particulièrement l'évaluation des risques (1) de décollement de la rétine dans l'utilisation des fluoroquinolones et (2) les risques hémorragiques à court terme des anticoagulants oraux. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53877 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 657-660
[article] La pharmaco-épidémiologie ou comment évaluer les médicaments dans la vraie vie ? [texte imprimé] / Julien Bezin ; Pauline Bosco-Levy ; Antoine Pariente . - 2017 . - p. 657-660. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 657-660
Mots-clés : |
Pharmacoépidémiologie Surveillance pharmacologique Évaluation des risques Analyse coût-bénéfice Pharmacovigilance Fluoroquinolones / effets indésirables Anticoagulants / effets indésirables |
Résumé : |
La pharma co-épidémiologie est une discipline récente définie comme «l'étude de l'utilisation et des effets bénéfiques et indésirables des médicaments en population, destinée à favoriser leur bon usage et ainsi permettre d'améliorer la santé publique» . Dans l'évaluation du médicament en population générale, ses objectifs sont donc d'étudier les modalités réelles d'utilisation du médicament, les risques liés à son utilisation, et les bénéfices que son utilisation permet d'obtenir dans un contexte différent de celui des essais cliniques. Les méthodes employées par la pharmaco-épidémiologie correspondent, pour la plupart, à des méthodes également employées en épidémiologie. Des biais spécifiques à la pharmaco-épidémiologie ont cependant conduit au développement, dans cette discipline, de techniques particulières. Solidement établie dans les pays anglo-saxons et d'Europe du Nord depuis, la pharmaco-épidémiologie n'a été véritablement intégrée à l'exercice de la surveillance du médicament en France que depuis quelques années, essentiellement sous l'impulsion de l'Agence nationale de sécurité du médicament. Deux encadrés concernent plus particulièrement l'évaluation des risques (1) de décollement de la rétine dans l'utilisation des fluoroquinolones et (2) les risques hémorragiques à court terme des anticoagulants oraux. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53877 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Prise en charge du nodule thyroïdien : le score échographique EU-TIRADS [European-Thyroid Imaging Reporting and Data System] permet de prédire le risque de carcinome |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Gilles Russ |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 663-668 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Nodule thyroïdien Pronostic Échographie Diagnostic par imagerie Évaluation des risques Stade de la tumeur Adénocarcinome / prévention et contrôle Glande thyroide Tumeurs de la thyroïde / prévention et contrôle incidentalome Cytoponction |
Résumé : |
Les nodules thyroïdiens sont fréquents et la plupart sont des incidentalomes bénins. L'examen clinique doit rechercher des facteurs de risque de cancer et évaluer le retentissement fonctionnel et cosmétique. Quel que soit le mode de découverte, le dosage de la thyréostimuline (TSH) et l'échographie doivent être systématiques. La scintigraphie est réservée aux cas où la TSH est basse. L'échographie permet d'affirmer l'existence du nodule, de juger de la taille et de préciser le contexte (goitre, pathologie immunitaire). De manière essentielle, elle est utilisée pour la stratification quantitative du risque de malignité au moyen du score EU-TIRADS. Celui-ci va de 1 à 5 et permet de définir les indications de cytoponction : systématiques quel que soit le score à partir de 20 mm, et réservées aux nodules de plus de 15 mm pour les scores 4 et de plus de 10 mm pour les scores 5. Les nodules suspects et malins de plus de 10 mm et les nodules bénins volumineux et symptomatiques sont des indications chirurgicales, et pour ceux mesurant moins de 10 mm une surveillance active peut être proposée au patient s'il n'existe pas d'atteinte ganglionnaire ou d'envahissement extrathyroïdien. Les autres nodules font la plupart du temps l'objet d'une surveillance clinique et échographique espacée. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53878 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 663-668
[article] Prise en charge du nodule thyroïdien : le score échographique EU-TIRADS [European-Thyroid Imaging Reporting and Data System] permet de prédire le risque de carcinome [texte imprimé] / Gilles Russ . - 2017 . - p. 663-668. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 663-668
Mots-clés : |
Nodule thyroïdien Pronostic Échographie Diagnostic par imagerie Évaluation des risques Stade de la tumeur Adénocarcinome / prévention et contrôle Glande thyroide Tumeurs de la thyroïde / prévention et contrôle incidentalome Cytoponction |
Résumé : |
Les nodules thyroïdiens sont fréquents et la plupart sont des incidentalomes bénins. L'examen clinique doit rechercher des facteurs de risque de cancer et évaluer le retentissement fonctionnel et cosmétique. Quel que soit le mode de découverte, le dosage de la thyréostimuline (TSH) et l'échographie doivent être systématiques. La scintigraphie est réservée aux cas où la TSH est basse. L'échographie permet d'affirmer l'existence du nodule, de juger de la taille et de préciser le contexte (goitre, pathologie immunitaire). De manière essentielle, elle est utilisée pour la stratification quantitative du risque de malignité au moyen du score EU-TIRADS. Celui-ci va de 1 à 5 et permet de définir les indications de cytoponction : systématiques quel que soit le score à partir de 20 mm, et réservées aux nodules de plus de 15 mm pour les scores 4 et de plus de 10 mm pour les scores 5. Les nodules suspects et malins de plus de 10 mm et les nodules bénins volumineux et symptomatiques sont des indications chirurgicales, et pour ceux mesurant moins de 10 mm une surveillance active peut être proposée au patient s'il n'existe pas d'atteinte ganglionnaire ou d'envahissement extrathyroïdien. Les autres nodules font la plupart du temps l'objet d'une surveillance clinique et échographique espacée. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53878 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Épidémiologie du cancer de la thyroïde : une épidémie de cancers due au surdiagnostic |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Catherine Hill ; Martin Schlumberger |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 668-672 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tumeurs de la thyroïde / épidémiologie Médicalisation Surmédicalisation surdiagnostic |
Résumé : |
On observe une augmentation importante de la fréquence du cancer de la thyroïde en France, indépendamment de l'accroissement et du vieillissement de la population. Cette augmentation est essentiellement due au surdiagnostic. Le surdiagnostic est la détection d'un cancer qui n'aurait jamais donné de symptômes du vivant de la personne ; il transforme à tort une personne bien portante en malade. Les études d'autopsies systématiques montrent une fréquence des cancers de la thyroïde de plus de 10 % dans la population générale, identique chez les hommes et chez les femmes. La fréquence plus grande du cancer de la thyroïde chez les femmes est ainsi une conséquence de leurs plus fréquentes interactions avec le monde médical, à un plus jeune âge, pour elles-mêmes ou pour leurs enfants. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53879 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 668-672
[article] Épidémiologie du cancer de la thyroïde : une épidémie de cancers due au surdiagnostic [texte imprimé] / Catherine Hill ; Martin Schlumberger . - 2017 . - p. 668-672. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 668-672
Mots-clés : |
Tumeurs de la thyroïde / épidémiologie Médicalisation Surmédicalisation surdiagnostic |
Résumé : |
On observe une augmentation importante de la fréquence du cancer de la thyroïde en France, indépendamment de l'accroissement et du vieillissement de la population. Cette augmentation est essentiellement due au surdiagnostic. Le surdiagnostic est la détection d'un cancer qui n'aurait jamais donné de symptômes du vivant de la personne ; il transforme à tort une personne bien portante en malade. Les études d'autopsies systématiques montrent une fréquence des cancers de la thyroïde de plus de 10 % dans la population générale, identique chez les hommes et chez les femmes. La fréquence plus grande du cancer de la thyroïde chez les femmes est ainsi une conséquence de leurs plus fréquentes interactions avec le monde médical, à un plus jeune âge, pour elles-mêmes ou pour leurs enfants. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53879 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Classification des carcinomes thyroïdiens de souche folliculaire : classification histologique, altérations génomiques, classification pronostique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Abir Al Ghuzlan ; Martin Schlumberger |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 673-678 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Tumeurs de la thyroïde / classification Adénocarcinome folliculaire Carcinome papillaire folliculaire |
Résumé : |
La classification histologique 2017 de l'Organisation mondiale de la santé individualise parmi les cancers de la thyroïde de souche folliculaire quatre groupes : papillaire, le plus fréquent avec plusieurs sous-types, folliculaire, oncocytaire et peu différencié. Cette classification histologique est bien corrélée avec les anomalies génomiques mises en évidence dans ces cancers. L'estimation initiale du risque de décès par cancer repose sur la classification TNM et celle du risque de rechute sur la classification de l' American Thyroid Association ; ces deux estimations du risque vont guider l'étendue du traitement initial. Par la suite, une classification dynamique qui peut être modifiée lors de chaque bilan va apprécier le statut tumoral et ainsi le risque de rechute et de décès par cancer. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53880 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 673-678
[article] Classification des carcinomes thyroïdiens de souche folliculaire : classification histologique, altérations génomiques, classification pronostique [texte imprimé] / Abir Al Ghuzlan ; Martin Schlumberger . - 2017 . - p. 673-678. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 673-678
Mots-clés : |
Tumeurs de la thyroïde / classification Adénocarcinome folliculaire Carcinome papillaire folliculaire |
Résumé : |
La classification histologique 2017 de l'Organisation mondiale de la santé individualise parmi les cancers de la thyroïde de souche folliculaire quatre groupes : papillaire, le plus fréquent avec plusieurs sous-types, folliculaire, oncocytaire et peu différencié. Cette classification histologique est bien corrélée avec les anomalies génomiques mises en évidence dans ces cancers. L'estimation initiale du risque de décès par cancer repose sur la classification TNM et celle du risque de rechute sur la classification de l' American Thyroid Association ; ces deux estimations du risque vont guider l'étendue du traitement initial. Par la suite, une classification dynamique qui peut être modifiée lors de chaque bilan va apprécier le statut tumoral et ainsi le risque de rechute et de décès par cancer. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53880 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Prise en charge des cancers différenciés de la thyroïde : les indications de l'iode 131 sont fondées sur les risques de maladie résiduelle et de rechute |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sophie Leboulleux ; Amandine Berdelou ; Dana Hartl |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 680-684 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Radio-isotopes / usage thérapeutique Radio-isotopes de l'iode Tumeurs de la thyroïde / chirurgie Tumeurs de la thyroïde / traitement médicamenteux Soins postopératoires |
Résumé : |
La chirurgie est la première (et parfois la seule) étape thérapeutique des cancers thyroïdiens différenciés. Elle a pour principal objectif de réséquer la maladie macroscopique tout en minimisant les morbidités permanentes liées au traitement. La thyroïdectomie totale est le traitement le plus souvent recommandé. Cependant, la lobectomie ou une surveillance active peuvent également être proposées pour certains cancers. Les curages ganglionnaires sont recommandés lorsqu'il existe des métastases ganglionnaires cervicales connues (cN1) et ils doivent alors être les plus complets possible, alors qu'en absence d'adénopathie métastatique (cN0) leur réalisation est discutée. À la suite d'un traitement chirurgical complet, l'administration postopératoire d'iode radioactif (iode 131) n'est pas systématique, en l'absence de bénéfice démontré sur la survie et sur le risque de récidive chez la plupart des patients. Les indications d'iode 131 sont fondées sur le risque de maladie résiduelle postopératoire et sur le risque de rechute ultérieure. Ce risque peut être fondé sur les caractéristiques histologiques du cancer ou sur les résultats d'une échographie cervicale et d'un taux de thyroglobuline postopératoires. En l'absence d'études prospectives randomisées statuant sur les indications et les modalités d'administration d'iode 131, celles-ci peuvent varier d'un centre à l'autre et sont posées en réunion multidisciplinaire. La surveillance ultérieure repose sur l'échographie cervicale et le dosage de thyroglobuline réalisés 6 à 12 mois après la chirurgie. Selon ce bilan, les patients sont classés en quatre catégories : excellente réponse au traitement, anomalies de signification inconnue, anomalies biologiques sans anomalies morphologiques et anomalies morphologiques. La prise en charge et la surveillance ultérieure sont adaptées à chacune de ces catégories. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53882 |
in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 680-684
[article] Prise en charge des cancers différenciés de la thyroïde : les indications de l'iode 131 sont fondées sur les risques de maladie résiduelle et de rechute [texte imprimé] / Sophie Leboulleux ; Amandine Berdelou ; Dana Hartl . - 2017 . - p. 680-684. Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > vol. 67, 6 (Juin 2017) . - p. 680-684
Mots-clés : |
Radio-isotopes / usage thérapeutique Radio-isotopes de l'iode Tumeurs de la thyroïde / chirurgie Tumeurs de la thyroïde / traitement médicamenteux Soins postopératoires |
Résumé : |
La chirurgie est la première (et parfois la seule) étape thérapeutique des cancers thyroïdiens différenciés. Elle a pour principal objectif de réséquer la maladie macroscopique tout en minimisant les morbidités permanentes liées au traitement. La thyroïdectomie totale est le traitement le plus souvent recommandé. Cependant, la lobectomie ou une surveillance active peuvent également être proposées pour certains cancers. Les curages ganglionnaires sont recommandés lorsqu'il existe des métastases ganglionnaires cervicales connues (cN1) et ils doivent alors être les plus complets possible, alors qu'en absence d'adénopathie métastatique (cN0) leur réalisation est discutée. À la suite d'un traitement chirurgical complet, l'administration postopératoire d'iode radioactif (iode 131) n'est pas systématique, en l'absence de bénéfice démontré sur la survie et sur le risque de récidive chez la plupart des patients. Les indications d'iode 131 sont fondées sur le risque de maladie résiduelle postopératoire et sur le risque de rechute ultérieure. Ce risque peut être fondé sur les caractéristiques histologiques du cancer ou sur les résultats d'une échographie cervicale et d'un taux de thyroglobuline postopératoires. En l'absence d'études prospectives randomisées statuant sur les indications et les modalités d'administration d'iode 131, celles-ci peuvent varier d'un centre à l'autre et sont posées en réunion multidisciplinaire. La surveillance ultérieure repose sur l'échographie cervicale et le dosage de thyroglobuline réalisés 6 à 12 mois après la chirurgie. Selon ce bilan, les patients sont classés en quatre catégories : excellente réponse au traitement, anomalies de signification inconnue, anomalies biologiques sans anomalies morphologiques et anomalies morphologiques. La prise en charge et la surveillance ultérieure sont adaptées à chacune de ces catégories. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53882 |
| |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |